- 08 sept. 2009, 02:58
#117
J'ai découvert récemment sur le blog des 400 culs de libération, l'existence d'une communauté candauliste/cuckold qui a rapidement réveillé chez moi des sensations d'excitation que je n'avais pas ressenties de longue date. En fait, je n'avais pas réalisé à quel point la position de troisième larron pouvait me correspondre.
Avant mes premiers échanges sur le sujet, l'idée de partager la femme d'un autre sous son regard n'éveillait pas grand chose chez moi. Trop possessif et dominateur je ne me sentais pas à ma place à satisfaire le plaisir de mater d'un autre homme. Et de toute façon, considérant que je ne bande vraiment que pour les femmes envers qui je ressens un certain attachement, un plan cul d'un soir ne me satisfaisait donc pas et me donnait même l'impression d'être instrumentalisé, de ne valoir que comme godemichet amélioré. Bof bof.
Puis j'ai répondu à l' annonce d'un couple. D'abord parce qu'en matière de dépravation sexuelle, je préfère considérer à posteriori l'intérêt d'un truc plutôt que d'avoir des préjugés, ensuite parce que l'annonce contenait un peu plus d'âme que les invitations à l'abattage habituelles. Martin (c'était sous ce nom qu'il s'est présenté) voulait un homme qui le fasse cocu et qui pour cela doive séduire sa femme. Il fallait l'apprivoiser petit à petit, construire une relation de confiance afin de libérer la chienne lubrique et soumise que sa femme sentait en elle et qu'il était incapable d'honorer. Elle était son épouse, de dix ans plus jeune que lui, la mère de son enfant. Il était dans l'incapacité de la baiser avec bestialité, de la traiter de chienne ou de salope ou de la gratifier de tous les mauvais (et pourtant si bon) traitements qui lui faisaient envie. De son côté, il avait la cinquantaine passée, il se sentait baisser, l'angoisse de ne plus être à la hauteur le tenaillait.
Nos discussions et la construction de notre scénario marchait fort, nous partagions une même vision des choses, il devait m'inviter à passer le week-end chez lui sous un prétexte professionnel, leur fille ne serait pas là, sa femme serait présente et lui très occupé (les bonnes règles de l'hospitalité requérant qu'elle me tienne compagnie). La première journée devait être l'occasion de faire monter l'ambiguité. De charmant au départ, je prenais quelques libertés, lui se débrouillait pour que je tombe accidentellement sur l'ordinateur de la maison sur les photos dénudées de son épouse. Le soir, lui allait se coucher tôt, elle et moi faisions connaissance au coin du feu. Puis le lendemain matin il quittait la maison tôt, elle et moi allions courir ensemble (Martin la trouvait particulièrement mignonne en joggueuse). Puis à notre retour, nous concluions l'affaire, lui se débrouillant pour rentrer au milieu de nos ébats, s'efforçant de prendre un air dégagé et ravalant sa honte et l'humiliation.
Au fur et à mesure de nos échanges je sentais poindre en moi l'envie d'intégrer la mise en scène de sa propre déchéance, de mettre en place un jeu à trois. Il ne s'agissait pas simplement de baiser sa femme offerte mais de rentrer dans un jeu de domination, une domination sexuelle avec elle et une domination symbolique, voire même physique avec lui. C'est avec un certain trouble qu'il envisageait de devoir nous servir pendant que je lutinais sa femme, d'être enfermé dans le placard de leur chambre pendant qu'elle et moi baiserions sur le lit ou encore de porter une cagoule sur la tête, attaché à me regarder lui faire la démonstration du véritable usage de sa femme ou pour finir de se faire battre par mes soins sous l'oeil amusé de sa chère et tendre. Il n'y avait pas pensé mais ces idées lui faisait un certain effet.
Mais je dus rapidement déchanter. A l'avènement de la date de réalisatoin, il avait totalement disparu de la circulation, juste au moment où je lui demandait si son épouse validait bien le scénario. Suite à quelques autres contacts et ébauche de scénario, je dus me résoudre à l'idée que son épouse n'était au courant de rien (il voulait que je la pousse à l'adultère sans qu'elle fut informée du jeu, méthode que je proscris absolument) et que toute cette excitation ressentie n'était qu'un fantasme partagé avec un homme de cinquante ans. Un peu dégoutté, j'oubliais l'affaire.
Plus tard, j'entretenais une relation difficile avec une jeune femme rencontrée sur un site spécialisé. Nos six premiers mois furent torride avec pas mal d'expériences inédites pour moi. Pendant ces 6 mois, lors de chacun des week-end que nous passions ensemble sa chatte semblait constamment trempée. Je fus selon elle le premier à lui donner réellement du plaisir en la sodomisant (tout doucement), je parvenais à enfourner presque toute ma main dans son vagin et elle m'annonça un jour qu'à son âge (un peu plus de 30 ans) et en dépit du nombre de ses amants, elle n'avait jamais laissé personne jouir dans sa bouche. Elle m'astiqua donc jusqu'à ce que je gicle sur ses lèvres et dans sa bouche. Ce ne fut pas une expérience très appréciée par elle mais j'éprouvais beaucoup de satisfaction à ce qu'elle se décide de le faire avec moi.
Pendant toute cette période, elle jouissait rarement moins de trois fois par coït, mais elle commença à vouloir normaliser notre relation : rencontre de la famille et des amis. Elle me reprocha mes élans bestiaux, mes mots crus, mes coups de reins sauvages. Elle avait parfois des accès d'agressivité que je ne tolérai pas. Elle me reprochait, en la baisant en l'appelant salope, de ne pas la respecter, ce qui était faux mais aussi de ne pas l'aimer et elle avait raison sur ce dernier point.
Elle avait entretenu avant moi une relation de domination avec un homme fou d'elle, se pliant en quatre pour la satisfaire mais inhibé au point de ne pas bander pour celle qui se touchait à l'idée d'un mâle, un étalon, voire même plusieurs. Après notre première rupture, nous reprenions contact sur une base simple, jouir l'un de l'autre sans se prendre le chou. Elle était à ce moment sur le point d'entamer une histoire avec un homme soumis et j'y étais très favorable. Je ne voyais personne d'autre qu'un soumis pour encaisser ses sautes d'humeur et pour endosser le costume de parfait conjoint à exhiber à son père et à ses amis dans lequel elle avait essayé de me faire rentrer de force.
Je lui proposais donc de nouer une relation avec ce type, d'en faire son amant de façade et de valider avec lui, et en l'y intégrant, notre relation fornicatrice débridée. Elle refusa pourtant et essaya bien rapidement de me faire tomber dans ses filets et notre histoire prit définitivement fin et avec elle une occasion de jouer le rôle de l'étalon, du corrupteur dans un couple unis.
Ma dernière expérience fut avec une femme soumise très expérimentée de 15 ans plus aĝée que moi. Formidable jouisseuse qui hurlait son plaisir (je perdais rapidement le compte de ses orgasmes) avec des jets d'urine incontrôlés. Cette femme était amoureuse de moi, sachant pourtant que la réciproque n'était pas vrai. Notre relation fut courte et elle le garda pour elle au vu de l'impossibilité de la situation. Elle m'en reparla bien plus tard au détour d'une rencontre virtuelle et j'en nourrit toujours beaucoup de regret. Dominer ne revient pas à faire du mal, bien au contraire.
Je déduis de ce parcours que la question de l'amour est centrale. Je suis aujourd'hui impliqué dans une relation plutôt sage et comme m'a dit un jour mon amie dans un éclair de lucidité : "tu me protèges, tu me respectes, tu me donnes du plaisir mais tu ne m'aimes pas." Elle a raison. Je ne crois pas à l'amour ni au couple. Je le considère comme une illusion que je n'arrive pas à trouver convaincante. Là où tout le monde voit l'harmonie, je vois une guerre larvée. On dois faire des compromis pour ne pas finir seul dit-on mais je suis mieux seul qu'accompagné. Je ne crois pas que la question soit celle de l'égoïsme ou de l'individualisme, les jeux narcissiques pervers permettent à ces tendances de s'épanouir dans un couple et je crois être plutôt empathique. C'est juste que l'amour m'étouffe.
A bien y réfléchir, je vois dans le candaulisme une honnêteté et une générosité bien supérieure à celle de la "fidélité". Le cuckold m'attire particulièrement car il satisfait mes penchants dominateurs et jouent sur les relations de pouvoir qui sont prépondérantes dans les rapports humains. Je trouve fascinant comment l'introduction d'un troisième joueur est libérateur : La femme peut exprimer plus facilement un désir cru, jouir sans entrave avec un amant envers lequel elle n'est pas socialement engagée. Elle peut jouir avec force devant son mari car celui-ci retire son plaisir de sa propre déchéance. Plus la femme prend son pied avec un autre, plus son mari prend le sien. Plus l'amant domine le mari plus il écrase le modèle inhibant, plus il prend la position d'étalon qui surclasse le fade ordinaire. Lui s'y retrouve en jouissant d'une femme comme il n'en aura jamais chez lui et le cocu trouve de la gratification à retrouver sa femme à ses côtés alors même qu'un autre la baise bien mieux que lui. En dépit de tout cela, c'est lui qu'elle aime, c'est avec lui qu'elle partage son quotidien : une preuve très intense de l'attachement de l'un à l'autre sans la frustration engendrée par le dogme du couple exclusif jusqu'à la mort.
L'introduction d'un troisième regard me semble donc libérateur. D'ailleurs, un tabouret à trois pieds n'est-il pas considéré comme autostable ? Il tient debout tout seul (contrairement à deux pieds) et il n'est jamais bancale (contrairement à quatre pieds). Serait-ce en conséquence une configuration bien plus efficace que celle du couple ?
Avant mes premiers échanges sur le sujet, l'idée de partager la femme d'un autre sous son regard n'éveillait pas grand chose chez moi. Trop possessif et dominateur je ne me sentais pas à ma place à satisfaire le plaisir de mater d'un autre homme. Et de toute façon, considérant que je ne bande vraiment que pour les femmes envers qui je ressens un certain attachement, un plan cul d'un soir ne me satisfaisait donc pas et me donnait même l'impression d'être instrumentalisé, de ne valoir que comme godemichet amélioré. Bof bof.
Puis j'ai répondu à l' annonce d'un couple. D'abord parce qu'en matière de dépravation sexuelle, je préfère considérer à posteriori l'intérêt d'un truc plutôt que d'avoir des préjugés, ensuite parce que l'annonce contenait un peu plus d'âme que les invitations à l'abattage habituelles. Martin (c'était sous ce nom qu'il s'est présenté) voulait un homme qui le fasse cocu et qui pour cela doive séduire sa femme. Il fallait l'apprivoiser petit à petit, construire une relation de confiance afin de libérer la chienne lubrique et soumise que sa femme sentait en elle et qu'il était incapable d'honorer. Elle était son épouse, de dix ans plus jeune que lui, la mère de son enfant. Il était dans l'incapacité de la baiser avec bestialité, de la traiter de chienne ou de salope ou de la gratifier de tous les mauvais (et pourtant si bon) traitements qui lui faisaient envie. De son côté, il avait la cinquantaine passée, il se sentait baisser, l'angoisse de ne plus être à la hauteur le tenaillait.
Nos discussions et la construction de notre scénario marchait fort, nous partagions une même vision des choses, il devait m'inviter à passer le week-end chez lui sous un prétexte professionnel, leur fille ne serait pas là, sa femme serait présente et lui très occupé (les bonnes règles de l'hospitalité requérant qu'elle me tienne compagnie). La première journée devait être l'occasion de faire monter l'ambiguité. De charmant au départ, je prenais quelques libertés, lui se débrouillait pour que je tombe accidentellement sur l'ordinateur de la maison sur les photos dénudées de son épouse. Le soir, lui allait se coucher tôt, elle et moi faisions connaissance au coin du feu. Puis le lendemain matin il quittait la maison tôt, elle et moi allions courir ensemble (Martin la trouvait particulièrement mignonne en joggueuse). Puis à notre retour, nous concluions l'affaire, lui se débrouillant pour rentrer au milieu de nos ébats, s'efforçant de prendre un air dégagé et ravalant sa honte et l'humiliation.
Au fur et à mesure de nos échanges je sentais poindre en moi l'envie d'intégrer la mise en scène de sa propre déchéance, de mettre en place un jeu à trois. Il ne s'agissait pas simplement de baiser sa femme offerte mais de rentrer dans un jeu de domination, une domination sexuelle avec elle et une domination symbolique, voire même physique avec lui. C'est avec un certain trouble qu'il envisageait de devoir nous servir pendant que je lutinais sa femme, d'être enfermé dans le placard de leur chambre pendant qu'elle et moi baiserions sur le lit ou encore de porter une cagoule sur la tête, attaché à me regarder lui faire la démonstration du véritable usage de sa femme ou pour finir de se faire battre par mes soins sous l'oeil amusé de sa chère et tendre. Il n'y avait pas pensé mais ces idées lui faisait un certain effet.
Mais je dus rapidement déchanter. A l'avènement de la date de réalisatoin, il avait totalement disparu de la circulation, juste au moment où je lui demandait si son épouse validait bien le scénario. Suite à quelques autres contacts et ébauche de scénario, je dus me résoudre à l'idée que son épouse n'était au courant de rien (il voulait que je la pousse à l'adultère sans qu'elle fut informée du jeu, méthode que je proscris absolument) et que toute cette excitation ressentie n'était qu'un fantasme partagé avec un homme de cinquante ans. Un peu dégoutté, j'oubliais l'affaire.
Plus tard, j'entretenais une relation difficile avec une jeune femme rencontrée sur un site spécialisé. Nos six premiers mois furent torride avec pas mal d'expériences inédites pour moi. Pendant ces 6 mois, lors de chacun des week-end que nous passions ensemble sa chatte semblait constamment trempée. Je fus selon elle le premier à lui donner réellement du plaisir en la sodomisant (tout doucement), je parvenais à enfourner presque toute ma main dans son vagin et elle m'annonça un jour qu'à son âge (un peu plus de 30 ans) et en dépit du nombre de ses amants, elle n'avait jamais laissé personne jouir dans sa bouche. Elle m'astiqua donc jusqu'à ce que je gicle sur ses lèvres et dans sa bouche. Ce ne fut pas une expérience très appréciée par elle mais j'éprouvais beaucoup de satisfaction à ce qu'elle se décide de le faire avec moi.
Pendant toute cette période, elle jouissait rarement moins de trois fois par coït, mais elle commença à vouloir normaliser notre relation : rencontre de la famille et des amis. Elle me reprocha mes élans bestiaux, mes mots crus, mes coups de reins sauvages. Elle avait parfois des accès d'agressivité que je ne tolérai pas. Elle me reprochait, en la baisant en l'appelant salope, de ne pas la respecter, ce qui était faux mais aussi de ne pas l'aimer et elle avait raison sur ce dernier point.
Elle avait entretenu avant moi une relation de domination avec un homme fou d'elle, se pliant en quatre pour la satisfaire mais inhibé au point de ne pas bander pour celle qui se touchait à l'idée d'un mâle, un étalon, voire même plusieurs. Après notre première rupture, nous reprenions contact sur une base simple, jouir l'un de l'autre sans se prendre le chou. Elle était à ce moment sur le point d'entamer une histoire avec un homme soumis et j'y étais très favorable. Je ne voyais personne d'autre qu'un soumis pour encaisser ses sautes d'humeur et pour endosser le costume de parfait conjoint à exhiber à son père et à ses amis dans lequel elle avait essayé de me faire rentrer de force.
Je lui proposais donc de nouer une relation avec ce type, d'en faire son amant de façade et de valider avec lui, et en l'y intégrant, notre relation fornicatrice débridée. Elle refusa pourtant et essaya bien rapidement de me faire tomber dans ses filets et notre histoire prit définitivement fin et avec elle une occasion de jouer le rôle de l'étalon, du corrupteur dans un couple unis.
Ma dernière expérience fut avec une femme soumise très expérimentée de 15 ans plus aĝée que moi. Formidable jouisseuse qui hurlait son plaisir (je perdais rapidement le compte de ses orgasmes) avec des jets d'urine incontrôlés. Cette femme était amoureuse de moi, sachant pourtant que la réciproque n'était pas vrai. Notre relation fut courte et elle le garda pour elle au vu de l'impossibilité de la situation. Elle m'en reparla bien plus tard au détour d'une rencontre virtuelle et j'en nourrit toujours beaucoup de regret. Dominer ne revient pas à faire du mal, bien au contraire.
Je déduis de ce parcours que la question de l'amour est centrale. Je suis aujourd'hui impliqué dans une relation plutôt sage et comme m'a dit un jour mon amie dans un éclair de lucidité : "tu me protèges, tu me respectes, tu me donnes du plaisir mais tu ne m'aimes pas." Elle a raison. Je ne crois pas à l'amour ni au couple. Je le considère comme une illusion que je n'arrive pas à trouver convaincante. Là où tout le monde voit l'harmonie, je vois une guerre larvée. On dois faire des compromis pour ne pas finir seul dit-on mais je suis mieux seul qu'accompagné. Je ne crois pas que la question soit celle de l'égoïsme ou de l'individualisme, les jeux narcissiques pervers permettent à ces tendances de s'épanouir dans un couple et je crois être plutôt empathique. C'est juste que l'amour m'étouffe.
A bien y réfléchir, je vois dans le candaulisme une honnêteté et une générosité bien supérieure à celle de la "fidélité". Le cuckold m'attire particulièrement car il satisfait mes penchants dominateurs et jouent sur les relations de pouvoir qui sont prépondérantes dans les rapports humains. Je trouve fascinant comment l'introduction d'un troisième joueur est libérateur : La femme peut exprimer plus facilement un désir cru, jouir sans entrave avec un amant envers lequel elle n'est pas socialement engagée. Elle peut jouir avec force devant son mari car celui-ci retire son plaisir de sa propre déchéance. Plus la femme prend son pied avec un autre, plus son mari prend le sien. Plus l'amant domine le mari plus il écrase le modèle inhibant, plus il prend la position d'étalon qui surclasse le fade ordinaire. Lui s'y retrouve en jouissant d'une femme comme il n'en aura jamais chez lui et le cocu trouve de la gratification à retrouver sa femme à ses côtés alors même qu'un autre la baise bien mieux que lui. En dépit de tout cela, c'est lui qu'elle aime, c'est avec lui qu'elle partage son quotidien : une preuve très intense de l'attachement de l'un à l'autre sans la frustration engendrée par le dogme du couple exclusif jusqu'à la mort.
L'introduction d'un troisième regard me semble donc libérateur. D'ailleurs, un tabouret à trois pieds n'est-il pas considéré comme autostable ? Il tient debout tout seul (contrairement à deux pieds) et il n'est jamais bancale (contrairement à quatre pieds). Serait-ce en conséquence une configuration bien plus efficace que celle du couple ?