- 02 août 2018, 15:29
#2194041
Ma fiancée et moi avons eu une relation candauliste il y a quelques années. Je reviens sur ces événements, m’efforcant de rassembler tous les détails. Les épisodes suivants arriverons progressivement.
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Je suis dans ma maison d’enfance. C’est en Bretagne. Une bonne quinzaine de potes sont là depuis ce matin. Nous nous sommes organisé un petite semaine entre amis. On chill tous dans le jardin. Certains font un molki, d’autres un ping-pong. Je prépare des apéros autour de la table du jardin avec 4, 5 potes. Nous sommes en plein mois d’août, la journée est clairement sous le signe de la farniente. Entre deux blagues lourdes et hilarantes, je sens mon portable vibrer. Je me lève, j’essaie d’être naturel et m’écarte du groupe car je sais très bien ce que c’est. Une fois à l’écart, j’ouvre mes textos et je vois deux photos. Elles ont été prise il y a quelques minutes dans une des chambres au 2ème étages. C’est la chambre où je dors avec ma fiancée.
Sur la première photo, je la vois, à genoux, face contre-terre. Elle est toute cambrée, avec les cuisses bien écartées et le cul, braqué en plein vers la caméra. Ses épaules et sa tête sont sur le sol, loins, au second plan et avec ses mains elle s’écarte les fesses complètement pour laisser voir son plug préféré, bien logé dans son trou du cul. La photo est symétrique, en plongée et incroyablement crue. C’est le cul de ma meuf, vu d’au dessus, accueillant, disponible et totalement à la disposition de l’homme, debout qui a ma fiancé à ses pieds. La photo est parfaite.
Sur la deuxième, elle est à genou encore, mais retournée et redressée. Elle regarde droit dans la caméra. La queue du photographe est grosse, à peine dure et est enfoncée au fond de la bouche de ma petite pute. Son visage est allongé, rougie, la bouche déformée par sa grosse bite. Je sens qu’elle est gênée, elle me regarde moi et en même temps chaude comme la braise. Elle a l’air à la fois interrogateur, mal-à-l’aise, un peu honteuse de ce qu’elle fait. Et à la fois extrêmement excitée par la situation, avec un sourire en coin et les yeux brillants.
J’esquisse un large sourire. J’ai une gaule plus que naissante et quasi instantanée. J’ai le bide qui me brûle à cause de l’excitation. C’est exactement ce que je lui ai demandé de faire. Elle a suivi les instructions à la lettre et dans le temps imparti. C’était un défi. Quelle bonne petite chienne! Je la sens à moi et j’ai rarement senti ça à ce point. Je me dit que c’est ma chienne, qu’elle est à moi, en la regardant sucer goulûment la queue d’un pote, d’un autre que moi. C’est un paradoxe qui est tout bonnement jubilatoire. Je suis un mélange de fierté et d’excitation.
Je retourne vers la table avec tout le monde, me re-melange dans le groupe, dans un décalage émotionnel que je peine à estomper. Je participe, essaie d’écouter les blablas et les blagues, en sachant qu’au moment où je me resserre de gin tonic, ma petite pute doit sûrement être en train de se faire défoncer le cul sur le tapis de ma chambre, là, à quatre pattes, et qu’elle doit sûrement être en train de se bouffer la joue pour ne pas jouir comme une salope soumise.
Personne n’a la moindre idée de de ce qu’il est en train de se passer juste au dessus, au deuxième. Je savoure mon Gin-To. J’ai un énorme sourire aux lèvres et des images qui tourbillonnent dans ma tête, c’est vertigineux.
Je suis avec ma fiancé depuis une petite quinzaine d’années. Nous sommes très complices, très amoureux, très heureux. Notre relation sexuelle est basée sur un rapport dominateur-soumise qu’on explore jour après jour.
1,70cm, fine, brune aux yeux verts, un corps de rêve. Elle s’appelle L et c’est objectivement ce qu’on appelle une bombe.
J’adore la baiser et depuis quelques temps j’adore aussi l’imaginer baiser avec d’autres mecs. Du fantasmes et des idées floues et attirantes, c’est devenu peu à peu une réalité. Tout ça c’est passé très progressivement, étape après étape, dans une inimité et une complicité que je n’imaginais pas.
Ça a commencé après une bonne baise et pour bien comprendre, il faut revenir 3 ans en arrière.
Un soir, chez elle, pile entre un orgasme et la sommeil, elle m’avoue après la fameuse « Et toi, c’est quoi le fantasme que tu aimerais le plus réaliser? » qu’elle adorerait se faire prendre par plusieurs mecs. Moi, et des amis. Elle me dit que l’idée d’être au milieu de plusieurs bites, toutes dures et excitées et là rien que pour elle, était une pensée qui la faisait vibrer.
C’est un fantasme qui me plait aussi, beaucoup même. La voir se faire assaillir par plusieurs hommes, excités et décidés à se servir de son petit corps pour se vider et se soulager de leur pulsions, en la baisant, l’enculant, la fessant et enfonçant leur queue au fond de sa gorge, est une image que j’adorais. J’adore la voir sexualisée, demandeuse, soumise, souillée et satisfaite malgré tout.
A ce stade et parce que j’adore la faire progressé dans sa propre luxure, je suis enclin à réaliser son fantasme. Mais passer d’une confidence sur l’oreiller à la réalité n’est pas une mince affaire. Comment? Avec qui? Un ami ou inconnu? Comment amener le truc? Est-ce que ça pourrait détruire ce qu’on a? Il y a-t-il des précautions à prendre? Ha oui il y a aussi des putains de MST à prendre en compte... Toutes ces questions sont autant de freins qui ne se pose pas dans les fantasmes et c’est précisément ce qui rend les fantasmes aussi simples et agréables.
Après avoir longuement réfléchi, je dois avouer que ça me prit plusieurs semaines, je lui dit que ça pourrait se faire et je lui évoque S. Elle trouve l’idée excellente. S est mon meilleur ami d’enfance. Il est célibataire, proche mais habitant en province donc pas dans notre groupe de pote, plutôt bien foutu et assez branché par notre vision du sex. J’en ai parlé quelques fois avec lui et la domination et le « kink » sont des trucs qui l’intéresse. Et surtout, je suis très à l’aise avec lui et j’ai une totale confiance. Elle le connaît bien et trouve l’idée excellente. Il est pour elle ni trop beau (risqué), ni trop laid et elle se sentira à l’aise avec lui pour une première. Je n’ai plus qu’à poser la question à S mais vu ma proximité avec ce gars, ça ne me pose aucun problème.
Quelques jours après cette conversation, nous nous retrouvons dans l’appartement d’une amie pour une nuit. L le garde, j’ai clairement oublié pourquoi mais c’est sans importance. Je suis affalé dans le canapé du salon pendant que L me suce la queue. Elle s’applique et se donne à fond comme à son habitude. Cette histoire d’inviter un autre homme m’avait pas mal habité et pour ne pas que je me sente lésé ou jaloux, ce qui pour moi était le piège à éviter, il me faudrait avoir un contrôle totale sur la situation. J’ai envie de lui imposer l’expérience, qu’elle n’ai pas le choix et que ça se passe exactement comme je l’entends. J’ai donc mon idée en tête sur comment amener les choses et cette soirée est un cadre parfait. C’est cash mais ça peut être très excitant et bien annoncer la couleur.
Pendant qu’elle me suce comme une chienne, en salivant et en poussant des petits gémissements comme je lui ai toujours appris, je sors mon téléphone et appelle S. Je ne sais pas s’il entend les bruits de suction qui se passent au bout de ma bite mais L me fait des petits sourires gênés, s’imaginant que oui. La situation est parfaite pour amener le truc... Après les « ca va et toi » usuels j’en viens vite au fait et lui demande, tout en regardant L droit dans les yeux, s’il serait intéressé à l’idée de venir baiser L avec moi un soir. Pendant qu’il rigole au téléphone, ne me prenant évidemment pas au sérieux et que j’insiste sur le bien fondé de la proposition, je vois L rentrer dans un état second. Un fin mélange d’une immense gène et d’une excitation débordante. Elle est rouge, fébrile, excitée, souriante, tout en continuant de me pomper la queue vigoureusement. Je crois que surtout c’est ça qui trahit le plus son excitation. Je peux clairement lire dans ces yeux « T’es pas chier! Mais putain j’adore ça! ».
Face à mon calme et mon insistence, S sent rapidement que je suis très sérieux et me répond que ça l’intéresse, grave! Qu’il est dans une phase assez libertine en ce moment et que l’idée de venir défoncer L, le fait bien kiffer. Aussi, il profite de cette conversation pour me faire part de son goût pour ma copine, chose délicate à avouer mais que le cru de la situation fait pourtant passer pour une tape dans le dos.
On convenient donc de se rappeler la prochaine fois qu’il passe à Paris...
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Je suis dans ma maison d’enfance. C’est en Bretagne. Une bonne quinzaine de potes sont là depuis ce matin. Nous nous sommes organisé un petite semaine entre amis. On chill tous dans le jardin. Certains font un molki, d’autres un ping-pong. Je prépare des apéros autour de la table du jardin avec 4, 5 potes. Nous sommes en plein mois d’août, la journée est clairement sous le signe de la farniente. Entre deux blagues lourdes et hilarantes, je sens mon portable vibrer. Je me lève, j’essaie d’être naturel et m’écarte du groupe car je sais très bien ce que c’est. Une fois à l’écart, j’ouvre mes textos et je vois deux photos. Elles ont été prise il y a quelques minutes dans une des chambres au 2ème étages. C’est la chambre où je dors avec ma fiancée.
Sur la première photo, je la vois, à genoux, face contre-terre. Elle est toute cambrée, avec les cuisses bien écartées et le cul, braqué en plein vers la caméra. Ses épaules et sa tête sont sur le sol, loins, au second plan et avec ses mains elle s’écarte les fesses complètement pour laisser voir son plug préféré, bien logé dans son trou du cul. La photo est symétrique, en plongée et incroyablement crue. C’est le cul de ma meuf, vu d’au dessus, accueillant, disponible et totalement à la disposition de l’homme, debout qui a ma fiancé à ses pieds. La photo est parfaite.
Sur la deuxième, elle est à genou encore, mais retournée et redressée. Elle regarde droit dans la caméra. La queue du photographe est grosse, à peine dure et est enfoncée au fond de la bouche de ma petite pute. Son visage est allongé, rougie, la bouche déformée par sa grosse bite. Je sens qu’elle est gênée, elle me regarde moi et en même temps chaude comme la braise. Elle a l’air à la fois interrogateur, mal-à-l’aise, un peu honteuse de ce qu’elle fait. Et à la fois extrêmement excitée par la situation, avec un sourire en coin et les yeux brillants.
J’esquisse un large sourire. J’ai une gaule plus que naissante et quasi instantanée. J’ai le bide qui me brûle à cause de l’excitation. C’est exactement ce que je lui ai demandé de faire. Elle a suivi les instructions à la lettre et dans le temps imparti. C’était un défi. Quelle bonne petite chienne! Je la sens à moi et j’ai rarement senti ça à ce point. Je me dit que c’est ma chienne, qu’elle est à moi, en la regardant sucer goulûment la queue d’un pote, d’un autre que moi. C’est un paradoxe qui est tout bonnement jubilatoire. Je suis un mélange de fierté et d’excitation.
Je retourne vers la table avec tout le monde, me re-melange dans le groupe, dans un décalage émotionnel que je peine à estomper. Je participe, essaie d’écouter les blablas et les blagues, en sachant qu’au moment où je me resserre de gin tonic, ma petite pute doit sûrement être en train de se faire défoncer le cul sur le tapis de ma chambre, là, à quatre pattes, et qu’elle doit sûrement être en train de se bouffer la joue pour ne pas jouir comme une salope soumise.
Personne n’a la moindre idée de de ce qu’il est en train de se passer juste au dessus, au deuxième. Je savoure mon Gin-To. J’ai un énorme sourire aux lèvres et des images qui tourbillonnent dans ma tête, c’est vertigineux.
Je suis avec ma fiancé depuis une petite quinzaine d’années. Nous sommes très complices, très amoureux, très heureux. Notre relation sexuelle est basée sur un rapport dominateur-soumise qu’on explore jour après jour.
1,70cm, fine, brune aux yeux verts, un corps de rêve. Elle s’appelle L et c’est objectivement ce qu’on appelle une bombe.
J’adore la baiser et depuis quelques temps j’adore aussi l’imaginer baiser avec d’autres mecs. Du fantasmes et des idées floues et attirantes, c’est devenu peu à peu une réalité. Tout ça c’est passé très progressivement, étape après étape, dans une inimité et une complicité que je n’imaginais pas.
Ça a commencé après une bonne baise et pour bien comprendre, il faut revenir 3 ans en arrière.
Un soir, chez elle, pile entre un orgasme et la sommeil, elle m’avoue après la fameuse « Et toi, c’est quoi le fantasme que tu aimerais le plus réaliser? » qu’elle adorerait se faire prendre par plusieurs mecs. Moi, et des amis. Elle me dit que l’idée d’être au milieu de plusieurs bites, toutes dures et excitées et là rien que pour elle, était une pensée qui la faisait vibrer.
C’est un fantasme qui me plait aussi, beaucoup même. La voir se faire assaillir par plusieurs hommes, excités et décidés à se servir de son petit corps pour se vider et se soulager de leur pulsions, en la baisant, l’enculant, la fessant et enfonçant leur queue au fond de sa gorge, est une image que j’adorais. J’adore la voir sexualisée, demandeuse, soumise, souillée et satisfaite malgré tout.
A ce stade et parce que j’adore la faire progressé dans sa propre luxure, je suis enclin à réaliser son fantasme. Mais passer d’une confidence sur l’oreiller à la réalité n’est pas une mince affaire. Comment? Avec qui? Un ami ou inconnu? Comment amener le truc? Est-ce que ça pourrait détruire ce qu’on a? Il y a-t-il des précautions à prendre? Ha oui il y a aussi des putains de MST à prendre en compte... Toutes ces questions sont autant de freins qui ne se pose pas dans les fantasmes et c’est précisément ce qui rend les fantasmes aussi simples et agréables.
Après avoir longuement réfléchi, je dois avouer que ça me prit plusieurs semaines, je lui dit que ça pourrait se faire et je lui évoque S. Elle trouve l’idée excellente. S est mon meilleur ami d’enfance. Il est célibataire, proche mais habitant en province donc pas dans notre groupe de pote, plutôt bien foutu et assez branché par notre vision du sex. J’en ai parlé quelques fois avec lui et la domination et le « kink » sont des trucs qui l’intéresse. Et surtout, je suis très à l’aise avec lui et j’ai une totale confiance. Elle le connaît bien et trouve l’idée excellente. Il est pour elle ni trop beau (risqué), ni trop laid et elle se sentira à l’aise avec lui pour une première. Je n’ai plus qu’à poser la question à S mais vu ma proximité avec ce gars, ça ne me pose aucun problème.
Quelques jours après cette conversation, nous nous retrouvons dans l’appartement d’une amie pour une nuit. L le garde, j’ai clairement oublié pourquoi mais c’est sans importance. Je suis affalé dans le canapé du salon pendant que L me suce la queue. Elle s’applique et se donne à fond comme à son habitude. Cette histoire d’inviter un autre homme m’avait pas mal habité et pour ne pas que je me sente lésé ou jaloux, ce qui pour moi était le piège à éviter, il me faudrait avoir un contrôle totale sur la situation. J’ai envie de lui imposer l’expérience, qu’elle n’ai pas le choix et que ça se passe exactement comme je l’entends. J’ai donc mon idée en tête sur comment amener les choses et cette soirée est un cadre parfait. C’est cash mais ça peut être très excitant et bien annoncer la couleur.
Pendant qu’elle me suce comme une chienne, en salivant et en poussant des petits gémissements comme je lui ai toujours appris, je sors mon téléphone et appelle S. Je ne sais pas s’il entend les bruits de suction qui se passent au bout de ma bite mais L me fait des petits sourires gênés, s’imaginant que oui. La situation est parfaite pour amener le truc... Après les « ca va et toi » usuels j’en viens vite au fait et lui demande, tout en regardant L droit dans les yeux, s’il serait intéressé à l’idée de venir baiser L avec moi un soir. Pendant qu’il rigole au téléphone, ne me prenant évidemment pas au sérieux et que j’insiste sur le bien fondé de la proposition, je vois L rentrer dans un état second. Un fin mélange d’une immense gène et d’une excitation débordante. Elle est rouge, fébrile, excitée, souriante, tout en continuant de me pomper la queue vigoureusement. Je crois que surtout c’est ça qui trahit le plus son excitation. Je peux clairement lire dans ces yeux « T’es pas chier! Mais putain j’adore ça! ».
Face à mon calme et mon insistence, S sent rapidement que je suis très sérieux et me répond que ça l’intéresse, grave! Qu’il est dans une phase assez libertine en ce moment et que l’idée de venir défoncer L, le fait bien kiffer. Aussi, il profite de cette conversation pour me faire part de son goût pour ma copine, chose délicate à avouer mais que le cru de la situation fait pourtant passer pour une tape dans le dos.
On convenient donc de se rappeler la prochaine fois qu’il passe à Paris...
LeShadowStag a liké