Après cette longue séance de caresses, j'étais cantonné sur le petit lit... situé contre un mur, au bas de leur grand lit. Allongé et prenant ses aises, il se laissait aller à la bouche gourmande de mon épouse. Elle lui lapait sa queue, qui doit faire le double de la mienne au passage... avant de l'avaler goulûment...
Ces hommes là ont toujours un regard vers le cocu... et quand nos regards se croisent, un petit sourire de victoire apparaît sur celui du cocufieur, teinté d'une gloire audacieuse acquise auprès de la femme d'un autre... et le mari le lui rend, comblé par une joie incompréhensible par le commun des mortels mais, sur cet espace, ici, nous pouvons le comprendre.
Nous comprenons quel type de plaisir, toujours respectueux, nous pouvons développer et entretenir. Ces jeux du corps et de l'esprit ne sont pas à la portée de tous...
Jules a profité de ma femme sans retenue, arborant fièrement sa queue comme un étendard, empalant mon épouse sur son glaive turgide, pendant que je m'occupais de mon petit dard de lécheur... Ma femme est assez généreuse et pleine de bonté pour m'accorder des plaisirs solitaires quand elle est avec ses amants. Je l'en remercie chaleureusement...
Ils ont remis ça au petit matin, lors qu'au réveil, après une courte nuit de sommeil, la main de ma femme allait chercher la queue de Jules... Je me suis réveillé avec la vision de ma femme à quatre pattes, les hanches agrippées par son amant, entrain d'être saillie puissamment. Le grognement rauque de son orgasme de salaud m'a définitivement réveillé.
Après une bonne douche, nous avons partagé un bon petit déjeuner...
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