Je retrouve donc mes affaires dans le container où nous les avions laissées pour déambuler agréablement au sein de ce dépôt.
Mon sac, mon téléphone, et la petite trousse "de coquine" qu'elle a confectionnée il y a plusieurs années et qui contient tout le nécessaire "au cas où il se passerait quelque chose" (on n sait jamais...)
Je profite de ramasser et rapatrier tout ça pour sortir mon téléphone et faire une petite vidéo de mon arrivée sur les lieux que j'ai momentanément désertés.
Comme on dit, je me hâte lentement, à la fois certain de ce que je vais trouver en arrivant, animé par l'envie d'y être déjà, mais désireux de laisser un peu de temps aux deux complices de profiter des évènements pour l'entreprendre. Les battements puissants de mon coeur sont-ils dus à la marche rapide de quelques dizaines de mètres que j'ai effectuée sous cette douce chaleur ? Ou... à l'excitation que je ressens à l'avoir laissée seule au milieu de ces deux fauves affamés ?
Je me dirige donc tranquillement vers l'allée excentrée où nous avions fait halte, je ne vois pas encore ce qui s'y passe, tant le dédale des containers est fourni et agencé de manière à optimiser l'espace disponible. Mais j'entends des échos, des bribes d'éclats de voix portées par le vent.. Puis téléphone levé, je débouche enfin sur la perpandiculaire qui m'offre la vision lointaine de la scène que j'espérais (un peu)

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AM01 FC.mp4
C'est sauvage, elle n'a visiblement opposé aucune résistance loin de là

, ne montre aucune gêne à ne pas m'avoir attendu pour profiter de ces queues tendues, elle est entreprise à la hussarde, les pantalons ont juste eu le temps d'être baissés, traduisant l'urgence pour elle de se sentir pénétrée, et pour eux de profiter de son corps et de ses bonnes dispositions. Entourée ainsi, excitée après notre séance photo, je la sens... littéralement en feu

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