- 08 mars 2014, 02:51
#1541679
Il y avait beaucoup de monde, mais ils sont tous partis dans le sens opposés en direction de la rue, loin de l'impasse.
J'ai pu comprendre les discussions qui s'élevaient du groupe et j'en ai compris la raison.
La porte que nous avions pris pour une issue de secours est en fait la sortie d'une (ou plusieurs on ne sait pas) salle de cinéma, cinéma que nous n'avions pas vu et qui est de l'autre côté du pâté de maison. On saura maintenant ...
Ils n'ont pas été vu et les gens se sont vites dispersés donc pas de soucis, mais sur le coup j'ai été surpris...
Une fois les dernières personnes parties je me suis retourné et suis allé les rejoindre pour leur expliquer ce qu'il s'était passé.
Je n'ai pas vraiment eu de réponse de leur part ils avaient tous deux l'air embués.
Ma femme était toujours perchée sur lui, elle avait les yeux brillants j'ai cru qu'elle avait pleurée je ne sais pas pourquoi.
Je lui ai demandé si ça allait, elle c'est fait du vent avec sa main et m'a dit que oui pas de soucis.
Elle m'a confiée ensuite (le lendemain également) qu'elle avait eu un orgasme à ce moment là et que les larmes lui étaient montés aux yeux elle ne se l'explique pas.
Bref, la seconde partie du plan à été donc été choisie.
Son amant l'a aidée à descendre, elle avait un peu de mal à tenir debout et son maquillage sur le coin des yeux avait un peu coulé mais rien d'irréparable.
Je l'ai enveloppée dans son manteau, son amant est venu lui frotter le dos comme pour la réchauffer et elle est venue se lover contre lui emmitouflée dans son imper.
Elle m'a demandée de m'approcher, m'a embrassée, sagement, mais longuement, m'a passée la main dans le dos, et nous sommes tous trois partis dîner.
A l'origine nous voulions donner un avant goût du "dessert" à son amant, et selon le choix de ma femme conclure dans l'impasse ou prolonger le plaisir lors du repas et reprendre après chez nous.
L'irruption de la sortie des gens du cinéma à un peu coupé l'élan, elle semblait heureuse mais avoir besoin de reprendre ses esprits.
Nous sommes arrivés en avance au restaurant, on avait prévu large en prévision, mais on a pu s'assoir rapidement.
Il y avait un peu de monde, nous avons eu de la chance notre table était dans un angle, une banquette d'un côté et deux sièges de l'autre. J'ai pris un des sièges, son amant a laissé la place sur la banquette la plus près de l'angle à ma femme et s'est assis à côté.
La miss était toujours nue ou presque sous son imper vu qu'elle n'avait que ses sous vêtements et plus précisément plus que son soutien gorge, ses bas et son porte jarretelles.
La culotte étant restée dans la poche du manteau de son amant.
Je ne pense pas qu'elle y ai réfléchit et elle est restée ainsi, elle a juste repliée le bas de manteau sous ses fesses.
Le choix fut rapidement fait, menus et boissons furent commandés.
Le serveur nous a demandé si ma femme avait froid vu qu'elle gardait son manteau, il faisait bon dans le restaurant, mais la perche tendue fut adoptée aussitôt, son manteau n'était ni épais ni encombrant ça n'a choqué personne.
Et ça a été l'occasion pour elle de trouver une excuse pour se rapprocher de son amant et se coller à lui.
Notre passage dans l'impasse semblait avoir laissé ma femme un peu groggys, ce qui dans tous les cas n'en aurait pas été un reproche, ça avait l'air d'avoir été plus qu'agréable pour eux deux.
Le repas s'est poursuivit normalement, nous avons discutés de l'exposition et ma femme a retrouvée l'appétit et l'aplomb.
Sans le vouloir, avoir prévu un repas juste après à été une excellente idée.
Manger un morceau lui a redonner des forces et le sourire lui était revenu en grande force.
L'envie, que je pensais passée pour le reste de la soirée est revenue elle aussi au grand galop, tout du moins pour ma femme. Ce qui invariablement à contaminé son amant qui l'a suivi sans attendre.
Je sentais les pieds et jambes bouger sous la table, je ne sais pas si ma femme était nerveuse ou si elle tentait de dire quelque chose, à moi ou a son amant, car j'ai eu l'impression que ses pieds touchaient tout ce qu'ils trouvaient. Je voyais des regards complices et des mains se balader sous la table, tout en restant discrets bien sûr..
Nous avions chacun des pris des plats différents, ma femme a demandée si elle pouvait goûter mon plat ainsi que celui qu'avait pris son amant.
Je me doute que ce n'était que prétexte pour préparer ce qu'elle comptait faire après.
Elle nous as ensuite demandé si nous voulions goûter ce qu'elle avait pris .
Elle a demandé à son amant d'ouvrir la bouche, et ce n'est que quand j'ai vu son doigt s'en approcher , que j'ai réalisé qu'il n'avait pas effleuré son assiette mais que sa main sortait de sous la table, et j'ai compris.
Son amant à lui saisit tout de suite, a attrapé son doigt entre ses lèvre aspirant ce qui s'y trouvait.
Ce qui à fait sourire ma femme.
Elle m'a ensuite regardé et m'a demandé si je voulais gouté.
J'ai dit que oui, j'ai vu sa main disparaitre sous la nappe et me tendre un autre de ses doigt.
Elle m'a dit "il en restera, je ne sais pas si je pourrais tout finir", je n'ai pas compris à quoi elle voulait en venir ou si c'était juste pour fair illusion, quoi qu'il en soit j'ai lécher son doit qui était trempé au moins jusqu'à la phalange.
Je l'ai rarement connue aussi déchaînée que ce soir, elle devait être sacrément excité et surtout motivée.
Ce n'est pas habituel de la voir agir ainsi, mais la voyant heureuse et pleine d'envie, je n'aurais jamais pu l'empêcher d'en profiter de pouvoir se lâcher un peu, surtout que c'est un peu le but de tout ça.
Le lendemain (encore), elle m'a dit qu'au restaurant une fois l'appétit venue elle ne tenait plus, et que si elle avait pu elle aurait finit sous la table...
Sauf que, ce n'était ni le moment, ni l'endroit.
Son amant avait bien compris qu'elle avait très envie, mais il fallait attendre, et je crois que, sachant ça, il en a un peu profité pour jouer avec elle.
Juste avant que n'arrive les desserts j'ai remarqué qu'une partie de leur mains étaient absentes.
J'ai, du pied, tenté d'atteindre ceux de ma femme mais je ne les ai pas trouvés.
En me mettant de trois quart, plus près du bord de la table, j'ai vu son genoux dépassé de la nappe et j'ai compris pourquoi je n'avais atteint ses jambes et je devinais maintenant où se perdait la main de son amant.
J'ai pu comprendre les discussions qui s'élevaient du groupe et j'en ai compris la raison.
La porte que nous avions pris pour une issue de secours est en fait la sortie d'une (ou plusieurs on ne sait pas) salle de cinéma, cinéma que nous n'avions pas vu et qui est de l'autre côté du pâté de maison. On saura maintenant ...
Ils n'ont pas été vu et les gens se sont vites dispersés donc pas de soucis, mais sur le coup j'ai été surpris...
Une fois les dernières personnes parties je me suis retourné et suis allé les rejoindre pour leur expliquer ce qu'il s'était passé.
Je n'ai pas vraiment eu de réponse de leur part ils avaient tous deux l'air embués.
Ma femme était toujours perchée sur lui, elle avait les yeux brillants j'ai cru qu'elle avait pleurée je ne sais pas pourquoi.
Je lui ai demandé si ça allait, elle c'est fait du vent avec sa main et m'a dit que oui pas de soucis.
Elle m'a confiée ensuite (le lendemain également) qu'elle avait eu un orgasme à ce moment là et que les larmes lui étaient montés aux yeux elle ne se l'explique pas.
Bref, la seconde partie du plan à été donc été choisie.
Son amant l'a aidée à descendre, elle avait un peu de mal à tenir debout et son maquillage sur le coin des yeux avait un peu coulé mais rien d'irréparable.
Je l'ai enveloppée dans son manteau, son amant est venu lui frotter le dos comme pour la réchauffer et elle est venue se lover contre lui emmitouflée dans son imper.
Elle m'a demandée de m'approcher, m'a embrassée, sagement, mais longuement, m'a passée la main dans le dos, et nous sommes tous trois partis dîner.
A l'origine nous voulions donner un avant goût du "dessert" à son amant, et selon le choix de ma femme conclure dans l'impasse ou prolonger le plaisir lors du repas et reprendre après chez nous.
L'irruption de la sortie des gens du cinéma à un peu coupé l'élan, elle semblait heureuse mais avoir besoin de reprendre ses esprits.
Nous sommes arrivés en avance au restaurant, on avait prévu large en prévision, mais on a pu s'assoir rapidement.
Il y avait un peu de monde, nous avons eu de la chance notre table était dans un angle, une banquette d'un côté et deux sièges de l'autre. J'ai pris un des sièges, son amant a laissé la place sur la banquette la plus près de l'angle à ma femme et s'est assis à côté.
La miss était toujours nue ou presque sous son imper vu qu'elle n'avait que ses sous vêtements et plus précisément plus que son soutien gorge, ses bas et son porte jarretelles.
La culotte étant restée dans la poche du manteau de son amant.
Je ne pense pas qu'elle y ai réfléchit et elle est restée ainsi, elle a juste repliée le bas de manteau sous ses fesses.
Le choix fut rapidement fait, menus et boissons furent commandés.
Le serveur nous a demandé si ma femme avait froid vu qu'elle gardait son manteau, il faisait bon dans le restaurant, mais la perche tendue fut adoptée aussitôt, son manteau n'était ni épais ni encombrant ça n'a choqué personne.
Et ça a été l'occasion pour elle de trouver une excuse pour se rapprocher de son amant et se coller à lui.
Notre passage dans l'impasse semblait avoir laissé ma femme un peu groggys, ce qui dans tous les cas n'en aurait pas été un reproche, ça avait l'air d'avoir été plus qu'agréable pour eux deux.
Le repas s'est poursuivit normalement, nous avons discutés de l'exposition et ma femme a retrouvée l'appétit et l'aplomb.
Sans le vouloir, avoir prévu un repas juste après à été une excellente idée.
Manger un morceau lui a redonner des forces et le sourire lui était revenu en grande force.
L'envie, que je pensais passée pour le reste de la soirée est revenue elle aussi au grand galop, tout du moins pour ma femme. Ce qui invariablement à contaminé son amant qui l'a suivi sans attendre.
Je sentais les pieds et jambes bouger sous la table, je ne sais pas si ma femme était nerveuse ou si elle tentait de dire quelque chose, à moi ou a son amant, car j'ai eu l'impression que ses pieds touchaient tout ce qu'ils trouvaient. Je voyais des regards complices et des mains se balader sous la table, tout en restant discrets bien sûr..
Nous avions chacun des pris des plats différents, ma femme a demandée si elle pouvait goûter mon plat ainsi que celui qu'avait pris son amant.
Je me doute que ce n'était que prétexte pour préparer ce qu'elle comptait faire après.
Elle nous as ensuite demandé si nous voulions goûter ce qu'elle avait pris .
Elle a demandé à son amant d'ouvrir la bouche, et ce n'est que quand j'ai vu son doigt s'en approcher , que j'ai réalisé qu'il n'avait pas effleuré son assiette mais que sa main sortait de sous la table, et j'ai compris.
Son amant à lui saisit tout de suite, a attrapé son doigt entre ses lèvre aspirant ce qui s'y trouvait.
Ce qui à fait sourire ma femme.
Elle m'a ensuite regardé et m'a demandé si je voulais gouté.
J'ai dit que oui, j'ai vu sa main disparaitre sous la nappe et me tendre un autre de ses doigt.
Elle m'a dit "il en restera, je ne sais pas si je pourrais tout finir", je n'ai pas compris à quoi elle voulait en venir ou si c'était juste pour fair illusion, quoi qu'il en soit j'ai lécher son doit qui était trempé au moins jusqu'à la phalange.
Je l'ai rarement connue aussi déchaînée que ce soir, elle devait être sacrément excité et surtout motivée.
Ce n'est pas habituel de la voir agir ainsi, mais la voyant heureuse et pleine d'envie, je n'aurais jamais pu l'empêcher d'en profiter de pouvoir se lâcher un peu, surtout que c'est un peu le but de tout ça.
Le lendemain (encore), elle m'a dit qu'au restaurant une fois l'appétit venue elle ne tenait plus, et que si elle avait pu elle aurait finit sous la table...
Sauf que, ce n'était ni le moment, ni l'endroit.
Son amant avait bien compris qu'elle avait très envie, mais il fallait attendre, et je crois que, sachant ça, il en a un peu profité pour jouer avec elle.
Juste avant que n'arrive les desserts j'ai remarqué qu'une partie de leur mains étaient absentes.
J'ai, du pied, tenté d'atteindre ceux de ma femme mais je ne les ai pas trouvés.
En me mettant de trois quart, plus près du bord de la table, j'ai vu son genoux dépassé de la nappe et j'ai compris pourquoi je n'avais atteint ses jambes et je devinais maintenant où se perdait la main de son amant.