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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#2599050
J’ai raconté dans « anne femme mariée.... » notre expérience candauliste depuis l’origine, jusqu’a Son terme.

Je souhaitais vous décrire les différents fantasmes que je n’ai pu assouvir avec Anne ainsi que ceux qui auraient pu être réalisés si les situations vécues avaient pu se poursuivre.

Mon premier fantasme :

Que ma femme s’inscrive sur un site internet et qu’elle prenne l’initiative des rencontres..
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#2599202
Dans un post sur un autre fil de discussion, tu as évoqué l idée de la confié à un maître le temps de une journée ou d un week-end... Nous, Virginie se laisse tellement aller dans ses plaisirs qu elle assume avoir un maître, elle y va en moyenne une fois par semaine.... La semaine dernière il lui a fait la surprise d avoir invité un voyeur trouvé sur Internet... Elle est donc arrivé normalement chez son maître, du fait quel debauchais son maître lui a indiqué d aller prendre une douche avec nettoyage anal poussé... Son maître l as ensuite équipé de son collier, d une laisse,de bracelet de poignet et chevilles enfin il lui Banda les yeux... Elle a alors été attaché main en l air debout debout et nue...le voyeur est arrivé 30 minutes après....Elle s est fait prendre devant cette personne equipé de son collier et sa laisse pendant une bonne heure (bouche vagin et anale).... Quand elle est arrivé à la maison elle s est empressé de me conter son aventure et elle voulait absolument que je la prenne.... :x
#2599287
Belle histoire Dnie.

En fait mon fantasme était que je la confie à un Maitre pour un week-end ou un semaine et que celui-ci en fasse son esclave sexuelle. Qu’il l’offre à des groupes, qu’il l’exhibe, qu’il en fasse une pute, etc.....
#2599344
@dnie: une experience qui semble avoir beaucoup plu à Virginie.

@Alexmart77: ce fantasme de vouloir sa femme en "esclave sexuelle" n'est pas facile à mettre en œuvre. Il faut déjà que la femme est une envie de "soumission", de plus avec un "Maître" qu'elle n'a pas choisie et en plus d'être traité en pute................... Ca fait beaucoup.
#2599376
Elle aurait su se montrer soumise aux ordres d’un dominateur expérimenté sachant se conformer aux limites définies. Je suis certain qu’elle se serait comporté en parfaite soumise. C’est pourquoi je regrette de ne pas l’avoir fait.
#2599406
Du fait de la confiance qui c est installé entre notre couple et son maitre, nous sommes rendu loin psychologiquement dans ce jeux.... C est devenu un État d esprit quand on (elle seule) est en présence de Stéphane son maître... Elle laisse son corp au bon vouloir de Stéphane pour son plaisirs à elle... Cela peut aller jusqu'à intégrer de tierce personne alors qu'elle est totalement attaché... Elle a déjà vécu chez son maître pdt 24h à disposition...
#2601843
Voici un fantasme que je n’ai pas réalisé... j’ai trouvé intéressant de le faire raconter (fictivement bien sur car c’est mon fantasme, et je ne sais pas si elle aurait pu le partager, car je n’ai jamais osé lui en parler)...... comme vous pouvez l’imaginer suite à mes différents récits il y a dans ce texte des faits réels....

Suite à la soirée au cours de laquelle j’avais été utilisée comme soumise sexuelle, et au cours de laquelle j’avais fait connaissance avec celui qui allait devenir pour une période courte Maître Philippe et sa complice Nathalie.

Maître Philippe m’appela (Alex lui avait donné mon numéro de portable, ce que j’ignorais).
« Bonjour Anne, j’aimerais déjeuner avec toi. Vendredi midi, c’est possible pour toi ? »
Étonnamment, j’acceptais l’invitation de Philippe sans hésitation.
Philippe m’avait donné rendez-vous dans un restaurant du Palais Royal (Chez Pierre). La disposition des tables, et la discrétion du service, nous permettaient d’aborder de nombreux sujets sans se soucier de nos voisins de table.
J’appris que Philippe avait un poste à très haute responsabilité dans un Groupe international, et qu’il voyageait beaucoup.
Il aborda rapidement les thèmes sexuels pour m’indiquer qu’il était bisexuel (ce que je savais), qu’il avait une amie (Nathalie), et un ami, qui, d’ailleurs, s’était occupé de moi lors des 2 soirées. Il aimait le sexe avec les hommes et il précisa qu’il était autant actif que passif.
Il pratiquait le Sado Masochisme (SM pour les initiés) depuis plusieurs années, et était connu dans ce milieu à Paris. Il aimait dominer hommes et femmes, mais particulièrement les femmes. Il lui arrivait également de se faire soumettre. Il m’indiqua être « switch », selon la terminologie employée dans le milieu SM.
Il ne faisait jamais l’amour à ses soumises, se contentant éventuellement de les pénétrer avec divers objets, ou avec ses mains.
Il m’interrogea longuement sur mes envies et mes fantasmes. Il cherchait notamment à savoir si j’étais tentée par une relation de type domination/soumission.
J’évoquai alors les quelques expériences de contraintes qui avaient accrues l’excitation que j’éprouvais. Je voulais bien vivre des situations de soumission, mais uniquement à caractère sexuel, et en aucun cas subir des actes violents.
Il était charmeur, et me parlait comme un homme «faisant fait sa cour ». Seuls les propos pouvaient choquer.
« j’aimerais t’avoir comme soumise, Anne»
Cette demande, formulée avec douceur, je l’attendais depuis qu’il m’avait fixée ce rendez vous.
Je l’attendais, et la désirais.
Je trouvais le personnage énigmatique, froid lors de mes visites chez lui, chaleureux depuis le début de notre déjeuner.
Sa volonté de me dominer constituait pour moi une reconnaissance. Je ne me sentais pas avilie, mais honorée.
« pourquoi pas, mais je ne suis pas prête à accepter n’importe quoi »
« je te propose de rédiger un contrat de soumission, dans lequel nous fixerons le périmètre que nous pourrons explorer, ainsi que les interdits. Es tu d’accord ? »
« oui, ça me va ».
Philippe m’envoya un projet de contrat par mail, dans les jours qui ont suivi notre déjeuner.
Plusieurs allers et retours furent nécessaires pour tomber d’accord. Philippe semblait particulièrement satisfait lorsque je vins lui remettre.
« Merci Anne, à compter de ce jour tu es « soumise Léa », je te tutoierais lors de mes dominations. Je te demande de me vouvoyer ».
Je ne dévoilerais pas le contrat sur lequel nous nous sommes mis d’accord. Je puis simplement préciser que Philippe m’obligeait, en particulier, à relater, dans le détail, chacun des plans auxquels je participerais. Le récit que je devais en faire concernait non seulement les aspects purement factuels, mais également les émotions que je pouvais ressentir avant où après. Je devais lui remettre mes comptes-rendus sous 48 heures.
Philippe m’appela quelques jours plus tard. Il me proposait de m’exhiber au bois de Boulogne, je devais être nue sous un manteau, il m’attacherait avec une laisse et un collier. La présentation du scénario n’était pas prévue dans notre contrat, mais Philippe souhaitait y aller en douceur pour la première fois.
Le Bois de Boulogne, je connaissais, pour y avoir été souvent avec Alex, mais je trouvais cette proposition excitante venant de la part de Philippe.
« c’est uniquement de l’exhibition, ou vous envisagez autre chose ? »
« non, exhibition uniquement, et éventuellement je te demanderais de sucer, mais ce n’est pas certain »
« c’est d’accord, c’est pour quand ? »
« vendredi dans 2 semaines , tu t’épiles totalement, et tu achètes une perruque blonde »
« une perruque ? »
« les blondes sont excitantes pour les noirs et les arabes »
« ouh lala… je vais me faire violer »
« non, nous serons 3, dont un ancien militaire qui était dans les commandos, tu ne crains rien »
« bon, je vais essayer de trouver une perruque »
« il y en a dans les sex-shops, ou sur internet »
« ok, je vais chercher ».
La préparation de cette soirée m’a excitée. Je me masturbais souvent en pensant à ce qui allait m’arriver.
Trois jours avant le vendredi en question, Philippe m’appela :
« alors, tout est prêt ?»
« oui, j’ai trouvé la perruque »
« ça te plais ? »
« oui, mais je me trouve plus sexy avec des lunettes noires »
« ça peut être une bonne idée, tu peux les mettre »
Je m’installais à l’arrière de la voiture peu après minuit. Philippe était à mes côtés, à l’arrière. Le conducteur, Ian, était large d’épaules. Il avait le crâne rasé. Le passager avant (Max) était un ami de Philippe que j’avais déjà vue lors de la dernière soirée chez lui.
« avant d’aller au Bois, on va faire un petit tour dans Paris. Il faut qu’on soit au Bois vers 1 heure ».
« c’est parti ». Ian démarra en direction de la Place de la République.
Philippe vérifia que j’étais préparée comme il l’avait demandé. Il me demanda d’écarter les cuisses. Il me découvrit totalement. J’étais totalement nue. Il passa sa main sur ma chatte, puis entre mes fesses .
« elle est toute douce les gars. elle est jolie comme ça, qu’en pensez-vous les amis ?»
Max se retourna, « oui, elle est très jolie »
« superbe, quelle belle poupée » dit Ian en me faisant un clin d’œil, dans le rétroviseur.

Nous avons roulé pendant une heure dans Paris. Philippe m’avait simplement demandée de laisser le manteau totalement ouvert, et de garder les cuisses écartées.
Aux feux rouges, en fonction des automobilistes ou motards présents à côté de notre voiture, Philippe refermait le manteau ou le laissait ouvert.
Un motard fit un geste, et Ian baissa sa vitre.
« elle est jolie, vous avez un plan ?
« on l’emmène au Bois pour une exhib, tu peux suivre si tu veux »
« je vais voir, j’ai un truc à faire, et j’irais peut être faire un tour. Putain, elle est bandante »
Philippe m’avait demandé d’écarter les jambes davantage, et de me caresser les seins, pour exciter le motard.
Nous avons poursuivi notre périple, avant d’arriver Porte Maillot. Philippe me passa un collier en métal chromé auquel était attachée une laisse en cuir rouge.
« fais un petit tour Ian, on va d’abord voir comment ça se présente ».
Ian emprunta l’avenue longeant le boowling.
Beaucoup d’hommes marchaient le long des allées, en bordure du bois. La plupart étaient seuls, mais il y avait quelques groupes.
De nombreuses voitures roulaient à allure réduite. A un carrefour, un attroupement était formé autour d’une camionnette vendant des sandwichs et des boissons.

« Passe lentement Ian» Philippe alluma le plafonnier arrière. Je devais être parfaitement visible de l’extérieur. Les hommes agglutinés autour des prostituées aperçurent la lumière, et se dirigèrent vers nous.
« exhib, exhib…. » Les mots « magiques » étaient prononcés. Des hommes coururent près de la voiture en espérant en voir davantage.
« c’est bon, on continue… rapproche toi de l’hippodrome, il y a des endroits sympas »
Ian, gara la voiture sur un parking au sol défoncé. Il y avait quelques véhicules stationnés. Nous attendîmes une dizaine de minutes. La lumière du plafonnier arrière était toujours allumée.
« c’est bon on y va ».
Philippe avait sans doute voulu attendre que nous soyons repérés avant de sortir.
« Tu marches bien droit Lea »
J’étais aux côtés de Philippe, Ian et Max nous suivaient à une dizaine de mètres. Philippe tenait la laisse, et je ne pouvais m’éloigner trop de lui. Le manteau était déboutonné, et il tournait autour de moi, à chaque pas. Juchée sur des escarpins d’une dizaine de centimètres, je devais avoir une démarche assez ridicule.
Nous arrivâmes près d’un très gros arbre. L’endroit était piétiné, laissant imaginer que de nombreuses rencontres se faisaient ici. Je n’avais encore pas aperçue d’hommes, lorsque je vis des ombres s’approcher.
« approchez, messieurs, cette jeune personne aime que je la montre, approchez »
Effectivement, je vis un groupe d’hommes approcher timidement. Je remarquais 2 jeunes d’à peine vingt ans.
Philippe tenait toujours la laisse qui était accrochée à mon collier de chien (de chienne ?). Il ouvrit mon manteau offrant au regard l’intégralité de ma nudité.
Les voyeurs ne disaient rien. L’un d’entre eux commença à s’approcher.
« On ne touche pas, elle va se montrer , vas y Lea, écarte bien les jambes et caresse toi ».
Je commençai à passer mes mains sur mes seins et ma chatte. J’écartais mes lèvres en avançant le bassin, pour qu’ils voient bien ma vulve.
Je voyais les hommes bouger leur main dans leurs pantalons, puis la plupart sortirent leur sexe. D’autres hommes, arrivèrent, je vis même une femme parmi eux. Je continuai à me caresser. Philippe écartait bien le manteau, il me faisait tourner sur moi-même, me donnant des petites tapes sur les fesses.
J’entendais des murmures, puis une voix rauque « elle suce pas ? ».
« Non, je l’exhibe, c’est tout , mais vous pouvez vous branler sur elle ».
Philippe enleva mon manteau, et l’étala sur le sol.
« allonge toi , et continue à te caresser»
« maintenant vous pouvez l’arroser »
Les hommes qui se branlaient s’approchèrent. Je vis tous ces visages au dessus de moi. Certains hommes étaient crispés, d’autres semblaient ne pas marquer un intérêt particulier à ce qu’ils voyaient et agitaient leur main avec détachement.
Je continuais à me caresser. Voir ces sexes bandés agités frénétiquement m’excitait énormément, et je commençais à être agitée de soubresauts.
Les premières giclées tombèrent sur mes jambes, les suivantes arrosèrent mon ventre.
« Sur la figure, sur la figure » ordonna Philippe.
Les plus endurants, quatre ou cinq, éjaculèrent sur mon visage. J’en reçu également sur les lunettes. Je devais donner un drôle de spectacle, allongée dans ce bois, nue avec un collier de chien, me faisant couvrir de sperme par des inconnus. Le premier cercle ayant fini de jouir, d’autres hommes prirent le relais. Ils devaient se masturber depuis un certain temps, car la plupart éjaculèrent tout de suite.
« allez Lea, c’est bon, tu peux te relever ».Les hommes se dispersèrent.
J’étais ravie de retrouver la voiture, dans laquelle je profitais du nécessaire de nettoyage me permettant de me laver.
#2601844
Philippe prit le volant, et demanda à ses 2 complices, dont la présence avait été rassurante pour moi, de monter à l’arrière.
« Lea, tu les remercies pour leur protection. Tu vas les sucer ».
C’est ainsi que Philippe me raccompagna chez moi, en faisant suffisamment de détour pour que je termine ma besogne. J’ai pompé Ian et Max jusqu’à la dernière goutte.
Comme à l’accoutumée, je suis rentrée encore plus excitée, et j’ai réuni ce que j’avais de gods pour tenter de me calmer.
#2603460
Voici un autre fantasme, que j’aurais aimé qu’Anne réalise..... je précise que je l’ai fait réaliser à une femme rencontrée sur un site ami....

Je l’ai fait raconter - fictivement - par Anne.....

Alex m’avait proposé à plusieurs reprises de faire une exhibition dans un centre commercial. Je n’avais pas d’idée précise sur le sujet, mais je trouvais assez cocasse l’idée de me montrer dans ce type d’endroit. J’avais donc fait demandée à Alex de m’exposer le scénario qu’il avait imaginé.
« Dès que tu vois un voyeur potentiel, tu te penches, ou tu t’accroupis les cuisses écartées. Si il est accroché, il viendra te voir, et tu lui proposeras d’aller le sucer dans ta voiture ».
« direct……, et tu crois que je peux faire ça aussi simplement ? »
« oui, c’est excitant, tu as déjà fait pire.. »
« et toi, tu seras où ? »
« soit je ne serais pas là et tu ma raconteras, soit je serais dans les parages, sans me montrer, et je te regarderais faire… »
« pourquoi pas, mais je préfère que tu ne sois pas trop loin ».
Pendant plusieurs semaines, je testais différents centres commerciaux cherchant à trouver le meilleur pour l’exécution du plan imaginé par mon mari. J’imaginais les conditions de réalisation de ce fantasme, je me mettais en situation, identifiais les endroits susceptibles de se prêter à l’exhibition, et ceux propices pour faire une pipe. Je menais ce projet de manière méthodique et rigoureuse.
C’est ainsi, le choix du lieu fait, que nous sommes allés aux « Quatre temps » à la Défense, un vendredi midi du mois de Juin. J’avais mis ma tenue de circonstance, minijupe, escarpins, string, soutien-gorge sans bonnets, jambes nues, tshirt.
Alex me laissa seule à l’entrée du centre, au bas des escalators « à toute à l’heure, fais ce que tu as à faire, je te retrouverais dans la voiture quand tu auras terminée ».
Dans ce genre d’endroit, on trouve facilement des hommes draguant la ménagère.
Je m’attardais dans le rayon DVD, lorsque je remarquais la présence d’un homme, à 5 mètres de moi,que j’avais croisée au rayon « livres ». Il était assez grand, blond, habillé d’un costume gris. Sa cravate rouge, voyante, contrastait avec sa chemise bleue. Il était plutôt pas mal.
Je sentais ses regards. Je me penchais pour ramasser le dépliant que je venais de faire tomber. Mon dragueur, n’était pas vraiment derrière moi, mais il pouvait voir à quelle hauteur remontait ma mini. Cela devait commencer à l’intéresser.
Je me suis déplacée dans le rayon « CD ». Je ne le voyais plus. Je m’étais sans doute trompée sur ses intentions. Je prenais un par un quelques CDs de musique classique, sans conviction. Soudain, mon dragueur réapparu au bout de la rangée. IL regardait le contenu de la « tête de gondole ».
Je m’accroupis, dans sa direction, pour prendre un cd située sur la dernière étagère en bas. Faisant cela, j’écartais les cuisses assez largement. Je sentais son regard, et restais dans cette position une vingtaine de secondes. Je me redressais après avoir remis le cd à son emplacement, et m’apprêtais à quitter l’allée, lorsque j’entendis :
« bonjour, excusez moi de vous déranger, mais je vous trouve très jolie, et j’aimerais vous offrir un verre… »
Banale, l’entrée en matière, mais cela ne devait pas être facile de faire preuve d’imagination.
« merci pour le compliment,…. Vous me trouvez jolie ? »
« oui, et vous êtres très sexy… »
Je le regardais droit dans les yeux, j’avais décidé d’être directe « pourquoi vous dites ça ? »
« vous avez de très jolies jambes, et avec votre mini…….. »
« oui, surtout lorsqu’elle est comme ça » lui répondis-je en remontant ma jupe jusqu’à ce qu’il puisse voir mon string.
Il se mit à rougir, je remis ma jupe en place.
« vous n’avez pas froid aux yeux, vous acceptez ma proposition ? »
« non, »
« c’est dommage, …..vous être certaine ? »
« je n’ai pas soif, mais je vous propose de vous sucer »
Il devient encore plus rouge « mais… mais .. vous faites ….. vous êtes… »
« non, je ne suis pas,… c’est gratuit »
« mais où ? »
« dans ma voiture,… au parking »
« au parking ?, mais on va nous voir.. »
« c’est possible, mais je suis garée au parking central, il y a moins de monde… »
Il marqua un temps d’arrêt, avant de prononcer « d’accord, je vous suis ».
En effet, je connaissais le parking des 4 Temps, et en pleine journée, il était impossible d’être tranquille. Le parking central était plus propice, moins lumineux, et il y avait quelques places isolées.
« tu t’appelles comment ? » Il employait le tutoiement comme on le fait avec une pute.
« Caroline et toi ?» j’avais donné le prénom qui me venait à l’esprit
« euh …………….Thierry… »
L’hésitation signifiait qu’il n’avait pas osé, lui aussi, donner son vrai prénom.
Nous avons franchi l’esplanade sans dire un mot, pour trouver les escaliers menant au parking. « Thierry » me suivait.
J’avais eu la chance de pouvoir mettre ma twingo dans une place isolée, une sorte de box, ce qui présentait l’avantage de n’avoir aucun vis-à-vis possible. Seuls les personnes passant derrière pouvaient nous voir.
Je lui demandais de s’installer côté conducteur. Je trouvais plus logique, que s’il ne devait y avoir qu’un seul occupant visible, cela soit le conducteur.
« baisse ton pantalon » lui ordonnai-je.
« tu peux enlever ta culotte ? »
« non, mais tu peux toucher » Je voulais une pipe rapide, sans préparatif.
Je pris sa queue, et y imprimais un mouvement de va et vient, pour le faire bander. Très rapidement je me penchais et l’avalais complètement. Il essayait de me toucher la chatte, mais la position n’était pas facile. Il parvint à introduire deux ou trois doigts dans mon vagin.
« tu mouilles, t’es une vraie salope »
Ces mots eurent pour effet de me faire mouiller davantage.
Il me caressait la chatte, puis, en passant son bras derrière mon dos, il m’introduisit plusieurs doigts dans le cul.
« putain, tu mouilles, t’es ouverte, t’es une super salope »
Je continuai à engloutir sa queue. Je le suçais rapidement, je ne voulais pas prolonger ma prestation dans ce lieu.
Je sentis les premières contractions. Je continuai à le branler jusqu’à l’éjaculation. Il avait pris le relais, en serrant très fort sa queue, refermant le gland pour empêcher que le sperme ne se répande sur son pantalon. Je lui tendis un mouchoir.
« Putain, t’es vraiment une salope… tu fais ça souvent ? »
« non c’est un pari avec un copain … il ne doit pas être très loin d’ailleurs »
« en tout cas, si tu veux recommencer, n’hésites pas ». Il griffonna un numéro de téléphone sur un bout de papier qu’il me tendit en sortant de la voiture.
Je sortis également pour me placer derrière le volant. J’attendis 5 minutes avant de voir arriver Serge.
« alors ? c’était bien ? »
« oui, pas mal, c’était marrant ».
#2604102
Un autre fantasme qui s’inspire d’une expérience vécue, mais que j’avais choisi d'écourter.... comme pour les autres je fais parler Anne....

Nous avons fait le tour de la porte Dauphine, et nous engageâmes dans le bois de Boulogne. J’étais très excitée (je mouillais vraiment), et Alex semblait un peu nerveux.
« c’est toujours comme ça ? » lui demandai-je
« oui, mais je n’aime pas les mecs qui se comportent comme ça. Ce ne sont pas de « vrais » voyeurs ».
Je n’essayais pas d’avoir d’autres explications sur ce que Alex appelait « les vrais voyeurs ». Cette exhibition m’avait plue, et je me caressais la chatte.
A un feu rouge, dans le bois, un énorme 4x4 apparut sur la file de droite. Le conducteur fit descendre la vitre et nous interpella :
« excusez moi de vous déranger, je vous suis depuis l’avenue Fayolle (j’appris plus tard qu’il s’agissait de la rue dans laquelle Alex m’avait exhibée), et j’aimerais que madame se montre.. »
Le conducteur me dominait de la taille de son engin sur lequel figurait le nom d’une entreprise de bâtiment. J’examinais l’intrus, il avait un visage « intéressant », très mâle.
Alex le regarda, et lui dit « pourquoi pas ? ».
« Suivez moi, je connais ».
Nous l’avons suivi durant 5 minutes. Il s’arrêta sur une aire de stationnement proche de la Porte Maillot. Il descendit et vint de mon côté. Je descendis ma vitre.
« Bonjour, madame est très belle, on peut voir ? »
Il portait un blouson marron en cuir, un jean, et était chaussé de chaussures de chantier genre rangers.
A nouveau, je montrais mes seins, et Serge remonta ma jupe pour bien exposer ma chatte.
« on peut toucher ?»
Serge répondit «oui, si tu es propre »
« oui pas de problème, je viens souvent au bois voir les belles bourgeoises qui se montrent ».
L’expression « belles bourgeoises » me fit sourire.
Il caressa mes seins. Il se rendit compte de leur souplesse, et commença un léger malaxage.
Sa main quitta mes seins, pour descendre entre mes cuisses.
« Mmmmmh , elle mouille ….vous faites souvent des exhibs ?»
« non rarement, ce soir on avait envie » lui répondit Alex.
J’évitais de participer aux échanges oraux entre Alex et mes partenaires inconnus. Je me plaçais dans la posture de l’exécutante, et je me concentrais sur mon rôle d’exhibitionniste.
Alex me caressait également. « Tu ne veux pas t’occuper de lui ? » me demanda-t-il ?
J’hésitai, mais ne dit pas non. Cette absence de réponse encouragea mon peloteur
« Pas ici, si vous voulez, on va dans le bois, on sera plus tranquille »
« Vas y Anne, je surveille »
Je descendis de la voiture. Mon voyeur a eu un large sourire quand je suis sortie de la voiture.
« Putain elle est belle… »
Je le suivis durant une vingtaine de mètres. Il se retourna en déboutonnant son jean. Je pris son sexe, qui était dur, dans ma main, et commençai à le branler. Pour reprendre ma position favorite, je m’accroupis, et m’appliquai à bien le manipuler.
« La salope, putain tu branles bien… »
Je le branlai lentement, mais fermement durant 1 ou 2 minutes.
« Suces moi »
« C’était pas prévu ça » lui répondis-je l’air embêté.
« Allez, tu dois avoir envie, regarde je suis propre, et elle est belle ma queue non ? »
« Bon d’accord, mais j’avale pas »
« ok »
Je pris son membre dans ma bouche et le pompai avec application. Il gardait la tête levée, comme s’il scrutait le sommet des arbres. A chaque fois, qu’il la baissait, c’était pour dire :
« la salope, elle suce bien ».
Cette alternance se renouvela 4 ou 5 fois.
J’ai interrompu cette fellation dès les premiers signes d’éjaculation.
Je lui dis au revoir, le laissant remonter son pantalon. Il me semble l’avoir entendu me demander mon numéro de téléphone. Je ne me suis pas retourné et courus à la voiture.
« Tu l’as sucé ?»
« oui , qu’est-ce que je mouille»
« tu aurais pu te faire baiser »
« non, pas ce soir ».
En fait, je ne m’expliquais pas pourquoi je ne m’étais pas faite baisée, car j’en avais très envie.

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