- Aujourd’hui, 08:27
#2903340
Une aventure de jeunesse de ma femme:
J'ai UN souvenir précis dans un ascenseur qui m'est arrivé alors que je n'avais encore que vingt ans, et que j'étais encore élève infirmière...
Ca c'est passé dans l'immeuble où exerçait la gynécologue que je consultais de temps en temps à l'époque. Elle avait une énorme clientèle et ce jour là elle n'avait pu me fixer un rendez-vous qu'à 22 heures... Avec le retard, le temps de la consultation, j'en étais sortie à presque 23h30... L'immeuble, qui était surtout occupé par des bureaux était désert, aussi je fus étonnée de voir un homme attendre devant l'ascenseur... Il était superbe, grand, beau, un visage d'aventurier... Lorsque nous entrâmes ensemble dans l'ascenseur, j'avais presque envie qu'il tombe en panne pour me retrouver seule avec lui... Nous nous regardions sans un mot mais les yeux dans les yeux... A mi hauteur, il appuya sur le bouton arrêt de l'ascenseur et je n'ai même pas protesté... Il vint vers moi, me coinça entre lui et la cloison, et sans la moindre hésitation me fourra la main sous la jupe, entre les cuisses... Ses doigts inquisiteurs se glissèrent en crochet sous l'entre jambes de ma culotte et d'un coup sec il la déchira... Ce qui restait du tissu un peu élastique, me remonta instantanément à la taille, laissant mon sexe entièrement nu... Déjà il avait glissé deux doigts dans mon vagin. Cette soudaineté m'avait surprise, tout autant que la facilité avec laquelle il avait introduit ses deux doigts à fond en moi, et puis j'avais réalisé... Le lubrifiant qu'avait utilisé la gynécologue pour me mettre le spéculum m'imprégnait encore abondamment le vagin... Quant à l'instrument, il m'avait largement dilatée, du moins rendue très réceptive... J'en ressentis soudain comme une "bouffée de honte" qui m'obligea à fermer les yeux pour échapper à son regard. En même temps je me disais qu'il ne pouvait être là totalement par hasard, qu'il devait deviner d'où je venais, les raisons de cette vulve si accessible... Alors que je m'attendais à ce qu'il ouvre sa braguette et me prenne là, debout contre la paroi, il n'en fit rien, mais décrocha le combiné du téléphone de secours, et très vite me le colla entre les cuisses, bien contre la vulve... Et il se mit à pousser, lentement mais sans douceur... C'était assez gros, je balançais entre la peur et l'excitation... J'avais envie de crier mais la peur d'être entendue me retenait... Il poussait encore... encore plus fort... Je me mis à l'étreindre de mes bras, comme pour m'empêcher de crier... Alors soudain le gros bout arrondi du combiné franchit l'anneau de ma vulve et la grosse boule qu'il formait me plongea d'un coup au fond du sexe... J'en avais le souffle coupé... Mais quand la tonalité résonna dans le combiné, tout au fond de mon ventre, mes ongles s'enfoncèrent comme des serres de rapace dans le cou de l'homme et un hurlement de jouissance résonna dans tout l'immeuble. Nous n'avons pas prononcé un mot et je ne l'ai jamais revu...