- 02 mai 2011, 22:03
#393571
Après 1 mois de "trêve", revoilà Madame propriétaire de ma petite queue. Pour inaugurer mon retour tant attendu à ma condition, elle fut je dois dire magnanime. Mon sentiment de soumission avance de paire avec un goût plus prononcé de la queue. Non pas la mienne, bien entendu. Une autre. Parmi les vidéos de cul que je visionne souvent sur le net (je suis un branleur quand ma queue est libre), je choisis toujours celle qui met en scène la queue la plus imposante, et je dois avouer que je ne sais plus bien qui de la fille ou de la bite qu'elle suce me fait le plus envie. Aussi madamde a-t-elle décidé de m'encourager dans cette voie.
Ce soir là, elle m'a avoué à l'oreille avoir envie d'une bonne queue. J'avoue avoir eu l'outrecuidance de lui proposer mes services, aucun amant n'étant sous sa main à l'instant conté. Je n'eus pour toute réponse qu'un sourire narquois. Arrivés dans la chambre, elle me demande de sortir "ma queue". Se moquant un peu de ma petite bite que je luis présentais alors, elle me dit avec une tendresse perversement mesurée: "Non, pas celle là, voyons. J'ai dit une bonne queue ! Enfile donc le gode ceinture et baise moi." Certes dépité, mais au comble de l'excitation, je m'exécutais sans rechigner. Elle prit un plaisir évident de perversité à sucer le bel instrument, autrement plus impressionant que le miens. Puis elle m'intima l'ordre de m'allonger sur le dos, pour venir s'empaler sans frémir sur "ma" vigoureuse tige noire. Quelle frustration, mais aussi quelle jouissance de la voir prendre son pied alors que ma queue bandait dans l'air chaud de la chambre ! Mais je n'étais pas au bout de mes surprises.
Après quelques orgasmes dont je devine qu'ils furent plus que satisfaisant, elle me dit suavement: "A ton tour". Fou d'excitation et de joie, je lui rendais immédiatement l'instrument de son plaisir qui n'est pas "ma" queue pour rien. Je dus d'abord bien sûr la sucer. Je me régalais de son jus encore chaud tandis qu'elle me saisissait par les cheveux pour l'enfoncer dans ma gorge de petite pute. Puis elle me prit doucement en missionnaire, très doucement. Après avoir pleint l'espace d'une seconde les hommes qui n'ont pas la chance de connaitre le plaisir des dieux, mon sexe s'est rapidement mis à couler, l'éjaculation étant entravée par la largeur du pieux dont elle faisait l'honneur à ma rondelle. Quelques minutes plus tard, un second écoulement encouragé par mes râles de petite salope finit par me terasser. Plaisir divin...
Au plaisir de vous lire...
Ce soir là, elle m'a avoué à l'oreille avoir envie d'une bonne queue. J'avoue avoir eu l'outrecuidance de lui proposer mes services, aucun amant n'étant sous sa main à l'instant conté. Je n'eus pour toute réponse qu'un sourire narquois. Arrivés dans la chambre, elle me demande de sortir "ma queue". Se moquant un peu de ma petite bite que je luis présentais alors, elle me dit avec une tendresse perversement mesurée: "Non, pas celle là, voyons. J'ai dit une bonne queue ! Enfile donc le gode ceinture et baise moi." Certes dépité, mais au comble de l'excitation, je m'exécutais sans rechigner. Elle prit un plaisir évident de perversité à sucer le bel instrument, autrement plus impressionant que le miens. Puis elle m'intima l'ordre de m'allonger sur le dos, pour venir s'empaler sans frémir sur "ma" vigoureuse tige noire. Quelle frustration, mais aussi quelle jouissance de la voir prendre son pied alors que ma queue bandait dans l'air chaud de la chambre ! Mais je n'étais pas au bout de mes surprises.
Après quelques orgasmes dont je devine qu'ils furent plus que satisfaisant, elle me dit suavement: "A ton tour". Fou d'excitation et de joie, je lui rendais immédiatement l'instrument de son plaisir qui n'est pas "ma" queue pour rien. Je dus d'abord bien sûr la sucer. Je me régalais de son jus encore chaud tandis qu'elle me saisissait par les cheveux pour l'enfoncer dans ma gorge de petite pute. Puis elle me prit doucement en missionnaire, très doucement. Après avoir pleint l'espace d'une seconde les hommes qui n'ont pas la chance de connaitre le plaisir des dieux, mon sexe s'est rapidement mis à couler, l'éjaculation étant entravée par la largeur du pieux dont elle faisait l'honneur à ma rondelle. Quelques minutes plus tard, un second écoulement encouragé par mes râles de petite salope finit par me terasser. Plaisir divin...
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