Plus spécifiquement en septembre, nous sommes allés à un pot dans le cadre d’un départ important au sein de mon équipe de boulot. Ça faisait 5 ans que nous n’avions pas été réunis avec les collègues et les conjoints (le Covid a aussi fait son œuvre…).
Sa tenue du jour :
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Journée sympa, pleine d’émotions, bonne bouffe et décompression. Tout le monde a discuté autour d’un verre pour (re)faire connaissance, ma miss n’étant pas en reste : elle est très sociable.
Et ça n’a pas loupé, certains n’en ont pas raté une miette. Réunis ensuite au café du lundi matin, j’ai fait un petit compte-rendu à madame des commentaires élogieux qui m’ont été faits par mes 4 plus proches collègues:
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J’ai feint l’indifférence mais… purée le pied de les voir baver devant mon petit bout de femme. Et là où ça prend tout son sel, c’est quand on sait que ces gars sont assez chauds en l’absence de leurs femmes, mais totalement bridés en leur présence, j’en serais presque triste pour eux. C’est peut-être salaud mais j’apprécie d’autant plus d’avoir su garder ma pépite auprès de moi et de lui avoir fait découvrir toutes les joies que nous partageons.
Mais la soirée la plus excitante à mon avis s’est tenue début octobre, où c’est elle qui était conviée à un pot de départ dans un bar à Paris. Nous avions ensuite rendez-vous avec un homme (mais c’est une autre histoire…), et je l’ai rejointe après les « festivités » à la sortie du métro.
Sa tenue d’Automne sobre de working girl n’avait rien d’extravagant, mais elle m’a tout raconté et… Whaouuu
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Elle a donc "subi" avec le sourire la drague des 3 barmen du lieu devant ses collègues médusés, y répondant avec constance et assurance, tout en jouant un jeu délicieusement pervers.
Dès leur arrivée, alors qu’elle commande un premier cocktail, l’un des barmen l’accoste direct et lui lance en forme de compliment qu’elle ressemble à Elsa Zylberstein.
Je sais qu’elle en a été flattée. Pas de bol pour eux, elle n’est pas friande de petits jeunes et sans le savoir, du haut de leur 25 ans max, ils n’avaient aucune chance. Mais la discussion qu’elle m’a relatée dans ses moindres détails durant notre trajet en métro m’a émoustillé comme rarement ! Et elle aussi comme elle l'a admis sans que je doive insister
Vite rejoint par ses deux comparses flairant le bon coup, ils ont enchaîné les compliments, les verres gratuits, et malgré les tentatives de la miss pour détourner leur attention sur ses collègues plus jeunes et célibataires, la discussion a pris un tour intéressant :
«- Ah mais vous êtes mariée ?
- Et oui…
- mais une belle femme comme vous, vous ne profitez pas un peu avec un amant de temps en temps ?
- Oh si bien sûr, plein même !
- Ah et monsieur est au courant ?
- Bien sûr, on le fait même ensemble, d’ailleurs je vais devoir vous laisser, nous avons rendez-vous et je vais me faire baiser ce soir
- … »
Elle m’a avoué qu’elle s’était elle-même bluffée d’avoir répondu avec tant de naturel mais que la confiance qui l’anime désormais est inébranlable (elle, au moins
). Parce que clairement ce soir là le plan qui était dans la tête des tenanciers c’était de se faire une milf à 3, un mini gang bang quoi…
Et elle n’aurait pas su comment gérer ça à une époque pas si lointaine.
En analysant ensemble sa réaction, elle s'est sentie flattée d'être, à l'approche de la cinquantaine l'objet des attentions de ces trois petis jeunes, et c'est finalement plutôt un motif de fierté pour elle.
Le plus étonnant reste la réaction de ses collègues, qui l’ont encensée pour sa façon de leur avoir cloué le bec en leur racontant je cite, « n’importe quoi ».
Qui pourrait croire en effet que mon épouse modèle, sage et sérieuse, n’a fait que leur révéler la vérité crue ? ... Et qu’une heure plus tard elle en était là (je vous raconterai
) :
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