En fait, moi, je ne suis pas comme ta femme, je n'aime pas être "limée" pendant des heures, comme si un marteau-piqueur me defonçait...

Mais il y a quelques années, j'ai rencontré un homme avec qui j'ai vécu une superbe aventure. il en a été aussi surpris que moi. C'était dans ma chère forêt amazonienne, et nous avions juste fait connaissance dans un campement de foret. Très vite, nous nous sommes plus, et avons décidés de passer à l'acte. Nous avons trouvé une petite crique (une rivière ici) qui se jetait dans le fleuve. D'autres avant nous y avaient aménagé une sorte de bassin, avec des grosse pierres. Ainsi, on avait une sorte de piscine naturelle, avec l'eau courante.
N'étant pas venus en foret pour baiser, nous n'avions pas de protections. Malgré tout (à ne pas faire bien sur!!!!) nous avons décidé de nous en passer...
Très vite, allongé sur une pierre, avec l'eau tiède qui coulait sur moi, il m'a léchée, dévorée. C'était divin, et j'ai joui très vite. Toujours allongée, il est venu au-dessus de moi, et a pointé se queue dans ma gorge renversée. Il m'a ainsi quasiment baisé la bouche, mais tout en douceur. Dans cette positon, j'ai même réussi à l'avaler en entier ! Il n'était pas très long ni gros, juste comme il faut pour ça !
Après cette "mise en bouche", sans mauvais jeu de mot, nous nous sommes immergés, il s’est assis, et je me suis empalée sur lui. Et là, pendant deux heures non-stop, on a baisé comme des fous. Il m’a pilonné à fond, dans toutes les positions possibles grâce à l’eau. Je garde un souvenir ému, d’une sorte de brouette. Je me suis mise en appui sur les mains, sur un rocher, l’eau étant à ma taille. Il m’a attrapé les jambes pour me soulever, et ainsi me pénétrer. Moi, je les ai croisées derrière les siennes. Ainsi crochetées à lui, il m’a limée un long moment, sans fatigue grâce à la portance de l’eau.
Nous avons aussi expérimente une sorte de « pont ». Il s’est mis en appui sur ses mains au fond du bassin, et sur ses pieds, formant un pont. Sa bite dressée vers le ciel était incroyablement belle et attirante. Je regrette de ne pas avoir eu d’appareil photo ! En plus, la une nous éclairait comme ne plein jour. C’était extra ordinaire, au sens propre « hors de l’ordinaire ».
Je me suis mise à califourchon sur ce joli pieu dardé. La pénétration était incroyablement profonde. C’est une position totalement irréalisable pour des non sportifs endurants sur la terre ferme ! Mais dans l’eau… un pur délice.
Il a joui trois fois, sans jamais débander ensuite. Lui-même n’y comprenait rien, ce ne lui était jamais arrivé avant. Et à moi non plus d’ailleurs.
Il a beaucoup hurlé, comme il ne l’avait jamais fait ; il m’a dit après que ca l’avait aidé à libérer ses tensions au moment de jouir. Il se sentait ainsi plus libre de gérer son érection et sa jouissance. Je peux le comprendre, car depuis que je crie vraiment avant et quand je jouis, mes orgasmes sont plus intenses, plus « prenants ». Ils me tordent réellement le ventre, et la sensation est géniale.
Nous avons arrêté quand nous avons pris conscience que la lune disparaissait derrière les arbres, et que nous avions donc passé un temps incroyable à faire l’amour. En rentrant, nous avons constaté que cela faisait plus de deux heures. Deux heurs non-stop, à nous exciter, baiser, jouir sans aucune retenue, et sans que jamais il ne débande, même après avoir joui trois fois. Il n’a débandé qu’une fois couché dans son hamac, loin de moi.
Nous en avons bien sur discuté le matin, et nous en avons conclu que c’était l’endroit, le lieu hors du temps, hors de tout le monde moderne. Nous étions vraiment seuls au monde, et totalement libres.
Je ne l’ai jamais revu.
C’était que les années en arrière, et ca ne s’est jamais reproduit. Seul un de mes jeunes amants, qui a 22 ans, arrive jouir sans débander. En fait, il jouit une première fois très vite, moins d’une minute en moi. Il reste en érection, et là, il peut rester plus ou moins une heure. Sans doute le privilège de l’âge !
Sophie, Marquise de R.
http://sophie973.erog.fr