- 04 déc. 2018, 05:55
#2239010
Nous sommes cavaliers, Antoine pas familier des chevaux, Muriel a donc prévu une reprise d'initiation, au matin d'une "longue nuit"...
Elle est divine avec ses bottes de cuir, son pantalon tellement moulant et le chemisier blanc largement ouvert sur son soutien gorge.
"A cheval c'est quand même mieux d'en mettre un, alors autant le montrer, non ?"
Elle ne loupe jamais la bonne remarque, il est vrai que nos regards de mâle sont braqués sur sa poitrine de rêve. Ça me fait bander de savoir comment Antoine regarde, scrute, la silhouette de ma femme et comment elle s'exhibe pour justement nous donner la trique.
Dans l'écurie elle se penche sur un sac pour chercher, une cravache et son casque. Antoine ne résiste pas à la croupe tendue.
Il agrippe ses hanches et plaque son sexe, il mime le va et vient à grands coups secs.
"Ben toi alors, tu ne fais pas dans la dentelle ce matin !"
"T'es trop belle, j'ai envie de toi"
"Eh moi, je peux choisir ?"
"Ose dire que tu ne penses pas qu'à ça toi aussi"
Muriel se retourne et ouvre la ceinture du pantalon d'Antoine
"D'accord, j'assume, alors oui, baise moi, là " et elle baisse pantalon et culotte sur ses bottes, se retourne contre les ballots de paille et offre sa croupe a son étalon. Lui, pantalon aux genoux, bite en main, pénètre d'un coup sec le ventre de Muriel.
Aucun doute elle y pensait, sa fente déjà bien humide.
"JF, approches que je m'appuie sur toi, et comme ça tu vas bien voir les effets que va me procurer Antoine en me baisant..."
Ils sont debout, elle pliée sur moi.
Nos deux visages se frôlent, ses souffles sur mes joues. Elle bouge déjà en rythme, celui que lui impose son amant.
Elle gémit dans mon oreille, pince ses lèvres, ou la bouche en O pour exprimer toute son excitation sexuelle. Le risque d'être surpris dans l'écurie, la violence de l'envie, l'urgence d'Antoine, un erotisme torride!!
Il va la prendre sans ménagement, dans l'urgence, les deux se veulent !!
Je sens ses doigts s'enfoncer dans mon épaule au moment crucial de l'extase, son visage sublime de l'orgasme qu'elle m'offre en pleine face, cet orgasme que lui donne son amant cloué dans son ventre.
J'ai mal de ne pouvoir bander librement dans mon pantalon d'équitation tellement serré, ni même pouvoir me caresser.
"Passe moi les mouchoirs dans mon sac, désolée, messieurs, je dois retourner à la maison..."
Ils se sont rafistoler.
Tout est rentré dans l'ordre, le palfrenier pouvait passer par là. Je garde pour moi ma frustration, mes couilles pleines et cet incroyable étonnement sur ce qui vient de se passer....
Le candauliste doit admettre que l'urgence fait aussi partie du jeu...
"Putain, quelle femme !.... je sais que vous avez fait l'amour ce matin... depuis je vois son visage de femelle comblée, amoureuse, tellement sexy, sensuelle... elle est cash...sa tenue,... quand elle s'est penchée.. c'était plus fort que moi.... eh putain... elle était prête !!"
Ensuite, silence entre Antoine et moi...les deux encore surpris, incrédules devant la simplicité de Muriel, son évidence pour le sexe...
Elle revient, toute pimpante, avec une culotte propre je suppose.... plus sexy, impossible...
Finalement on monte à cheval, tous les trois, autour de ma belle et "bonne" épouse....
Le palfrenier nous salue d'un bonjour guilleret, inhabituel, aurait-il assisté à la scène...? Où mon imagination déforme la réalité...
La femme du patron, soutenue par son mari, sautée par l'invité.... voilà de quoi faire jaser....