- 26 févr. 2020, 10:02
#2399092
Quand nous avons crée notre profil sur Forum Candaulisme, en bon élève nous avons crée un sujet de présentation... Sommaire, un peu trop même, c'est pour cela qu'aujourd'hui nous recréons notre présentation un peu plus précise et détaillée. Cela peut aussi peut être inspirer quelques couples qui se cherchent encore dans cette voie....
Nous nous sommes rencontrés il y a presque 5 ans, monsieur 38 ans à l’époque et madame 29. Monsieur fraichement séparé, et madame venait de vivre deux déceptions sentimentales et n’envisageait pas de faire rentrer un homme dans sa vie. Mais la vie a fait que des regards partagés et des mots réconfortants ont fait le reste…
Nous étions voisins, et déjà plus que des amants. Cette proximité nous permettait de finir les nuits ensemble et sans s’en rendre compte, nous avons vécu ensemble pratiquement dès le premier jour….
Au bout de 2 mois, nous aménagions dans un chez nous, un nid d’amour que nous avions choisis ensemble et plus rien ne pouvait empêcher cet amour passionné de prendre son envol. Nous partagions des moments intimes de plus en plus intense au fur à mesure que nous apprenions le corps de l’autre, découvrions de nouveau plaisir. Chacun atteignait son bonheur en voyant l’autre heureux.
Un dimanche après-midi, après un repas familial, nous avions envie de franchir une nouvelle porte, celle d’un sauna libertin…
Plus que novice et ne connaissant aucun code de ce milieu, notre choix se porta sur le club géographiquement le plus proche de nous, un petit club pourvu d’un jacuzzi. Gênés, nous sonnions et un accueil des plus sympathique nous était réservé. Je me revois demander à l’hôtesse si cela ne posait pas de problème que nous n’ayons pas pris nos maillots !!!
Nous étions seuls, et finalement rassurés de l’être, nous errions main dans la main du jacuzzi aux coins câlins pour se familiariser et découvrir les lieux. Quelques personnes sont arrivés en fin d’après-midi mais il était déjà pour nous l’heure de partir.
Nous sommes retournés plusieurs fois dans ce club, sans connaitre de pic de fréquentation, nous n’étions jamais au-delà de 6 à 8 personnes, mais cela nous allait bien, nous pouvions profiter sereinement des coins câlins à notre guise, se contentant de petites d’exhibitions volontaires ou pas.
Un samedi, nous sommes invités sur une plage privée du Grau du Roi, entre amis, et au moment de s’éclipser, plutôt que de rentrer à la maison, nous nous décidons a faire un détour par le Kalyptus, club balnéo libertin bien plus grand. Le samedi soir étant une soirée couple, cela semblait nous convenir parfaitement, et nous pouvions profiter d’un buffet bien garni pour agrémenter notre soirée. Une fois la porte franchi, et devant notre regard interrogateur, la maitresse des lieux à compris que c’était la première fois que nous venions ici. Elle nous expliqua le fonctionnement du club, et nous pouvions profiter pleinement des installations. Une fois le « repas » terminé, nous échangions nos tenues « de ville » pour un paréo pour madame et une serviette pour monsieur, et nous nous dirigeons vers les deux grands bains romains. Par timidité ou par peur, nos premiers pas nous guident au départ vers celui ou il y a le moins de monde, un peu plus éclairé dans le but de voir des scènes érotiques pour nous évader sensuellement. En confiance, nous changeons de jacuzzi pour aller dans le plus vaste, aux lumières plus tamisées, et ou bien plus de monde avait pris place. La crainte du regard des autres s’était vite évaporé, nous étions un couple parmi tant d’autre. Notre confiance prenait place, et madame me prodiguait une douce fellation dont elle a le secret. Nous échangions les rôles, en évitant quand même les regards des autres qui auraient pu être interprété comme des invitations. Un peu plus tard dans la soirée, nous montions dans les coins câlins. La balançoire en cuir nous attirait, et nous décidions d’y prendre place, on sentait des personnes se rapprocher mais nous étions dans notre bulle, jusqu’au moment ou plusieurs mains se sont promené sur le corps de madame. Il y en avait trop, trop d’un coup, et nous avons quitté la pièce. Un dernier bain relaxant, enlacé, complétait notre soirée avant de rentrer chez nous, serein. Nous avions franchis un nouveau cap, de l’exhib un peu plus poussée pour nous.
Nous avons recommencé à plusieurs reprises ces soirées du Samedi, toujours sans trop d’objectifs, juste prendre du plaisir à deux. Généralement nous dormions dans un hôtel qui était à 3 minutes à pieds, cela permettait de se désinhiber un peu en buvant quelques verres sur place.
Un samedi de septembre, madame se sentait un peu plus coquine, et dès 14H, envisageait d’aller un peu plus loin, retourner au Kalyptus et peut être inviter un partenaire à nous rejoindre dans la soirée, elle en avait envie, surement plus pour me faire plaisir que pour son envie intérieure. Nous prenions comme à notre habitude notre chambre d’hôtel, puis cette fois en profitions pour aller boire quelques apéritifs en ville avant de regagner le club. Lors du lunch, pour se donner encore un peu plus de courage, quelques verres supplémentaires ont eu l’effet opposé, elle ne se sentait plus bien et préférait que l’on finisse la soirée à l’hôtel. J’étais forcément déçu et frustré, je m’était maladroitement imaginé plein de scenarii, et à vouloir aller plus loin, nous n’avions même pas profité de nous. Le lendemain, nous profitons de la proximité pour aller au Cap d’Agde, découvrir la fameuse baie des cochons. Il ne faisait ni très beau, ni très chaud et il n’y avait pas grand monde, nous nous caressions, allongés sur notre serviette, en s’amusant de la parade des voyeurs qui rampaient discrètement pour se retrouver a quelques centimètres de nous. Notre complicité était parfaite mais nous ne voulions aller plus loin pour autant. L’après-midi fut consacrée à un jacuzzi, et nous ne cessions de « tomber » sur des publicités sur un site de rencontre libertines : le soir même notre inscription sur ce site fut validée…
Rapidement un contact est établi avec un couple, ils n’habitent pas très loin de chez nous et entre nous le feeling est bien installé (on les appellera ici, Mathilde et Sébastien). Les femmes conviennent de partager un repas ensemble pour se découvrir et valider une éventuelle rencontre à 4, les limites que nous nous étions fixées étaient de ce fait aussi dévoilées. Madame est rassurée, et finalement curieuse des sensations que Mathilde lui avait décrite. Un rendez-vous est fixé un dimanche après-midi, dans notre premier petit club, et nous faisons en sorte d’arriver les premiers pour se retrouver dans le jacuzzi avant qu’il nous rejoignent. Ils arrivent et nous rejoignent dans ce bain si agréable. Elle est plus forte que je ne l’avait imaginé, quand à lui c’est un homme classique, on va dire dans la norme. Nous ne savons pas comment amorcer une approche, c’est bête car nous sommes tous là dans le même but, mais novices que nous sommes, nous attendons d’être guidés. Prétextant aller fumer, nous quittons le jacuzzi et Mathilde en profite pour embrasser Madame avant. Le ton est donné, et nous pouvons enfin nous lâcher un peu plus. Je propose un massage sur le corps de madame, tout le monde acquiesce et madame peut prendre place sur la table prévue à cet effet. Les caresses libèrent son corps et nous goutons tour à tour à sa peau. Elle ne reste pas sans rien faire et promène ses mains sur nos corps. Comme convenu, je n’ai aucun contact avec nos complices, me contentant de contempler ce si beau spectacle et « surveiller » les signaux que ma femme me renvoi. Elles s’embrassent et mon sexe se retrouve entre leur deux bouches, mais dans nos positions, j’ai perdu le regard de Madame, et je ne peux me libérer et savourer cet instant, peur du mal-être de ma moitié. Il n’en est pourtant rien, et c’est elle qui a initié cette scène m’a-t-elle confié après. Nous changeons d’espace et nous retrouvons sur un grand matelas, et dans la continuité des préliminaires exquis qui avaient excité nos femmes, Sébastien offrait a ma femme un délicieux cunnilingus pendant que je prenais autant de plaisir a caresser ses seins si réactifs qu’a me délecter de ce spectacle. Ensuite Sébastien pénétrait Mathilde pendant que je m’insérais dans le corps de ma femme. S’en suivent de longs et bruyants orgasmes, jusqu’à ce que nous les hommes atteignirent à notre tour le point de non-retour. J’en avais assez et me languissais de rentrer chez nous, reprendre possession du corps de ma femme, repartager un moment à deux. Madame quand a elle était curieusement moins câline qu’a l’accoutumée, fatiguée de ce moment à 4. Nous en avons longuement reparlé depuis, et à chaque fois maintenant, quelle que soit la configuration de notre soirée, j’ai besoin de me « ressourcer » auprès d’elle tendrement pour sortir de cette parenthèse coquine.
Cette expérience nous a quand même bien refroidie, et nous avons fait une pause libertine de quelques mois.
Seule une surprise de ma femme rompait cette pause. Elle m’avait demandé depuis un mois de réserver ma soirée du premier mercredi de novembre, j’avais pour impératif de rentrer à la maison pour 18H, pas 5 minutes avant. Je m’exécutais avec plaisir ne sachant pas ce qui allait m’attendre. J’arrivais chez nous, et deux personnes étaient aux cotés de ma femme, F et J, un couple que j’avais vu sur un site de massage tantrique. Deux tables de massages étaient dressées côte à côte dans le salon. Ma femme me demanda de monter prendre une douche avec elle et de redescendre uniquement vêtu d’un peignoir. Je me souviens que sous la douche j’ai dû battre le record de questions à la minute !!! impatient et curieux de ce qui m’attendait. Comme prévu nous rejoignons nos invités et prenons place sur les tables de massage. Nos masseurs étaient nus tout comme nous, une douce musique complété la sensualité de la lumière devenue tamisée. J, la femme s’occupait de mon corps pendant que F son mari s’occupait du corps de ma douce. Le massage était agréable et quelques effleurements faisaient s’ériger mon sexe par moment. J’étais bien mais pas totalement relâché, curieusement ma femme non plus. J’avais « honte » de bander alors que j’en mourrai d’envie, cette retenue, ressentie par nos masseurs fut annihilée lorsqu’ils nous ont tendu les bras afin que ma main droite rentre en contact avec la main de ma moitié. De la continuait le « massage » de manière un peu plus coquine, et un caresse très ciblée sur mon gland me faisait jouir. Le massage diminuait peu à peu en intensité, et laissait place a des échanges cette fois verbaux… C’est ainsi que j’apprenais qu’au moins 80% des hommes éjaculaient sous les caresses de J et quelque part enlevait le peu de gêne qui me restait. Cette soirée bien agréable ne laissa pas pour autant un souvenir impérissable, c’est juste la folie de cette surprise qui m’aura le plus marqué je crois…
Au mois de mars, en lisant des forums, je tombe sur un récit, écrit par une femme, ou elle décrivait un trio HHF. Les mots étaient puissants, nous plongeant dans un monde sensoriel sans limite, nous laissant envieux de son plaisir, je demandais à ma femme de le lire à son tour. Ce jour-là, transportée par de tels mots, son envie de découverte s’est réveillée, presque envieuse des sensations retracées. Nos discussions s’en trouvait changées et nous cherchions maintenant comment « passer à l’acte ». Elle en avait la folle envie, mais ne savait pas comment dépasser tous ces tabous que l’éducation nous a inculqué pendant tant d’années. Notre choix se porta alors sur un massage naturiste à domicile, une prestation tarifée qui finalement laisserait libre cours à son plaisir. Elle pourrait ainsi aller jusqu’où elle veut et s’arrêter quand elle le désire ; le prestataire sera quand même payé et n’attendra donc rien en retour.
Une annonce attire mon attention, un masseur dont l’approche semble très professionnelle et je prends le rendez-vous.
Un mercredi soir, madame rentre du boulot, et je lui avait donné les indices sur la suite de notre soirée, le temps de lui dévoiler « mon plan » elle file à la douche pendant que je transforme notre salon en espace bien-être. D’un commun accord, elle aura les yeux bandés.
Elle me rejoint en peignoir, et prends place sur le ventre, sur la table de massage improvisée. J’attaque à parcourir son corps, et peu a peu je sens son corps se relâcher, la pression disparaitre. Le masseur est ponctuel et à peine franchi la porte, je l’invite à se dévêtir ; j’en fait bien entendu de même. Le massage est très professionnel, et seule notre tenue laisse entrevoir que c’est un massage particulier mais peu à peu les caresses frôlent des zones plus érogènes, mon regard ne quitte plus le corps de madame pour essayer d’en capter le moindre signal. Son corps devient gourmand de nos mains, et nous l’invitons à se retourner pour continuer à faire jaillir son plaisir. Nos attentions se rapprochent de sa poitrine, de son ventre puis de son entrejambe, elle semble plus réceptive que jamais et maintenant chaque effleurement la transporte un peu plus. Nos mains sont peu a peu remplacés par nos lèvres et c’est tout son corps qui est admiré, embrassé, léché. S’en suivront plusieurs orgasmes tous plus forts les uns que les autres jusqu’à l’épuisement de fatigue. La soirée fut merveilleuse, et elle ne s’est pas sentie d’aller plus loin avec ce corps étranger, se contentant de m’offrir son plaisir. Ce fut une totale réussite, bien au-delà encore de nos espérances.
Nous nous sommes rencontrés il y a presque 5 ans, monsieur 38 ans à l’époque et madame 29. Monsieur fraichement séparé, et madame venait de vivre deux déceptions sentimentales et n’envisageait pas de faire rentrer un homme dans sa vie. Mais la vie a fait que des regards partagés et des mots réconfortants ont fait le reste…
Nous étions voisins, et déjà plus que des amants. Cette proximité nous permettait de finir les nuits ensemble et sans s’en rendre compte, nous avons vécu ensemble pratiquement dès le premier jour….
Au bout de 2 mois, nous aménagions dans un chez nous, un nid d’amour que nous avions choisis ensemble et plus rien ne pouvait empêcher cet amour passionné de prendre son envol. Nous partagions des moments intimes de plus en plus intense au fur à mesure que nous apprenions le corps de l’autre, découvrions de nouveau plaisir. Chacun atteignait son bonheur en voyant l’autre heureux.
Un dimanche après-midi, après un repas familial, nous avions envie de franchir une nouvelle porte, celle d’un sauna libertin…
Plus que novice et ne connaissant aucun code de ce milieu, notre choix se porta sur le club géographiquement le plus proche de nous, un petit club pourvu d’un jacuzzi. Gênés, nous sonnions et un accueil des plus sympathique nous était réservé. Je me revois demander à l’hôtesse si cela ne posait pas de problème que nous n’ayons pas pris nos maillots !!!
Nous étions seuls, et finalement rassurés de l’être, nous errions main dans la main du jacuzzi aux coins câlins pour se familiariser et découvrir les lieux. Quelques personnes sont arrivés en fin d’après-midi mais il était déjà pour nous l’heure de partir.
Nous sommes retournés plusieurs fois dans ce club, sans connaitre de pic de fréquentation, nous n’étions jamais au-delà de 6 à 8 personnes, mais cela nous allait bien, nous pouvions profiter sereinement des coins câlins à notre guise, se contentant de petites d’exhibitions volontaires ou pas.
Un samedi, nous sommes invités sur une plage privée du Grau du Roi, entre amis, et au moment de s’éclipser, plutôt que de rentrer à la maison, nous nous décidons a faire un détour par le Kalyptus, club balnéo libertin bien plus grand. Le samedi soir étant une soirée couple, cela semblait nous convenir parfaitement, et nous pouvions profiter d’un buffet bien garni pour agrémenter notre soirée. Une fois la porte franchi, et devant notre regard interrogateur, la maitresse des lieux à compris que c’était la première fois que nous venions ici. Elle nous expliqua le fonctionnement du club, et nous pouvions profiter pleinement des installations. Une fois le « repas » terminé, nous échangions nos tenues « de ville » pour un paréo pour madame et une serviette pour monsieur, et nous nous dirigeons vers les deux grands bains romains. Par timidité ou par peur, nos premiers pas nous guident au départ vers celui ou il y a le moins de monde, un peu plus éclairé dans le but de voir des scènes érotiques pour nous évader sensuellement. En confiance, nous changeons de jacuzzi pour aller dans le plus vaste, aux lumières plus tamisées, et ou bien plus de monde avait pris place. La crainte du regard des autres s’était vite évaporé, nous étions un couple parmi tant d’autre. Notre confiance prenait place, et madame me prodiguait une douce fellation dont elle a le secret. Nous échangions les rôles, en évitant quand même les regards des autres qui auraient pu être interprété comme des invitations. Un peu plus tard dans la soirée, nous montions dans les coins câlins. La balançoire en cuir nous attirait, et nous décidions d’y prendre place, on sentait des personnes se rapprocher mais nous étions dans notre bulle, jusqu’au moment ou plusieurs mains se sont promené sur le corps de madame. Il y en avait trop, trop d’un coup, et nous avons quitté la pièce. Un dernier bain relaxant, enlacé, complétait notre soirée avant de rentrer chez nous, serein. Nous avions franchis un nouveau cap, de l’exhib un peu plus poussée pour nous.
Nous avons recommencé à plusieurs reprises ces soirées du Samedi, toujours sans trop d’objectifs, juste prendre du plaisir à deux. Généralement nous dormions dans un hôtel qui était à 3 minutes à pieds, cela permettait de se désinhiber un peu en buvant quelques verres sur place.
Un samedi de septembre, madame se sentait un peu plus coquine, et dès 14H, envisageait d’aller un peu plus loin, retourner au Kalyptus et peut être inviter un partenaire à nous rejoindre dans la soirée, elle en avait envie, surement plus pour me faire plaisir que pour son envie intérieure. Nous prenions comme à notre habitude notre chambre d’hôtel, puis cette fois en profitions pour aller boire quelques apéritifs en ville avant de regagner le club. Lors du lunch, pour se donner encore un peu plus de courage, quelques verres supplémentaires ont eu l’effet opposé, elle ne se sentait plus bien et préférait que l’on finisse la soirée à l’hôtel. J’étais forcément déçu et frustré, je m’était maladroitement imaginé plein de scenarii, et à vouloir aller plus loin, nous n’avions même pas profité de nous. Le lendemain, nous profitons de la proximité pour aller au Cap d’Agde, découvrir la fameuse baie des cochons. Il ne faisait ni très beau, ni très chaud et il n’y avait pas grand monde, nous nous caressions, allongés sur notre serviette, en s’amusant de la parade des voyeurs qui rampaient discrètement pour se retrouver a quelques centimètres de nous. Notre complicité était parfaite mais nous ne voulions aller plus loin pour autant. L’après-midi fut consacrée à un jacuzzi, et nous ne cessions de « tomber » sur des publicités sur un site de rencontre libertines : le soir même notre inscription sur ce site fut validée…
Rapidement un contact est établi avec un couple, ils n’habitent pas très loin de chez nous et entre nous le feeling est bien installé (on les appellera ici, Mathilde et Sébastien). Les femmes conviennent de partager un repas ensemble pour se découvrir et valider une éventuelle rencontre à 4, les limites que nous nous étions fixées étaient de ce fait aussi dévoilées. Madame est rassurée, et finalement curieuse des sensations que Mathilde lui avait décrite. Un rendez-vous est fixé un dimanche après-midi, dans notre premier petit club, et nous faisons en sorte d’arriver les premiers pour se retrouver dans le jacuzzi avant qu’il nous rejoignent. Ils arrivent et nous rejoignent dans ce bain si agréable. Elle est plus forte que je ne l’avait imaginé, quand à lui c’est un homme classique, on va dire dans la norme. Nous ne savons pas comment amorcer une approche, c’est bête car nous sommes tous là dans le même but, mais novices que nous sommes, nous attendons d’être guidés. Prétextant aller fumer, nous quittons le jacuzzi et Mathilde en profite pour embrasser Madame avant. Le ton est donné, et nous pouvons enfin nous lâcher un peu plus. Je propose un massage sur le corps de madame, tout le monde acquiesce et madame peut prendre place sur la table prévue à cet effet. Les caresses libèrent son corps et nous goutons tour à tour à sa peau. Elle ne reste pas sans rien faire et promène ses mains sur nos corps. Comme convenu, je n’ai aucun contact avec nos complices, me contentant de contempler ce si beau spectacle et « surveiller » les signaux que ma femme me renvoi. Elles s’embrassent et mon sexe se retrouve entre leur deux bouches, mais dans nos positions, j’ai perdu le regard de Madame, et je ne peux me libérer et savourer cet instant, peur du mal-être de ma moitié. Il n’en est pourtant rien, et c’est elle qui a initié cette scène m’a-t-elle confié après. Nous changeons d’espace et nous retrouvons sur un grand matelas, et dans la continuité des préliminaires exquis qui avaient excité nos femmes, Sébastien offrait a ma femme un délicieux cunnilingus pendant que je prenais autant de plaisir a caresser ses seins si réactifs qu’a me délecter de ce spectacle. Ensuite Sébastien pénétrait Mathilde pendant que je m’insérais dans le corps de ma femme. S’en suivent de longs et bruyants orgasmes, jusqu’à ce que nous les hommes atteignirent à notre tour le point de non-retour. J’en avais assez et me languissais de rentrer chez nous, reprendre possession du corps de ma femme, repartager un moment à deux. Madame quand a elle était curieusement moins câline qu’a l’accoutumée, fatiguée de ce moment à 4. Nous en avons longuement reparlé depuis, et à chaque fois maintenant, quelle que soit la configuration de notre soirée, j’ai besoin de me « ressourcer » auprès d’elle tendrement pour sortir de cette parenthèse coquine.
Cette expérience nous a quand même bien refroidie, et nous avons fait une pause libertine de quelques mois.
Seule une surprise de ma femme rompait cette pause. Elle m’avait demandé depuis un mois de réserver ma soirée du premier mercredi de novembre, j’avais pour impératif de rentrer à la maison pour 18H, pas 5 minutes avant. Je m’exécutais avec plaisir ne sachant pas ce qui allait m’attendre. J’arrivais chez nous, et deux personnes étaient aux cotés de ma femme, F et J, un couple que j’avais vu sur un site de massage tantrique. Deux tables de massages étaient dressées côte à côte dans le salon. Ma femme me demanda de monter prendre une douche avec elle et de redescendre uniquement vêtu d’un peignoir. Je me souviens que sous la douche j’ai dû battre le record de questions à la minute !!! impatient et curieux de ce qui m’attendait. Comme prévu nous rejoignons nos invités et prenons place sur les tables de massage. Nos masseurs étaient nus tout comme nous, une douce musique complété la sensualité de la lumière devenue tamisée. J, la femme s’occupait de mon corps pendant que F son mari s’occupait du corps de ma douce. Le massage était agréable et quelques effleurements faisaient s’ériger mon sexe par moment. J’étais bien mais pas totalement relâché, curieusement ma femme non plus. J’avais « honte » de bander alors que j’en mourrai d’envie, cette retenue, ressentie par nos masseurs fut annihilée lorsqu’ils nous ont tendu les bras afin que ma main droite rentre en contact avec la main de ma moitié. De la continuait le « massage » de manière un peu plus coquine, et un caresse très ciblée sur mon gland me faisait jouir. Le massage diminuait peu à peu en intensité, et laissait place a des échanges cette fois verbaux… C’est ainsi que j’apprenais qu’au moins 80% des hommes éjaculaient sous les caresses de J et quelque part enlevait le peu de gêne qui me restait. Cette soirée bien agréable ne laissa pas pour autant un souvenir impérissable, c’est juste la folie de cette surprise qui m’aura le plus marqué je crois…
Au mois de mars, en lisant des forums, je tombe sur un récit, écrit par une femme, ou elle décrivait un trio HHF. Les mots étaient puissants, nous plongeant dans un monde sensoriel sans limite, nous laissant envieux de son plaisir, je demandais à ma femme de le lire à son tour. Ce jour-là, transportée par de tels mots, son envie de découverte s’est réveillée, presque envieuse des sensations retracées. Nos discussions s’en trouvait changées et nous cherchions maintenant comment « passer à l’acte ». Elle en avait la folle envie, mais ne savait pas comment dépasser tous ces tabous que l’éducation nous a inculqué pendant tant d’années. Notre choix se porta alors sur un massage naturiste à domicile, une prestation tarifée qui finalement laisserait libre cours à son plaisir. Elle pourrait ainsi aller jusqu’où elle veut et s’arrêter quand elle le désire ; le prestataire sera quand même payé et n’attendra donc rien en retour.
Une annonce attire mon attention, un masseur dont l’approche semble très professionnelle et je prends le rendez-vous.
Un mercredi soir, madame rentre du boulot, et je lui avait donné les indices sur la suite de notre soirée, le temps de lui dévoiler « mon plan » elle file à la douche pendant que je transforme notre salon en espace bien-être. D’un commun accord, elle aura les yeux bandés.
Elle me rejoint en peignoir, et prends place sur le ventre, sur la table de massage improvisée. J’attaque à parcourir son corps, et peu a peu je sens son corps se relâcher, la pression disparaitre. Le masseur est ponctuel et à peine franchi la porte, je l’invite à se dévêtir ; j’en fait bien entendu de même. Le massage est très professionnel, et seule notre tenue laisse entrevoir que c’est un massage particulier mais peu à peu les caresses frôlent des zones plus érogènes, mon regard ne quitte plus le corps de madame pour essayer d’en capter le moindre signal. Son corps devient gourmand de nos mains, et nous l’invitons à se retourner pour continuer à faire jaillir son plaisir. Nos attentions se rapprochent de sa poitrine, de son ventre puis de son entrejambe, elle semble plus réceptive que jamais et maintenant chaque effleurement la transporte un peu plus. Nos mains sont peu a peu remplacés par nos lèvres et c’est tout son corps qui est admiré, embrassé, léché. S’en suivront plusieurs orgasmes tous plus forts les uns que les autres jusqu’à l’épuisement de fatigue. La soirée fut merveilleuse, et elle ne s’est pas sentie d’aller plus loin avec ce corps étranger, se contentant de m’offrir son plaisir. Ce fut une totale réussite, bien au-delà encore de nos espérances.