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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
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par revea3
#69163
Notre ami est venu nous rendre visite.
Il revient de 15 jours de Kite-surfing. Toujours musclé, le corps trapu, il m’a toujours impressionné par sa capacité à s’exhiber totalement devant n’importe qui.
Sa calvitie bien avancée n’a pas atténué sa capacité sportive et son besoin de plaire.

Ma femme apprécie son humour décalé. Elle ne le trouve pas beau, mais lui reconnait un beau regard.

Il est arrivé en fin de semaine. Amateur tout comme moi de vin fin, il nous avait offert une bonne bouteille. Pour fêter sa venue, nous avons commencé par prendre un superbe apéritif.
Le vin coulait à flot, et l’atmosphère se réchauffait aussi vite que nos esprits s’enflammaient.

Malgré le froid extérieur, je claironnais que j’allais finir par un digestif dans la piscine.
Un verre à la main, je me suis déshabillé entièrement pour entrer dans la piscine. J’oubliais, alcool aidant que je portais ma cage de chasteté.
Karine lui proposa de me rejoindre. Quand il me vit dans l’eau, il s’est rendu compte que je portais une cage. Mon épouse en s’approchant de la piscine avec des linges de bain, lui expliqua l’air amusé
- Jean porte une cage car il le veut. C’est mon petit soumis et cocu.
- Paul riait car il croyait à une plaisanterie
J’étais rouge de honte et vite dégrisé. Il m’a fallut montrer l’objet du délit. J’ai du avouer que j’étais bisexuelle, j’aimais le SM, et que j’aimais Karine au point de lui laisser toute liberté.
Ma femme ne voulait pas parler de mon statu de cocu, pour ne pas donner des idées à Paul. C’était mal connaitre Paul.
Mon ami, devinant le trouble et l’embarras de Karine, agit comme un chasseur ayant trouvé sa proie et ne voulant pas la laisser perdre.

Il proposa à Karine de venir dans la piscine. Elle refusa car elle avait froid. Paul, sortit de l’eau avant que ma belle s’en retourne à l’intérieur. La vue de son sexe en érection stoppa net mon épouse. Il lui demanda en plongeant ses beaux yeux bleus dans ceux de Karine, de l’essuyer. Elle s’avança timidement. Il la questionnait à voix basse, lui demandant si elle me cocufiait. Ma femme restait immobile, comme figée. Elle répondait dans un murmure. Personne ne comprenait. Sortant de l’eau, je poussais Paul en lui disant « embrasses là, elle déteste qu’on lui demande l’autorisation. »
Paul ne réfléchit plus. Il se lance dans un long baiser. Avec surprise pour moi, je vis Karine lui rendre et mettre ses mains autour de son cou. Le temps semblait s’arrêté. Ils s’embrassaient si tendrement qu’ils en étaient que plus beaux.
Paul prenait la tête de Karine pour mieux l’embrasser. Elle lui caressait le torse, et effleurait sans cesse son sexe. Mon ami ne restait pas inactif. De sa main gauche, il remontait la robe au dessus des fesses, découvrant avec stupeur l’absence de string. Sa main droite pétrissait les seins.
Karine s écarta comme pour reprendre son souffle. Elle fit tomber la robe et apparue nue, dans toute sa beauté.
Paul s’approcha d’elle et la fit se mettre sur le dos. Il s’avança à genoux entre les cuisses et entreprit de lécher le sexe de ma femme. Elle s’arc boutait pour mieux profiter de cet instant. Tantôt, elle se tenait les seins, tantôt ses mains se portaient sur la tête de son amant, comme pour mieux le guider. Dans un superbe râle, ma femme jouit. Paul se redressa aussitôt et présenta son sexe bandé à l’entrée de sa chatte. Dans une invitation muette, elle le tira vers elle pour qu’il s’enfonce. Paul prit son temps et s’enfonça lentement, déclenchant une jouissance immédiate.
Il ne lui laissa pas le temps de reprendre son d souffle. Il pilonnait mon amour avec une force incroyable. Il alternait les positions.
C’est debout que Karine, jambes nouées dans son dos, les fesses contre le mur accueillit l’orgasme de notre ami. Il se déversa en elle en spasmes successifs. Il semblait de jamais arrêter de se déverser dans la chatte de ma femme.
Paul fut le premier à se souvenir de mon existence. Je n’avais pas débandé depuis le début de leur accouplement. Mon érection, comprimée par la cage me faisait mal.
Paul me demanda de venir récolter le fruit de sa jouissance. Karine me fit m’allonger sur le sol, avant de venir s’accroupir sur mon visage m ‘offrant sa chatte béante à lécher. Le sperme commençait à couler. Je m’empressais de tout lécher, m’attardant sur les lèvres gonflées. La semence s’écoulait lentement me permettant de bien profiter de cette chatte. L’odeur m’enivrait presque.
Karine se mit à gémir.
Mais Paul ne l’entendait pas de cette oreille. Il était devenu le maitre du jeu. Cette femelle lui appartenait. Lui seul devait lui donner du plaisir. Il nous fit donc nous relever.
Il m’ordonna de lui rendre sa vigueur. Je m’approchais du sexe flasque et le pris en bouche J’entrepris de lui faire une fellation qui permettrait à ma belle de bien profiter de ce sexe.
En pleine érection, il demanda à ma tendre, de se retirer dans notre chambre avec lui pendant que je rangerai la maison.
Une heure après, la maison enfin rangée, je suis monté vers notre chambre. La porte était ouverte. Karine à quatre pattes, subissait les assauts de son amant. Paul semblait infatigable.
Je me suis retiré pour aller dormir comme ils me l’avaient demandé dans la chambre d’amis.

Au réveil,…..à suivre si vous voulez
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par revea3
#70022
Ce ne fut pas tout de suite.

Avant de prendre mon déjeuner, j entrouvris la porte de notre chambre. La belle endormie, était lovée dans les bras de mon ami. L’odeur de sexe remplissait la pièce. J admirais les deux corps enlacés. Ma femme semblait dormir d’un sommeil heureux. Sa minceur et sa finesse contrastait avec la musculature de Paul.
Mon cœur battait la chamade. Cette vision me rendait jaloux. C’est donc bougon, que je descendais à la cuisine pour me préparer un déjeuner avant de partir au travail.
Absorbé à la préparation de mon café. Je n’ai pas entendu mon ami arriver. Paul était jovial. Son sexe aussi car notre ami exhibait une superbe érection.
- Bien dormi, me taquina t il
- Pas vraiment, et vous ?
- Ecoute, Jean. Tu vas pas nous emmerder, me lança t il. T’es qu’une lope. Je baise avec ta femme et elle y prend beaucoup plus de plaisir qu’avec toi. Tu n’es qu’un cocu et tu le seras encore. Ne compte pas sur mon amitié pour te plaindre. Tu aimes être cocu et moi je te rends service. Alors remercies moi plutôt
- Ah oui, et comment je pourrais rte remercier, osais je fanfaronner
- En me suçant par exemple. Allez vite, tu vas être en retard
Sans réfléchir, comme si cela était normal d’avoir mon maitre, je me suis agenouillé et j’ai approché ma bouche de son gland. Il sentait fort la cyprine. Lentement je l’ai gobé, léchant le méat, remontant le long de la verge.
Cela ne semblait pas du goût de Paul. Il m’attrapa les cheveux pour me donner le rythme. Il me pilonnait sans ménagement, me donnant des hauts de cœur à chaque pénétration. J’ai senti sa verge gonflé. Il se libéra en moi, me plaquant contre lui pour m’obliger à tout avaler.
- Bonne pute, me dit il, va vite travailler. Il me claqua les fesses en me poussant hors de la cuisine. Il s’est retourné pour boire mon café

Ce fut une atroce journée au bureau. J’avais un mal fou à me concentrer. Je découvrais les k joies et affres de la soumission. Ma femme était heureuse et s’emballait prendre du plaisir. Mais je n’avais jamais été dominé ainsi par ses amants
La journée de travail fini, je m’empressai de rentrer à la maison. Pas ce soir que je ferais des heures sup.
En arrivant, personne. Un peu déçu de me retrouver seul, je préparais quand même l’apéritif et le repas, surtout pour faire plaisir à Karine. Je dressais la table pour trois, prenant soin de sélectionner les vins en fonction des mets que je préparais.
Karine et Paul arrivèrent en chahutant. On aurait dit deux jeunes tourtereaux. Mon cœur se glaça. Heureusement, Karine est venue m’embrasser, me chuchotant à l’oreille qu’elle me remerciât de la laisser vivre ces moments et qu’elle m’aimait fort. Je me sentis mieux instantanément.
Pendant l’apéritif, elle m’annonça que Paul reportait son départ dans 15 jours. Paul me fixait des yeux, attendant ma réponse. J articulais un « et moi ?».
Karine n’hésita pas une seconde pour m’annoncer
- Toi ? mais que veux-tu mon petit cocu adoré ? mais tu nous serviras et tu serviras Paul comme tu me sers, sans discuter. Si tu n’es pas d’accord, je pars 15 jours loin de la maison avec Paul. Sinon, tu seras notre soumis. Ne t’inquiètes pas. Je sais que tu bandes dans ta cage depuis hier. Nous, j’ai dit nous, te soulagerons ce soi. Un beau milking, pour qu’après tu nous laisse jouir…
- Ta femme est faite pour le sexe, Jean. Il faut lui révéler son coté pervers. Ne t’inquiètes pas, je vais m’en occuper à ta place , au nom de notre amitié. Pour commencer, tu dois nous servir nu. Allez exécution

Le repas fut plus dur et la soirée me fut plus …..enfin si vous êtes intéressés
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par revea3
#72282
Mon ami se découvre des talents d’amant et de Maître

Paul m’ordonna de préparer le repas. C’est donc complètement nu, que je m’exécutais, tandis que les deux amants sirotaient leur cocktail. Paul ne cessait de caresser ma belle et l’embrassait partout, déposant des baisers, entre les seins ou dans le cou.
Le repas préparé, je les conviais à venir à table. Je m’assis en face de Karine, Paul à ma droite. Paul m’interpella
- « que fais-tu là ? Ta place n’est pas avec nous. » Dit- il en prenant mon assiette et en la déposant par terre. « Allez, couchez, tu mangeras dans ta gamelle. Sois heureux de manger à mes pieds »
- « obéis lui, stp » me demanda gentiment mon épouse
Fou d’humiliation, je me mis à genou. Paul, sur de lui, me posait un pied sur la tête pour me tenir allongé au sol.
J’essayais de manger dans mon assiette. J’étais maladroit car sans couvert, cela est difficile, selon ce que l’on mange.
Paul badinait pendant le repas. Je n’étais autorisé à me lever que pour servir les plats. L’heure avançant, mon ami se faisait plus précis sur les questions concernant la sexualité de notre couple.
Il proposa que je porte un collier avec laisse, tant que je serais à la maison. Karine lui proposa que je porte aussi un plug. Les yeux de Paul s’illuminèrent d’un regard prometteur en acquiesçant. Sans aucune forme de sommation, il m’ordonna :
- « suces moi. Jje dois être beau pour Karine »
Je quémandais du regard, l’approbation de mon épouse. Elle semblait beaucoup s’amuser de cette situation.
- « Ne t’inquiètes pas pour moi, ptit cocu, je n’ai pas arrêté de sucer ton ami. J’ai un peul mal à la mâchoire. Vas y prépares moi le. Je veux sentir sa bite bien dure en moi. Il me fait si bien jouir. Appliques toi bien pendant que je vais me préparer pour l’accueillir dans ma petite chatte »
Karine s’absenta. Je débraguettais mon ami et sortait son sexe mou de son caleçon. Lentement, je déposais des baisers sur sa queue avant de la prendre en bouche. Son sexe reprenait du volume. Première fois que je vivais ce changement de morphologie dans la bouche.
Paul avait une belle érection quand Karine revint avec un sac contenant nos accessoires de jeux sadomasos; cordes, bandeau, plug pinces, etc…
Karine me tendit un plug en acier et m’ordonna de me l’enfoncer
Je m’empressais de le lubrifier. Déposant le plug sur le sol, je m’assis dessus faisant pénétrer lentement l’objet entre mes reins. Je poussais pour aider la pénétration. Pendant ce temps Karine me mettait un collier autour du cou, des pinces aux seins.
Son amant, goguenard me traitait de petite pute, accentuant ainsi mon humiliation et mon asservissement.
Après le dernier renflement du plug passé, Paul voulut s’assurer qu’il était bien positionné. Il me fit mettre à 4 pattes et m’obligea à tendre mes fesses.
- « Trop petit ce plug » dit il. Il le sortit vite et présenta son sexe contre mon œillet. « Au moins tu pourras savoir ce que ta femme ressent »
Il s’enfonça d’un coup, ignorant ma douleur. Heureusement que le plug avait préparé le terrain. Il commença à me pilonner avec vigueur. Après 5 mn du traitement, il décula, prétextant qu’il voulait tout garder pour ma femme. Il commentait avec mépris le fait que je bande énormément et que j’aille à la rencontre de ses coups de queue

Paul fouilla dans le sac et sortit un plug, ressemblant au sexe moulé très bien doté. Il me le brandit sous les yeux. Il m’ordonna de me l’enfoncer sans perdre de temps
Karine s’amusait de plus en plus du spectacle.
L’anus bien travaillé, je réussis en me tortillant à m’enfoncer le plug au fond. Paul me fit me trainer jusqu’au salon. Le plug dans les fesses me faisait mal. Je bandais comme un fou dans cette cage, dégoulinant comme une limace. Karine tendit une corde à Paul, qui entreprit de m’attacher.
Mon épouse me fit un baiser et me mit le bandeau sur les yeux.

Paul lui ordonna de venir la rejoindre, d’un ton si autoritaire que je ne compris pas pourquoi ma belle s’exécutait si rapidement.
Je n’entendais que les discours essayant d’imaginer la scène.
Mon ami traitait ma femme, sans qu’elle réagisse, de salope qui aime le sexe, de cochonne, de perverse. Je dois avouer que les bruits de succions me laissait imaginer que ma femme devait avoir la bouche pleine, bien trop occupé à sucer ce sexe qu’elle désirait en elle, pour pouvoir répondre.

Je l’ai entendu, changer de position. J’ai entendu ma femme jouir plusieurs fois, implorer son amant de la prendre plus fort.
Je me suis moqué intérieurement, des cris de bucheron de Paul déversant sa semence.

L’érection contenue dans la cage me fait de plus en plus mal. J’aimerais tant jouir. Je coule abondamment comme si j’avais des pertes….

Ils ont fait l’amour plusieurs fois avant de me détacher. Ils sont partis se coucher m’obligeant à tout ranger, débarrasser la table et préparer le petit déjeuner.

Karine, vient me faire un doux baiser. Elle me jura qu’elle m’aimait que ceci n’était qu’un jeu et que pour me remercier, demain matin, ils me feront un milking….

La suite si vous le voulez ou si vous êtes intéressés
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par revea3
#73066
imanche matin
Le soleil brille, annonciateur d’une belle journée. La maison est silencieuse. Je me réveille doucement et vais me plonger dans la piscine et commence à faire des longueurs. Je n’ai pas dormi de la nuit. Je ne comprends pas ce qui me pousse à accepter d’être l’objet de leur plaisir, à devenir leur serviteur alors que tant de personne aurait fui. Je suis inquiet de la suite trouvant que mon ami prend trop d’ascendant sur Karine. En fait je suis jaloux, Jaloux de voir celle que je vénère, aimer Paul. Je comprends qu’elle se donne à lui, j’admets plus difficilement le fait qu’elle s’en amourache.
Je devine que si je me rebelle, Karine le prendra très mal et me quittera…
Absorbé et perdu dans mes pensées, je n’ai pas entendu arriver Paul, qui se jette à l’eau en plongeant. Il s’approche de moi et vient se coller dans mon dos, s’agrippant à mes épaules.
- « Ne penses pas trop, Jean. Tu penses trop » J’étais sous le choc. Paul semblait lire en moi comme dans un livre. Je sentais son sexe contre moi, cela me perturbait et me paralysait
- « Jean, regardes les choses en face. Tu aimes ta femme. Moi aussi mais pas de la même façon. Elle t’aime car tu lui permets d’être elle-même. Moi, je ne pourrais jamais lui apporter cela. Toi, tu ne la fais plus vibrer sexuellement. Moi si, et je le fais avec amour, car j’aime Karine, et ce depuis que je l’ai vu la première fois. Nous allons vivre ton fantasme, notre désir jusqu’au bout. Je vous aime tous les deux. Nous allons faire ménage à trois. Nous irons ensemble en vacances…je ne viens pas emménager chez vous à cause de mon travail, mais, j y serais souvent. C’est moi le chef de cette famille. Tu peux toujours dire non et réfléchir. Tu sais que Karine ne le supportera pas bien….ni moi, car je t’aime aussi à ma façon ».
J’étais perturbé, anéanti. Je ne savais plus ou j’en étais. Je savais que Paul avait raison. J’étais effrayé par le quand dira t on. Savoir que Paul agirait comme son mari, me perturbais…et pourtant mon sexe trahissait un émoi autre.
Paul se frottait de plus en plus contre moi. Je ne pouvais plus ignorer la protubérance entre mes fesses, ni son souffle chaud dans mon cou.
- « Dis moi que tu me veux en toi, dis moi que tu veux que je reste »
Paul me poussait contre le bord de la piscine. Son sexe se faisait de plus en plus intrusif. Mon cœur battait la chamade. Je lâchais prise avec la raison. Sans plus réfléchir, comme si mon destin était scellé, je lui demandais de me prendre dans un murmure. Il me demanda de le dire à voix haute. Je m’exécutais.
- « Non dis le plus fort » m’ordonna Paul
- « Je veux que tu me pénètres, je veux devenir ta deuxième femme. Je veux que tu restes. Sois mon Maître »
- « C’est bien, ma petite. Maintenant, guides moi en toi »
Je saisis son sexe bandé et l’approcha de mon œillet. Paul poussait pendant que j’écartais au maximum mes fesses. Il gagnait centimètre par centimètre, sur de sa conquête, de sa victoire.
Lorsque ses couilles tapèrent mes fesses, il s’immobilisa pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. La douleur était forte mais progressivement laissait place à une langueur inqualifiable. Il commença à remuer lentement, puis de plus en plus vite.
J’ai senti sa jouissance, ce sexe qui se gonfle avant d’éjaculer. Paul se déversa en long spasme. Il se retira doucement me fit me retourner et m’embrassa sur la bouche. Mettant fin à l’étreinte, Karine applaudit à la fenêtre de la chambre.
- « Vous étiez superbes mes chéris, j’arrive ».
Karine, toute en beauté s’installa sur un fauteuil. Elle nous félicita de la performance mais voulait être récompensée aussi.
Elle me montra la clé de la cage de chasteté.
- « Enlèves ta cage, et tournes toi, Penches toi bien en avant. Hum ton trou est bien élargi, plein de sperme. Je vais pouvoir promener mes doigts sur ta prostate et tu vas couler.
Je m’appuyais le torse sur la table, les jambes écartées. Mon sexe en érection au bord de la table pointait vers le sol. Karine enfila deux doigts. Le sperme de Paul servant de lubrifiant, elle me faisait un doux massage de ma prostate. Paul, le sexe en berne pour le moment, avait enfouit sa tête entre les jambes de notre femme commune. Il s’appliquait avec succès, à en croire les soupirs d’aise de Karine.
J’avertis Karine que j’allais me vider. Le milking procure ce sentiment étrange d’avoir l’impression de se vider du sperme sans jouir. Votre sexe coule mais sans avoir d’orgasme. Les derniers événements sans jouir avaient générés une production importante de sperme que Karine recueillait dans un verre à pied.
Karine jouit fort peu de temps après. Je me redressais pour mieux la voir, l’admirer.
Karine reput tendit le verre. « Nous allons tous en boire pour sceller notre union ». Elle trempa ses lèvres. Paul en fit autant me tendant le verre à finir qui contenait encore plus des ¾ du liquide.
La messe était dite....une nouvelle vie commence

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