Deuxième retour : cocu par un collègue commun du boulot - elle et moi étions dans la même boîte : j'ai un souvenir ému de la seule fois où elle a couché sans moi.
J'étais rentré passer plusieurs jours avec mes enfants dans mon appartement (nous avions un logement chacun, même si je passais le plus clair de mon temps chez ma femme) lorsqu'elle m'annonce à 23 h 30, via la messagerie instantanée, que Fred, son collègue de travail qui nous fait fantasmer depuis longtemps, va venir chez elle. Ils ont échangé divers textos en début de soirée et il lui a demandé si elle était seule. Devant sa réponse affirmative, il lui a proposé de passer la voir. Elle a accepté mais pensait qu'il ne viendrait finalement pas au moment où les textos reprennent :
- Prête ?
- Oui.
- J'arrive.
Puis, quelques minutes plus tard : "A minuit, je mets ma tête entre tes cuisses ?"
-Mmmhhh, répond-elle... Elle me tient au courant en direct de leurs échanges et l'affaire devient torride !
- Envie ?, lui envoie-t-il encore.
- Dépêche-toi est sa réponse.
Avant de se déconnecter de l'odinateur, elle m'avoue : "J'ai envie de lui prendre la bouche dès qu'il passera la porte". Puis "Inch Allah. Je t'aime".
C'est le grand jour. Elle va enfin sauter le pas et faire l'amour avec lui. Elle doit tout me raconter dans les moindres détails après.
Je suis fou d'excitation et je ne vais pas être déçu par son récit. Elle se reconnecte environ une heure plus tard.
Elle : "32 minutes pour me baiser sur la table sans éjaculer
super directif
comme une pute
00:50
j'ai l'odeur de sa bite sur la main
00:51
Olivier: aaaaaaaaaaaaaaaah
elle : me dirigeant pour me lécher la chatte, me prendre par derrière, par devant, le lécher
00:52
et je l'ai fait craquer en me caressant et en jutant
[Elle est une femme fontaine]
il disait "oh c'est bon, touche toi encore"
00:53
la table a été poussée jusqu'à la plante
[les coups de butoirs de Fred dans ma femme ont fait traverser la pièce à la table !]
00:56
Olivier: eh ben tu m'as bien fait cocu !
tu t'es donnée comme une cochonne...
tu as aimé ?
elle : oui
01:02
Olivier: mmmmmmh
moi: mais plus la situation que sa queue
Olivier: elle est pas grosse ?
moi: elle sortait souvent
pas longue
Olivier: tu l'as sucée tu m'as dit ?
01:03
elle: oui je l'ai sucé
ses couilles aussi
Olivier: oooooooh
Olivier: dis-moi que tu m'as fait cocu
elle: ah ben ça y a pas de doute
je t'ai fait cocu
Olivier: mmmmmmmh
elle: et lui te regardera aussi comme un cocu !
01:05
il a bien pris ta femme"
Ça m'excite. Qu'il pense de moi que je suis un vrai cocu et que ma femme m'a trompé avec lui comme une chienne. Le fantasme de l'humiliation, quand le cocu a envie, en plus de l'être, que ça se sache ! J'imagine bien qu'il a dû le raconter à plusieurs personnes, une aventure comme celle-là, elle se partage ! Comme m'excite l'idée que ce se soit su au boulot, que les copines de ma femme se soient dites "Olivier est cocu, sa femme s'est faite baiser par Fred, et il paraît que c'était super chaud !"
J'ai fini par quitter la boîte pour d'autres raisons et il n'y eut pas de conséquence concrète, à part mon excitation de savoir que plusieurs personnes ont sans doute su que j'étais cocu.