Après cette deuxième rencontre, C. est devenu mon amant régulier et attitré. J'en avais follement envie et mon chéri aussi.
Je l'ai donc revu une fois par semaine en moyenne, généralement les vendredi soir. Souvent chez lui, parfois à l'hôtel, en club c'est également arrivé. Quelquefois chez nous également, devant mon chéri.
Le premier confinement m'a privé de C. pendant plusieurs semaines, c'est là que j'ai pu mesurer à quel point j'étais sexuellement dépendante de lui, à quel point il était mon maître.
Chaque rencontre était différente, je l'attendais avec impatience. À partir du lundi, au travail je ne pensais qu'au vendredi soir. Parfois il me faisait l'amour tendrement. Souvent il me baisait. Il m'a appris beaucoup et m'a initiée à certaines pratiques. Rapidement avec ses doigts magiques il m'a faite fontaine. Ce fût gênant pour moi la première fois, mais j'ai adoré ce plaisir différent. Et découvert que j'étais capable d'expulser sur le lit ou sur le carrelage l'équivalent d'un verre d'eau....
Il m'a fait apprécier la fessée et les liens.
Patiemment, après avoir joué à de nombreuses reprises avec un plug et du lubrifiant, il m'a initiée à la sodomie, que je n'avais jamais pratiquée. Il a réussi à prendre doucement mes fesses, ce qui n'était pas gagné d'avance vu la taille de son sexe... C. et moi avons souhaité que cette pratique lui soit réservée. Je la refuse donc à mon chéri, pour sa plus grande jalousie. C. a également souhaité que mon chéri ne me fasse plus l'amour de façon systématique à mon retour de chez lui.
C. est toujours mon amant actuellement, même s'il n'est pas le seul. Plus que jamais je suis à lui, je suis sa salope, sa putain soumise. Je suis un sexe qui demande à être pris et à jouir. Mon chéri est toujours aussi épanoui dans le candaulisme, et nous deux toujours aussi amoureux et complices.