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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#58690
C'est la première fois que nous passons des vacances avec l'amant de ma femme.
Il était prévu qu'il nous rejoigne le vendredi 8 juillet à 20h.
La veille de notre départ ma femme me dit "J'ai l'intention de bien m'amuser avec Paul mais je m'amuserais également avec toi mon chéri" puis elle ajouta "Ce soir tu dors dans la chambre d'amis pendant que je rêverais à toutes les bonnes choses que je ferais avec mon bel étalon". Elle referma la porte de la chambre avec un grand sourire narquois.
Une première banderille était planté.
#58697
un peu de patience voila la suite.
Le vendredi à 20h tapante le "bolide" de Paul entrait dans le jardin. Brigitte l'accueillit avec un baiser fougueux puis elle m'ordonna "Monte les bagages de Paul dans ma chambre!"
Je m'exécutais et quand je redescendis mon épouse avait déjà Paul en bouche.
Je pouvais m'occuper des grillades. Du barbecue j'avais une vue imprenable sur la scène.
Paul confortablement installé dans un fauteuil savourait la savante fellation prodiguée par Brigitte.
Elle y mettait beaucoup d'ardeur et obtint ce qu'elle recherchait. Paul se soulagea dans sa bouche.
Brigitte mis un point d'honneur à lui rendre une queue nickel.
Après cette pipe de bienvenue, le dîner pouvait commencer.
#58699
Samedi à 11h comme prévu je leur apportais le petit déjeuner.Je percevais des soupirs.
Je frappais timidement à la porte. De l'autre coté j'entendis son amant "entre!".
Je découvrais mon épouse qui le suçait goulument. Elle y mettais tant d'ardeur que
j'étais hypnotisé par la scène. Il me réveilla en m'ordonnant "sert nous sur le balcon!!"
Instinctivement je répondais "bien Monsieur".
Je disposais le petit déjeuner sur la table quand dans un râle de plaisir j'entendis
"HAAAaaa quelle bouche. Merci ma chérie""de rien mon chéri tout le plaisir est pour moi.
Ton nectar est divin"
Sans faire attention à moi ils s'installèrent, je leur servis chacun un jus d'orange
bien frais qu'ils buvèrent d'une traite. Ma femme me demanda de lui servir une tasse
de thé alors que son amant réclamait un autre verre de jus d'orange.
Tout le long du petit déjeuner ils se bécotèrent comme ci je n'étais pas là.
A la fin du repas ils regagnèrent le lit.
J'avais à peine finit de débarrasser que son amant la sodomisait.

Ils m'ont vraiment pris pour leur larbin. J'étais à la fois très humilié mais aussi
terriblement excité.
#58754
de UTA (http://utoeuta.erog.fr)
Tu me semble exagérer ton humiliation. Mon mari m'a plusieurs fois apporté le petit déjeuner alors que j'étais avec d'autre(s) que lui dans notre chambre, ou dans la chambre où j'étais si ce n'était pas chez nous. C'est de la simple gentillesse.
En revanche, il est certain qu'il a été excité un maximum de m'entendre m'envoyer en l'air depuis la pièce d'à côté. Chacun son truc. Je ne l'empêche pas de s'envoyer en l'air ! Je préfère me servir de mon minou que de mes oreilles pour baiser ou faire l'amour !!! ...et je préfère être prise par un homme qui a une grosse queue qu'une petite !!!
#58878
Je trouve cela quand même humiliant d'être expulser du lit conjugale et
de servir le petit déjeuner à son rival

Dimanche après le déjeuner Brigitte et Paul monte faire une "sieste".
Pendant la vaisselle je percevais que l'ambiance se réchauffait dans la chambre.
C'est lors du nettoyage de la pergola que Brigitte hurla sa jouissance.
La voisine prétextant un renseignement en profitait pour vérifier qu'elle ne rêvait pas.
Elle s'éloigna avec un sourire qui en dit long.
Après leur "sieste" les tourtereaux décidèrent de se reposer sous la pergola toute propre,
moi je regardais le tour de France dans le salon. Je somnolais devant l'étape quand mon
épouse appela "jean-luc!" Je sortis de ma torpeur et me dirigeais vers la pergola quand
j'aperçus la voisine en pleine discussion avec Brigitte et Paul. Complètement perdu,
ma femme pris les devants "Une bière pour Monsieur et 2 jus d'orange" instinctivement
je répondais "Bien Madame". Un clin d'oeil de mon épouse me rassura.
La voisine repris "Vous avez votre domestique avec vous ?"
Brigitte "Bien sûr c'est très pratique"
et Paul de surenchérir "Des vacances sans domestique ce n'est plus des vacances"
Je revins avec les boissons.
Paul d'un ton assuré "Prépare les affaires nous descendons à la plage dans 20 minutes"
moi jouant le jeu "Bien Monsieur"

20 minutes plus tard Brigitte et Paul main dans la main filaient et moi derrière je
suivais chargé avec les serviettes, les rechanges, les crèmes divers etc..
En passant devant la villa de la voisine je l'entendis d'un air admiratif "Ils ont
leur domestique ce ne doit pas être n'importe qui"
#61499
Mardi 13 juillet 3h du matin. Je fût réveillé par des cris atroces. Dans mon demi sommeil je croyais qu'on égorgeait un cochon. Après quelques minutes et étant plus réveillé je reconnaissais très distinctement les cris d'une cochonne qui prenait son pied.
Couchant dans la petite chambre attenante, j'entendais Brigitte qui vociférait son bonheur, Paul n'était pas en reste il gueulait "Ahhh Brigitte ton cul..ton cul, ton cul Brigitte, quel cul, quel cul, quel cul". je pensais que ce devrait être bientôt la fin car chaque matin je les entendais certes beaucoup plus tard et surtout moins fort et Paul aimait terminer par le cul de mon épouse.
Effectivement quelques instants plus tard le calme revint, plus aucun bruit. Je m'apprêtais à me rendormir quand la porte s'ouvrit, ma femme m'ordonnant "change les draps pendant qu'on prend notre douche".
J'obtempérais et découvris le "champ de bataille", les draps étaient trempés par un mélange de sueur et sperme. Paul avait mis la dose, j'avais déjà remarqué qu'il avait des éjaculations abondantes mais là il s'était surpassé.
Je terminais de changer les draps, en même temps ils sortirent de la douche
J'allais m'éclipser avec les draps sales quand ma femme "les serviettes sales!!"
Je revins avec des serviettes propres, mon épouse était lover dans les bras de son amant et j'entendis "Paul mon amour c'était fabuleux". Je sortis discrètement et les laissais se mamourer tranquilement.
#61789
EDWIGE a écrit :nuloli à écrit "je reconnaissais très distinctement les cris d'une cochonne qui prenait son pied".
Un peu de respect pour ta femme nuloli. Ta femme n'est pas une cochonne, c'est simplement une femme qui prend son plaisir avec qui sait lui en donner. Reste dans ton rôle de larbin.

Bien dit.
Contente toi de ton rôle : sers et vénère.
#62020
Lundi 16 juillet. Ma femme à invité les voisins pour une grillade partie.
Bien entendu le préposé aux grillades et au service c'était moi et ma femme
m'avait même prévenue "Tu as intérêt à assurer!!".

Pour l'occasion j'étais vêtu d'un pantalon de toile noir, d'une chemise blanche
et d'un noeud papillon noir, le tout protégé par un tablier style boucher gris
avec de fines rayures rouges.

Un peu chagrin au début d'être exclu de la fête mais je découvris que même un
larbin peux prendre du plaisir dans sa tâche malgré le mépris des convives.
pour cela il suffit de laisser traîner ses oreilles.

C'est ainsi que j'appris avec surprise que notre charmante voisine avait 61 ans
car franchement elle fait dix ans de moins. Qu'elle s'appelait Isabelle et n'était pas mariée.
Qu'elle à trois salons de coiffure dans la capitale dont un assez chic.
Qu'elle investis avec succès dans la pierre dont elle semble connaître parfaitement
le marcher.

Quand à son compagnon: David il a 41 ans. C'est la seule chose dont je sois sûre car
pour le reste c'est un peu plus confus. Son métier "il aide son amie dans ses affaires"
mais comme il ne connaît rien en coiffure et pas grand chose dans l'immobilier...Je
pense que c'est une manière élégante de dire que c'est son gigolo.

Je jubilais lorsque la voisine demanda "J'aimerais avoir un valet de chambre comme le votre.
Combien cela coûte charges comprises, où se renseigner pour avoir un domestique sérieux".
Je savourais avec délectation l'embarras de mon épouse mais comme d'habitude elle se sortis
avec brio de la situation en répondant aux questions par d'autres questions. Cela se termina
par "vois-tu ma chère Isabelle avant de prendre un domestique il faut que tu définisses
exactement pourquoi tu en a besoin. nous pourrions en reparler demain"
"Je veux bien Brigitte car vous voir tous les deux avec votre valet de chambre me donne vraiment
envie d'en avoir un à mon service"

Je rigolais beaucoup moins quand la voisine dit tout de go "Brigitte j'ai vu plusieurs fois ton
valet de chambre à la "fraiseraie" (célèbre glacier sur la côte de jade)". Le regard noir de ma femme
et son petit sourire en coin me laissèrent présager des représailles. Cela fait plusieurs mois
que mon épouse veux que je perde dix kilos. Je n'échapperais pas à la sanction.
#62369
Vendredi 16 juillet.
Paul et Brigitte partent en escapade toute la journée à Naoned. N'étant pas convié j'aurais pus passer une journée cool et aller à la "Fraiseraie". Que nenni ma femme me proposa comme domestique à notre chère voisine. Isabelle était ravie, elle allait pouvoir essayer un "vrai domestique". La journée fût éreintante, salles de bain à fond, les chambres, l'aspirateur partout, même dans les coins les plus reculés puis servir le déjeuner, le café, les boissons, servir, servir toute la journée.
Quand je vis ma femme arrivée je me croyais soulagé, le calvaire allais prendre fin. C'était sans compter sur le sadisme de mon épouse. A peine arrivée elle proposait "une petite glace à la "fraiseraie" cela vous tente ?". Bien sûre tout le monde acquiesca. Je fûs assez surpris quand elle me dit "toi aussi tu viens" .
Arrivé au paradis des gourmands je compris très vite pourquoi mon épouse m'avait "invité". J'étais le préposé pour faire la queue et passer commande de 4 glaces "seulement 4 glaces" précisa Brigitte. Sitôt les glaces rapportées ma femme m'ordonna "Rentre ! nous avons fait quelques achats tu les ranges dans la chambre et tu prépare le dîner pour 4 personnes". Tristement mais respectueusement je répondis "Bien Madame".
#62489
Lundi 19 juillet.
Il était prévu que Paul s'absenterai toute la journée. J'étais donc seul avec Brigitte et nous en avons profité pour échanger sur la tournure des choses. Paul n'étant pas de la même région que nous, ma femme aimerait avoir un amant régulier pour la combler sexuellement. Conscient de mes insuffisances je la confortais dans cette voie et accepterais de jouer le larbin. Je trouvais cela plutôt excitant. au cour de la conversation je me plaignais d'être souvent exclu de ses orgasmes du moins visuellement. Elle me répondit "En somme tu voudrais tenir la chandelle. Il faut que j'en parle avec Paul. On verra ce que l'on peux faire pour toi".
Le soir même j'étais convié dans la chambre. Il étaient tous les deux nus et Paul était déjà en grande forme. Brigitte m'ordonna "tu te met au pied du lit". Je pris position très excité ce qui me valu une réflexion de Paul "Mais c'est qu'elle voudrait se relever cette petite queue". entre deux fous rires mon épouse me précisa "Tu vois la bougie et les allumettes sur le guéridon, tu l'allume et la prend dans ta main" "met toi bien au pied du lit" "Maintenant tu te retourne! regarde l'armoire!" " tu voulais tenir la chandelle et bien ton voeux est exhaussé" puis elle éteint la lumière.
Je restais ainsi tout le temps de leurs ébats, ne voyant rien mais entendant tout. C'était toujours mieux que rien.
#62916
Mercredi 21 juillet
Comme d'habitude après le déjeuner Paul et Brigitte étaient partis faire une "sieste". Comme d'habitude mon épouse se faisait combler par Paul et comme d'habitude pendant ce temps je rangeai et faisais la vaisselle. un peu blasé je ne prêtais plus attention aux gloussements plus ou moins étouffés de Brigitte. Après mon ménage je m'installa confortablement sur le canapé du salon. Un peu trop peut-être car je fus réveillé brusquement par mon épouse " cela fait au moins dix fois que je t'appelle! Tu as les draps à changer car Paul lui n'as pas dormi, il est en très grande forme lui". Je bredouillais des excuses et me précipita dans la chambre. Le reste de la journée se passa normalement c'est à dire que Paul et brigitte se faisait servir comme des princes ou forniquaient pendant que je vaquais au ménage.
Le lendemain à 8h je leur servaient un rapide petit déjeuner car ma femme avait décidée de faire un saut à Naoned. Quand ils revinrent en milieu d'après-midi Brigitte avait un sourire ravis qui m'inquiétais beaucoup. Je n'eu pas à attendre bien longtemps pour comprendre pourquoi. Mon épouse m'ordonna "à genoux! Regarde ce que je t'ai acheté"
Moi très inquiet "C'est un colier de chien"
Brigitte "Oui c'est bien! mais regarde bien le petit boitier et la télécommande"
De plus en plus inquiet "C'est un colier de dressage"
Brigitte "Oui le même qu'oncle Charles utilise pour ses toutous" "Je pense que c'est LA SOLUTION pour les larbins un peu sourd"
vraiment très inquiet "C'est vraiment indispensable ?"
Brigitte "Oui c'est indispensable" et elle me mis le colier puis essaya immédiatement. Une décharge faillie m'arrache la tête
Elle régla au minimum mais c'est très désagréable. Maintenant à chaque fois qu'ils ont besoin de moi il me "bip" de cette manière comme vendredi 23 jour de la sainte Brigitte. Vers 9h petite décharge au coup je file dans la chambre. Je n'eu pas le temps de dire quoi que se soit "Nous somme quel jour aujourd'hui ?"
moi " heu le 23 juillet....heu bonne fête Brigitte"
Brigitte "tu avais oublié! Paul lui n'as pas oublié et me la souhaité de la meilleur des manières""t'as compris ? les draps...."
#64680
Bonjour Nuloli.
Je suppose que les vacances sont terminées.
Grand dommage, la narration que tu nous fais de tes vacances est très excitante.
J'ai l'impression que tu as très bien joué ton rôle de larbin.
C'est dommage, des idées me venaient pour enrichir la situation, je ne sais si elles t'auraient plu.
Comme par exemple, que suite à une maladresse, tu reçoives une fessée cul nul de ta femme, devant son amant.
Ou par exemple que la voisine (qui doit être une sacrée) soit mise dans la confidence et, qu'au cours d'un diner où tu serais le larbin, tu fasses le service cul nu.
Mais je vais peut-être trop loin.
Au grand plaisir de te relire !
#65302
Merci demimolle.

Oui les vacances sont terminées mais j'ai encore quelques narrations à suivre.
Je me suis surtout efforcé à être le larbin que mon épouse souhaitait.
Pour la voisine tu as raison c'est une sacrée.
Je demande un peu de temps pour écrire la suite.
Demimolle tes suggestions sont les biens venues
#66461
Lundi 26 juillet

L'ambiance était morose car c'était le jour du départ pour Paul.
Je devais le conduire à l'aéroport en début d'après-midi.
Comme chaque matin j'apportais le petit déjeuner. J'attendais sagement
que Brigitte finisse Paul en bouche, avant de poser le plateau. Je versais
le thé dans les tasses puis Brigitte d'un index dominateur me montra le bout de ses pieds.
Cela fait maintenant 2 jours que mon épouse me fait lécher ses pieds et sucer ses orteils.
Cette nouvelle fantaisie n'est pas pour me déplaire car ses adorables petits petons sont
doux comme du velours.
A genoux au pied du lit je prenais plaisir à dorloter ses merveilleux petits pieds.
Pendant ce temps les amants mangeaient en se mamourant. Je suçais amoureusement les
pieds de Brigitte quand elle m'ordonna "tu peux desservir!"
Je commençais à mettre les couverts dans le lave vaisselle quand je ressenti une petite
décharge au coup (ce maudit collier).
J'entrais dans la chambre, ma femme masturbait tendrement Paul, elle avait un sourire
inquiétant. Après un long silence Paul m'ordonna "lèche mes pieds!!"
J'étais tétanisé, je ne pouvais ni faire un pas ni dire un mot. Très vite Brigitte
intervint "Cela fait 3 semaines que Paul me baise devant toi, qu'il utilise mon cul,
que j'avale son sperme. 2 choses que je t'ai toujours refusé. 3 semaines que nous te traitons
comme notre larbins. Une semaine que tu vouvoie Paul et que tu lui sert de valet de chambre.
Il lui suffit de claquer des doigts pour que tu te précipite "Monsieur désire", "Bien Monsieur"
"Mais certainement Monsieur". Maintenant Monsieur désire que tu lui lèche les pieds alors tu
dis"Je suis très honoré Monsieur" et tu t'exécute"
Bêtement je répétais "je suis très honoré Monsieur" et je m'agenouillais et lécha les grands
pieds de Paul à la plante rugueuse et l'odeur forte.
Je reprenais lentement mes esprits quand j'entendais des bruits de sucions.
Brigitte se délectais de la queue bien raide de son amant. Il était aux anges et le faisait
bruyament savoir "Briiigiittte OOOHhhhhh BRIIIIIGiiiitte tooonn cuuuuuulll Viiite"
D'un seul coup je me retrouvais à lécher le vide. Paul était déjà en train de besogner Brigitte.
Il m'ordonna "tu peux commencer à ranger mes affaires"
Pendant tout le temps que je pliais chemises et pantalons, rangeais pulls et sous-vêtements,
Paul limait Brigitte lui arrachant des cris de jouissance. C'est pendant que je descendais
la grosse valise que les 2 amants accordaient leur orgasme.
Je chargeais les bagages dans le coffre et cirais les mocassins de Paul quand il se décidèrent
à descendre.
Paul s'installa dans un fauteuil pour que je lui enfile ses chaussures et Brigitte s'assied sur
ses genoux pour lui prodiguer un baiser fougueux.
Nous allions partir quand Brigitte "Paul encore un petit coup ?"
Il redescendit de la voiture, lui releva sa nuisette et s'introduit d'un coup sec dans son anus,
elle acquiesca par un petit gloussement. Après plusieurs vas et vient les gloussements se transformèrent
en glapissements, les glapissements en couinements et les couinements en cris. Le tout se terminant par
un beuglement collectif des amants.
En moins d'une demie heure ils venaient de partager leur deuxième orgasme.
#66533
Hébé ! Il l'a enculée à sec comme ça !
Et tu y a assisté !
Ca a du te faire quelque chose, non ?

Au fait, quand je te parlais de faire le service cul nul, je pensais à quelque chose comme ça :
http://www.allthingscfnm.net/cfnm.php?u ... p?id=29296

Mais au fait, la voisine, a-t-elle fini par comprendre qui tu étais ?
#67880
Pour Fancy
Oui c'est très humiliant mais en bon soumis j'ai trouvé cela très excitant. Mon épouse m'a confirmé que son amant n'avait jamais bandé aussi raide. Je pense que son égo était démultiplié. et le mien en prenais un sacré coup.

Pour Demimolle
Il l'a enculé à sec. Oui si on veux car moins d'une heure avant il la sodomisait. Je peux même te dire qu'il la sodomisé tous les jours pendant 3 semaines. Brigitte est très anal et quand un amant lui plaît elle lui offre son cul.
Le plus choquant c'est qu'un mec vienne se vider les couilles vite fait avant de partir dans le cul de ta femme et quand plus elle y a pris du plaisir.
Charmant ton petit film.
Pour la voisine un peu de patience.
#97485
Reprenons plutôt le thème "les délicieuses humiliations..."
Jeudi soir.
Uta et moi sommes invités à une soirée, essentiellement entre bi, avec une très large majorité de mecs bi seuls.
Le coin fumeur était dans la cuisine.
Uta se fait aborder par un beau black. La pièce qui n'est pourtant pas exigüe est bondée. Tout le monde plaisante avec tout le monde. Uta est complimentée par les uns, les unes et les autres.
Uta fait partie des femmes les plus habillées présentes. Le beau black parle avec nous deux, et complimente Uta que visiblement il a envie de baiser. Un petit attroupement se forme. Notre beau black ouvre son jean et enlève son tee shirt dégageant un torse athlétique. Uta est en jupe. Il lui glisse la main sous sa jupe. "Oh mais la chérie est trempée"
Tout le monde rit, Uta aussi. Elle lui attrape le sexe. "Oh mais le chéri est monté comme un âne !"
Les quelques filles qui étaient là mais aussi les mecs bi se faisaient admiratifs. Le beau black mignon bandait et personne n'était indifférent. Uta : "Excusez moi, je vous laisse un Uto, mon mari préféré. Je vais tester seule ce chéri !"
Uta reboutonna le jean de E. qui allait être son étalon pendant l'heure qui suivait et le prenait par la main pour l'emmener dans un coin tranquille du loft.
#101816
Voici la suite

Lundi 26 juillet.

Après avoir conduit Paul à l'aéroport, j'en profitais pour faire quelques courses.
C'est donc en fin d'après-midi que j'arrivais à la villa. Tout était calme, aucun bruits.
Je déchargeais les courses. C'est en passant par le salon que j'entendis des bruits étouffés.
Je me dirigeais vers ces murmures et je fus stoppé et totalement paralysé. Brigitte
avait la tête emprisonnée entre les cuisses de notre voisine. Mon épouse léchais frénétiquement
la chatte d'Isabelle qui lui rendait le même service. Totalement stoïque; jamais je n'avait vu
ma femme se guouiner. Je ne pouvais réaliser que parmi ces deux femmes qui se broutaient
le minou il y avait Brigitte. Cependant le spectacle offert par ces deux corps de déesse
qui ondulaient au rythme de leur plaisir me charmait et me plongeait dans une douce torpeur.
Je fûts sortis de ma rêverie par mon épouse "tu n'as rien d'autre à faire". Sans rien dire
je me dirigeais vers la cuisine. Pendant que je préparais le diner les deux femmes terminèrent
leurs ébats et prirent une douche ensemble.
Ces Dames conversaient confortablement installées sous la pergola. Je leurs apportais l'apéritif
et plus j'approchais plus j'entendais la conversation.

Isabelle "tu pense bien qu'avec son Q.I de mouche ce n'est pas sa conversation qui m'attire
chez lui. Si il à un cerveau atrophier sa queue est démesurée."
Brigitte "C'est un bon coup ?"
Isabelle "Il bande à la demande. Il suffit d'effleurer sa queue pour qu'il entre en érection.
Dés que j'ai envie je lui ouvre la braguette et hop il me fait tout ce que je lui
demande et il dure le temps que j'ai envie. Quand j'en ai marre je referme la braguette."
Brigitte " en fait c'est ton sextoy"

Les deux femme se mirent à rire.
Je leur servais l'apéritif et à peine repartit j'entendis Isabelle "David vient un peu là"
Pendant que je dressais la table pour le diner j'apercevais Brigitte qui lutinais avec
gourmandise David. Les deux femmes s'amusaient une petite demie heure avec leur "sextoy"
et se décidèrent à souper. Pendant le repas comme d'habitude Brigitte et Isabelle discutaient
et rigolaient, David lui restait silencieux
Les deux femmes montèrent dans la chambre. Pendant que je desservais elles appelaient "Daviiid".
Quelques instants plus tard je reconnus les cris de jouissances de mon épouse. Deux heures durant
ces Dames gueulaient leur plaisir. Elles décidèrent de passer la nuit toutes seules car je vis
David descendre qui en me croisant me précisa "Qu'est ce qu'elle est bonne Brigitte. Elle à un cul
Ahh son cul et qu'est ce que l'on ait bien dedans".
J'étais stupéfait car je ne l'avais jamais entendu dire autant de mots.

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