- 17 nov. 2020, 08:42
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... Chaque bruit a fait se tendre mon sexe. C’est une expérience tout autant excitante que piquante mais c’est exactement ce que je recherchait
Vers 7H15, encore une fois, j'ai pu percevoir quelques bruits mais vite estompés. La fatigue ainsi que les bruits du quotidien rendaient encore plus difficile mon rôle d'espion auditif. C'est quand même bizarre de guetter le moindre son que peuvent produire sa femme et son amant dans son propre lit alors que je n'y suis volontairement pas invité. Il ne m'a fallu que quelques minutes supplémentaires pour distinguer une vraie activité, la lumière du jour qui passait au travers des volets m'incitait à me lever et me rapprocher d'eux. Je ne pouvais par contre plus me mettre dans l'encadrement de la porte au risque d'être découvert. Je gardais cette opportunité au cas où les bruits deviendraient plus significatifs, ils chuchotaient et je ne comprenais pas grand-chose à leur discussion. Je les imaginais entrelacés en train de se caresser quand je compris que ma femme allait se lever pour ses besoins matinaux. Pas le temps de me cacher alors elle m'embrassa en passant devant moi. Quand elle revint, je me suis mis à l'écart pour lui faire comprendre qu'ils pouvaient continuer leur "réveil corporel" sans moi, mais contre toute attente ou plutôt contre tous mes espoirs, elle décida d'ouvrir fenêtres et volets tout en nous invitant à aller boire un café. Je reconnaissais le coté non-matinal de ma femme. Nous avons enfilé le minimum pour ne pas être nu et chacun repris sa place de la veille. Madame et son courtisan sur le canapé et moi en face. Nous avons parlé de tout et de rien, un peu des émotions qui m'avaient submergés, et ma femme me fit comprendre qu'elle n'avait pas envie de coquineries supplémentaires.
Ils savaient tout deux une envie que je leur avais soumise : prendre la douche ensemble. Le rapprochement des corps dans une douche sensuelle rendait ce moment d'un érotisme sans pareille, je les regardais derrière cette paroi de verre la bite tendue. Ma femme m'invita à les rejoindre, collés l'un et l'autre à elle. Elle prit dans chacune de ses mains nos sexes et comprenait à notre excitation que le dérapage était imminent. Elle freinât immédiatement nos ardeurs, elle sentait que j'aurai besoin de me réapproprier son corps tout le reste de la journée et qu'une séance torride supplémentaire malmènerait trop son sexe pour me l'offrir à nouveau quand nous serons seuls. Chacun s'est donc rincé à tour de rôle puis rhabillé pour partager un dernier verre ensemble avant qu'il ne nous laisse profiter de notre journée.
Encore une fois, David a été exemplaire dans son respect de notre couple, de nos désirs, et il nous a donné envie de faire exploser toutes les dernières limites que nous réservions à notre couple.
De mon côté, je me rends compte que j'ai poussé volontairement le jeu à son comble. Ce jeu capable de faire encore plus de mal que ce qu'il peut exciter. Tout ce que nous avons vécu, je l'avais imaginé 1000 fois, je l'avais au moins autant espéré et je pensais le surmonter aisément. Je me rends compte que ce n'est pas si facile, j'ai serré Anna dans mes bras sans discontinuer pendant plus de 3 heures. On dit aussi que l’estomac est notre deuxième cerveau, et ce n’est pas anodin si j’ai eu besoin d’aller au total plus d’une dizaine de fois aux toilettes. Nous avons longuement discuté de tout l'enchainement qui s'est fait si naturellement, des détails que je n'avais pu voir ou entendre, et son seul regret est de me sentir comme angoissé. Moi je ne regrette rien, je sais que nous n'irons plus jamais aussi loin dans le candaulisme mais nous avons déjà évoqué quelques variantes pour les prochaines soirées....