- 13 nov. 2011, 01:14
#846588
Val est une femme de la quarantaine fine,désirable ,la femme sur laquel nous nous retournons dans la rue ,une grande classe ,de jolies formes ,un sourire permanent, 1,72m pour 54 kg un jolie 90 B au pointes élégaments tendues quand ma douce est excitée...Une toison inexistante, des lévres fines est rosées d'un parfum de grande classe .
Je suppose qu'elle devait en rêver depuis longtemps, comme beaucoup de femmes sans doute. Mais elle n’aborda jamais elle-même le sujet. C’est moi qui, par petites touches, ai commencé à l’évoquer. Voir ma femme entre d’autres mains. Assister à la scène. Y participer ? Quelle étrange idée pour un homme normalement (raisonnablement) jaloux, d’envisager de voir un autre s’occuper de sa compagne. Qu’est-ce que je cherchais au juste, ce n’était d’abord pas très clair : son plaisir uniquement ? Pour moi, une satisfaction visuelle, esthétique ? Une souffrance masochiste à m’infliger ? Des vitamines pour notre couple ? Oui, c’était quelque chose comme ça : l’envie de narguer la « monotonie » et puis de montrer à Val jusqu’où je pouvais aller pour elle, un moyen de renforcer notre complicité. Je sentais aussi que la voir prendre du plaisir avec un autre me la rendrait encore plus désirable.
Rencontrer un autre couple était une possibilité, mais à ce moment-là, c’était un homme que je voulais pour Val. Je voulais faire d’elle une sorte de reine, concentrer toutes les attentions sur elle.
Les risques existaient bien sûr :
— si cet homme lui donnait plus de plaisir que moi…, il faudrait mettre cela sur le compte du contexte, sans en tirer de conclusions personnelles.
— si le fait de la voir faire l’amour avec un autre me complexait sur ma façon de le faire.
— si ensuite cette relation devenait trop envahissante dans la tête de Val….
De toutes façons, lorsque l’on vit en couple, on prend toujours des risques. Alors je préférais prendre celui là…
Restait à déterminer le scénario idéal :
Il arrive, je les laisse seuls et reviens une heure après ? Situation intéressante pour montrer à Val combien j’ai confiance en elle et en nous ; situation certainement plus facile à vivre pour elle : se donner pleinement sans avoir à gérer ma présence. Oui, mais moi, je veux profiter du spectacle et je ne détesterais pas participer à la fête. Les combinaisons à trois se bousculent dans ma tête : Val comblée par deux hommes ! Quand je la questionne sur les situations qu’elle envisage, je n’obtiens d’abord aucune réponse concrète. Du moins ce que j’appelle concret. Les femmes ne fantasment pas comme nous, elles sont plus dans les ambiances… Tout de même, quelques jours après que nous ayons évoqué clairement le projet, elle admet l’éventuel intérêt d’avoir deux sexes à sa disposition.
Ensuite, il faut trouver quelqu’un. Quelqu’un ? Ce n’est vraiment pas le plus dur. Une annonce bien tournée sur un site Internet coquin, agrémentée de photographies suggestives, pas trop pour ne pas rameuter tous les vieux cochons en quête de chair fraîche.
Malgré ces précautions, beaucoup de réponses arrivent. Nous avons décidé que je ferais le premier tri, avant le choix final. J’élimine les mecs qui répondent de l’autre bout de la France, ceux qui ne parlent que de cul, ceux dont les photos ne montrent qu’une bite, même si certaines sont expressives… Val élimine les réponses pleines de fautes d’orthographe ou au style maladroit. Elle dit que c’est révélateur… (Vraiment, les femmes ne fantasment pas comme nous).
Une dizaine d’échanges sur le Net font peu à peu ressortir la personnalité de Yan(nous le nomerons comme celà). Il est marié, a des enfants, veut de la discrétion, ce qui me rassure sur ses intentions. Il ne me piquera pas Val et en plus ,sécurité sur l'hygiène…
Il semble faire des tas de choses intéressantes dans la vie, ce qui plaît à ma compagne … et il propose des massages. Voilà qui est intéressant car elle est fan, cela nous permet d’envisager la relation avec prudence d’abord : un massage, même érotique, peut être une finalité.
Notre première rencontre se passe dans un restaurant, un midi. Il parle beaucoup. Beaucoup de lui, de sa vie, mais l’essentiel n’est pas là : il plaît visiblement à ma muse, ce qu’elle me confirme lorsque nous le quittons. Nous lui fixons un deuxième rendez-vous, chez nous cette fois et le soir. La question que cela se déroule dans notre univers domestique ne nous préoccupe pas plus que cela. Et puis Val se sentira plus en confiance.
Dessous noirs en dentelle ,string et soutien gorge ouvert de chez Lola, jupe et haut légèrement transparents… elle se fait belle, féminine, mais pas trop sexy : il ne s’agit pas de se jeter toute crue dans la gueule du loup dès qu’il aura passé la porte. elle me dit que ce qu’elle préfère par-dessus tout, c’est l’avant. Lorsque le désir et la sensualité s’épanouissent lentement dans les regards, les gestes, les mots.
Malgré tous, marque de son excitation ses pointes son largement dessinées sous son chemisiers ,je ne lui signale pas,celà me plait.
A son arrivée, nous offrons à Yan un apéritif et nous commençons à bavarder pour oublier notre gêne. Au moment de trinquer, là Val a un acte manqué : elle oublie de trinquer avec moi. Notre complicitée nous fait rire de cette situation.
Elle est à mes côtés et Yan nous faisons face,j'observe ma muse discrétement écartant ses cuisses ,jouant à la provocation,lui devinant ses dessous.
Ma douce s’est montrée très fébrile, voire anxieuse, juste avant l’arrivée de Yan. Pourtant, elle est rapidement l’instigatrice du début de l’intimité en annonçant qu’elle est prête et a très envie de recevoir un massage. il propose de la déshabiller, mais elle préfère que cela soit moi. Me voici donc en train d’effeuiller lentement ma femme, comme en offrande à cet inconnu. J’agis derrière elle. Elle se laisse faire, en faisant face à Yan , qui n’a qu’à se laisser dévoiler le corps de Val qui s’offrira bientôt à ses mains. Yan s’en met plein les yeux. Puis elle s’allonge sur le ventre sur la banquette, exhibant ses fesses blanches. Yan s’enduit les mains et commence à l’effleurer : les jambes, les fesses, le dos, avant de s’arrêter plus longuement sur chaque partie du corps pour le massage. Je ne sais pas trop comment me situer. Je reste un temps sur un fauteuil à les regarder, puis je viens aussi la masser, et enfin m’allonge à côté d’elle pour mieux la sentir. Je sens qu’elle apprécie vraiment. Je devine déjà qu’elle voudra aller plus loin. Au bout d’un moment, elle se met sur le dos et il reprend le massage. Je retourne m’asseoir sur le fauteuil pour voir ces mains étrangères s’attarder sur les seins calibrés et bandés de ma compagne, il descend parfois frolant l'aine de mon amours puis remonte ,mais à chaque passage un son sortant de la bouche de Val et par le geste de s'ouvrir en écartant un peu plus les cuisses ,l'invitation est bien présente.
Alors Val, qui pour l’instant était restée passive, commence à caresser le bras de Yan. Je me trouve assez désemparé par cette attitude. Moi qui dans mes scénarios la voyais le sucer, se laisser pénétrer avec avidité… je suis déstabilisé par cette petite caresse insignifiante et en même temps troublante. Sa main ne tarde pas à rejoindre cette bosse sur son pantallon. Elle l’attire ensuite contre lui, donnant fin au massage et ils commencent à s’embrasser,doucement puis les langues se rencontrant ,les bouches s'ouvrent, des bruits humides,j'imagine un instant le mélange de leurs salives ,Val qui aime d’ordinaire qu’un massage soit fignolé doit ressentir à cet instant un désir très fort. Je me sens marginalisé par cette nouvelle intimité, alors je me joins à eux. Rapidement, Yan et moi nous sommes déshabillés. Nos sexes sont tendus, sa queue est plus fine que la mienne mais son gland est comme un champignon ,assez gros .Val s’occupe alors à nous caresser tous les deux,observante de ce sexe nouveau,le dévorant des yeux,mais elle commence à me sucer et nous savons tous les trois qu’elle ne tardera pas à réjouir Yan de la même façon. Voir pour la première fois la bouche de ma compagne, ces lèvres que je regarde, écoute, baise depuis tellement de temps, goûter cet autre sexe, en faire le tour puis l’avaler excite plus mon appétit que mon courroux. Pour en profiter encore plus, je prends du recul.Ces cuisses s'ouvrent,emcore et encore et je vois sa main descendre,son doigt ouvrent automatiquement ses lévres libérées qui sont gonflées plus que d'ordinaire,je devine sa jolie chatte luisante de mouille, elle coule comme jamais, cette cyprine qui est pour moi comme drogue et une éxcitation extrème ,je bande à en avoir mal. Elle est belle...belle de ses envies,ses envies de sexes.
Puis c’est au tour de Yan d’explorer avec sa bouche la chatte maintenant offerte de Val. J’ai l’impression qu’il la bouffe littéralement (dans un style très différent du mien) il joue avec son clitoris ,il le titille tendrement et violament à la fois et le résultat ne se fait pas attendre. J’entends ma femme geindre comme rarement. Je préfère alors quitter mon poste d’observation pour me joindre au festin. Val avec sa bouche passe d’un sexe à l’autre. Un de mes fantasmes se réalise. Puis je la pénètre en levrette,doucement je m'imicie en elle,son vagin m'inonde,de longre trainée apparaisse à chaque sortir su ma verge qui crie au suplice, alors qu’elle s’occupe inlassablement de Yan elle gémit avec des bruits etouffés,je ne compte plus ses jouissances mais elle est totalement offerte à sa besogne. Je ne garde pas longtemps cette position, qui m’empêche de voir le travail minutieux des lèvres et de la langue, Je viens récupérer un peu cette bouche, dont le goût est nouveau pour moi.
Yan n’a pas encore pénétré Val. Ils semblent tous deux en avoir très envie à présent. Je ne suis pas contre, mais je ne sais pas comment je vais réagir. Est-ce le fait de devoir préparer le préservatif ? Ils ont finalement renoncé. Val, toujours avec sa bouche, se met à entraîner Yan vers l’explosion. Elle s’applique si bien (je connais ses capacités dans ce domaine) que Yan se tord, se raidit d’extase en murmurant « c’est divin, divin… ». Val a les yeux fermés. Elle est hyper concentrée, obnibulée par la perfection savante des caresses de ses mains, de ses lèvres, de sa langue sur cette queue qui coule d'excitation,aucune partie n'est oubliée,il va craqué c'est sur ,elle le veut. Yan s’abandonne dans sa bouche avec grande quantitée ,son sperme bouillonant apparaissant à la comissure des lévres de ma Val. Après avoir tout avalée ce qui est nouveau et surprenant elle le nettoie ,allant même glisser ça langue sur les bourses de Yan pour récupérer la petite coulée du nectar de Yan, Val vient alors immédiatement m’embrasser et je prends cela pour une grande complicité entre nous.Yan prend la place du spectateur.
Quelques instants après, elle me fait jouir de la même façon,ma jouissance est incroyablement forte, ma Val me tirant jusqu'a la dernière goutte ,laissant échappée par petite quantitée ma liqueur sur sa poitrine.
La suite m’a beaucoup moins plu. J’avoue avoir eu du mal à discuter ensuite de tout et de rien avec Yan. Surtout, j’ai eu du mal à accepter ce que j’ai perçu alors comme un début de complicité entre Val et lui. Après ce qui s’était passé, je devenais simplement jaloux de les entendre parler de photos, musiques… J’avais surtout très envie d’être seul avec Val pour prolonger ce moment inoubliable. Lorsqu’il est parti, c’est ce que nous avons fait.
Je l'aime tellement.
Je suppose qu'elle devait en rêver depuis longtemps, comme beaucoup de femmes sans doute. Mais elle n’aborda jamais elle-même le sujet. C’est moi qui, par petites touches, ai commencé à l’évoquer. Voir ma femme entre d’autres mains. Assister à la scène. Y participer ? Quelle étrange idée pour un homme normalement (raisonnablement) jaloux, d’envisager de voir un autre s’occuper de sa compagne. Qu’est-ce que je cherchais au juste, ce n’était d’abord pas très clair : son plaisir uniquement ? Pour moi, une satisfaction visuelle, esthétique ? Une souffrance masochiste à m’infliger ? Des vitamines pour notre couple ? Oui, c’était quelque chose comme ça : l’envie de narguer la « monotonie » et puis de montrer à Val jusqu’où je pouvais aller pour elle, un moyen de renforcer notre complicité. Je sentais aussi que la voir prendre du plaisir avec un autre me la rendrait encore plus désirable.
Rencontrer un autre couple était une possibilité, mais à ce moment-là, c’était un homme que je voulais pour Val. Je voulais faire d’elle une sorte de reine, concentrer toutes les attentions sur elle.
Les risques existaient bien sûr :
— si cet homme lui donnait plus de plaisir que moi…, il faudrait mettre cela sur le compte du contexte, sans en tirer de conclusions personnelles.
— si le fait de la voir faire l’amour avec un autre me complexait sur ma façon de le faire.
— si ensuite cette relation devenait trop envahissante dans la tête de Val….
De toutes façons, lorsque l’on vit en couple, on prend toujours des risques. Alors je préférais prendre celui là…
Restait à déterminer le scénario idéal :
Il arrive, je les laisse seuls et reviens une heure après ? Situation intéressante pour montrer à Val combien j’ai confiance en elle et en nous ; situation certainement plus facile à vivre pour elle : se donner pleinement sans avoir à gérer ma présence. Oui, mais moi, je veux profiter du spectacle et je ne détesterais pas participer à la fête. Les combinaisons à trois se bousculent dans ma tête : Val comblée par deux hommes ! Quand je la questionne sur les situations qu’elle envisage, je n’obtiens d’abord aucune réponse concrète. Du moins ce que j’appelle concret. Les femmes ne fantasment pas comme nous, elles sont plus dans les ambiances… Tout de même, quelques jours après que nous ayons évoqué clairement le projet, elle admet l’éventuel intérêt d’avoir deux sexes à sa disposition.
Ensuite, il faut trouver quelqu’un. Quelqu’un ? Ce n’est vraiment pas le plus dur. Une annonce bien tournée sur un site Internet coquin, agrémentée de photographies suggestives, pas trop pour ne pas rameuter tous les vieux cochons en quête de chair fraîche.
Malgré ces précautions, beaucoup de réponses arrivent. Nous avons décidé que je ferais le premier tri, avant le choix final. J’élimine les mecs qui répondent de l’autre bout de la France, ceux qui ne parlent que de cul, ceux dont les photos ne montrent qu’une bite, même si certaines sont expressives… Val élimine les réponses pleines de fautes d’orthographe ou au style maladroit. Elle dit que c’est révélateur… (Vraiment, les femmes ne fantasment pas comme nous).
Une dizaine d’échanges sur le Net font peu à peu ressortir la personnalité de Yan(nous le nomerons comme celà). Il est marié, a des enfants, veut de la discrétion, ce qui me rassure sur ses intentions. Il ne me piquera pas Val et en plus ,sécurité sur l'hygiène…
Il semble faire des tas de choses intéressantes dans la vie, ce qui plaît à ma compagne … et il propose des massages. Voilà qui est intéressant car elle est fan, cela nous permet d’envisager la relation avec prudence d’abord : un massage, même érotique, peut être une finalité.
Notre première rencontre se passe dans un restaurant, un midi. Il parle beaucoup. Beaucoup de lui, de sa vie, mais l’essentiel n’est pas là : il plaît visiblement à ma muse, ce qu’elle me confirme lorsque nous le quittons. Nous lui fixons un deuxième rendez-vous, chez nous cette fois et le soir. La question que cela se déroule dans notre univers domestique ne nous préoccupe pas plus que cela. Et puis Val se sentira plus en confiance.
Dessous noirs en dentelle ,string et soutien gorge ouvert de chez Lola, jupe et haut légèrement transparents… elle se fait belle, féminine, mais pas trop sexy : il ne s’agit pas de se jeter toute crue dans la gueule du loup dès qu’il aura passé la porte. elle me dit que ce qu’elle préfère par-dessus tout, c’est l’avant. Lorsque le désir et la sensualité s’épanouissent lentement dans les regards, les gestes, les mots.
Malgré tous, marque de son excitation ses pointes son largement dessinées sous son chemisiers ,je ne lui signale pas,celà me plait.
A son arrivée, nous offrons à Yan un apéritif et nous commençons à bavarder pour oublier notre gêne. Au moment de trinquer, là Val a un acte manqué : elle oublie de trinquer avec moi. Notre complicitée nous fait rire de cette situation.
Elle est à mes côtés et Yan nous faisons face,j'observe ma muse discrétement écartant ses cuisses ,jouant à la provocation,lui devinant ses dessous.
Ma douce s’est montrée très fébrile, voire anxieuse, juste avant l’arrivée de Yan. Pourtant, elle est rapidement l’instigatrice du début de l’intimité en annonçant qu’elle est prête et a très envie de recevoir un massage. il propose de la déshabiller, mais elle préfère que cela soit moi. Me voici donc en train d’effeuiller lentement ma femme, comme en offrande à cet inconnu. J’agis derrière elle. Elle se laisse faire, en faisant face à Yan , qui n’a qu’à se laisser dévoiler le corps de Val qui s’offrira bientôt à ses mains. Yan s’en met plein les yeux. Puis elle s’allonge sur le ventre sur la banquette, exhibant ses fesses blanches. Yan s’enduit les mains et commence à l’effleurer : les jambes, les fesses, le dos, avant de s’arrêter plus longuement sur chaque partie du corps pour le massage. Je ne sais pas trop comment me situer. Je reste un temps sur un fauteuil à les regarder, puis je viens aussi la masser, et enfin m’allonge à côté d’elle pour mieux la sentir. Je sens qu’elle apprécie vraiment. Je devine déjà qu’elle voudra aller plus loin. Au bout d’un moment, elle se met sur le dos et il reprend le massage. Je retourne m’asseoir sur le fauteuil pour voir ces mains étrangères s’attarder sur les seins calibrés et bandés de ma compagne, il descend parfois frolant l'aine de mon amours puis remonte ,mais à chaque passage un son sortant de la bouche de Val et par le geste de s'ouvrir en écartant un peu plus les cuisses ,l'invitation est bien présente.
Alors Val, qui pour l’instant était restée passive, commence à caresser le bras de Yan. Je me trouve assez désemparé par cette attitude. Moi qui dans mes scénarios la voyais le sucer, se laisser pénétrer avec avidité… je suis déstabilisé par cette petite caresse insignifiante et en même temps troublante. Sa main ne tarde pas à rejoindre cette bosse sur son pantallon. Elle l’attire ensuite contre lui, donnant fin au massage et ils commencent à s’embrasser,doucement puis les langues se rencontrant ,les bouches s'ouvrent, des bruits humides,j'imagine un instant le mélange de leurs salives ,Val qui aime d’ordinaire qu’un massage soit fignolé doit ressentir à cet instant un désir très fort. Je me sens marginalisé par cette nouvelle intimité, alors je me joins à eux. Rapidement, Yan et moi nous sommes déshabillés. Nos sexes sont tendus, sa queue est plus fine que la mienne mais son gland est comme un champignon ,assez gros .Val s’occupe alors à nous caresser tous les deux,observante de ce sexe nouveau,le dévorant des yeux,mais elle commence à me sucer et nous savons tous les trois qu’elle ne tardera pas à réjouir Yan de la même façon. Voir pour la première fois la bouche de ma compagne, ces lèvres que je regarde, écoute, baise depuis tellement de temps, goûter cet autre sexe, en faire le tour puis l’avaler excite plus mon appétit que mon courroux. Pour en profiter encore plus, je prends du recul.Ces cuisses s'ouvrent,emcore et encore et je vois sa main descendre,son doigt ouvrent automatiquement ses lévres libérées qui sont gonflées plus que d'ordinaire,je devine sa jolie chatte luisante de mouille, elle coule comme jamais, cette cyprine qui est pour moi comme drogue et une éxcitation extrème ,je bande à en avoir mal. Elle est belle...belle de ses envies,ses envies de sexes.
Puis c’est au tour de Yan d’explorer avec sa bouche la chatte maintenant offerte de Val. J’ai l’impression qu’il la bouffe littéralement (dans un style très différent du mien) il joue avec son clitoris ,il le titille tendrement et violament à la fois et le résultat ne se fait pas attendre. J’entends ma femme geindre comme rarement. Je préfère alors quitter mon poste d’observation pour me joindre au festin. Val avec sa bouche passe d’un sexe à l’autre. Un de mes fantasmes se réalise. Puis je la pénètre en levrette,doucement je m'imicie en elle,son vagin m'inonde,de longre trainée apparaisse à chaque sortir su ma verge qui crie au suplice, alors qu’elle s’occupe inlassablement de Yan elle gémit avec des bruits etouffés,je ne compte plus ses jouissances mais elle est totalement offerte à sa besogne. Je ne garde pas longtemps cette position, qui m’empêche de voir le travail minutieux des lèvres et de la langue, Je viens récupérer un peu cette bouche, dont le goût est nouveau pour moi.
Yan n’a pas encore pénétré Val. Ils semblent tous deux en avoir très envie à présent. Je ne suis pas contre, mais je ne sais pas comment je vais réagir. Est-ce le fait de devoir préparer le préservatif ? Ils ont finalement renoncé. Val, toujours avec sa bouche, se met à entraîner Yan vers l’explosion. Elle s’applique si bien (je connais ses capacités dans ce domaine) que Yan se tord, se raidit d’extase en murmurant « c’est divin, divin… ». Val a les yeux fermés. Elle est hyper concentrée, obnibulée par la perfection savante des caresses de ses mains, de ses lèvres, de sa langue sur cette queue qui coule d'excitation,aucune partie n'est oubliée,il va craqué c'est sur ,elle le veut. Yan s’abandonne dans sa bouche avec grande quantitée ,son sperme bouillonant apparaissant à la comissure des lévres de ma Val. Après avoir tout avalée ce qui est nouveau et surprenant elle le nettoie ,allant même glisser ça langue sur les bourses de Yan pour récupérer la petite coulée du nectar de Yan, Val vient alors immédiatement m’embrasser et je prends cela pour une grande complicité entre nous.Yan prend la place du spectateur.
Quelques instants après, elle me fait jouir de la même façon,ma jouissance est incroyablement forte, ma Val me tirant jusqu'a la dernière goutte ,laissant échappée par petite quantitée ma liqueur sur sa poitrine.
La suite m’a beaucoup moins plu. J’avoue avoir eu du mal à discuter ensuite de tout et de rien avec Yan. Surtout, j’ai eu du mal à accepter ce que j’ai perçu alors comme un début de complicité entre Val et lui. Après ce qui s’était passé, je devenais simplement jaloux de les entendre parler de photos, musiques… J’avais surtout très envie d’être seul avec Val pour prolonger ce moment inoubliable. Lorsqu’il est parti, c’est ce que nous avons fait.
Je l'aime tellement.