- 11 août 2011, 04:20
#692129
************ deuxième partie ************
Entre deux gorgées de champagne et durant un flot continu de compliments, il lui titillait la chatte à travers le tissu, puis très directement une fois celui-ci mis de côté d'un geste agile et autoritaire. Elle était alors entièrement tournée vers lui, toujours assise sur son tabouret les jambes écartées, tournant le dos à Christine et à moi. Christine, qui avait repéré le manège de son compagnon et de sa conquête d'un soir, ne voulait pas rester à tenir la chandelle : elle entreprit de me caresser la bosse qui déformait mon pantalon, excité que j'étais par la scène jouée par les deux tourtereaux d'un soir. C'est alors que Jacques, qui avait toujours un temps d'avance, abaissa le haut de la robe de Chrystel en dessous de sa poitrine et lui malaxa les seins, ce qui finit d'attirer l'attention des autres personnes accoudées au comptoir. Les commentaires allaient bon train et les visages affichaient des sourires narquois. J'étais pétrifié par la jalousie, la gêne et l'incompréhension, lorsqu'il sortit sa bite entre deux paroles banales, prit ma femme par la nuque et l'attira vers lui pour lui susurrer quelques mots à l'oreille et lui prodiguer un long baiser à pleine bouche. Devant tout le monde et les seins à l'air, elle descendit alors de son tabouret, s'accroupit et suça avec avidité la bite encore molle mais déjà imposante de jacques. Se faisant très directif, il la guidait sur sa queue durcie et se livrait, toujours dans la bonne humeur, à des commentaires outranciers du type : « Ah elle est bonne ma queue petite cochonne, hein !? » ou encore « Oh mais c’est qu’elle suce divinement la minette ! ». Bref pas une phrase sans qu’il ne la qualifie de cochonne en s’adressant un peu à elle et beaucoup à l’assistance, sur le ton, il est vrai, de la rigolade. Personnellement, je n’appréciais pas trop son humour et en même temps, en bon candauliste que je suis, j'étais très excité par la scène d'autant plus que Chrystel, le visage empourpré, le suçait avec un ostensible plaisir, riait avec l'assistance et lui confirmait que sa queue était bonne… Je commençais à être sérieusement mal à l'aise avec Christine, qui se rendait compte du désintérêt que je manifestait à son égard.
*************A suivre***************
Modifié en dernier par histoireslib le 14 oct. 2011, 12:14, modifié 7 fois.