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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
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par Bart
#117
J'ai découvert récemment sur le blog des 400 culs de libération, l'existence d'une communauté candauliste/cuckold qui a rapidement réveillé chez moi des sensations d'excitation que je n'avais pas ressenties de longue date. En fait, je n'avais pas réalisé à quel point la position de troisième larron pouvait me correspondre.

Avant mes premiers échanges sur le sujet, l'idée de partager la femme d'un autre sous son regard n'éveillait pas grand chose chez moi. Trop possessif et dominateur je ne me sentais pas à ma place à satisfaire le plaisir de mater d'un autre homme. Et de toute façon, considérant que je ne bande vraiment que pour les femmes envers qui je ressens un certain attachement, un plan cul d'un soir ne me satisfaisait donc pas et me donnait même l'impression d'être instrumentalisé, de ne valoir que comme godemichet amélioré. Bof bof.

Puis j'ai répondu à l' annonce d'un couple. D'abord parce qu'en matière de dépravation sexuelle, je préfère considérer à posteriori l'intérêt d'un truc plutôt que d'avoir des préjugés, ensuite parce que l'annonce contenait un peu plus d'âme que les invitations à l'abattage habituelles. Martin (c'était sous ce nom qu'il s'est présenté) voulait un homme qui le fasse cocu et qui pour cela doive séduire sa femme. Il fallait l'apprivoiser petit à petit, construire une relation de confiance afin de libérer la chienne lubrique et soumise que sa femme sentait en elle et qu'il était incapable d'honorer. Elle était son épouse, de dix ans plus jeune que lui, la mère de son enfant. Il était dans l'incapacité de la baiser avec bestialité, de la traiter de chienne ou de salope ou de la gratifier de tous les mauvais (et pourtant si bon) traitements qui lui faisaient envie. De son côté, il avait la cinquantaine passée, il se sentait baisser, l'angoisse de ne plus être à la hauteur le tenaillait.

Nos discussions et la construction de notre scénario marchait fort, nous partagions une même vision des choses, il devait m'inviter à passer le week-end chez lui sous un prétexte professionnel, leur fille ne serait pas là, sa femme serait présente et lui très occupé (les bonnes règles de l'hospitalité requérant qu'elle me tienne compagnie). La première journée devait être l'occasion de faire monter l'ambiguité. De charmant au départ, je prenais quelques libertés, lui se débrouillait pour que je tombe accidentellement sur l'ordinateur de la maison sur les photos dénudées de son épouse. Le soir, lui allait se coucher tôt, elle et moi faisions connaissance au coin du feu. Puis le lendemain matin il quittait la maison tôt, elle et moi allions courir ensemble (Martin la trouvait particulièrement mignonne en joggueuse). Puis à notre retour, nous concluions l'affaire, lui se débrouillant pour rentrer au milieu de nos ébats, s'efforçant de prendre un air dégagé et ravalant sa honte et l'humiliation.

Au fur et à mesure de nos échanges je sentais poindre en moi l'envie d'intégrer la mise en scène de sa propre déchéance, de mettre en place un jeu à trois. Il ne s'agissait pas simplement de baiser sa femme offerte mais de rentrer dans un jeu de domination, une domination sexuelle avec elle et une domination symbolique, voire même physique avec lui. C'est avec un certain trouble qu'il envisageait de devoir nous servir pendant que je lutinais sa femme, d'être enfermé dans le placard de leur chambre pendant qu'elle et moi baiserions sur le lit ou encore de porter une cagoule sur la tête, attaché à me regarder lui faire la démonstration du véritable usage de sa femme ou pour finir de se faire battre par mes soins sous l'oeil amusé de sa chère et tendre. Il n'y avait pas pensé mais ces idées lui faisait un certain effet.

Mais je dus rapidement déchanter. A l'avènement de la date de réalisatoin, il avait totalement disparu de la circulation, juste au moment où je lui demandait si son épouse validait bien le scénario. Suite à quelques autres contacts et ébauche de scénario, je dus me résoudre à l'idée que son épouse n'était au courant de rien (il voulait que je la pousse à l'adultère sans qu'elle fut informée du jeu, méthode que je proscris absolument) et que toute cette excitation ressentie n'était qu'un fantasme partagé avec un homme de cinquante ans. Un peu dégoutté, j'oubliais l'affaire.

Plus tard, j'entretenais une relation difficile avec une jeune femme rencontrée sur un site spécialisé. Nos six premiers mois furent torride avec pas mal d'expériences inédites pour moi. Pendant ces 6 mois, lors de chacun des week-end que nous passions ensemble sa chatte semblait constamment trempée. Je fus selon elle le premier à lui donner réellement du plaisir en la sodomisant (tout doucement), je parvenais à enfourner presque toute ma main dans son vagin et elle m'annonça un jour qu'à son âge (un peu plus de 30 ans) et en dépit du nombre de ses amants, elle n'avait jamais laissé personne jouir dans sa bouche. Elle m'astiqua donc jusqu'à ce que je gicle sur ses lèvres et dans sa bouche. Ce ne fut pas une expérience très appréciée par elle mais j'éprouvais beaucoup de satisfaction à ce qu'elle se décide de le faire avec moi.

Pendant toute cette période, elle jouissait rarement moins de trois fois par coït, mais elle commença à vouloir normaliser notre relation : rencontre de la famille et des amis. Elle me reprocha mes élans bestiaux, mes mots crus, mes coups de reins sauvages. Elle avait parfois des accès d'agressivité que je ne tolérai pas. Elle me reprochait, en la baisant en l'appelant salope, de ne pas la respecter, ce qui était faux mais aussi de ne pas l'aimer et elle avait raison sur ce dernier point.

Elle avait entretenu avant moi une relation de domination avec un homme fou d'elle, se pliant en quatre pour la satisfaire mais inhibé au point de ne pas bander pour celle qui se touchait à l'idée d'un mâle, un étalon, voire même plusieurs. Après notre première rupture, nous reprenions contact sur une base simple, jouir l'un de l'autre sans se prendre le chou. Elle était à ce moment sur le point d'entamer une histoire avec un homme soumis et j'y étais très favorable. Je ne voyais personne d'autre qu'un soumis pour encaisser ses sautes d'humeur et pour endosser le costume de parfait conjoint à exhiber à son père et à ses amis dans lequel elle avait essayé de me faire rentrer de force.

Je lui proposais donc de nouer une relation avec ce type, d'en faire son amant de façade et de valider avec lui, et en l'y intégrant, notre relation fornicatrice débridée. Elle refusa pourtant et essaya bien rapidement de me faire tomber dans ses filets et notre histoire prit définitivement fin et avec elle une occasion de jouer le rôle de l'étalon, du corrupteur dans un couple unis.

Ma dernière expérience fut avec une femme soumise très expérimentée de 15 ans plus aĝée que moi. Formidable jouisseuse qui hurlait son plaisir (je perdais rapidement le compte de ses orgasmes) avec des jets d'urine incontrôlés. Cette femme était amoureuse de moi, sachant pourtant que la réciproque n'était pas vrai. Notre relation fut courte et elle le garda pour elle au vu de l'impossibilité de la situation. Elle m'en reparla bien plus tard au détour d'une rencontre virtuelle et j'en nourrit toujours beaucoup de regret. Dominer ne revient pas à faire du mal, bien au contraire.

Je déduis de ce parcours que la question de l'amour est centrale. Je suis aujourd'hui impliqué dans une relation plutôt sage et comme m'a dit un jour mon amie dans un éclair de lucidité : "tu me protèges, tu me respectes, tu me donnes du plaisir mais tu ne m'aimes pas." Elle a raison. Je ne crois pas à l'amour ni au couple. Je le considère comme une illusion que je n'arrive pas à trouver convaincante. Là où tout le monde voit l'harmonie, je vois une guerre larvée. On dois faire des compromis pour ne pas finir seul dit-on mais je suis mieux seul qu'accompagné. Je ne crois pas que la question soit celle de l'égoïsme ou de l'individualisme, les jeux narcissiques pervers permettent à ces tendances de s'épanouir dans un couple et je crois être plutôt empathique. C'est juste que l'amour m'étouffe.

A bien y réfléchir, je vois dans le candaulisme une honnêteté et une générosité bien supérieure à celle de la "fidélité". Le cuckold m'attire particulièrement car il satisfait mes penchants dominateurs et jouent sur les relations de pouvoir qui sont prépondérantes dans les rapports humains. Je trouve fascinant comment l'introduction d'un troisième joueur est libérateur : La femme peut exprimer plus facilement un désir cru, jouir sans entrave avec un amant envers lequel elle n'est pas socialement engagée. Elle peut jouir avec force devant son mari car celui-ci retire son plaisir de sa propre déchéance. Plus la femme prend son pied avec un autre, plus son mari prend le sien. Plus l'amant domine le mari plus il écrase le modèle inhibant, plus il prend la position d'étalon qui surclasse le fade ordinaire. Lui s'y retrouve en jouissant d'une femme comme il n'en aura jamais chez lui et le cocu trouve de la gratification à retrouver sa femme à ses côtés alors même qu'un autre la baise bien mieux que lui. En dépit de tout cela, c'est lui qu'elle aime, c'est avec lui qu'elle partage son quotidien : une preuve très intense de l'attachement de l'un à l'autre sans la frustration engendrée par le dogme du couple exclusif jusqu'à la mort.

L'introduction d'un troisième regard me semble donc libérateur. D'ailleurs, un tabouret à trois pieds n'est-il pas considéré comme autostable ? Il tient debout tout seul (contrairement à deux pieds) et il n'est jamais bancale (contrairement à quatre pieds). Serait-ce en conséquence une configuration bien plus efficace que celle du couple ?
#195
pour les amants c'est surtout le fait de pouvoir baiser et se vider les couilles "facilement" sans drague,sans restaurant,sans perte de temps etc...Tout le reste est littérature.....Si bien ,on est cocu que quand on n'est pas au courant.
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par Bart
#414
J'ai lu ton thread et ton expérience malheureuse. L'AMOUR ! Justement. Je le considère comme une escroquerie. Si j'en crois les couples autour de moi qui ont plus de dix ans d'existence, la vie de couple n'est pas tant une question de sexe (la passion passe) que de vie commune d'être à deux dans une relation de confiance, quasi fusionnelle. On ne dit pas de son conjoint que c'est sa moitié pour rien.

Personne ne sait jamais ce que l'autre a réellement dans la tête. Il peut être infidèle sans jamais le dire (j'avais approché une femme infidèle qui me parlait de relation amoureuse et de confiance mais comment voulait-elle que cela soit possible alors que le mensonge était au centre de sa vie ?) , s'ennuyer sans le laisser paraître, se tirer du jour au lendemain sans crier gare. Ca peut arriver d'autant plus brutalement que l'autre ne se soucis plus des réactions qui seront engendrées par ses comportements. Ce que je comprend de ton histoire, c'est que tu as convaincu ta femme d'entrer dans un jeu et que vous n'êtes pas d'accord sur les règles. Soit qu'elle a décidé d'appliquer les siennes sans ton accord et donc de faire plus que de te faire cocu mais de te tromper au sens large du terme.

L'essence du couple est le compromis et donc le mensonge te la manipulation. Cela peut se faire avec de bonnes intentions ou de façon parfaitement égoïste. Il n'en demeure pas moins que la relation est nue affaire de duplicité. Le taux de divorce en France pour 2001 est de 45%. Considérant qu'il est plus fort dans les grandes villes et que les ruptures sont plus fréquentes chez les couples non mariés (20%) on obtient probablement un taux de séparation bien supérieur à 1 sur 2. Considérant en plus tout ceux qui ne se séparent pas mais entretiennent des doubles (ou triples) vies, le mensonge est la règle.

Au delà de la statistiques, il y a la réalité des situations et la douleur que ça comporte. Personnellement, j'ai ce travers de regarder le processus de bout en bout. Quand je croise une personne effondré par une séparation, je n'ai rien d'autre à lui dire que c'est normal, que les gens se trahissent inévitablement. L'amour est une illusion, sans doute agréable et merveilleuse mais bon... Plus on s'y complait, plus la chute est douloureuse. Heureuse la minorité qui parvient à entretenir l'illusion jusqu'à leur mort.

Ma problématique est de trouver un équilibre entre le lien, parce qu'effectivement trombiner n'importe en passant, ça me laisse assez froid. Pour me vider les couilles, j'ai une main (en fait j'en ai deux mais une seule suffit) et une imagination fertile. C'est plus simple, plus rapide et ça marche à volonté.

Nouer des liens et s'engager émotionnellement donne bien plus de satisfaction. Mon dilemme est donc de trouver une configuration qui laisse place au plaisir, à une certaine dose de confiance sans tomber dans le jeu d'influence fétide de l'amour. J'ai un temps cherché du côté des jeux de domination et de soumission. Considérant que je décris les relations amoureuses comme des relations de pouvoir, autant s'en servir et mettre le pouvoir au centre du jeu. Cela m'a permis effectivement de vivre des moments bien plus absolu que l'amour. C'est tout l'inverse du vidage de couille dans une exceptionnelle chaudasse, car cela demande du travail, de l'écoute, de l'imagination. Comprendre le fonctionnement, trouver les cordes les plus tendues pour les faire vibrer. Avoir le pouvoir sur une femme (ou un homme sans doute), c'est au final celui de le faire jouir avec force. L'expérience m'apparaît bien plus forte et bien plus honnête à mon goût que l'amour.

Mais bon... soit je n'ai pas trouvé la bonne, soit celui-ci vient toujours se glisser dans le jeu, il revient à la charge insidieusement. Je n'ai pas envie de me battre contre lui, il n'a aucun intérêt. C'est pour cela que la configuration à trois m'attire. Et je parle bien de cuckoldisme (ou doit on dire cuckolding ?) plutôt que de candaulisme. La dimension domination fait toute la différence.
#420
je trouve que Bart à raison, ou en tout cas que son besoin de jouir de la déchéance d'un cocu en baisant a femme, rencontre le besoin de maris tels que moi, qui jouissent de leur déchéance, de leur anéantissement devant la supériorité de ces hommes supérieurs sexuellement et psychologiquement.
Fabien
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par Bart
#498
J'ai une copine mais je ne vis pas avec et n'envisage pas de la faire. Bien qu'elle connaisse mon passé de recherche erotico-dominateur, nous avons une sexualité plutôt sage. J'ai mis mes envies entre parenthèse car j'étais fatigué des fantasmeurs et fantasmeuses qui se cachent derrière des mensonges et des promesses bidons et des femmes réelles encore plus atteintes que moi (j'ai ainsi eu droit à du chantage au suicide, ce qui est une expérience assez déplaisante).

Je sais qu'elle est prête à ce que nous emménagions ensemble et à ce que nous nous reproduisions mais l'idée me répulse franchement. Je n'en ai vraiment pas envie. Elle m'apporte pourtant de bonnes choses mais je ne peux pas être moi-même avec elle et ses envies de me changer (comme bien souvent les femmes amoureuses) m'étouffe et me met en colère. Je pense régulièrement à me séparer d'elle et notre relation tient, bien plus parce que je rechigne à la blesser que parce que je désire être avec elle.
#524
Bjr justement tu parles des fantasmeurs et fantasmeuses,ils sont légions ici et ailleurs,d'ailleurs je ne sais pas si tu as lu mon post dans "bla bla etc..." " à lire absolument " Ce n'est pas pour nuire à qui que ce soit mais quand j'ai quelque chose sur le coeur j'aime m'exprimer,maintenant que c'est fait ça m'apaise,aprés libre aux "amants" de tomber dans le piége ou non.
Donc tu formes quand meme un couple,mais tu aimes explorer en solitaire les opportunités d'amants qui s'offrent à toi,un peu comme moi,comme bcp d'autres....On est pas ici par hasard.

Bonne journée
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par Bart
#626
Pas tout à fait. Je n'ai jamais trompé personne. Je suis ici parce que mes fantasmes, réflexions et découverte de la formalisation de cuckold m'ont amené à réaliser à quel point ce truc m'attire.

Je ne cherche pas à faire de rencontre et n'en chercherait pas tant que j'aurais une relation conventionnelle.

Après ça, effectivement le fond de la recherche, que j'ai mis entre parenthèse, reste l'envie de jouir et de faire jouir. Au delà du plaisir proprement dit que je peux me donner tout seul de toute façon, c'est aussi une certaine façon de nouer des relations avec autrui, l'exercice particulier et puissant de la liberté. J'en connais aucune qui me donne autant de satisfaction et me permette de me sentir aussi vivant.
#3347
Je viens de lire tes post, Bart. Ils sont très bien ecrits, ce qui en facilite la compréhension.

Tu nous livres là, Ta vision des choses et ce que tu crois être La vérité du sujet. Personnellement, je ne me retrouves pas dans ce que tu ecrit sur l'amour, la vie à deux, etc....
La vie est ainsi faite qu' il y a des couples qui s'aiment toutes leurs vies et qui restent ensembles. Des couples qui ne se supportent plus et qui finiront ensembles. Des couples qui s'aimentmais qui se sépareront. Des couples qui ne s'aiment plus et qui se separeront. Et tu trouveras même des couples qui s'aiment, qui se séparent et se remettent ensemble, deux-trois fois dans leurs vies.

Tu n'as peut-être jamais croisé, la femme qu'il te fallait. Ne desespère pas, il reste de l'espoir. Même si tu devais la trouver dans les dernières années de ta vie, cela vaudrait le coup de les vivre à fond à ses côtés.

Tu parles de mensonges au sujet de la majorité, mais que fais-tu, si ce n'est de mentir à ta compagne. Tu le dis toi même, tu restes pour ne pas la blesser.

Ne fais pas de generalités sur ce qui se passent dans l'amour et la vie à deux. Il y a tellement de critères entre chaques couples que forcement, tu ne trouveras jamais la solution.

Au plaisir de te relire. ;)
#3378
sergio a écrit :Je viens de lire tes post, Bart. Ils sont très bien ecrits, ce qui en facilite la compréhension.

Tu nous livres là, Ta vision des choses et ce que tu crois être La vérité du sujet. Personnellement, je ne me retrouves pas dans ce que tu ecrit sur l'amour, la vie à deux, etc....
La vie est ainsi faite qu' il y a des couples qui s'aiment toutes leurs vies et qui restent ensembles. Des couples qui ne se supportent plus et qui finiront ensembles. Des couples qui s'aimentmais qui se sépareront. Des couples qui ne s'aiment plus et qui se separeront. Et tu trouveras même des couples qui s'aiment, qui se séparent et se remettent ensemble, deux-trois fois dans leurs vies.

Tu n'as peut-être jamais croisé, la femme qu'il te fallait. Ne desespère pas, il reste de l'espoir. Même si tu devais la trouver dans les dernières années de ta vie, cela vaudrait le coup de les vivre à fond à ses côtés.

Tu parles de mensonges au sujet de la majorité, mais que fais-tu, si ce n'est de mentir à ta compagne. Tu le dis toi même, tu restes pour ne pas la blesser.

Ne fais pas de generalités sur ce qui se passent dans l'amour et la vie à deux. Il y a tellement de critères entre chaques couples que forcement, tu ne trouveras jamais la solution.

Au plaisir de te relire. ;)

C'est exact Sergio tellement de combinaisons possible dans les couples.....Avec bonheur et malheur
#239514
bart est-il toujours actif sur ce forum ?
Uta et moi même venons de tomber sur ce post, que nous découvrons donc, et trouvons remarquable.
Voila l'extrait qui nous plait le plus, dont Bart est l'auteur :

A bien y réfléchir, je vois dans le candaulisme une honnêteté et une générosité bien supérieure à celle de la "fidélité". Le cuckold m'attire particulièrement car il satisfait mes penchants dominateurs et jouent sur les relations de pouvoir qui sont prépondérantes dans les rapports humains. Je trouve fascinant comment l'introduction d'un troisième joueur est libérateur : La femme peut exprimer plus facilement un désir cru, jouir sans entrave avec un amant envers lequel elle n'est pas socialement engagée. Elle peut jouir avec force devant son mari car celui-ci retire son plaisir de sa propre déchéance. Plus la femme prend son pied avec un autre, plus son mari prend le sien. Plus l'amant domine le mari plus il écrase le modèle inhibant, plus il prend la position d'étalon qui surclasse le fade ordinaire. Lui s'y retrouve en jouissant d'une femme comme il n'en aura jamais chez lui et le cocu trouve de la gratification à retrouver sa femme à ses côtés alors même qu'un autre la baise bien mieux que lui. En dépit de tout cela, c'est lui qu'elle aime, c'est avec lui qu'elle partage son quotidien : une preuve très intense de l'attachement de l'un à l'autre sans la frustration engendrée par le dogme du couple exclusif jusqu'à la mort.

Voila qui est vu avec beaucoup de finesse.
Un plaisir à lire. Merci Bart
#1002286
Jolie plume Bart en effet et c’est un vrai plaisir de parcourir un texte reflétant dignement l’intelligence de son auteur.

Par définition il n’existe pas de vérité universelle en terme de rapports humains. Il y a autant de vérités que d’individus, autant de configuration possibles que de couples, de cultures ou de civilisations sur terre. Certaines peuvent nous apparaître comme rétrogrades puisqu’elles nient le plus souvent l’identité de la femme, à nous chanceux occidentaux.

Ma religion de couple détermine mes propres limites : estime et respect réciproques sont indispensables à une harmonie épanouissante pour chacun dans la durée. C’est pourquoi je considère les adeptes des relations déséquilibrées au sein du couple, dans les sens d’un effacement du mari le plus souvent, voués au naufrage, même si je sais me tromper et pouvoir être démenti par beaucoup.

Donc chacun a raison (comme en politique ?) et fournit ses arguments dans toute la bonne fois de ses convictions.
Au-delà du fantasme de Bart qui n’a pas à être discuté, à chacun ses « sales goûts » comme disait l’autre, et qui consiste à intégrer une configuration matrimoniale fondé sur des principes auxquels je suis certes hostile puisque fondés sur la dépréciation du mari en faveur de l’amant, il y a un discours qui exprime un caractère très désabusé et qui pourrait bien devenir cynique avec les années.

Je lis, et ce n’est que ma lecture, dans ce rejet de la possibilité de l’existence même de l’Amour, une grande sensibilité et un refus pathologique de la souffrance. Ce déni de l’amour serait-il un refus de souffrir ?

Y a-t-il des couples qui réussissent ?

Les premières pages des journaux people étalent chaque jour des couples stars qui affichent une poignée d’années de complicité comme s’il s’agissait d’un exploit sans précédent ou anticipent des ruptures en mentionnant la performance de leurs nombreuses années de vie commune et leur prolificité. La culture du zapping, je change dès que ce n’est plus exactement à la hauteur de mon attente, a gagné jusqu’à nos vies intimes.

Oui, la vie à deux est un parcours difficile ; oui, il est délicat de partager le quotidien d’une autre personne dans le « compagnonnage des pantoufles et des brosses à dents » (Cohen, déjà cité) ; oui, il y a des compromissions et des consensus quotidiens et je n‘appelle pas cela des mensonges. Le nombre d’années au compteur ne traduit par forcément la réussite de nos couples qui peuvent s’abimer dans une cohabitation pratique et confortable ne serait-ce que matériellement. Et oui encore, il y aura des tensions et des conflits, des heurts et des coups de gueule. L’échec d’un couple sur deux ou de deux sur trois et serais-ce quatre sur cinq ou neuf sur dix, ne peut pourtant servir d’alibi au renoncement. Tous les combats, et je ne parle pas de champs de bataille, peuvent conduire à la capitulation mais seule la victoire est espérée et motive les « combattants » car seule la victoire est belle !

Lorsque je regarde mes enfants, lorsque je les serre dans mes bras et je sais qu’il en va de même pour la très grande majorité d’entre nous, quand je les sais vivre sous le même toit que leur deux parents qui font route ensembles (depuis 20 ans), même si cette route est parfois difficile et que la tentation de prendre un chemin différent est quelque fois tentante, je suis heureux et vivant.

« les hommes ne trouvent d’honneur et de prix à vivre que s’il peuvent vouer leurs actes et leurs pensées à quelques grandes entreprises avec lesquelles ils peuvent se confondre » écrit Druon (les rois maudits)… Ne s’agit-il pas de définir la nature de cette entreprise, ne pourrait-elle pas être simplement notre histoire de couple ? Ne devrait-elle pas l’être ? Je précise que mon propos n’interdit en rien toutesles façons de le vivre ou de l’envisager, qu’elle soit dans sa dimension traditionnelle ou dans les configurations les plus atypiques.

Qui ignore que la vie n’est pas un long fleuve tranquille ? Qui ignore que souffrir fait parti de la vie comme respirer et mourir ? Aimer c’est souffrir aussi. Refuser d’aimer par peur de souffrir n’est-ce pas aussi refuser de vivre ? Quand saurais-je que je suis heureux si j’ignore le malheur ? A l’opposé je ne sais plus qui a dit qu’ « on reconnait le bonheur au bruit qu’il fait quand il s’en va … »

Prendre des risques c’est toujours être vivant, je n’apprends rien à personne et surtout pas à des candauliste, et puis on n’est jamais l’abris d’une bonne surprise…

Vous connaissez tous cette vanne du Juif qui prie Dieu de le faire gagner au loto « Dieu, faîtes que je gagne au loto, faîtes que je gagne au loto… » et Dieu de lui répondre « mais joue imbécile !!! ».

Je finirai donc sur cette interrogation Bart : est-ce vraiment en l’Amour que vous avez cessé de croire ou n’y a-t-il pas une peur panique à l’idée (inconsciente ou non) d’y récolter quelques douloureuses cicatrices ? La passion n’a pas forcément vocation à être éternelle, bien des auteurs de talent y ont consacré des ouvrages majeurs de la littérature dont « la belle du seigneur » d’Albert Cohen, mais la maturité de couple mérite au moins autant d’être vécue. Nous y vivons des expéreinces et des émitions bien différentes que seul le passage du temps dans l'amour peut autoriser.
Il suffit de vous laisser aller à aimer, ce n’est pas si difficile et si vous ne serrez pas encore la bonne peronne dans vos bras, cela pourrait bien vous arriver demain, la semaine prochaine ou l’année d’après, qui peut savoir ? A condition de laisser ouverte la porte de votre cœur. J’ajouterai que vos fantasmes supposent qu’il y ait des couples qui n’ont pas la même vision de l’amour que vous pour vous permettre d’y pénétrer dans le rôle que vous prétendez y jouer !

merci pour la qualité de votre intervention saluée, à juste raison, par tous. :) même si elle date un peu et qu'elle m'avait échapé.

Une dernière chose me revient en mémoire :

Un homme entre chez son médecin un peu agité et manifestement inquiet :
-docteur, comment dois-je faire pour vivre vieux  ?
Surpris et pensif le médecin finit par interroger son patient
-vous fumez ?
-non.
- vous buvez ?
-non.
- Vous avez des relations sexuelles avec des partenaires multiples ?
- pas davantage !
Le médecin surpris demande alors
-pourquoi voulez-vous vivre vieux alors ?
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par Bart
#1009215
Bonsoir,

J'ai découvert grâce à Madd que ce très vieux post n'est pas mort. Toutes mes excuses de n'avoir pas répondu a vos compliments et remarques très judicieuses.

Mohican voit juste en grande partie et ma vision des choses a parallèlement évolué depuis que j'ai écris ce texte. Je parviens parfois à comprendre ce que peut-être la vie de couple et ce qu'elle peut apporter. J'ai même fini par admettre que je suis en situation paradoxale, intellectuellement convaincu que l'amour est illusion dans la droite ligne de ce que j'ai décrit mais fondamentalement idéaliste.

Il m'arrive désormais de me dire que je manque quelque chose. Il n'est pourtant pas certain que la chose me soit accessible. Comme il le dit, chaque cas est différent. Je ne vais pas étaler ma vie, ni me lancer dans de la psychologie de bazar (même si je trouve ça très rigolo), mais ce qui est évident pour certain ne l'est pas pour tout le monde. Les cas simples se résolvent d'eux-mêmes.

Mes premières expériences de domination avaient été une forme de libération. M'autoriser à être un salaud et à changer radicalement les règles du jeu avaient été une façon de dépasser le paradoxe de l'époque. De façon assez inattendue, je suis devenu une bien meilleure personne après cela.

Là où je ne suis pas Mohican, c'est sur cette question de l'équilibre entre chacun. Je conçois la pratique domination et la soumission comme une forme de jeu. Le déséquilibre est temporaire et doit correspondre à un plaisir des deux. On peut d'ailleurs lire la relation de façon totalement inverse. Il m'est arrivé, en position de dominant, de beaucoup travailler à la compréhension de ce qui déclenchait le plaisir chez ma partenaire ou ma correspondante. Décortiquer le mécanisme, imaginer les mots, les gestes et les situations qui feront vibrer la bonne corde. D'une certaine façon, dominer est se mettre au service de la partie soumise. C'est comme ça que je le conçois et je pense qu'il y a autant de façon de faire que dans une relation de couple conventionnelle. L'équilibre peut également se jouer dans l'inversion alternative les rôles. Il y a bien entendu aussi des relations malsaines, comme partout.

Je rêve toujours autant d'une relation de ce type, avec parfois des hauts et des bas. Je crois que ce serait une étape très enrichissante, mais je dois être un bien mauvais candidat car tous les contacts que j'ai pu avoir avec des couples n'ont jamais débouché sur quoi que ce soit de concret.
#1009461
Bart a écrit :D'une certaine façon, dominer est se mettre au service de la partie soumise. C'est comme ça que je le conçois et je pense qu'il y a autant de façon de faire que dans une relation de couple conventionnelle.


Voilà pour le cuckold ou le candauliste, comme pour l'amant, où se situe toute la difficulté.
C'est de la qualité intellectuelle de l'amant, et pas simplement de ses qualités physiques, dont dépend le succès ou l'échec de cette relation à 3 dans laquelle le candauliste est effectivement le soumis. A mon avis, c'est de la femme dont va dépendre la nature précise de la soumission. Ou bien elle se satisfait de ce que son mari soit candauliste, où elle voudra aller plus loin et le voudra cuckold.
Uto
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par Bart
#1010235
Intellect, esprit et gratification narcissique compatible je dirai en complément.

L'intellect nécessaire pour comprendre, décortiquer et analyser.
L'esprit parce qu'il faut le fond nécessaire de violence, de rage et de colère même si ces éléments sont sous contrôle et employés comme des outils pour jouir et faire jouir plutôt que peiner à les inhiber ou se laisser aller à les faire subir à une victime.
La gratification narcissique, c'est à dire son propre moteur qui fait qu'on veut dominer plutôt que de séduire qui me semble la motivation la plus répandue.

Je ne saurai dire qui entraînera qui. J'ai rencontré des soumises volontaires et obstinées qui peuvent mener la partie dominatrice sur des terrains inconnus. D'autres passives, qui répondent au sollicitations. D'autres encore provocatrices pour défier la partie dominante et s'assurer qu'il le soit effectivement.

De nombreux couples Ds avec qui j'ai discuté m'ont dit que le plaisir du soumis ne comptait tout simplement pas, qu'il était négligeable, que la femme voulait un amant pour son propre plaisir. Je n'ai jamais su à quel point cela peut-être vrai. Peut-être est-ce une façon de tenir l'amant hors de l'intimité amoureuse du couple, sans doute n'y a-t-il dans certains couples Ds aucune notion de jeu.

C'est déjà difficile de constituer un couple qui fonctionne. Pour un trio, ça doit être encore plus délicat !
#1010267
Bart a écrit :De nombreux couples Ds avec qui j'ai discuté m'ont dit que le plaisir du soumis ne comptait tout simplement pas, qu'il était négligeable, que la femme voulait un amant pour son propre plaisir. Je n'ai jamais su à quel point cela peut-être vrai. Peut-être est-ce une façon de tenir l'amant hors de l'intimité amoureuse du couple, sans doute n'y a-t-il dans certains couples Ds aucune notion de jeu.


Effectivement, le plaisir du candauliste tout autant que celui du cuckold (la forme est différente, mais le fond est proche) ne semble pas avoir une grande importance. A chaque fois que je l'ai fait remarquer à ma femme - à froid comme "à chaud" - elle confesse bien volontiers que "au lit" son plaisir est prioritaire sur le mien, et qu'elle n'est en rien responsable de ce que je sois incapable d'en partager avec elle. En conséquence, ajoute elle, elle partage son plaisir avec qui est capable de lui en donner. De fait, elle se préoccupe très peu de mon plaisir, un peu comme s'il s'agissait de me punir, sans toutefois s'en désintéresser totalement.
Chez nous, nous parlons de partenaires pour désigner la/le/les celles et ceux dont la "fonction" n'est que sexuelle. L'amant quand bien même Uta ne souhaite pas lui conférer un rôle de mari est pour nous le "mari sexuel de fait". L'entière sexualité de notre couple tourne autour de la sexualité de l'amant. C'est ainsi qu'Uta regrette sincèrement que son amant ne soit pas bi, sans quoi il ferait très bien l'affaire pour elle pour me prendre comme elle.
Paradoxalement, plus Uta a de relations sexuelles avec son amant, plus elle s'occupe de moi, même si la façon de le faire est pour le commun des mortels humiliante. Certes, elle me demande assez régulièrement de la pénétrer dès que son amant a jouit en elle, mais outre que la simple sensation physique est extrêmement agréable, elle ne me demanderait pas de la pénétrer si son amant n'avait justement pas jouit en elle quelques secondes avant...
Je pense au contraire que l'amant est davantage impliqué dans la relation amoureuse du "trio" d'autant plus que la femme considère le plaisir du soumis négligeable...
#1014908
Je vois vraiment de l'humiliation là-dedans. Ce que je trouve toujours étonnant, c'est l'éventail des jugement sur ce qui est de l'ordre de la soumission ou pas. Je discute actuellement avec une auto-revendiquée salope qui ne se considère absolument pas soumise mais qui se dit facile, aime les mots crus, se faire prendre en levrette, sucer et prendre le sperme en bouche prend son plaisir par la sodomie alors que la pénétration vaginale la laisse froide et se faire uriner dessus et dans la bouche.

Pour d'autres (bien moins motivantes), une simple fellation, une main placée au mauvais endroit est un insupportable acte de soumission.

Ce que je lis ici est, à mon sens, de la domination et de l'humiliation pur jus. En regardant vos posts, j'ai vu cette photo où Uta fait la fontaine sous les caresses de son amant. Du coup, je me demande ce qui vous empêche vous de la caresser et de la faire jouir sans nécessairement la pénétrer. Vous pourriez tout aussi bien la pénétrer avec vos doigts ou un quelqu'un vibromasseur, j'en connais quelques une qui disent que l'ustensile est le pire concurrent de l'homme.

J'ai l'impression que vous ne pouvez pas la faire jouir, simplement parce que c'est vous. Peut-être parce que vous êtes son mari. A vous lire, j'ai l'impression que vous avez d'autant plus d'attrait pour elle qu'elle vous cocufie et vous rabaisse. Vous n'avez pas évoqué le rôle de son amant. S'adresse-t-il à vous ? Existe-t-il une relation entre vous deux, même s'il n'est pas bi ?
#1015161
Non, non cher Bart.
Le problème n'est pas que je ne fasse pas jouir Uta. Bien des façons de faire jouir existent, et souvent les plus "rudimentaires" sont les plus efficaces, à commencer par les doigts !
Uta (et j'imagine l'immense majorité des femmes) considère qu'une "vraie" relation sexuelle doit comprendre un contact sexuel, donc la rencontre de son sexe et de celui de son partenaire. Elle aime les femmes, mais de fait préfère les hommes car le contact sexuel est évidemment plus "pénétratif" que de se frotter le minou contre un autre minou. Le "bon Dieu" nous a conçu pour nous pénétrer...De fait, Uta considère que les multiples façons d'avoir du plaisir sont certes plus qu'agréables, mais qu'elles ne sont que complémentaires à la pénétration. En d'autres termes, son mari que je suis peut lui donner un plaisir complémentaire, accessoire, pendant que faute d'avoir le minimum physique requis (pour elle) elle délègue donc à d'autres l'usage de sa chatte...
Je m'entends bien avec son amant, même si la relation reste superficielle. Je pourrai être son père et nous n'avons pas les mêmes centres d'intérêts en dehors d'Uta elle même. La relation est inégalitaire à son profit. En dehors du sexe je m'impose très facilement à lui, naturellement. Dès qu'il s'agit de sexe les rôles s'inversent aussitôt. C'est lui qui prend le dessus aussitôt et s'impose à moi, naturellement. L'essentiel du temps des rencontres est consacré au sexe. De ce fait il est l'essentiel du temps en position de dominateur.
#1015800
Bart écrit :"J'ai l'impression que vous ne pouvez pas la faire jouir, simplement parce que c'est vous. Peut-être parce que vous êtes son mari. A vous lire, j'ai l'impression que vous avez d'autant plus d'attrait pour elle qu'elle vous cocufie et vous rabaisse."

Il me semble qu'il a résumé avec une remarquable économie de mots (chose dont je suis incapable) la réalité de nombreux couples qui interprètent mal leur soi-disant problèmes sexuels qui rappelons-le sont systématiquement relatif à l'homme et ses mensurations prétendument insuffisantes ! Or, réduire les qualités sexuelles d’un homme à son seul phallus est aussi insultant que de n’envisager la féminité d’une femme qu’à la seule profondeur de son bonnet de soutien-gorge.

Par ailleurs, je rappelle, au risque de me répéter une nouvelle fois, que 70 % des femmes sont incapables de jouir par le seul fait de la pénétration. Elles ont besoins d’une stimulation clitoridienne associée pour y parvenir. A moins de considérer ces femmes comme anormales ou tous leurs partenaires comme d’inénarrables maladroits, personne n’a jamais démontré que le seul orgasme digne de ce nom devait être obtenue par le seul fait d’une pénétration efficace (je verserais alors une petite larme à l’attention de toutes les malheureuses homosexuelles exclusives qui se priveraient ainsi du plaisir suprême).

Je connais la religion de notre cher Uto et d’Uta qui lit dans les dispositions anatomiques naturelles des hommes et femmes les secrets sous-entendu de la nature. Uto n’a besoin d’aucun d’entres nous pour lui expliquer comment faire jouir une femme et/ou la sienne. Sa situation est le fruit d’un long parcours jalonné d’évènements mal interprétés : depuis l’improbable frigidité d’Uta à la définition des mensurations minimales exactes nécessaires à l’orgasme vaginal d’Uta (qui par ailleurs est décrite comme disposant d’une musculature vaginale exceptionnelle donc parfaitement capable d’épouser le sexe de son mari, qu’elle ne vienne pas prétendre qu’elle ne le sent pas alors qu’elle est capable de le compresser avec force… ).

Je rejoins totalement le point de vu de Bart. Tout n’est que question de désir et de désir mutuel autrement dit. Uta n’a pas de désir pour Uto pour tout un tas de raison qui relèvent de leur histoire commune, donc elle ne parvient pas à des niveaux d’excitation suffisants pour être disposée à jouir. S’y associe un fétichisme partagé qui s’est développé sur des croyances erronées à propos des indispensables gros sexes. Mais la seule vraie problématique est relative à ce tarissement du désir d’Uta pour son mari et cette constante peut-être transposée à l’envie dans de nombreux couples qui se trompent d’adversaires. Ce n’est pas l’amant qui est exceptionnel c’est l’érosion du désir à l’intérieur du couple qui fournit sans effort à l’amant les armes de destruction massives de la sexualité au sein du couple en l’idéalisant par définition : pas victime du quotidien, de l’usure…

Ceux qui sont qualifiés de « bon coups » ou d’excellents amants ne connaissent pas moins de problèmes dans leur couple que les autres. Ils sont victimes des mêmes aléas, ne sont pas moins trompés par leur femme. Les centimètres ne portent pas en eux les garanties d’une sexualité de couple épanouie sur la durée, ça se saurait.

L’entretien du désir mutuel est sans doute ce qu’il y a de plus difficile, bien au-delà de l’entretien du sentiment amoureux, minimum requis pour atteindre le pallier suivant, celui de la sexualité.

L’assouvissement du fantasme candaulisme entretien souvent le mythe de l’amant roi en hypothéquant durablement les qualités physiques du mari soi-disant fondés sur des critères objectifs qui n’en sont physiologiquement pas (sauf particularités physique en hypo particulièrement marquées : micropénis). Il me semble que trop souvent, cette démarche conduit à la confiscation de la sexualité de couple justifiée par de faux arguments. Mais la lucidité de chacun étant singulièrement altérée par les aspects les plus visibles (orgasmes dévastateur de la femme découvrant des sensations inédites et pour causes), on se hâte d’en tirer des conclusions toutes fausses qu’elles soient mais dont la démonstration de l’aberration résiste trop bien à l’épreuve des « faits » outrageusement biaisés. Que l’amant devienne le mari et le mari l’amant, sur un coup de baguette magique, et toutes les cartes sont redistribuées en rôles opposés !
Réactiver ou entretenir le désir chez l’autre est pour moi la seule planche de salut d’une sexualité épanouie pour notre couple dans la durée. Je m’y emploie chaque jour et suis loin d’y parvenir toujours, mais y renoncer c'est risquer de tout perdre!
#1015984
Cher Mohican
comme avec Bart, en plus long :) il est toujours un plaisir (d'autant plus long) de vous lire.
Je, nous partageons totalement votre point de vue sur l'envie, l'érosion du désire, etc... mais à moiins que vous ne considériez UTA, ma femme, comme curiosité de cirque, il est une réalité que vous refusez d'admettre : des femmes sont incompatibles sexuellement avec leur conjoint.

Je vous cite "Par ailleurs, je rappelle, au risque de me répéter une nouvelle fois, que 70 % des femmes sont incapables de jouir par le seul fait de la pénétration. Elles ont besoins d’une stimulation clitoridienne associée pour y parvenir. A moins de considérer ces femmes comme anormales ou tous leurs partenaires comme d’inénarrables maladroits, personne n’a jamais démontré que le seul orgasme digne de ce nom devait être obtenue par le seul fait d’une pénétration efficace "

Et bien cher ami, deux choses, importantes.
La 1ère est que quand elles jouissent par la pénétration, les femmes préfèrent cela à la jouissance par la masturbation. Il est au passage frappant de voir comment les lesbiennes qui aiment le sexe ne répugnent pas à l'utilisation de godes, souvent ceinture. Il est de bon sens de considérer au seul examen de leurs organes génitaux respectifs que l'homme et la femme sont "faits" pour s'accoupler par la pénétration...
Si votre chiffre est exact, il est de notre point de vue - davantage de bon sens de dire que la plupart de ces 70% de femmes ne connaissent pas le plaisir SIMPLEMENT à cause d'un problème physique, d'une incompatibilité de tailles de sexes. Un pénis "trop petit" pour un vagin "trop grand". L'homme n'est pas toujours en cause, mais évidemment cela se voit immédiatement, alors qu'on ne peut voir la taille du vagin d'une femme ! Enfin, soyez logique ! Certaines femmes hurlent de douleur lorsqu'elles sont pénétrées par un homme dit "bien monté". D'autres hurlent de plaisir quand 2 hommes dits "bien montés" la prennent en "double vaginale" et si elles le pouvaient elles seraient ravies que 3 hommes leur pénètre le minou en même temps. C'est une réalité objective, et pour avoir rencontré ma femme et moi même des milliers de femmes lors de nos sorties, nous vous assurons bien que la taille a vraiment de l'importance pour bien des femmes. Si c'est 70% vous voyez que nous sommes nous-mêmes bien loin de la réalité de nos observations.

Vous avez mille fois raison. La taille n'est évidemment pas le seul critère, mais il est bien plus fondamental que vous ne voulez le reconnaître. De même, la pénétration n'est évidemment pas le seul moyen d'avoir du plaisir dont la conclusion logique mène à un orgasme.

Pour de nombreuses femmes, je suis ce qu'on appelle dans le milieu libertin un "homme aux doigts d'or". J'ai fait jouir (et j'espère que cela continuera dans le futur) beaucoup plus de femme que la moyenne des hommes, peu, normalement ou très bien montés. J'ai la prétention en moins d'une minute de savoir comment masturber une femme, et de savoir si elle a des dispositions pour devenir "fontaine".
Et oui cher Mohican... Il y a le "non orgasme" (je pense que la frigidité est une invention de l'homme), il y a 'l'orgasme" (normal, les partenaires jouissent, mais bon...), il y a le "sur-orgasme" (l'homme arrive à la minute ou dépasse la minute de plaisir, et la femme éjacule en mode "fontaine", et enfin il y a "l'extase" (rarissime, d'une intensité absolument exceptionnelle, et sans que le contact sexuel ne soit plus nécessaire pendant que cela se passe). Tout ceci fonctionne par degrés. Ma femme est orgasmique avec n'importe quel homme bien membré, capable de la pénétrer autour d'une dizaine de minutes au minimum. Même "mauvais", cet homme la fait jouir. C'est mécanique. C'est un "orgasme normal". Quand le partenaire est très bien membré, doué, et excitant ma femme a un sur-orgasme. Je suis capable de donner ce sur-orgasme à ma femme, et je ne m'en prive pas, mais il y a 2 façons de donner ce sur-orgasme. C'est avec les doigts, ou avec le sexe. Avec le sexe, c'est encore une question de taille cher Mohican. Décidément allez vous me dire !? Et bien oui. UTA, jouit ainsi avec moi. Avec mes doigts. Je sais très exactement comment faire jouir une femme, et mieux, comment la rendre fontaine. A la main, avec les doigts, c'est une simple question de technique. La seule règle : il faut que la femme que vous voulez faire jouir soit excitée, évidemment. Vous ne rendrez jamais fontaine une femme qui ne l'est pas en la masturbant "à froid". En revanche, si vous savez la masturber et qu'elle vient de jouir (et est capable de rester excitée après une jouissance, car beaucoup de femmes sont des "mauvais coups" et pas seulement les hommes, car incapables d'avoir à nouveau envie après leur première et unique jouissance d'une soirée) n'importe quel homme qui sait masturber peut rendre n'importe quelle nana fontaine...
De la taille...et bien cher Mohican, pendant que je suis obligé d'utiliser mes doigts pour faire jouir ma chérie, JJ son amant se contente d'utiliser son phallus, un pour lui donner un orgasme "normal" mais déjà d'excellente qualité puisqu'elle a aussitôt envie d'un autre orgasme. JJ met une heure pour éjaculer dans ma femme. Pendant cette heure, comme il est excellent au lit, il n'arrête pas ses va et vient et en petite moyenne (j'ai compté) il donne entre 5 et 6 orgasmes à ma femme. Ensuite, et c'est évidemment lié à l'excitation aussi, il passe au "sur-orgasme". Ma femme jouit en général une fois de plus, en même temps que lui (le rêve de tous couples) et elle devient fontaine. Parfois elle devient fontaine avant que JJ ne jouisse en elle. Et bien cher Mohican c'est une simple question de taille (en dehors de l'excitation, de pouvoir tenir une heure sans arrêter, ce qui n'est pas donné à tout le monde) !!! La raison est toute simple...quand je masturbe ma femme avec mes doigts, je sais exactement où la masturber. Je lui masturbe son "point G", le fameux point G. Ce point cher Mohican est très proche...environ 3,5 cm de la vulve. Vous allez me dire mais pourquoi n'arrivez vous pas à faire jouir votre femme si ce point n'est qu'à 3,5 cm ????????????? et bien parce que la taille qui compte n'est pas la longueur, mais le diamètre, l'épaisseur !!!!!!!! Le sexe de l'amant de ma femme est très long. On s'en fout complètement. Elle ne sent sa longueur que quand il éjacule en elle, et encore parce qu'il est un "gros éjaculateur". Ce qu'elle sent c'est son épaisseur. Son pénis frotte contre le point G de ma femme... donc elle n'arrête pas de jouir (car plus une femme baise plus elle a envie de baiser), et cela lui déclenche un tel plaisir qu'elle n'arrête plus de "juter". Sa cyprine n'arrête plus de jaillir, en jets...
Certains en sont encore à penser que les femmes fontaines n'existent pas, qu'il s'agit d'urine... Je ne puis croire que d'un revers de plume vous renonciez à l'évidence cher Mohican. La taille compte, aussi. De fait - cela me désole mais c'est compréhensible - ma femme a de moins en moins d'envies sexuelles avec moi. Elle préfère dormir avec un homme qu'elle peut solliciter presque à tout moment et qui va lui donner du plaisir.
Je suis parfaitement conscient du risque. Que voulez vous que j'y fasse ? Je n'ai pas à interdire à une femme libre comme la mienne d'avoir du plaisir avec son amant, ou avec d'autres hommes. Le ferais-je, et ne voudrait-elle pas de conflit ? Elle fera semblant, et comme bien des femmes elle aura son amant dans mon dos.
Je préfère savoir, et prendre ce plaisir curieux...de trouver du plaisir à voir un autre homme que moi en avoir avec celle que j'aime. Elle aussi trouve cela étrange. Jamais je n'aurais imaginé partager ma femme avec un autre et que cela m'excite. Jamais elle n'aurait imaginé pouvoir prendre du plaisir devant moi avec un autre, et pourtant plus le temps a passé plus elle semble en prendre à m' exhiber son plaisir. Je m'en rend compte aux vidéos que je fais de leurs ébats sexuels. Lors des dernières, si on a vu les premières, on remarque aussitôt la spontanéité avec laquelle elle s'expose à mon regard. Me montrer son minou que son amant vient d'honorer devant moi est devenu une sorte de réflexe d'auto-satisfaction...!
UTO
#1017571
Je suis loin d'avoir la même expérience que vous et ne nie pas cette question de taille, mais de l'expérience que j'en ai, les orifices, vagin ou anus n'ont pas tous la même élasticité et le vagin est un muscle qui réagit différemment d'une femme à l'autre. Dans certaines on peut glisser une main, dans d'autres, trois doigts sont une torture.

Vous avez nécessairement expérimenté comme moi, les différences de réceptivité aux caresses. Certaines apprécient les contacts directs sur le clitoris, pour d'autres il est préférable de le stimuler indirectement.

La correspondante que je mentionnais précédemment, très expérimentée pourtant, n'éprouve rien lors d'une pénétration vaginale et s'occupe elle-même de sa chatte. La partenaire avec qui j'ai perdu ma virginité jouissait pendant les préliminaires, j'ai croisé une autre qui ne jouissait qu'en s'asseyant sur le visage de son homme.

J'ai du mal à croire qu'il n'y ait pas une composante psychologique forte dans ce qui va déclencher, l'excitation puis le plaisir chez la femme (et chez l'homme aussi d'ailleurs), indépendamment de la connaissance de son propre plaisir. N'est-il pas possible qu'une femme qui aime l'idée et la vue d'un gros sexe prenne plaisir quand celui-ci le pénètre ?

La partenaire la plus expérimentée que j'ai connue était masochiste et c'était les mauvais traitements qui déclenchaient les grandes eaux et les orgasmes multiples. Ses contractions vaginales étaient tellement puissantes que la taille du sexe qui pouvait pénétrer me semblait parfaitement accessoire.

Si je vais même chercher un exemple du côté de mon propre plaisir, la sodomie m'excite beaucoup pour son côté transgressif. Très objectivement un rectum offre bien moins de friction qu'un vagin. Hormis l'anus "proprement" dit qui enserre la verge, le gland lui est un peu perdu dans une zone sans fond. Pourtant lors de mes premières expériences, j'ai bandé longtemps et jouit très fort après avoir pris l'anus de ma partenaire avec beaucoup de lenteur et de douceur alors que chez moi le plaisir est plutôt violent et contracté. Le simple fait de remplir ce trou sans fond participait beaucoup à mon plaisir.
#1018034
Poste éminemment intéressant et qui met l'accent pour ne pas dire le doigt sur un point crucial a débattre avant toute chose

l 'amour et le sexe, ou l 'amour , le sexe

notre programmation culturelle est uniquement faite sur l'amour et le sexe, passé au candaulisme revient a faire un travail considérable sur soit que ce soit pour la femme, le mari, l 'amant qui est de différencié l 'amour et le sexe

l 'amour c'est pour la maison, les enfants, la vie courante, et ma foi le sexe cela peut très bien être pour les reste, nous avons avec ma femme pas loin de 60 ans, nos relations sexuelles ont toujours été sans réussite, nous avons eu chacun de notre coté des relations extra conjugales, et beaucoup de relations triolisme, sans que jamais notre union s'en trouve altérée je crois pouvoir dire que même au contraire notre vie, notre estime pour l'un de l'autre, bref certains appelle cela l'amour s'en est trouvée renforcée, et a lire certains post il semble que nous ne soyons pas seul dans ce cas.

Le vrai amour ne serait t'il pas le désintéressement de la possession de l'autre au point de pouvoir le regardez faire l'amour avec un autre sans la moindre velléité de jalousie intérieure.

Tout ceci bien sur la plupart des gens sur ce site sont d'accord, mais ce n'est que de la théorie. et de lthéorie à la pratique il y a un très grand pas.

Les amants

pour avoir eu des relations très suivie avec nos amants qui sont en fait maintenant devenus des amis sincére, j 'ai beaucoup discuté avec eux et moi je tire mon chapeau a ces gens là.

Bien sur il y a tous ceux et nous en avons connus pas mal qui ne pensent qu' as trouver un couple assez cool pour que madame se donne sans complications et tirer leur coup dans une situation inhabituelle, ceux ci se découvre rapidement et ne font pas plus d'une soirée quand il en font une.

et puis il y a les autres les amoureux de l'amour je dirais.

faut pas croire que c'est simple pour l'amant, pendant que le couple se prépare, organise sa soirée à deux, l'amant lui est seul. Ses questions surtout pour une première soirée sont multiples, comment est madame, monsieur, est ce que ce n'est pas une arnaque (et oui de nos jours), est ce qu'on aura la même vision des choses, et le sexe est ce que cela va fonctionner, ou pas.
Même des questions purement technique, est ce que je vais en voiture avec eux , est ce que je les suis avec ma voiture, est ce qu'on vas à l 'hotel, est ce qu'on vas cher moi , cher eux, est que je reste toute la nuit avec eux, est ce que je pars quand cela semble finis, est que j 'amène un cadeau des fleurs etc, etc,

A l'expérience je dirais que l'amant normal est discret et ferme, il ne se vante pas auparavant de ses prouesses sexuelles, de la taille de son sexe, il n'étale pas sa vie affective, professionnelle, il as de l'humour et surtout de lui même. Une fois les présentation faites il est ferme, il sait ce qu'il veut, avec ces gens là vous sentez que dés que vous les avez rencontrés cela ne peut finir qu'au lit, leur but est la concrétisations et la réponse à toute leur questions.

Dans l 'action ils commencent toujours timidement, pas petit gestes, petites bises, ils ne sont pas du genre a se mettre sur le canapé sorti leur zob et dire suce moi salope.

ils sont très attentifs à l'évolution de madame et au mari. je me rappelle notre premier amant en trio, qui pour la première pénétration de ma femme en levrette, ma fais signe de venir voir sa queue qui rentrait doucement dans son sexe, il la pénétrait petit petit et du regard me demandait s'il pouvait aller plus loin, j 'avais trouvé cette attention extrêmement touchante.

Et puis quand les choses sont bien lancée, l' amant est un fou, un taureau, un étalon, il se donne de toutes ses forces, madame est un orchestre, il le chef d'orchestre, a lui de sortir les meilleures notes et le plus beau des concerts. et parce que les choses sont dissociées on est là pour le sexe, les trois sont en harmonie sur ce sujet et d'accord pour donner le meilleur d'eux même , la soirée ne peut être qu'une réussite, et je souhaite à toutes les femmes d'avoir au moins une fois dans leur vie 2 hommes complices dans leur lit.

Merci aux amants...

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