- 01 juil. 2023, 01:55
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La fin du séjour arriva et je revins chez nous en même temps que Victoire. Elle voulu tout savoir comme à son habitude et je ne lui cachai rien, si ce n’est que nous nous étions pris en vidéo, mais ça pouvait attendre. « En fait vous avez surtout fait du tourisme et pas tellement couché ! » me dit-elle avec un ton moqueur !
Juillet fut là. Nous quittâmes en voiture pour l’Espagne comme chaque été. J’avais prévu un retour aérien d’une semaine pour aller voir ma mère dans son ephad, et en profiter pour être avec Lison le reste du temps. Victoire m’annonça en cours de route qu’elle avait invité à sa demande P.. pour une semaine à une date à préciser. Bon, soit pourquoi pas. Nous traversâmes l’Espagne vers Denia pour y prendre le ferry qui nous amena à notre île chérie. Je pris une réservation pour la mi juillet dans le but d’effectuer mon devoir filial envers ma mère, mais pas que. A l’aéroport, je patientais avant le check-in en regardant les passagers arrivant par le « gate », Quelle ne fut pas ma surprise lorsque P.. apparu et me voyant vint m’embrasser. Il me dit « attend, je ne suis pas seul, il y a Ali qui me suit ».. j’allai de surprise en surprise ! Quelques instant plus tard il fut rejoint par Ali ! Je leur dis « eh bien ça, je ne m’y attendais pas, et où allez-vous comme ça ? » P.. me regarda interloqué.. « mais enfin chez vous, Victoire m’a invité, c’était prévu !... mais toi tu pars où ? » Je lui ai répondu que je m’absentais pour une petite semaine pour aller voir ma mère, mais que Victoire ne m’avait, comme d’habitude, pas informé, ni de la date de son arrivée et encore moins qu’ils seraient deux. J’appelai Victoire pour lui annoncer que je venais de croiser P.. accompagné d’Ali. Réponse : « ah bon il vient aussi ?... Faut que je prépare une seconde chambre.. » Ça ne la perturbait pas plus que ça, OK alors moi non plus ! Je m’envolai, assez perplexe quant à ce qui allait se passer pendant mon absence. J’étais un peu rassuré , car une vieille amie tenant compagnie à Victoire, j’espérais que leur venue n’entraînerait pas de débordements indécents pour elle.
Je retrouvai Lison qui vint me prendre à l’aéroport dans sa nouvelle Peugeot 206 et nous nous embrassâmes. Elle avait profité du beau temps, elle était toute bronzée. Elle me déposa chez moi d’où j’allai retrouver ma mère avec qui je passai une partie de la soirée, lui tenant compagnie pour le dîner. Au moment du coucher, je l’embrassai et filai rejoindre Lison qui m’attendait en ville dans un bon resto. Nous passâmes une soirée délicieuse, Lison étant toujours très câline les premiers jours de retrouvaille. Au lieu d’aller chez elle un peu loin hors de la ville, étant fatigués je lui proposai de venir chez moi. Il était tard, après un dernier verre, je l’entraînai dans la chambre conjugale qui en avait déjà vu pas mal avec P.. ! Elle se rendit dans la salle de bain attenante et elle prit une douche. Quelle bonne idée pensai-je et je la rejoignis. A deux sous l’eau agréablement tiède nous nous collâmes l’un à l’autre, ventre contre ventre, collés bouche à bouche. Elle me saisit le membre qu’elle excita sans peine et, me tournant le dos, projetant ses fesses vers moi elle me dit de la pénétrer.. Ce que je fis sans peine et avec grand plaisir ! La tenant par les hanches je m’enfonçais profond dans son ventre sous un déluge d’eau tiède. Ce fut bien agréable et encore plus lorsqu’elle lâcha son râle bien connu, signe qu’elle avait atteint l’orgasme. Elle m’encouragea en me disant les choses qu’elle savait excitantes pour moi, et oui, moi aussi je vins, tirant au plus profond d’elle toute la semence dont je fus capable. Elle s’écoula à nos pieds et disparu dans la bonde au désespoir de Lison.. « Pourquoi tout ce bon sperme doit-il se perdre ? il y a tant de femmes qui en auraient besoin, moi comprise, j’aurais tant voulu en avoir un de toi ! » Je l’emballai dans un grand drap de bain. « Pourquoi tu ne vas pas en donner à la banque du sperme ? » Je lui racontai que je l’avais fait lors de mes études mais que maintenant j’étais trop vieux, on accepte les dons que d’hommes jeunes et en bonne santé. « Ah bon ? mais tu es en bonne santé ! « Oui mais je ne suis plus jeune chère Lison ! » .. « pour moi si.. alors tu en as donné, donc il y a des femmes qui ont fait des enfants avec tes gamètes ? » Je le supposais mais n’en savais rien, j’avais fait plusieurs dons, une dizaine, qui furent congelés dans de l’azote liquide. « Oh les pauvres ! » me dit-elle, espiègle! Après cet intermède, nous nous mîmes au lit, elle voulut prendre la place de Victoire. Ça l’excitait assez d’y être, elle me le dit et me demanda de la prendre encore une fois, comme si elle était Victoire ! J’étais fatigué et il fallut toute sa science pour me faire revenir suffisamment dure pour la pénétrer. Quelle délice d’être en elle ! quelle douceur ! Je bougeais doucement tout en lui caressant son petit bouton, elle gémissait. Je raidissais de plus en plus de sorte que je pus la baiser et la faire jouir. Je restai en elle en m’endormant. Me réveillant très tôt matin, elle était collée à moi, face à face. Me retournant je l’entendis dire « oh non reste contre moi s’il te plaît, comme si j’étais ta femme ». Je me rendormis.
Mon portable me réveilla assez tôt : c’était Victoire. « Où es-tu ? » demanda-t-elle.. Ne me laissant pas répondre, elle enchaîna en me demandant des nouvelles de ma mère, puis pour éviter qu’elle ne revienne sur le sujet, je lui demandai comment ça se passait avec P.. et Ali. Elle se lança dans de longues explications m’expliquant notamment que chacun avait dormi dans leur chambre, et qu’elle avait dormi seule. « Et toi, je suppose que tu vas allez voir Lison ? » Je lui répondis que c’était en effet au programme sans entrer dans les détails. Je lui dis qu’on se rappellerait demain, mais pas aussi tôt. Lison et moi allâmes faire du shopping en ville, elle avait besoin de se renipper. Je la laissai faire ses choix, les siens n’étant pas nécessairement les miens.
Nous regagnâmes sa maison, son chien devant être nourri. Après un petit resto italien pour déjeuner, un peu imbibés par un rosé des Pouilles nous sommes allés faire la sieste dans son jardin sur des matelas. C’est là qu’elle se faisait bronzer. Elle se mit nue en se couchant sur le ventre en me disant d’en faire autant. Nous fûmes nus tous les deux et les papouilles ne tardèrent pas. Je l’ai baisée dans son jardin en la chevauchant, en espérant qu’aucun voisin ne nous avait épié. Mais au fond je m’en fichais pas mal, tant mieux pour les voyeurs, et tant pis pour sa réputation ! Elle me dit qu’elle était déjà faite !
Je retournai voir ma mère chaque après-midi et passai quelques heures jusqu’au repas du soir. Nous parlions du passé, elle évoquait ses souvenirs, chose que j’adorais.
Le soir je retrouvais Lison et nous sortions pour aller dîner en ville. Puis le reste allait de soi.. Elle appréciait de prendre la place de Victoire, nous regagnâmes donc le lit conjugal. On s’y envoyait en l’air, parfois furieusement, souvent doucement. Les jours passèrent, je n’avais reçu que peu d’appels de Victoire. J’appelai moi-même, ce fut N.. notre amie qui répondit. « Ils sont partis en Zodiac et ne reviendront que ce soir » me dit-elle, ajoutant qu’elle ne s’ennuyait pas du tout au contraire, elle adore faire la cuisine et préparer des bonnes choses pour le dîner du soir. Je ne posai pas de question à propos du trio, je les imaginais dans l’eau, nageant nus dans les criques inaccessibles autrement que par la mer, comme nous l’avions toujours fait Victoire et moi. Lison était aux petits soins pour moi, un peu trop, cela m’agaçait. J’avais envie d’air et d’espace, de mer, d’action. Avec elle, l’action n’était pas son fort. Je devais moi-même trouver des occupations car sinon nous aurions passé la semaine au lit à coucher ensemble. J’aimais surtout passer la soirée et la nuit avec elle, puis le matin jusqu’au petit déjeuner. Après il me fallait un autre genre d’action. Et là, ça calait. Je l’emmenais, un peu de force, faire une ballade à vélo ou visiter quelque chose. Mais c’était sans grand enthousiasme et provoquant parfois un accès de colère. Pour ça, tout le contraire de Victoire ; je savais bien pourquoi je ne la quitterais jamais. La fin de la semaine vint, j’allai saluer ma mère et à midi Lison me conduisit à l’aéroport. Elle me demanda si je reviendrais encore la voir, mais je lui dis que non, pas avant mon retour d’Espagne. Par contre je lui promis que nous ferions encore des voyages. Elle en fut ravie et m’enlaçant, elle me souhaita bon voyage.