- 28 sept. 2018, 23:12
#2215635
- ELLE ET EUX -
ELLE
Une jupe trapèze en lin bleu céruléum dévoilant un tiers de mes cuisses
Un caraco en satin noir, dont le dos est entièrement en dentelle. On peut ainsi s'apercevoir que je ne porte pas de soutien-gorge
Un gilet drapé en suédine noire pour couvrir mes épaules et mes bras aux trois-quarts
Des escarpins noirs velouté assez hauts
Des bas clairs, légèrement texturés, à peine visibles sauf si on observe les quelques plis au niveau de mes chevilles
Une culotte noire bordée de dentelle
LUI
La description de votre tenue du jour m’a ôté toute envie de dormir... Comment en profiterais-je si j’avais la chance que vous vous trouviez à mes côtés ?
Tout d’abord, cela commencerait par une longue séance d’observation contemplative : j’adore les escarpins à hauts talons - le contraire serait étonnant, certes - ainsi que les bas (j’ai beaucoup apprécié vos photos qui laissaient découvrir vos jolies jambes gainées de nylon, chère Nymphette...).
Ensuite, mes yeux remonteraient inévitablement vers l’ourlet de votre jupe, comme s’ils pouvaient à eux seuls le faire remonter assez haut pour pouvoir entr’apercevoir la partie haute de vos bas puis votre culotte...
La douceur de cet été indien m’aurait permis de vous proposer mon aide - totalement désintéressée bien sûr... - pour ôter votre gilet. Placé derrière vous pour cette délicate manœuvre, ma main gauche - qui n’a de gauche que le qualificatif anatomique - aurait, sans le faire exprès bien entendu, fait glisser de votre épaule gauche la bretelle de votre caraco... Et pendant que la pulpe de mes doigts aurait glissé de bas en haut sur votre peau pour remettre soigneusement en place cette fugitive bretelle, mes yeux auraient longuement profité du spectacle offert par la dentelle de votre caraco...
Je me serais ensuite placé face à vous afin de constater avec enchantement que vos seins apprécient leur liberté satinée... Je vous aurais ensuite proposé de vous asseoir afin de vous prodiguer un long massage des voûtes plantaires, généralement apprécié après une longue journée. Quel alibi idéal pour avoir la chance d’ôter moi-même vos escarpins, avant de sentir vos bas entre nos peaux respectives.
Mes mains n’auraient ensuite pas su résister très longtemps à l’envie de remonter progressivement le long de vos jambes, de façon à pouvoir atteindre tout doucement cette jupe qui cache depuis trop longtemps le haut de ces bas si excitants au toucher... et votre culotte que seul mon imagination peut voir à ce stade ! Mes mains ont enfin atteint la lisière de votre jupe, un regard interrogateur accompagné d’un sourire coquin vous demande, comme dans un chuchotement : « puis-je ? ». Vous prononcez alors un minuscule « non » avec des yeux rieurs qui disent « oui, qu’attends-tu idiot ? »...
Mes mains remontent alors votre jupe et mes yeux contemplent le spectacle qui s’offre alors à eux...
ELLE
Ma jupe remontée dévoile une culotte que j'ôte sans hésitation. Je vous dévoile ainsi ma toison sombre, mon écrin qui ne demande qu'à être visité. Je sens vos doigts la caresser doucement, stationnant un moment dans cette antichambre du plaisir.
Peu à peu, sans brusquerie, vous poussez plus avant votre visite dans les premiers replis qui se présentent. Ce nouveau territoire mérite d'être longuement découvert. Vos caresses m'incitent à écarter un peu les cuisses pour vous permettre de voyager en toute liberté dans ma vallée.
Mais prenez votre temps, laissons monter le désir. Vous serez parfois interrompu par un baiser que je ne pourrais m'empêcher de poser sur vos lèvres, comme une pause nécessaire à la poursuite de votre parcours.
Lorsque vous descendrez en direction de ma grotte, vous découvrirez un terrain humide et accueillant. Je vois alors vos yeux briller, votre bouche esquisser un sourire de satisfaction, me permettant de glisser ma langue entre vos lèvres. Je viens chercher votre langue, comme un écho à vos caresses. J'écarte un peu plus les cuisses, vous gémissez discrètement, je soupire de plaisir.
LUI
Vos doux baisers me rendent fou de désir, chère Nymphette... Les premiers, juste posés sur mes lèvres comme des flocons de neige sur les frondes d’une fougère, me font frissonner tout entier, comme le ferait un glaçon posé subitement sur ma nuque...
Et lorsqu’enfin entre mes lèvres s’immisce votre langue pour inviter la mienne à la rejoindre, mon cœur se met à battre à tout rompre ! Seule la délicieuse sensation que ce baiser me procure m’empêche de vous prendre sans plus attendre, de façon animale...
Vos deux mains, doigts croisés sur la base de mon crâne, m’incitent par ailleurs à faire durer ce divin baiser... Lorsque vos mains commencent à descendre sur mes épaules puis s’aventurent l’une sur mon dos et l’autre sur mon torse, je saisis l’opportunité pour reculer mon visage afin de contempler vos yeux qui pétillent et votre si doux sourire... et j’amorce une descente progressive jusqu’à votre Graal : d’abord une série de baisers dans le cou, accompagnée d’une habile et discrète manœuvre de mes mains pour passer sous votre caraco en vue de caresser vos seins et mesurer ainsi votre degré d’excitation...
Mon appréciation de la situation est concluante : je peux me permettre de faire glisser les deux bretelles de votre caraco dont la matière favorise alors son glissement sur votre taille, laissant apparaître vos seins, aussi beaux que promis par mon sens du toucher... Je ne peux m’empêcher d’en lécher et sucer avidement les aréoles et mamelons. Je vous entends gémir et je vous sens vous cabrer légèrement, cela m’incite à continuer... tandis que mes mains glissent tout doucement sur votre peau pour monter - ou plutôt descendre en l’occurrence - à l’assaut de votre citadelle !
Mes dix doigts se disputent le privilège d’accéder en premier au cœur de la citadelle : ils vont un peu trop vite en besogne, car il faudra déjà franchir la soyeuse défense passive qui se trouve en première ligne... Ma main droite part en éclaireur et survole la zone très très bas, tandis que ma main gauche fait diversion, en caressant de façon appuyée le bas de votre chute de reins puis vos fesses... Ma main droite s’est posée sur votre toison, et mon majeur et mon annulaire tentent une intrusion de la citadelle tandis que mon pouce fait des mouvements circulaires autour du corps de garde de la citadelle, anatomiquement nommé clitoris...
À leur grande surprise, ces deux précurseurs sont parvenus à pénétrer sans aucun problème ! Ils vont et viennent de façon arythmique, pour surprendre l’ennemi... Ma bouche et ma langue décident alors de venir en renfort : les doigts précurseurs cèdent la place, je commence à donner de nombreux coups de langue en surface et pas uniquement dans la zone clitoridienne, puis ma langue s’engage en profondeur dans la citadelle. Elle permet de goûter au Graal et d’analyser ses saveurs... mon excitation est à son zénith !
Votre respiration s’accélère et quelques gémissements se font entendre, il est temps d’investir en force la citadelle...
ELLE
Sentant votre désir brûlant de me prendre, je décide de retarder encore un peu ce moment dont j'ai, moi aussi, ardemment envie. Non pas que j'ai le besoin de vous torturer, mais au contraire, je poursuis le noble but d'accroître le plaisir que nous y prendrons.
Profitant d'un instant de répit dans vos caresses buccales, je m'écarte un peu de vous et vous redresse le torse. Je vous embrasse intensément, sentant ma propre odeur se mêler à la vôtre, ce qui ne fait qu'accroître mon désir de vous sentir en moi. Mais je résiste à la tentation et m'active pour défaire en partie votre pantalon.
Vous m'y aidez, pensant peut-être atteindre plus rapidement l'objet de votre convoitise. Dès que je le peux, j'écarte vos mains et prend le contrôle de la situation. Délicatement, j'extrais votre verge de son enveloppe, constatant qu'une partie de mon travail est déjà fait : elle est déjà bien raide et pointe vers moi comme l'aiguille d'une boussole. Mais je sais que je peux vous rendre encore plus désireux et je vais m'y employer. Je commence par quelques caresses très douces pour l'apprivoiser, pour établir un premier contact corporel. J'effleure de mes mains toute la longueur de votre sexe, puis mes caresses se font plus précises avec mes doigts. J'approche ensuite mon visage pour vous sentir avec mes joues, mon menton. Ma bouche n'est plus très loin, je sais que vous attendez cet instant avec impatience.
Je prends alors votre gland encore dans son écrin dans ma bouche, très délicatement. Je devine sa forme à travers la peau, avec ma langue, mes lèvres. J'ajoute parfois un peu de pression en le plaquant contre mon palais, ou encore en faisant de petits mouvements de succion. Je vous entends déjà gémir, ce qui me fait gémir à mon tour. Après quelques minutes de cette douce torture, je libère votre sexe de ma bouche et recommence quelques caresses plus appuyées cette fois. Des va-et-vients pour faire sortir votre fruit de sa cachette, très progressivement. Je viens quelques fois donner un coup de langue sur l'extrémité qui se profile, ce qui vous fait immédiatement réagir, votre dard se relève, animé par une force invisible et puissante. Vient le moment où tout votre sexe est dégagé, accessible, gonflé de désir, n'attendant qu'une action de ma part pour le satisfaire.
Alors je l'absorbe, délicatement toujours, pour sentir chaque parcelle avec précision dans ma bouche. Je salive de désir, et je sens aussi un flot humide se répandre entre mes cuisses. Vous émettez un râle mêlé de soupirs, ce qui me fait saliver encore plus. Je commence alors ce jeu qui consiste à vous déguster comme une sucrerie, tantôt en vous léchant, tantôt en avalant l'extrémité soyeuse, toujours dans des mouvements doux et appliqués. Mes mains accompagnent ces mouvements, en caressant vos bourses ou en saisissant un peu fermement la base de votre sexe pour le faire durcir encore un peu plus. Je vous vois vous tortiller de plaisir, ce qui me fait invariablement grogner de satisfaction.
Mon œuvre porte ses fruits. Votre verge est bien plus raide et gonflée que tout à l'heure, les veines saillantes, le gland violacé et très sensible. Je m'arrête et vous regarde en souriant, vos yeux brillent, je vous sens fébrile. Je vous laisse choisir la suite à donner, vous rendant le contrôle des événements.
LUI
Cette fois, l’excitation est trop intense, je ne peux plus attendre une minute de plus ! Vos caresses, votre bouche de velours et vos regards m’ont porté à un point de non-retour : je veux, je dois vous prendre ! En une fraction de seconde, je décide : c’est maintenant. Je vous guide jusqu’au sofa qui se trouve à quelques mètres de nous, mes yeux plongés dans les vôtres vous font comprendre qu’il n’est plus possible de faire machine arrière... Vous tentez de vous asseoir, je vous en empêche : ma main droite saisit fermement votre main gauche et vous fait faire un demi tour, puis ma main gauche glisse le long de votre dos pour vous inviter à vous incliner. Vous posez alors vos deux mains sur le sofa, offrant à ma vue votre si tentante cambrure et votre Graal déjà bien humide... Votre caraco est toujours sur votre taille, j’aime vous voir ainsi offerte.
Tandis que vous vous attendez à ce que j’investisse votre citadelle d’un instant à l’autre, je vous surprend en me mettant à genoux derrière vous, en apposant mes mains sur vos fesses, et en introduisant ma langue dans votre antre. Cette surprise induit un mouvement désordonné de votre corps et un gémissement très bref... Je me relève subitement, et je plaque mon gland contre vos grandes lèvres. Je le frotte délicatement sur votre clitoris, sur vos lèvres, le présente à l’entrée de votre vagin, je pousse à peine car je veux savourer ce moment... Je vous sens brûlante de désir, mon gland me permet de mesurer à quel point vous êtes prête à me recevoir. Vous me tutoyez alors pour la première fois :
« — Viens en moi !
— Non chère amie, il vous faudra patienter encore... ».
Je continue à frotter mon gland contre votre sexe inondé de désir... Alors, sans prévenir, vous imprimez à votre fessier un mouvement arrière qui fait subitement entrer mon sexe dans votre antre : quel délice ! Je tente de l’en sortir mais les va-et-vient de votre exquise croupe m’en empêchent. Par moment, je sors complètement de votre soyeux écrin et y rentre subitement, ce qui me donne le plaisir de vous entendre pousser de longs « mmmm ». Je vous tiens alors fermement : mes deux mains sont plaquées sur vos hanches, vous êtes mienne sans possibilité de vous soustraire à mes assauts ! Si je continue ainsi, je vais exploser en vous... Mais le plaisir que me procurent ces mouvements jouissifs et la vue de vos longs cheveux qui serpentent sur votre dos ainsi que de votre caraco qui oscille sur votre taille à chaque coup de reins, m’ôte toute volonté... Je ne veux pourtant pas jouir avant vous, je me l’interdis formellement ! Sentant peser ce risque, vous reprenez l’initiative de façon subite...
PAT
Contre toute attente, alors que j'étais resté jusque là en retrait du déroulé des évènements, je me dirige vers le sofamisol pour rejoindre la Nymphette à présent allongée sur le dos. Lentement, comme pour ne pas affecter l'atmosphère créée, je m'approche de son visage. Restant debout face à elle comme pour la dominer du regard, je déboutonne un à un, avec des gestes très lents, les boutons de ma chemise blanche. Je la fais délicatement glisser au sol. A présent torse nu, ma main droite s'affaire du côté de la ceinture de mon pantalon. J'en dégage son ouverture en abaissant d'un mouvement vif sa fermeture éclair. Afin de me positionner à une hauteur adaptée je décide de m'accroupir.
Le temps semble comme suspendu. Mon intervention inattendue a comme figé les acteurs de ces jeux libertins. Je place alors ma bouche à côté de l'oreille de la Nymphette. Je sais en effet depuis fort longtemps la sensibilité de cet organe à la musicalité de mes mots. Sans rien prononcer, toute en douceur, la pointe de ma langue dessine avec habileté le canal d'écoulement des flots de paroles. Mes lèvres se mettent à jouer en rampant le long de la courbe extérieure cherchant à produire un ou deux frissons. Elles en ont l'habitude. Reculant un peu ma tête je susurre une petite succession de mots à Ma Nymphette, mots qu'Il ne peut pas entendre : "Je vais te demander quelque chose Ma belle coquine !!!"
Dans un élan d'accumulation de gestes rapides, je décide alors de me relever, refermer ma braguette et reculer de trois ou quatre pas pour déclarer à voix haute : "Je crois me souvenir qu'Il apprécie vos pieds ma chère Nymphette. Peut-être pourriez-vous en faire bon usage pour lui faire connaître ces subtils plaisirs que vous maîtrisez à la perfection..."
ELLE
Surprise de cette intervention, je regarde ces deux hommes dévoués à mes charmes, debout devant moi, qui attendent un geste, un mot de ma part. Je m'assoie sur le sofa et retire ce qui me reste de vêtements. Par le regard et un petit signe de la main, j'invite mon complice à m'approcher au plus près, il s'exécute. Je m'installe confortablement, lève mes jambes et commence à lui caresser le torse avec les pieds sans le quitter des yeux. J'adore sentir les reliefs masculins par ce moyen. Au bout de quelques minutes, je cesse mes caresses et approche mon pied droit de la bouche de mon complice. Il s'empare alors délicatement de ce cadeau offert si gracieusement et commence à déposer de petits baisers un peu partout. Les baisers se font de plus en plus pressants, intenses, et bientôt sa langue vient s'insinuer dans tous les recoins à sa disposition, goûtant chaque orteil comme un bonbon, une sucrerie délicieuse.
Je gémis de satisfaction tout en jetant un regard malicieux à mon époux toujours un peu en retrait. Je sais qu'il est friand de ce plaisir et se réjouit de l'offrir à notre complice. J'offre maintenant mon pied gauche à sa bouche gourmande, replie ma jambe droite de façon à laisser voir mon entrejambe. A la vue de mon sexe ouvert et luisant de plaisir, les yeux des deux hommes brillent de tout leur éclat. Offerte dans cette position, la Nymphette est irrésistible et je le sais.
Je décide ensuite de reprendre le contrôle, ramène mes deux jambes contre moi, pose mes pieds de chaque côté du sexe de mon partenaire et commence des mouvements de bas en haut pour le masturber avec une extrême douceur. De temps en temps, je cesse mes mouvements et passe un pied entre les cuisses pour caresser ses bourses. Ces gestes particulièrement érotiques le rendent encore un peu plus fou de désir, son sexe plus tendu que jamais.
L
Ensuite je mets fin à ce petit jeu, je me relève, attrape mon complice par les mains et l'invite à s'asseoir à son tour. Je grimpe sur ses genoux, le chevauche et vient m'empaler sur sa verge gonflée. Je m'active doucement, car je sais que je suis au bord de la jouissance. J'offre mes petits seins à la bouche avide de mon partenaire, qui s'en délecte, passant de l'un à l'autre, alternant entre baisers et coups de langue sur mes pointes dressées.
Mon époux, sans faire de bruit, s'approche de nous et glisse rapidement ses doigts dans ma porte arrière grande ouverte. Le sentant en moi si ferme et décidé à décupler mon plaisir, j'accentue mes mouvements de bassin pour faire monter mon plaisir. Je gémis de plus en plus fort, tandis que les deux hommes halètent bruyamment pour m'exciter. Ce concert joué à mon rythme, me mène progressivement à la jouissance, une explosion intense et durable, qui part de mon vagin, remonte le long de mon buste et finit par un long râle que je ne peux empêcher de sortir de ma gorge, la tête renversée en arrière. Mon complice me tient par les hanches, se réjouissant de ce joli corps crispé par le plaisir, tandis que mon époux me caresse la tête et finit par m'embrasser goulûment lorsque l'orgasme est terminé.
LUI
La jouissance de La Nymphette a conduit l’entrée de son antre à devenir considérablement étroite... J’ai tenu bon et n’ai pas joui avant elle, je peux à présent m’abandonner... Tandis que La Nymphette et son époux s’embrassent fougueusement, je fais mine de vouloir sortir de son écrin à la fois étroit et très glissant... Mon sexe est à l’air libre, mon gland effleure les lèvres de ma jolie partenaire... Elle me regarde, étonnée, et au moment où elle entrouvre la bouche, avant même qu’elle me demande si j’ai également atteint l’extase, je réintroduis mon sexe dans sa citadelle dont l’entrée est à présent bien plus étroite que lors de la première intrusion... La Nymphette pousse un gémissement puis mords ses lèvres... Son époux recommence, de son côté, à faire jouer ses doigts dans la porte dérobée toujours aussi accueillante. L’étroitesse de l’écrin de ma partenaire rend mes va-et-vient extrêmement jouissifs... Je ne pourrais plus tenir bien longtemps ainsi, alors que j’aurais tant voulu que La Nymphette jouisse une seconde fois...
Alors que mon jugement s’embrouille de plus en plus, mon extase commençant à se faire sentir, La Nymphette reprend le contrôle en me demandant de cesser mes mouvements de bassin en vue de satisfaire une autre de ses envies...
ELLE
Je sais très précisément ce dont j'ai envie, un fantasme à réaliser. Je quitte mon partenaire en me relevant doucement. Je lui fais signe de se lever pour que je puisse m'allonger au bord du sofa. Je demande à mon époux de venir à mes côtés, puis dégrafe son pantalon pour accéder à sa verge. Immédiatement, je le prends dans ma bouche, goulûment, manifestant mon plaisir pour exciter notre complice.
J'écarte les cuisses, et sans avoir besoin de mots, il se met à genoux et me pénètre d'un geste vif. Chacun des deux hommes prend un plaisir inouï à mon contact, l'un dans mon vagin, l'autre dans ma bouche. Je les sens proches de la jouissance, à moi de décider lequel partira en premier. Sous les coups de reins de mon partenaire, je n'arrive plus à sucer correctement mon époux. Je le libère de ma bouche pour le masturber intensément tout en le regardant. Il me fixe de son regard perçant, ses pupilles s'élargissent, mon corps est secoué par les va-et-vient de plus en plus rapides, je le sens, il va jouir.
Ses yeux se ferment, il bascule sa tête en arrière, soupire bruyamment, je cesse mes mouvements pour tenir son sexe fermement et diriger son flot vers ma poitrine. Les jets puissants me tapissent de sa liqueur. A cette vision, mon partenaire explose de plaisir, plaquant son sexe au fond de ma grotte, s'agrippant à mes hanches et gémissant à son tour.
Mon regard passe de l'un à l'autre, je me délecte de voir ces deux hommes jouir simultanément grâce à moi. J'en suis émue, fière et heureuse. Le calme revient, je les sens épuisés, leurs corps n'aspirent qu'au repos. Chacun d'eux s'assoit sur le sofa, de chaque côté de moi. J'embrasse l'un puis l'autre, tendrement, avant de fermer les yeux à mon tour, en pensant : "je l'ai fait".
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