- 11 juin 2018, 21:47
#2173975
J’ai commencé il y a quelques temps à vous raconter une soirée de candaulisme et de soumission. Cette soirée s’est déroulée il y a maintenant quelques années. Mais vous raconter cette séance m’a amené à me plonger dans mes souvenirs et me remémorer cette rencontre avec Jean et Isabelle et les mois qui ont suivi.
Mes activités professionnelles très prenantes et divers événements dans ma vie privée avaient enfoui cette période au fond de mon armoire à souvenirs. C’est en retrouvant le disque dur sur lequel j’avais stocké toutes les photos issues de cette relation que m’est venu l’idée de raconter cette soirée qui fut à la fois une des plus belles et des plus intenses mais aussi une des dernières que j’ai passé en compagnie d’Isabelle et de son mari, Jean.
Et au gré des photos et des souvenirs de cette soirée, j’ai eu envie de vous raconter l’intégralité de cette belle rencontre. Pour la partager avec vous et pour apporter un témoignage sur la magnifique chose que peut être le candaulisme, quand il est appréhendé avec respect, mais aussi, vous le verrez plus loin dans ma narration, les dangers qui parsèment ce type de relations.
Commençons donc par le commencement.
J’ai rencontré Jean dans le cadre de mes activités. J’intervenais en même temps que lui dans certaines conférences. (Je ne m’étendrais ni sur ses activités ni sur les miennes par souci d’anonymat)
Nous voyions tous deux la cinquantaine approcher à grands pas. Nous avions des gouts communs et nous avons sympathisé. Au fil du temps, ce qui peut ressembler à de l’amitié s’est installé entre nous. Je venais de perdre mon épouse et me retrouvais seul à Paris, mes enfants étant restés en Province chez leurs grands-parents pour leurs études.
Jean m’invita à diner chez lui et je fis la connaissance d’Isabelle. Plus jeune que lui d’une quinzaine d’années, elle était très belle. Il se dégageait d’elle une distinction et un calme envoutants. En deux mots, je suis tombé sous le charme en une soirée.
Diplômée en droit, elle effectuait de temps à autres des missions auprès de groupes industriels. Mais elle était surtout la maitresse de maison d’une très belle demeure du début du siècle en banlieue parisienne et la mère attentionnée de deux adorables enfants. Issue d’une famille de notables, on sentait qu’elle avait reçu une éducation bourgeoise qui la faisait se comporter toujours avec retenue, distinction et féminité. Elle n’était pas pour autant guindée. Sa décontraction et sa douceur en toute circonstance la faisaient évoluer avec grâce ou qu’elle se trouve. Le genre de femme qui ne peut laisser personne indifférent. Une femme de notre temps.
Je sentais entre Jean et elle un lien très fort. Leurs regards et leurs attentions réciproques en témoignaient. Leurs deux enfants étaient en bas âge et Isabelle prenait très à cœur son rôle de mère. Avec eux, elle prenait le temps de jouer, de leur faire faire leurs devoirs et les réprimandait de sa voix étonnamment basse, presque rauque, surprenante pour une femme si fine.
Elle restait toujours d’une humeur égale, qu’elle soit occupée, débordée ou inactive.
Je n’aurais jamais imaginé alors que cette rencontre allait se transformer en une extraordinaire histoire d’amitié et d’amour.
Une histoire de sexe aussi. Hors norme.
Merci à Isabelle et Jean de l'avoir vécue avec moi.
C’est cette histoire que je vais essayer de vous raconter ici, à l’aide de mes souvenirs et de mes photos.
Puissiez-vous ressentir à cette lecture le centième du plaisir que nous avons eu à la vivre, j’aurais atteint mon objectif et je pourrais définitivement refermer ce livre.
Mes activités professionnelles très prenantes et divers événements dans ma vie privée avaient enfoui cette période au fond de mon armoire à souvenirs. C’est en retrouvant le disque dur sur lequel j’avais stocké toutes les photos issues de cette relation que m’est venu l’idée de raconter cette soirée qui fut à la fois une des plus belles et des plus intenses mais aussi une des dernières que j’ai passé en compagnie d’Isabelle et de son mari, Jean.
Et au gré des photos et des souvenirs de cette soirée, j’ai eu envie de vous raconter l’intégralité de cette belle rencontre. Pour la partager avec vous et pour apporter un témoignage sur la magnifique chose que peut être le candaulisme, quand il est appréhendé avec respect, mais aussi, vous le verrez plus loin dans ma narration, les dangers qui parsèment ce type de relations.
Commençons donc par le commencement.
J’ai rencontré Jean dans le cadre de mes activités. J’intervenais en même temps que lui dans certaines conférences. (Je ne m’étendrais ni sur ses activités ni sur les miennes par souci d’anonymat)
Nous voyions tous deux la cinquantaine approcher à grands pas. Nous avions des gouts communs et nous avons sympathisé. Au fil du temps, ce qui peut ressembler à de l’amitié s’est installé entre nous. Je venais de perdre mon épouse et me retrouvais seul à Paris, mes enfants étant restés en Province chez leurs grands-parents pour leurs études.
Jean m’invita à diner chez lui et je fis la connaissance d’Isabelle. Plus jeune que lui d’une quinzaine d’années, elle était très belle. Il se dégageait d’elle une distinction et un calme envoutants. En deux mots, je suis tombé sous le charme en une soirée.
Diplômée en droit, elle effectuait de temps à autres des missions auprès de groupes industriels. Mais elle était surtout la maitresse de maison d’une très belle demeure du début du siècle en banlieue parisienne et la mère attentionnée de deux adorables enfants. Issue d’une famille de notables, on sentait qu’elle avait reçu une éducation bourgeoise qui la faisait se comporter toujours avec retenue, distinction et féminité. Elle n’était pas pour autant guindée. Sa décontraction et sa douceur en toute circonstance la faisaient évoluer avec grâce ou qu’elle se trouve. Le genre de femme qui ne peut laisser personne indifférent. Une femme de notre temps.
Je sentais entre Jean et elle un lien très fort. Leurs regards et leurs attentions réciproques en témoignaient. Leurs deux enfants étaient en bas âge et Isabelle prenait très à cœur son rôle de mère. Avec eux, elle prenait le temps de jouer, de leur faire faire leurs devoirs et les réprimandait de sa voix étonnamment basse, presque rauque, surprenante pour une femme si fine.
Elle restait toujours d’une humeur égale, qu’elle soit occupée, débordée ou inactive.
Je n’aurais jamais imaginé alors que cette rencontre allait se transformer en une extraordinaire histoire d’amitié et d’amour.
Une histoire de sexe aussi. Hors norme.
Merci à Isabelle et Jean de l'avoir vécue avec moi.
C’est cette histoire que je vais essayer de vous raconter ici, à l’aide de mes souvenirs et de mes photos.
Puissiez-vous ressentir à cette lecture le centième du plaisir que nous avons eu à la vivre, j’aurais atteint mon objectif et je pourrais définitivement refermer ce livre.
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