- 14 avr. 2018, 01:34
#2149314
Je sens que la tension est montée d’un cran dans la pièce.
Je l’aide à se redresser. Sa jupe retombe voilant à nouveau ses fesses.
J’essaie de la remonter à nouveau, mais quand Isabelle est debout, rien à faire : elle glisse et retombe. Qu’à cela ne tienne, je vais mettre la belle à contribution.
« Isabelle, tenez le bas de votre jupe à deux mains pour l’empêcher de redescendre et de nous cacher vos trésors… »
Elle hésite et je suis obligé de guider ses mains jusqu’à l’ourlet de sa jupe pour qu’elle fasse ce que je lui demande.
« C’est bien, ma belle. Vous voyez, les menottes vous laissent juste l’usage de vos mains pour ce qui est utile. Pour le reste vous n’aurez pas besoin de vos mains… »
Je guide Isabelle vers le dossier d’un fauteuil contre lequel je la courbe en avant.
Basculant en avant, elle pousse un petit cri. Je la rassure en la retenant d’une main.
Dans son affolement, elle a lâché sa jupe. Mais courbée en avant comme elle l’est ce n’est plus un problème. Je glisse main entre ses cuisses et je remonte lentement le tissu.
Je dégage complètement ses fesses que je parcours de la paume de ma main.
Sa peau est un délice de douceur. La sentir frémir sous mes doigts me donne envie de la prendre, là maintenant. Mais, ce n’est pas encore le moment. Pour qu’Isabelle abandonne toute pudeur et devienne la merveilleuse soumise que nous avons fait d’elle, il faut procéder avec lenteur et méthode. Pour faire monter la tension, jusqu’au moment où elle basculera et s’offrira à toutes nos fantaisies.
Je glisse lentement ma main entre ses globes fessiers, et par la déchirure de son slip, je m’enfonce sans difficulté dans son intimité de plus en plus trempée. Elle aime cette lenteur lancinante qui est la mienne pour prendre possession d’elle.
Il faut retarder au maximum le moment de la première pénétration. La laisser dans le doute. Quel orifice utilisera-ton en premier ? Son ventre ? Son anus ? Sa bouche ?
Ces interrogations et la tension qu’elles génèrent agissent comme une bombe à retardement. Je sais que son plaisir et le nôtre n’en seront que plus intense.
Je prends possession plus fermement et plus profondément de son ventre, lui arrachant un hoquet et une longue expiration. J’écarte largement le fond en lambeaux de son slip pour ouvrir un peu plus les lèvres trempées de son sexe.
Puis avant qu’elle n’ait le temps de réagir, je retire mes doigts de son sexe et découpe rapidement ce qui reste de son slip. Presque brutalement. Je sens une sorte de panique l’envahir à cette accélération subite des choses. Elle bloque sa respiration et se tend d’un coup.
Les lambeaux de son slip ne cachent plus rien désormais. Et sa position nous dévoile son sexe et son anus. Sa tension est telle qu’on voit palpiter le petit œillet et les lèvres ouvertes et de plus en plus gonflées de sa délicieuse fente.
Je marque une petite pause pour la laisser reprendre son calme et son souffle. Pour ne pas rompre la magie du moment.
Pour ne pas que tout s’arrête pour un mot ou un geste. Cette alchimie psychologique est si fragile. Il ne faut pas a brusquer. Pas encore. Pas tout de suite.
Elle a découvert tant de choses ces derniers mois. Elle a franchi tant d’étapes pour vaincre ses peurs et ses tabous. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse devenir une soumise de ce niveau. La première fois que je l’ai rencontrée, j’ai été saisi par son charme, sa beauté et sa douceur. Sa timidité et les premiers efforts qu’elle a faits pour progresser lui ont couté. Sa volonté d’aller au-delà de ce qu’elle se croyait capable de faire et d’accepter, son lâcher prise avec moi, m’ont sincèrement touché. Au début, je sais qu’elle a accepté pour son mari.
Les premières étapes ont été très soft. Nous partions de loin.
Isabelle était, comme me l’avait dit Jean lors de nos longues discussions préalables, une amante irréprochable qui ne refusait que rarement l’acte. Elle se laissait guider. Elle acceptait diverses positions, elle suçait son mari quand il le lui demandait, mais refusait qu’il jouisse dans sa bouche et n’avait jamais accepté la sodomie. Et pour elle, l’acte sexuel ne se concevait que dans le lit conjugal.
Nous avons commencé par l’encourager à porter des vêtements plus sexy. Nous avons fait les boutiques ensemble, tous les trois. Il était convenu que je choisissais une tenue sur trois. Elle pouvait donc en refuser deux à chaque fois. Puis nous avons fait la même chose pour ses dessous. Le plus incongru de l’histoire, c’est que ce shopping pour refaire sa garde-robe, s’est déroulé sur au moins deux mois. Nous nous voyions tous les week-ends, nous déjeunions et dinions ensemble chez eux, chez moi ou au restaurant. Et pendant cette période, je n’ai pas touché Isabelle une seule fois. Je ne l’ai pas vue nue, même pas en sous-vêtements. Je l’ai vue nue pour la première fois, un soir chez eux au moins 2 mois après notre première rencontre à trois. Ensuite tout est allé un peu plus vite puisque je l’ai caressée et prise devant son mari la semaine suivante. Ce fut le début d’une merveilleuse complicité à trois. Isabelle était comme un coffre-fort à plusieurs serrures. Vous ne pouvez pas imaginer quelle jouissance c’était quand je trouvais la bonne combinaison pour une d’entre elles. Jusqu’à ce qu’elles s’ouvrent toutes et que je découvre le trésor de soumise qu’il renfermait. Un jour, je vous raconterais cette merveilleuse aventure.
Pour ce soir, nous laisserons Isabelle menottée, troussée et courbée sur ce fauteuil, son slip en lambeaux.
A suivre
Je l’aide à se redresser. Sa jupe retombe voilant à nouveau ses fesses.
J’essaie de la remonter à nouveau, mais quand Isabelle est debout, rien à faire : elle glisse et retombe. Qu’à cela ne tienne, je vais mettre la belle à contribution.
« Isabelle, tenez le bas de votre jupe à deux mains pour l’empêcher de redescendre et de nous cacher vos trésors… »
Elle hésite et je suis obligé de guider ses mains jusqu’à l’ourlet de sa jupe pour qu’elle fasse ce que je lui demande.
« C’est bien, ma belle. Vous voyez, les menottes vous laissent juste l’usage de vos mains pour ce qui est utile. Pour le reste vous n’aurez pas besoin de vos mains… »
Je guide Isabelle vers le dossier d’un fauteuil contre lequel je la courbe en avant.
Basculant en avant, elle pousse un petit cri. Je la rassure en la retenant d’une main.
Dans son affolement, elle a lâché sa jupe. Mais courbée en avant comme elle l’est ce n’est plus un problème. Je glisse main entre ses cuisses et je remonte lentement le tissu.
Je dégage complètement ses fesses que je parcours de la paume de ma main.
Sa peau est un délice de douceur. La sentir frémir sous mes doigts me donne envie de la prendre, là maintenant. Mais, ce n’est pas encore le moment. Pour qu’Isabelle abandonne toute pudeur et devienne la merveilleuse soumise que nous avons fait d’elle, il faut procéder avec lenteur et méthode. Pour faire monter la tension, jusqu’au moment où elle basculera et s’offrira à toutes nos fantaisies.
Je glisse lentement ma main entre ses globes fessiers, et par la déchirure de son slip, je m’enfonce sans difficulté dans son intimité de plus en plus trempée. Elle aime cette lenteur lancinante qui est la mienne pour prendre possession d’elle.
Il faut retarder au maximum le moment de la première pénétration. La laisser dans le doute. Quel orifice utilisera-ton en premier ? Son ventre ? Son anus ? Sa bouche ?
Ces interrogations et la tension qu’elles génèrent agissent comme une bombe à retardement. Je sais que son plaisir et le nôtre n’en seront que plus intense.
Je prends possession plus fermement et plus profondément de son ventre, lui arrachant un hoquet et une longue expiration. J’écarte largement le fond en lambeaux de son slip pour ouvrir un peu plus les lèvres trempées de son sexe.
Puis avant qu’elle n’ait le temps de réagir, je retire mes doigts de son sexe et découpe rapidement ce qui reste de son slip. Presque brutalement. Je sens une sorte de panique l’envahir à cette accélération subite des choses. Elle bloque sa respiration et se tend d’un coup.
Les lambeaux de son slip ne cachent plus rien désormais. Et sa position nous dévoile son sexe et son anus. Sa tension est telle qu’on voit palpiter le petit œillet et les lèvres ouvertes et de plus en plus gonflées de sa délicieuse fente.
Je marque une petite pause pour la laisser reprendre son calme et son souffle. Pour ne pas rompre la magie du moment.
Pour ne pas que tout s’arrête pour un mot ou un geste. Cette alchimie psychologique est si fragile. Il ne faut pas a brusquer. Pas encore. Pas tout de suite.
Elle a découvert tant de choses ces derniers mois. Elle a franchi tant d’étapes pour vaincre ses peurs et ses tabous. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse devenir une soumise de ce niveau. La première fois que je l’ai rencontrée, j’ai été saisi par son charme, sa beauté et sa douceur. Sa timidité et les premiers efforts qu’elle a faits pour progresser lui ont couté. Sa volonté d’aller au-delà de ce qu’elle se croyait capable de faire et d’accepter, son lâcher prise avec moi, m’ont sincèrement touché. Au début, je sais qu’elle a accepté pour son mari.
Les premières étapes ont été très soft. Nous partions de loin.
Isabelle était, comme me l’avait dit Jean lors de nos longues discussions préalables, une amante irréprochable qui ne refusait que rarement l’acte. Elle se laissait guider. Elle acceptait diverses positions, elle suçait son mari quand il le lui demandait, mais refusait qu’il jouisse dans sa bouche et n’avait jamais accepté la sodomie. Et pour elle, l’acte sexuel ne se concevait que dans le lit conjugal.
Nous avons commencé par l’encourager à porter des vêtements plus sexy. Nous avons fait les boutiques ensemble, tous les trois. Il était convenu que je choisissais une tenue sur trois. Elle pouvait donc en refuser deux à chaque fois. Puis nous avons fait la même chose pour ses dessous. Le plus incongru de l’histoire, c’est que ce shopping pour refaire sa garde-robe, s’est déroulé sur au moins deux mois. Nous nous voyions tous les week-ends, nous déjeunions et dinions ensemble chez eux, chez moi ou au restaurant. Et pendant cette période, je n’ai pas touché Isabelle une seule fois. Je ne l’ai pas vue nue, même pas en sous-vêtements. Je l’ai vue nue pour la première fois, un soir chez eux au moins 2 mois après notre première rencontre à trois. Ensuite tout est allé un peu plus vite puisque je l’ai caressée et prise devant son mari la semaine suivante. Ce fut le début d’une merveilleuse complicité à trois. Isabelle était comme un coffre-fort à plusieurs serrures. Vous ne pouvez pas imaginer quelle jouissance c’était quand je trouvais la bonne combinaison pour une d’entre elles. Jusqu’à ce qu’elles s’ouvrent toutes et que je découvre le trésor de soumise qu’il renfermait. Un jour, je vous raconterais cette merveilleuse aventure.
Pour ce soir, nous laisserons Isabelle menottée, troussée et courbée sur ce fauteuil, son slip en lambeaux.
A suivre
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