- 26 nov. 2010, 16:16
#143604
Bonjour,
Voilà la suite de mon histoire :
Les jours suivant cette discution, notre activité sexuelle était à son apogée. Elle me fit découvrir la sodomie, je n'avais jamais osé lui demander auparavant. Pourtant je ne me sentais pas bien, pas parce que j'avais peur de la perdre, je la savais franche et honnête, mais parce que je complexais. Je réalisais que je n'avais jamais fais jouir une femme, que je les décevais.
Une semaine passa sans entendre parler d'une quelconque relation extra-conjugale. Elle avait l'air normale, plutôt joyeuse. Un soir vers 19h en rentrant du travail je la trouvais devant la télé alors qu'elle était sensé travailler jusqu'à 21h :
-"tu n'as pas travaillé aujourd'hui ?" lui demandais-je
-"Non, un collègue interne m'a arrangé un arrêt de travail"
-"Tu es malade ?"
-"On ne peux pas vraiment dire ça" me dit elle avec un sourire mâlin
Je comprenais ce qui s'était passé, je ne disais plus rien, je ne voulais pas en savoir plus.
J'étais triste mais rassuré à la fois, certes elle m'avais trompé mais son comportement n'avait pas changé, peut-être qu'elle avait été déçu par son amant et que finalement elle était tout de même bien avec moi...
Nous n'avons pas eu de relation sexuelle ce soir là, des dixaines de questions trottaient dans ma tête : peut-être que je me faisais des films, finalement elle n'a pas dit qu'elle m'a trompé... Ca aurait été si simple de lui demander, mais mon orgueil m'empêchait de le faire. Le matin en allant dans la salle de bain, j'ai vu son string de la veille posé sur le linge salle. La curiosité prenant le dessus, je saisi le string (à la recherche d'une éventuelle trace de quelque chose). Pas de trace mais une épouvantable odeur de préservatif et de mouille s'en dégageait. J'ai dû m'assoir, j'ai cru mourrir, c'était bien plus dûr que je l'imaginais ! Après quelques minutes j'ai repris mes esprits, je suis parti travailler sans lui dire au revoir. Les jours suivant, je n'osais plus lui parler, j'étais timide vis à vis d'elle, je me contentais de répondre par oui et par non à ses questions. Ma libido était à zéro, j'étais mal, très mal.
Quelques jours plus tard, un soir au lit ,je décidais de crever l'abscès :
-"Dis-moi franchement, tu l'as fait ?"
-"à ton avis ?" dit-elle d'un air agacé
-"je pense que oui, ton string sentait la capote l'autre jour"
-"tu es un gros dégueulasse, tu renifles mes culottes sales ! Oui je l'ai fais, tu m'as donné ta bénédiction, je n'ai rien dit car tu m'a demandé de te le cacher, mais peux tout te dire dans les moindres détails si tu veux !"
J'étais honteux, elle savait retourner la situation.
-"Je ne veux pas de détail, dis-moi juste, quand, où, comment et avec qui tu l'as fait..."
-" Mercredi dernier, quand j'étais en arrêt, avec mon collègue interne, chez lui. Il me faisait depuis longtemps des allusions, il n'est pas super beau mais une collègue m'avais dit que c'était un bon coup."
-"et ???"
-"c'est bien plus qu'un bon coup, il baise comme un dieu, j'ai eu plusieurs orgasmes, c'était génial !"
-"tout ça à cause de la taille de son sexe ?"
-"Non, il n'a pas un sexe hors norme, juste ce qu'il faut mais il est endurant, sûr de lui, il connait les femmes... "
-"Tu aimerais le revoir ???"
-" Beaucoup oui, enfin à condition que tu sois d'accord. Tu n'as aucun soucis à te faire tu me plais plus que lui, tu es mignon et tendre, j'ai de la complicité avec toi, ça ne nous empêche pas d'avoir un vie normale, je veux continuer à faire l'amour avec toi, c'est toi qui ne me touche plus !"
Je devais me rendre à l'évidence qu'elle avait raison, elle ne m'avait jamais trahi, elle était toujours là pour moi.
Dans un excès d'émotion, je lui dis :
-"Je t'aime comme je n'ai jamais aimé une fille, tu es arrangeante, franche, gentille. Je ferai tout pour toi. Tu peux retourner chez lui, si tu es heureuse, je suis heureux !"
-"Tu es un ange, fais moi l'amour, naturellement, comme tu es toi."
Nous avons eu 3 rapports cette nuit là, à moment donné, alors que je me retenais pour ne pas éjaculer trop vite elle me dit :
-"Laisse-toi aller, ce n'est pas grâve, ne te retiens pas pour moi". Ses mots me firent perdre tout moyen, je me laissais aller...
Dans la semaine, elle passa 3 soirées chez son amant. J'étais de moins en moins jaloux; finalement, qu'est ce que ça pouvait faire qu'elle baise à côté, j'avais tout ce que je voulais d'elle, il suffisait juste que je mettes mon ego de côté...
Tout allait bien, nous étions heureux.
Quelques semaines plus tard, un soir, alors que je m'apprettais à lui faire l'amour, elle me tendit un préservatif.
-"c'est quoi ça ???" lui lançais-je d'un air surpris.
-"mets là, ne discute pas, c'est pour ne pas avoir d'histoire"
"Quelles histoires ? Je ne t'ai jamais fais d'histoire !"
-"Pas toi mais Julien. Il trouve dégueulasse que tu m'éjacules dedant, il me fait la grêve sinon. Et comme tu ne sais pas te retenir, je n'ai pas d'autre solution que de te faire mettre une capote...."
-"mais c'est nul les capotes, en plus elles n'arrête pas de se barrer..."
-"tant pis tu n'auras qu'à t'en acheter à ta taille, ça doit exister, en attendant je n'ai que ça alors tu n'as qu'à faire gaffe !"
Une fois de plus j'acceptais à contre-coeur mais en même temps ça me protégeait d'éventuelles maladies....
Quelques jours plus tard, en rentrant, elle me demanda
-" tu veux bien me lêcher le minou ?"
J'étais surpris, je n'avais pas l'habitude qu'elle me demande ce genre de chose de cette manière !
-"oui, bien sûr, mais pourquoi là, maintenant ?"
-"J'ai mal aux levres, elles sont irritées, ça me ferait du bien !"
En voilà une tâche qui me convenait bien
, je m'exécutais. Elle gémissait, ça avait vraiment l'air de lui plaire.
-"Tu aimes ?" demandais-je
-"oui j'adore, ça fait du bien"
-"Tu crois que ça peux te procurer un orgasme ?" demandais-je plein d'éspoir
-"lol, bien sûr que non, ce n'est pas en me lêchant comme un petit chat qu'on me fait jouir, je suis vaginale tu le sais ! Ca me fait du bien que tu me lêches car ça me brûle à cause des capotes, c'est tout !"
Je sautais sur l'occasion :
-"on a qu'à ne plus en mettre, comme avant !"
-"lol, ce n'est pas toi le problème, ce n'est pas les 30 secondes de sautiement de ta petite zigounette qui m'irritent !"
J'étais stupide, je lui donnais vraiment le bâton pour me faire taper !
Quelques jours plus tard, lors d'un rapport sexuel, en me retirant j'ai constaté qu'elle avait des pertes anormal. Peur qu'elle ait attrapé une maladie je lui dis gêné :
-"Tu as des pertes anormales, tu as peut-être attrapé quelque chose, tu devrais aller voir ta gynéco..."
-"lol, tu es bête ou tu le fais exprès ?"
Du sperme. Effectivement je me sentais stupide, mais ça me paraissait tellement invraisemblable, une fille comme elle, du milieu médical, très à cheval sur l'hygiène, qu'elle laisse un mec comme ça éjaculer en elle, alors que moi-même je n'y avais pas droit !
Là je me suis révolté :
"J'ai tout accepté, même l'inacceptable, je te laisse faire ce que tu veux, tu as tout de moi ! Pourquoi tu me fais ça ?"
-"je sais que c'e n'est pas juste pour toi, tu ne mérites pas ça. Tu es quelqu'un de bien. Je ne pensais pas que ça t'affecte tant. Je vois que tu es tout excité depuis que j'ai mon amant, je pensais qu'au fond ça te plaisait cette situation. Si tu ne peux pas le supporter, ne reste pas avec moi, tu souffriras de trop. J'aurai dû te quitter plutôt que te faire subir ça.Je vais te laisser seul quelques jours pour que tu réfléchisses.
Elle est parti, sois disant chez ses parents. Le lendemain, après ma petite enquète je me suis rendu compte qu'elle avait en fait retouvé son amant. Pour moi ça en faisait de trop, je n'étais pas préparé à ça.
J'ai décidé de la quitter. Je l'ai très longtemps regretté, je repensais à ce qu'elle me disait, aux bon moments.
Il y a surtout une chose dont je me suis rendu compte; c'est que j'étais excité par tout ça, au fond j'aimais ça, jaimais être humilié, j'adorais m'imaginer ce qu'il lui faisait.
je suis un cocu consentant, complaisant et j'ai fais ma vie en tenant compte de cela. Je vous raconterai la suite....
Voilà la suite de mon histoire :
Les jours suivant cette discution, notre activité sexuelle était à son apogée. Elle me fit découvrir la sodomie, je n'avais jamais osé lui demander auparavant. Pourtant je ne me sentais pas bien, pas parce que j'avais peur de la perdre, je la savais franche et honnête, mais parce que je complexais. Je réalisais que je n'avais jamais fais jouir une femme, que je les décevais.
Une semaine passa sans entendre parler d'une quelconque relation extra-conjugale. Elle avait l'air normale, plutôt joyeuse. Un soir vers 19h en rentrant du travail je la trouvais devant la télé alors qu'elle était sensé travailler jusqu'à 21h :
-"tu n'as pas travaillé aujourd'hui ?" lui demandais-je
-"Non, un collègue interne m'a arrangé un arrêt de travail"
-"Tu es malade ?"
-"On ne peux pas vraiment dire ça" me dit elle avec un sourire mâlin
Je comprenais ce qui s'était passé, je ne disais plus rien, je ne voulais pas en savoir plus.
J'étais triste mais rassuré à la fois, certes elle m'avais trompé mais son comportement n'avait pas changé, peut-être qu'elle avait été déçu par son amant et que finalement elle était tout de même bien avec moi...
Nous n'avons pas eu de relation sexuelle ce soir là, des dixaines de questions trottaient dans ma tête : peut-être que je me faisais des films, finalement elle n'a pas dit qu'elle m'a trompé... Ca aurait été si simple de lui demander, mais mon orgueil m'empêchait de le faire. Le matin en allant dans la salle de bain, j'ai vu son string de la veille posé sur le linge salle. La curiosité prenant le dessus, je saisi le string (à la recherche d'une éventuelle trace de quelque chose). Pas de trace mais une épouvantable odeur de préservatif et de mouille s'en dégageait. J'ai dû m'assoir, j'ai cru mourrir, c'était bien plus dûr que je l'imaginais ! Après quelques minutes j'ai repris mes esprits, je suis parti travailler sans lui dire au revoir. Les jours suivant, je n'osais plus lui parler, j'étais timide vis à vis d'elle, je me contentais de répondre par oui et par non à ses questions. Ma libido était à zéro, j'étais mal, très mal.
Quelques jours plus tard, un soir au lit ,je décidais de crever l'abscès :
-"Dis-moi franchement, tu l'as fait ?"
-"à ton avis ?" dit-elle d'un air agacé
-"je pense que oui, ton string sentait la capote l'autre jour"
-"tu es un gros dégueulasse, tu renifles mes culottes sales ! Oui je l'ai fais, tu m'as donné ta bénédiction, je n'ai rien dit car tu m'a demandé de te le cacher, mais peux tout te dire dans les moindres détails si tu veux !"
J'étais honteux, elle savait retourner la situation.
-"Je ne veux pas de détail, dis-moi juste, quand, où, comment et avec qui tu l'as fait..."
-" Mercredi dernier, quand j'étais en arrêt, avec mon collègue interne, chez lui. Il me faisait depuis longtemps des allusions, il n'est pas super beau mais une collègue m'avais dit que c'était un bon coup."
-"et ???"
-"c'est bien plus qu'un bon coup, il baise comme un dieu, j'ai eu plusieurs orgasmes, c'était génial !"
-"tout ça à cause de la taille de son sexe ?"
-"Non, il n'a pas un sexe hors norme, juste ce qu'il faut mais il est endurant, sûr de lui, il connait les femmes... "
-"Tu aimerais le revoir ???"
-" Beaucoup oui, enfin à condition que tu sois d'accord. Tu n'as aucun soucis à te faire tu me plais plus que lui, tu es mignon et tendre, j'ai de la complicité avec toi, ça ne nous empêche pas d'avoir un vie normale, je veux continuer à faire l'amour avec toi, c'est toi qui ne me touche plus !"
Je devais me rendre à l'évidence qu'elle avait raison, elle ne m'avait jamais trahi, elle était toujours là pour moi.
Dans un excès d'émotion, je lui dis :
-"Je t'aime comme je n'ai jamais aimé une fille, tu es arrangeante, franche, gentille. Je ferai tout pour toi. Tu peux retourner chez lui, si tu es heureuse, je suis heureux !"
-"Tu es un ange, fais moi l'amour, naturellement, comme tu es toi."
Nous avons eu 3 rapports cette nuit là, à moment donné, alors que je me retenais pour ne pas éjaculer trop vite elle me dit :
-"Laisse-toi aller, ce n'est pas grâve, ne te retiens pas pour moi". Ses mots me firent perdre tout moyen, je me laissais aller...
Dans la semaine, elle passa 3 soirées chez son amant. J'étais de moins en moins jaloux; finalement, qu'est ce que ça pouvait faire qu'elle baise à côté, j'avais tout ce que je voulais d'elle, il suffisait juste que je mettes mon ego de côté...
Tout allait bien, nous étions heureux.
Quelques semaines plus tard, un soir, alors que je m'apprettais à lui faire l'amour, elle me tendit un préservatif.
-"c'est quoi ça ???" lui lançais-je d'un air surpris.
-"mets là, ne discute pas, c'est pour ne pas avoir d'histoire"
"Quelles histoires ? Je ne t'ai jamais fais d'histoire !"
-"Pas toi mais Julien. Il trouve dégueulasse que tu m'éjacules dedant, il me fait la grêve sinon. Et comme tu ne sais pas te retenir, je n'ai pas d'autre solution que de te faire mettre une capote...."
-"mais c'est nul les capotes, en plus elles n'arrête pas de se barrer..."
-"tant pis tu n'auras qu'à t'en acheter à ta taille, ça doit exister, en attendant je n'ai que ça alors tu n'as qu'à faire gaffe !"
Une fois de plus j'acceptais à contre-coeur mais en même temps ça me protégeait d'éventuelles maladies....
Quelques jours plus tard, en rentrant, elle me demanda
-" tu veux bien me lêcher le minou ?"
J'étais surpris, je n'avais pas l'habitude qu'elle me demande ce genre de chose de cette manière !
-"oui, bien sûr, mais pourquoi là, maintenant ?"
-"J'ai mal aux levres, elles sont irritées, ça me ferait du bien !"
En voilà une tâche qui me convenait bien

-"Tu aimes ?" demandais-je
-"oui j'adore, ça fait du bien"
-"Tu crois que ça peux te procurer un orgasme ?" demandais-je plein d'éspoir
-"lol, bien sûr que non, ce n'est pas en me lêchant comme un petit chat qu'on me fait jouir, je suis vaginale tu le sais ! Ca me fait du bien que tu me lêches car ça me brûle à cause des capotes, c'est tout !"
Je sautais sur l'occasion :
-"on a qu'à ne plus en mettre, comme avant !"
-"lol, ce n'est pas toi le problème, ce n'est pas les 30 secondes de sautiement de ta petite zigounette qui m'irritent !"
J'étais stupide, je lui donnais vraiment le bâton pour me faire taper !
Quelques jours plus tard, lors d'un rapport sexuel, en me retirant j'ai constaté qu'elle avait des pertes anormal. Peur qu'elle ait attrapé une maladie je lui dis gêné :
-"Tu as des pertes anormales, tu as peut-être attrapé quelque chose, tu devrais aller voir ta gynéco..."
-"lol, tu es bête ou tu le fais exprès ?"
Du sperme. Effectivement je me sentais stupide, mais ça me paraissait tellement invraisemblable, une fille comme elle, du milieu médical, très à cheval sur l'hygiène, qu'elle laisse un mec comme ça éjaculer en elle, alors que moi-même je n'y avais pas droit !
Là je me suis révolté :
"J'ai tout accepté, même l'inacceptable, je te laisse faire ce que tu veux, tu as tout de moi ! Pourquoi tu me fais ça ?"
-"je sais que c'e n'est pas juste pour toi, tu ne mérites pas ça. Tu es quelqu'un de bien. Je ne pensais pas que ça t'affecte tant. Je vois que tu es tout excité depuis que j'ai mon amant, je pensais qu'au fond ça te plaisait cette situation. Si tu ne peux pas le supporter, ne reste pas avec moi, tu souffriras de trop. J'aurai dû te quitter plutôt que te faire subir ça.Je vais te laisser seul quelques jours pour que tu réfléchisses.
Elle est parti, sois disant chez ses parents. Le lendemain, après ma petite enquète je me suis rendu compte qu'elle avait en fait retouvé son amant. Pour moi ça en faisait de trop, je n'étais pas préparé à ça.
J'ai décidé de la quitter. Je l'ai très longtemps regretté, je repensais à ce qu'elle me disait, aux bon moments.
Il y a surtout une chose dont je me suis rendu compte; c'est que j'étais excité par tout ça, au fond j'aimais ça, jaimais être humilié, j'adorais m'imaginer ce qu'il lui faisait.
je suis un cocu consentant, complaisant et j'ai fais ma vie en tenant compte de cela. Je vous raconterai la suite....