Elle prend ces mots en pleine face, comme si je l’avais giflée…
Je m’accroupis à côté d’elle et la prenant par le cou, je lui dis plus bas :
« Dites-le que vous êtes une chienne… Pas toujours, mais ce soir, vous êtes une chienne qui va se faire prendre par tous les orifices que la nature vous a donné… dites-le nous que vous êtes une chienne… »
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Elle reste silencieuse. Et soudain, brisant le silence, une voix s’élève parmi nos invités :
« Putain, baffe la, cette salope, qu’on en finisse !!! »
Je m’arrête net et me relève. J’avance vers l’homme qui vient de parler et me plante devant lui.
« Les règles étaient claires… Il n’y a que moi qui parle à Isabelle. Pas de commentaires désobligeants, d’insultes ni de violence. Je vais vous demander de partir… »
L’homme proteste, s’excuse. Mais je dois rester inflexible. Il va partir. Ca calmera les autres. La sécurité d’Isabelle et l’ambiance de la soirée passent par le respect des uns et des autres.
L’homme continue à discuter, s’énerve. La soirée risque de déraper.
« Bon, écoutez, ou vous sortez, ou on arrête tout… »
Cette fois, les quatre autres interviennent, voyant se profiler le risque de repartir sans profiter des trésors de la belle.
Finalement, l’homme sort en maugréant.
Nous avions pourtant, Jean et moi, sélectionné avec soin, nos invités. Mais l’adrénaline pousse parfois à des actes inconsidérés. J’ai toujours veillé à ça. Tant c’est primordial dans ce type de relations… Mais, le risque zéro n’existe pas.
Pendant l’incident, Isabelle est restée agenouillée, sans bouger, comme absente. Ou plutôt sa passivité est un signe de plus qu’elle m’a donné définitivement le contrôle de cette soirée.
IL faut en reprendre le fil au plus vite au risque de tout gâcher.
Je retourne auprès d’elle et m’accroupis.
« Bien, cet imbécile est parti… Reprenons… Dites-nous que vous êtes une chienne, Isabelle… »
Elle avale sa salive, ouvre la bouche, mais aucun son ne sort.
Elle inspire profondément et dit d’une voix basse :
« Je suis… … … une chienne… »
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Le dernier mot est sorti de sa bouche dans un souffle…
« Bien, mais vous allez être une chienne obéissante… d’accord ? Ce qui veut dire que je peux faire ce que je veux de vous… et de vos orifices… alors je vais mettre mes doigts dans votre bouche et vous allez me laisser faire… sans bouger. Vous êtes d’accord ? »
Elle acquiesce sans un mot…
Je la prends doucement d’une main au cou.
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Puis j’appuie doucement sur son menton pour lui faire ouvrir la bouche.
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J’approche ensuite mon doigt et cette fois, elle me laisse pénétrer sa bouche sans difficulté.
Elle garde la bouche grande ouverte.
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A suivre…
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