- Aujourd’hui, 08:32
#2904627
Suite par l'amant P :
Après cette sensation étrange, extraordinaire, et je dois dire finalement pas très culpabilisante dans la mesure où cette magnifique personne m'était confiée par le mari désireux de vivre une expérience, les choses se passèrent fort naturellement. La seule limite qui allait cadrer ce bonheur allait s'avérer l'envie, illimitée, mais aussi les forces, celles de nous les hommes, comptées. L se montrant insatiable. A peine remis de nos émotions face à cette situation irréelle, nous décidâmes de profiter de l'eau chaude du jacuzzi. Aucun de nous n'avions un maillot de bain. De toutes façons, nous n'aurions sans doute pas pensé à l'enfiler. Dans l'ambiance feutrée et très sensuelle de ce salon, nous avons quelques peu discutés du plaisir à peine pris quand soudain je sentis une main sur mon sexe, prompt à reprendre son volume. La caresse n'empêchait pas le dialogue, naturel mais aussi actuel. En envoyant ma main rendre la pareille à L, je dus bien constater que la place était déjà prise. Nous étions bel et bien trois à vivre le moment pleinement. Assez naturellement, j'ai souhaité embrasser la belle qui parvenait à se donner pleinement à deux personnes avec la sensualité que je croyais réservée à un être aimé. C'est pour cela que je me rendrais compte plus tard que cette femme était exceptionnelle, tout comme cette expérience probablement unique. Tout en fusionnant nos visages, L caressant jusqu'alors deux sexes à la fois, K. sortit du bain. Nos baisers et nos caresses m'amenèrent à entamer une sortie quand, rattrapé par la bouche de L. , assis sur le bord du jacuzzi, j' allais encore recevoir une gâterie d'exception. Le plaisir ne se concentrait pas uniquement sur ma queue, tant ses mains parvenaient à innerver mon corps entier. A peine remis des caresses sur mes fesses, mes cuisses, mon torse, je me retrouve à redescendre un peu comme pour être allongé avec L à l'envers sur moi... A ce moment là, je crois bien, que le monde ne se résumait qu'à nous deux: Sa bouche encerclait mon sexe comme pour l'emplir d'un bonheur absolu. De mon côté, de l'autre, je léchais sa chatte comme s'il s'agissait d'un bonbon qui fondait à l'infini. Sa douceur, sa texture n'étaient contrariées par aucune autre sensation. Son corps lévitait légèrement au dessus du mien. J'avais l'impression que ses mouvement précédaient et accompagnaient mes caresses. Celles ci allaient de ses seins à ses fesses. Sans que je ne sache pourquoi, tout à coup, ma langue est passé de son sexe à son petit trou. La question du droit ne se posant pas quand il est affaire de fusion, L. Continuait à onduler de tout son corps. Je lui léchais le cul pour la première fois. Elle me suçait la queue comme si c'était la dernière fois.
K. qui observait cela de l'extérieur sans que nous n'en ayions conscience, pris par des sentiments nouveaux, nous demanda de sortir afin de pouvoir participer un peu aux débats. Son intervention mettait un terme à la magie mais permettait d'un autre côté de l'inscrire dans le temps pour toujours.
C'est ainsi que nous venions de découvrir en actes ce qu'était le candaulisme. Et ce n'était que le début...A suivre selon votre bon plaisir à lire...
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