- 25 nov. 2010, 22:25
#143089
Bonsoir,
Tout est nouveau pour moi ici...
Il y a peu de temps encore j'ignorai que tout celà existait, voilà l'histoire de ma vie et comment je suis arrivé sur ce forum :
J'ai 28 ans, je suis plutôt beau garçon, assez bien fait, j'ai toujours sû séduire les filles qui me plaisent.
Je ne suis pas trop idiot, ouvert d'esprit, assez "cool".
Pourtant, je n'ai jamais réussi à garder mes conquètes et j'ai mis du temps à comprendre pourquoi.
Depuis l'âge de 14 ans, j'ai couché avec des filles. Au début, tout allait bien, je savais que je n'étais pas monstrueusement membré et j'avais un mal fou à retenir mon éjaculation mais ça ne posait pas de problème, ça en arrangeait même certaines qui étaient bien contente de ne pas souffrir lors de leur dépucelage !
C'est vers 18 ans que j'ai commencé à découvrir mon fardeau. Je venais de rencontrer une fille qui me plaisait beaucoup, belle à croquer, une cambrure insolante, une potrine inimaginable; rapidement elle se retrouva dans mon lit
et là les choses se compliquèrent. Je caressais son sexe, incroyablement mouillé et brûlant, puis j'y glissai un doigt. J'y mis 1,2,3 puis 4 doigts sans difficulté sans qu'elle ait la moindre douleur; j'étais impressionné, déstabilisé.Je venais de découvrir ce qu'était une sexe de femme, je n'avais que connu des jeune fille jusqu'à présent.
Bien sûr j'ai fini par déballer mon sexe, je crois qu'elle fut aussi surprise que moi !
Elle ne le toucha pas, au bout d'un temps j'ai enfilé un préservation et l'ai pénétré... environ 1 minute...
Aucune réaction de sa part.
De la même manière nous avons eu 3 autres rapports puis elle me quitta sans explication convainquante.
Les années se suivaient et se ressemblaient, mes copines partaient l'une derrière l'autre...
Puis il y a 3 ans, j'ai rencontré une infirmière, c'est là que j'ai eu enfin une explication.
Lors de notre 3ème rencontre, elle se baissa au niveau de ma ceinture, retira mon caleçon avec beaucoup d'assurance et s'exclama : "oh merde, mais elle est toute petite !" J'étais choqué, tétanisé.
elle continua : " ben merde, un mec de ta corpulence devrait avoir autre chose que ça, je sais de quoi je parle ! Heureusement que tu n'es pas patient dans mon service, mes collègues exploseraient de rire ! Mais ce n'est pas grâve, il faut tout essayer dans la vie !" dit -elle en riant.
Probablement sous l'effet du choc je réussi miraculeusement à tenir quelques minutes avant d'éjaculer. Elle était très pédagogue, elle choisissait des positions qui facilitaient la pénétration, elle me donnait des conseils... Après l'acte elle m'avoua que son ex était bien monté "un double décimètre ne suffisait pas à la mesurer" disait-elle fièrement. "Avec toi je n'ai presque rien senti mais ne t'inquiète pas mon périnée va se rétracter avec le temps, je ferai des exercices pour aider, ça ira..." Elle m'humiliait mais me rassurait à la fois, j'étais vraiment bien avec elle. Avec le temps on évoluait, elle commençaiit à ressentir du plaisir, sans pour autant prendre son pied. elle me taquinait quotiennement du genre "un gros pénis, c'est comme l'argent, ça ne fait pas tout mais ça participe grandement au bonheur", "avant j'avais une grosse américaine, maintenant une sans-permis", "si tu veux qu'une nana te foute la paix, il faut la faire jouir tous les jours" ou encore "aujourd'hui j'avais un patient qui en avait une belle, au repos plus longue et bien plus large que la tienne en érection". Un soir elle mesura mon sexe, ça me gênait mais comme ça avait l'air de l'amuser, je laissais faire. " Ca va ce n'est pas si catastrophique, presque 12 cm ! le problème c'est surtout qu'elle est vraiment fine. je dois t'avouer qu'une zigounette d'une belle taille me manque, je t'aime mais je n'arrête pas de matter les pénis des patients, ça devient une obsession, j'en ai parlé à mes collègues mais il n'y a pas vraiment de solution !"J'étais vert, maintenant tout son service le savait ! je me sentais de moins en moins "homme" mais elle était si franche, si sincère que je partageais son désarois. "Tu voudrais coucher avec un autre mec ?" lui demandai-jai timidement; "Tu serais d'accord ?" s'exclama-t-elle (ses yeux pétillaient). "non je te demande juste sa tu en as envie ?". Et là, elle éclata en sanglos :" je n'en peux plus, je t'aime, tu es si gentil, si mignon mais je suis en manque, j'adore le cul j'adore jouir et je suis tellement frustrée. Je fais des rêves honteux, mon corps réclame du sexe, du vrai, je veux être baisée, je ne veux pas faire l'amour, je veux me faire prendre comme une salope, qu'on me prenne par devant, par derrière comme une trainée !!!". J'étais scotché, une fois de plus elle me choquait. Elle me faisait pitié, je l'aimais je ne pouvais pas la laisser comme ça. Sans même vraiment réfléchir je lui dis "tu peux coucher avec un autre mec, tout ça ce n'est pas de ta faute mais de la mienne, je prends sur moi, va t'éclater mais ne me dit rien et ne te faire pas remarquer". elle sauta à mon coup, m'embrassa passionnément et me dit "tu es mon chéri pour la vie".
Je venais de faire de moi un cocu consentant.
La suite bientôt...
Tout est nouveau pour moi ici...
Il y a peu de temps encore j'ignorai que tout celà existait, voilà l'histoire de ma vie et comment je suis arrivé sur ce forum :
J'ai 28 ans, je suis plutôt beau garçon, assez bien fait, j'ai toujours sû séduire les filles qui me plaisent.
Je ne suis pas trop idiot, ouvert d'esprit, assez "cool".
Pourtant, je n'ai jamais réussi à garder mes conquètes et j'ai mis du temps à comprendre pourquoi.
Depuis l'âge de 14 ans, j'ai couché avec des filles. Au début, tout allait bien, je savais que je n'étais pas monstrueusement membré et j'avais un mal fou à retenir mon éjaculation mais ça ne posait pas de problème, ça en arrangeait même certaines qui étaient bien contente de ne pas souffrir lors de leur dépucelage !
C'est vers 18 ans que j'ai commencé à découvrir mon fardeau. Je venais de rencontrer une fille qui me plaisait beaucoup, belle à croquer, une cambrure insolante, une potrine inimaginable; rapidement elle se retrouva dans mon lit

Bien sûr j'ai fini par déballer mon sexe, je crois qu'elle fut aussi surprise que moi !
Elle ne le toucha pas, au bout d'un temps j'ai enfilé un préservation et l'ai pénétré... environ 1 minute...
Aucune réaction de sa part.
De la même manière nous avons eu 3 autres rapports puis elle me quitta sans explication convainquante.
Les années se suivaient et se ressemblaient, mes copines partaient l'une derrière l'autre...
Puis il y a 3 ans, j'ai rencontré une infirmière, c'est là que j'ai eu enfin une explication.
Lors de notre 3ème rencontre, elle se baissa au niveau de ma ceinture, retira mon caleçon avec beaucoup d'assurance et s'exclama : "oh merde, mais elle est toute petite !" J'étais choqué, tétanisé.
elle continua : " ben merde, un mec de ta corpulence devrait avoir autre chose que ça, je sais de quoi je parle ! Heureusement que tu n'es pas patient dans mon service, mes collègues exploseraient de rire ! Mais ce n'est pas grâve, il faut tout essayer dans la vie !" dit -elle en riant.
Probablement sous l'effet du choc je réussi miraculeusement à tenir quelques minutes avant d'éjaculer. Elle était très pédagogue, elle choisissait des positions qui facilitaient la pénétration, elle me donnait des conseils... Après l'acte elle m'avoua que son ex était bien monté "un double décimètre ne suffisait pas à la mesurer" disait-elle fièrement. "Avec toi je n'ai presque rien senti mais ne t'inquiète pas mon périnée va se rétracter avec le temps, je ferai des exercices pour aider, ça ira..." Elle m'humiliait mais me rassurait à la fois, j'étais vraiment bien avec elle. Avec le temps on évoluait, elle commençaiit à ressentir du plaisir, sans pour autant prendre son pied. elle me taquinait quotiennement du genre "un gros pénis, c'est comme l'argent, ça ne fait pas tout mais ça participe grandement au bonheur", "avant j'avais une grosse américaine, maintenant une sans-permis", "si tu veux qu'une nana te foute la paix, il faut la faire jouir tous les jours" ou encore "aujourd'hui j'avais un patient qui en avait une belle, au repos plus longue et bien plus large que la tienne en érection". Un soir elle mesura mon sexe, ça me gênait mais comme ça avait l'air de l'amuser, je laissais faire. " Ca va ce n'est pas si catastrophique, presque 12 cm ! le problème c'est surtout qu'elle est vraiment fine. je dois t'avouer qu'une zigounette d'une belle taille me manque, je t'aime mais je n'arrête pas de matter les pénis des patients, ça devient une obsession, j'en ai parlé à mes collègues mais il n'y a pas vraiment de solution !"J'étais vert, maintenant tout son service le savait ! je me sentais de moins en moins "homme" mais elle était si franche, si sincère que je partageais son désarois. "Tu voudrais coucher avec un autre mec ?" lui demandai-jai timidement; "Tu serais d'accord ?" s'exclama-t-elle (ses yeux pétillaient). "non je te demande juste sa tu en as envie ?". Et là, elle éclata en sanglos :" je n'en peux plus, je t'aime, tu es si gentil, si mignon mais je suis en manque, j'adore le cul j'adore jouir et je suis tellement frustrée. Je fais des rêves honteux, mon corps réclame du sexe, du vrai, je veux être baisée, je ne veux pas faire l'amour, je veux me faire prendre comme une salope, qu'on me prenne par devant, par derrière comme une trainée !!!". J'étais scotché, une fois de plus elle me choquait. Elle me faisait pitié, je l'aimais je ne pouvais pas la laisser comme ça. Sans même vraiment réfléchir je lui dis "tu peux coucher avec un autre mec, tout ça ce n'est pas de ta faute mais de la mienne, je prends sur moi, va t'éclater mais ne me dit rien et ne te faire pas remarquer". elle sauta à mon coup, m'embrassa passionnément et me dit "tu es mon chéri pour la vie".
Je venais de faire de moi un cocu consentant.
La suite bientôt...