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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#425045
passeur a écrit :Pour connaitre ce couple.. je ne peux simplement les contredires que sur un point !!!!! Pas du tout fantasmeur....bien réel et parfois bloqués, comme nous tous dans la réalité.

Je vous adore.
Fred


Merci Fred ! Tu me donnes ton adresse en MP pour que je t'envoie le chèque pour le com, comme convenu :lol:
#427055
Trio enflammé avec un pompier pyromane
Suite et fin

Merci pour les coms !!! Voici la suite (et fin) de la soirée avec le pompier, avec en photo une illustration de sa tenue ce soir là...

IMG 0725_Chrystel fil.jpg


Nous allons alors nous installer sur le lit de la chambre d'amis. Frédéric baise Chrystel longuement en missionnaire puis en levrette. Nous intervertissons une nouvelle fois les rôles Frédéric et moi et, au terme d'une bonne baise en levrette, j'atteins la jouissance et me répands dans le latex. Ce soir là, je n'ai pas débandé une seconde après avoir éjaculé. L'excitation provoquée par la situation devait y être pour quelque chose!!! J'ai retiré ma capote et suis allé me placer devant le visage de ma chérie, toujours à quatre pattes et cul en l'air, alors que Frédéric s'était lui équipé d'un préservatif. Il était derrière Chrystel, se masturbait lentement d'une main et malaxait les fesses de la belle de l'autre en reluquant le cul charnu qui s'offrait à lui. Fidèle à son habitude de ne s'adresser qu'à moi, il dit : « C'est vrai qu'elle a un super cul... ». Enfonçant profondément son pouce dans l'œillet de ma belle, il ajouta : « A mon tour d'en profiter! ». S'adressant à elle, pour une fois, il continua tout en la doigtant de plus en plus vigoureusement : « Je vais t'enculer, ma belle, tu veux ? ». Il ponctua sa question d'une claque sur les fesses de Chrystel et remplaça son pouce par deux doigts dans son cul, l'ouvrant ainsi délicatement. La voix haletante, elle répondit un « Oui » étouffé. Il la pénétra alors sans fioritures. Frédéric était très sportif et très endurant, de par son métier. Il la bourrait aussi fort qu'il pouvait et à un rythme soutenu. Constatant aux râlements de la belle que ceci était loin de lui déplaire, il accéléra son entreprise de démolition et lâcha, au comble de l'excitation : « Ah Léo, tu as raison, ça aurait été dommage de passer à côté de ça! Elle a un cul d'enfer ». Chrystel gémissait sous les coups de boutoirs réguliers de Frédéric, qui constata alors « Mais c'est qu'elle aime ça se faire enculer, la miss! ». Elle avait arrêté de me sucer, trop concentrée sur son plaisir venant de derrière. J'étais assis et lui avait plaqué les épaules contre le lit, de manière à ce que son cul soit offert au maximum. Elle lui répondit d'une voix rauque « Oui, c'est bon, continue! ». Il accéléra encore la cadence et lui arrachait des petits cris saccadés. Ce salop la chevauchait au galop, la tenant par les cheveux et lui administrant régulièrement des petites claques sur ses fesses charnues. Le visage de Chrystel était aussi écarlate que ses fesses et ses gémissement étaient étouffés par la présence de ma bite dans sa bouche, gonflée à bloc par le spectacle que j'avais sous les yeux. Il ralentissait parfois la cadence pour lui donner de véritables coups de boutoir qui la faisaient crier plus fort et qui avaient pour effet d'enfoncer un peu plus ma bite dans sa bouche. Elle les encaissait sans problèmes, tant son cul était ouvert. Fort de son expérience, Frédéric avait compris qu'il pouvait dorénavant y aller sans retenue et il ne se privait pas. Il était encouragé par les gémissements de Chrystel, au comble du plaisir. Nous l'avons alors prise en double : alors qu'elle chevauchait Frédéric, je la baisais dans le cul. Elle était folle de plaisir et criait tout son saoul. Frédéric lui léchait les seins à grand coups de langue et moi, je donnais le tempo de sa jouissance par derrière. Après avoir tenu cette position quelques minutes, j'ai joui une deuxième fois dans le cul de Chrystel. Je ne débandais pas sous l'effet de l'excitation, mais je laissais Frédéric et Chrystel se faire plaisir à deux. Il l'a baisée en missionnaire et joui sur ses seins. Depuis cette soirée, nous ne l'avons pas revu, mais il a parlé de Chrystel à nombre de ses collègues libertins qui sont sur les rangs...
Modifié en dernier par histoireslib le 05 avr. 2012, 14:45, modifié 2 fois.
#477734
Le bref récit d'une autre soirée, riche en émotions qui se bousculent...

****Première partie*****

Un soir en club libertin, ma femme, 27 ans à l'époque, se fit draguer de façon très directe par Jacques, un homme de 20 ans de plus que nous connaissions de vue par l’entremise de Christine, sa complice libertine de l’époque, et qui était un habitué des lieux. Il était séducteur, grivois et n'hésitait pas à la peloter de manière tonitruante... je suscitai une pause dans ce petit jeu et fis remarquer à Chrystel que Jacques était un goujat et qu'il était beaucoup plus âgé qu'elle, elle qui ne fréquente habituellement que les hommes de son âge. Elle rit et me dit qu'il était beau, marrant et très bien conservé... malgré ma réticence visible, il reprit son manège, encouragé par ma femme qui était visiblement très réceptive et par sa compagne qui n'avait d'yeux que pour moi. Il nous invita alors à prendre un verre au bar, ce que nous pûmes refuser. Nous nous perchâmes sur des tabourets, les filles installées au centre. Christine m’accaparait, tandis que moi, peu sensible à ses charmes pourtant bien réels, j'étais obnubilé par ce qui se tramait à côté de nous : Jacques, profitant de la position imposée à ma chérie par les tabourets de bar, caressait ses cuisses tout en ne cessant ses palabres à aucun instant, les yeux rivés sur elle. Très décomplexé et à mon sens très lourd, il la complimentait sur ses bas noirs et sa culotte qu'il lui demanda de dévoiler davantage, ce qu'elle fit avec une bonne humeur consternante à mes yeux en écartant ses jambes et en le laissant remonter sa déjà courte robe.

*****A suivre*****
Modifié en dernier par histoireslib le 14 oct. 2011, 10:28, modifié 2 fois.
#692129
************ deuxième partie ************
Entre deux gorgées de champagne et durant un flot continu de compliments, il lui titillait la chatte à travers le tissu, puis très directement une fois celui-ci mis de côté d'un geste agile et autoritaire. Elle était alors entièrement tournée vers lui, toujours assise sur son tabouret les jambes écartées, tournant le dos à Christine et à moi. Christine, qui avait repéré le manège de son compagnon et de sa conquête d'un soir, ne voulait pas rester à tenir la chandelle : elle entreprit de me caresser la bosse qui déformait mon pantalon, excité que j'étais par la scène jouée par les deux tourtereaux d'un soir. C'est alors que Jacques, qui avait toujours un temps d'avance, abaissa le haut de la robe de Chrystel en dessous de sa poitrine et lui malaxa les seins, ce qui finit d'attirer l'attention des autres personnes accoudées au comptoir. Les commentaires allaient bon train et les visages affichaient des sourires narquois. J'étais pétrifié par la jalousie, la gêne et l'incompréhension, lorsqu'il sortit sa bite entre deux paroles banales, prit ma femme par la nuque et l'attira vers lui pour lui susurrer quelques mots à l'oreille et lui prodiguer un long baiser à pleine bouche. Devant tout le monde et les seins à l'air, elle descendit alors de son tabouret, s'accroupit et suça avec avidité la bite encore molle mais déjà imposante de jacques. Se faisant très directif, il la guidait sur sa queue durcie et se livrait, toujours dans la bonne humeur, à des commentaires outranciers du type : « Ah elle est bonne ma queue petite cochonne, hein !? » ou encore « Oh mais c’est qu’elle suce divinement la minette ! ». Bref pas une phrase sans qu’il ne la qualifie de cochonne en s’adressant un peu à elle et beaucoup à l’assistance, sur le ton, il est vrai, de la rigolade. Personnellement, je n’appréciais pas trop son humour et en même temps, en bon candauliste que je suis, j'étais très excité par la scène d'autant plus que Chrystel, le visage empourpré, le suçait avec un ostensible plaisir, riait avec l'assistance et lui confirmait que sa queue était bonne… Je commençais à être sérieusement mal à l'aise avec Christine, qui se rendait compte du désintérêt que je manifestait à son égard.

*************A suivre***************
Modifié en dernier par histoireslib le 14 oct. 2011, 12:14, modifié 7 fois.
#800451
sam17 a écrit :
histoireslib a écrit :Un cliché de la miss pour relancer le post... à vos coms ;)

Superbes récits.
Et très jolie miss

Merci à toi, ça fait plaisir !
#804816
histoireslib a écrit :************ Suite ************
Entre deux gorgées de champagne et durant un flot continu de compliments, il lui titillait la chatte à travers le tissu, puis très directement une fois celui-ci mis de côté. Elle était alors entièrement tournée vers lui, toujours assise sur son tabouret, mais me tournant le dos et jambes écartées. Il lui baissa alors le haut de sa robe en dessous de la poitrine et lui malaxa les seins, ce qui finit d'attirer l'attention des autres personnes accoudées au comptoir, goguenardes. J'étais pétrifié par la jalousie, la gêne et l'incompréhension, lorsqu'il sortit sa bite entre deux paroles banales et prit ma femme par la nuque pour l'attirer dessus. Devant tout le monde et les seins à l'air, elle descendit de son tabouret, s'accroupit et suça avec avidité sa bite encore molle. Se faisant très directif, il la guidait sur sa queue durcie et se livrait, toujours dans la bonne humeur, à des commentaires outranciers du type : « Ah elle est bonne ma queue petite salope, hein !? » ou encore « Oh mais c’est qu’elle suce divinement la cochonne ! ». Bref pas une phrase sans qu’il ne la qualifie de salope ou de cochonne en s’adressant un peu à elle et beaucoup à l’assistance, sur le ton il est vrai de la rigolade. Personnellement, je n’appréciais pas trop son humour et en même temps, en bon candauliste que je suis, j'étais très excité par la scène. Elle, loin de mal prendre ses paroles, elle suçait, riait et lui confirmait que sa queue était bonne…

Y a t'il une suite de cette histoire ou la miss a un comportement des plus excitant???
#805423
Oui "cestpasmoi" je raconterai la suite si tu veux... comment elle n'a pas terminé la soirée avec cet homme mais avec un autre et pourquoi...
Modifié en dernier par histoireslib le 14 oct. 2011, 09:10, modifié 1 fois.

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