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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#1189586
Il y a quelques mois, en decembre, ma femme a decouvert que j'avais une maitresse. Bien sur grosse engueulade et tous ce qui va avec.
Après 2 semaines d'un regime sexuel sans sexe, nous sommes allé dans un salon de degustation de vin à la campagne. Elle est a plus bu que degusté et a la fin, alors que les stand fermaient, peut etre par vengeance, elle a commencé à etre un peu proche, voir sensuelle avec deux messieurs plutot rustre et d'age murs, (nous avons 37 ans, eux avait plutot la soixantaine). Naturellement, les gars devant une belle femme noire (y en a pas beaucoup a la compagne) et passablement emechés ont commencé à la serrer de pret et à la prendre par la taille et meme glissé la main aux fesses. Elle se laissait faire en rirant bruyamment. J'étais un peu plus loin, regardant la sceine du coin de l'oeil, à la fois enervé, excité de la voir se faire gentillement tripoter et dans mes petite souliers étant donné la période orageuse que traversait notre couple. Soudain, elle leur fit une bise très appuyée à chacun, très pres des lèvres et est venue vers moi et ma dit que nous devions partir tout de suite. Une fois dans la voiture, alors que nous roulions dans la campagne, elle m'a caressé la queue. je me suis arreté dans un petit chemin forestier, elle a déballé ma queue pour me branlé. j'ai fait la même chose pour elle. Sa chatte et son string étaient completement trempés. Je lui retire avec son pantalon et je l'ai baiser sur le siège passager, dans la bagnole (il faisait froid dehors). Je lui ai dis d'imaginé que c'etait les deux vieux qui la prennaient, cette salope a jouit comme jamais.
Lorsque nous sommes arrivé à la maison, cette coquine n'était pas rassasiée. Je l'entreprend tendrement, elle gémit à peine, je commence à la pilonner en missionnaire brutalement, elle réagit, mais modestement aux vues des efforts que je déplois, puis je lui dis "Je vais de faire baiser par Roger" le nom d'un des vieux, je retire mon sexe de sa chatte et lui dis, tiens c'est sa queue qui te pénétre. Et là, elle a vraiment commencé à jouir et à se tordre de plaisir. Je l'ai baisé et traité de salope et de pute à vieux, elle adoré et a joui comme une damnée quand j'ai éjaculé bien profondement en elle. Très excité par la situation, je n'ai pratiquement pas débandé, je lui ai dis que Georges, avait aussi envie de baiser une belle négresse comme elle, mais que lui c'était un enculeur de pute. Ma petite garce s'est laissé sodomiser(ce qu'elle ne m'accorde plus depuis 5 ans) en guidant elle meme ma queue entre ces fesses et me criant "vas y Georges, prend moi les fesses".
Ayant déjà jouit deux fois en moins de deux heures, j'étais long à jouir, ce qui ajoutait à la vraisemblance avec un vieux ventripotant. Elle jetait son cul en arrière pour que la prenne en profondeur et caressait mes couilles entre ses jambes, c'était divin, je sentais sa chatte ruiseller sur mes testicules. Elle a jouit une énième fois en recevant la semance virtuelle de Georges entre les fesses. Epuisés, nous nous sommes endormie rapidement, moi toujours en elle.
Au reveil, je lui ai demandé si elle aimerait retourné au salon de dégustation qui durait encore 2 jours. Elle ma répondut que c'était une bonne idée car elle n'avait pas eu le temps de gouter à tous avec une sourrire enigmatique, je suis sur qu'elle pensait aux vieux en disant cela, mais n'a pas voulu l'avouer. C'était décidé, nous y retournerions ce samedi soir.
Je n'arretais pas de fantasmer et de bander toute la journée. Surtout que ma belle avait réussi à décrocher un rdv de dernière minute chez son esteticienne, je ne savais pas encore ce qu'elle allait y faire exactement, meme si j'en avais qu'une petite idée.
A suivre si cette aventure trouve des lecteurs interssés.
#1190184
divadation a écrit :Il y a quelques mois, en decembre, ma femme a decouvert que j'avais une maitresse. Bien sur grosse engueulade et tous ce qui va avec.
Après 2 semaines d'un regime sexuel sans sexe, nous sommes allé dans un salon de degustation de vin à la campagne. Elle est a plus bu que degusté et a la fin, alors que les stand fermaient, peut etre par vengeance, elle a commencé à etre un peu proche, voir sensuelle avec deux messieurs plutot rustre et d'age murs, (nous avons 37 ans, eux avait plutot la soixantaine). Naturellement, les gars devant une belle femme noire (y en a pas beaucoup a la compagne) et passablement emechés ont commencé à la serrer de pret et à la prendre par la taille et meme glissé la main aux fesses. Elle se laissait faire en rirant bruyamment. J'étais un peu plus loin, regardant la sceine du coin de l'oeil, à la fois enervé, excité de la voir se faire gentillement tripoter et dans mes petite souliers étant donné la période orageuse que traversait notre couple. Soudain, elle leur fit une bise très appuyée à chacun, très pres des lèvres et est venue vers moi et ma dit que nous devions partir tout de suite. Une fois dans la voiture, alors que nous roulions dans la campagne, elle m'a caressé la queue. je me suis arreté dans un petit chemin forestier, elle a déballé ma queue pour me branlé. j'ai fait la même chose pour elle. Sa chatte et son string étaient completement trempés. Je lui retire avec son pantalon et je l'ai baiser sur le siège passager, dans la bagnole (il faisait froid dehors). Je lui ai dis d'imaginé que c'etait les deux vieux qui la prennaient, cette salope a jouit comme jamais.
Lorsque nous sommes arrivé à la maison, cette coquine n'était pas rassasiée. Je l'entreprend tendrement, elle gémit à peine, je commence à la pilonner en missionnaire brutalement, elle réagit, mais modestement aux vues des efforts que je déplois, puis je lui dis "Je vais de faire baiser par Roger" le nom d'un des vieux, je retire mon sexe de sa chatte et lui dis, tiens c'est sa queue qui te pénétre. Et là, elle a vraiment commencé à jouir et à se tordre de plaisir. Je l'ai baisé et traité de salope et de pute à vieux, elle adoré et a joui comme une damnée quand j'ai éjaculé bien profondement en elle. Très excité par la situation, je n'ai pratiquement pas débandé, je lui ai dis que Georges, avait aussi envie de baiser une belle négresse comme elle, mais que lui c'était un enculeur de pute. Ma petite garce s'est laissé sodomiser(ce qu'elle ne m'accorde plus depuis 5 ans) en guidant elle meme ma queue entre ces fesses et me criant "vas y Georges, prend moi les fesses".
Ayant déjà jouit deux fois en moins de deux heures, j'étais long à jouir, ce qui ajoutait à la vraisemblance avec un vieux ventripotant. Elle jetait son cul en arrière pour que la prenne en profondeur et caressait mes couilles entre ses jambes, c'était divin, je sentais sa chatte ruiseller sur mes testicules. Elle a jouit une énième fois en recevant la semance virtuelle de Georges entre les fesses. Epuisés, nous nous sommes endormie rapidement, moi toujours en elle.
Au reveil, je lui ai demandé si elle aimerait retourné au salon de dégustation qui durait encore 2 jours. Elle ma répondut que c'était une bonne idée car elle n'avait pas eu le temps de gouter à tous avec une sourrire enigmatique, je suis sur qu'elle pensait aux vieux en disant cela, mais n'a pas voulu l'avouer. C'était décidé, nous y retournerions ce samedi soir.
Je n'arretais pas de fantasmer et de bander toute la journée. Surtout que ma belle avait réussi à décrocher un rdv de dernière minute chez son esteticienne, je ne savais pas encore ce qu'elle allait y faire exactement, meme si j'en avais qu'une petite idée.
A suivre si cette aventure trouve des lecteurs interssés.


j'adore !!!!!
#1190884
moi aussi j'aime les hommes plus vieux :) j'ai toujour fantasmée sur eux depuis que j'ai 15 ans. j'ai finalement franchie le pas qpres en avoir parlée avec mon maris quand j'en avais 19 ans .. depuis j'aime toujour ca
#1191982
Je me branlai plusieurs fois en l’attendant à la maison. Et revint vers 18h30, elle s’était fait massé, fait les ongles, les pieds et, pour la première fois, l’épilation total (habituellement, elle garde une petite rectangle sur le pubis un filet de poils le long de ses grandes lèvres noires), mais je ne le découvrirai que plus tard. Très excité, je l’attrape par la taille et commence à la caresser, elle se laisse un peu faire pour les seins, mais dès que j’approche de son minou, elle me repousse. Je tente une approche sur ses jolies fesses bien rondes, elle se laisse faire (je sais qu’elle aime ça) mais pas très longtemps, me disant qu’elle doit encore se préparer. Elle me demande de préparer un repas léger pendant ce temps. Je prépare soigneusement un assortiment de crudité avec du jambon fumé. Après 1H30 de préparation, pas pour les crudités, mais pour ma femme, la voila qui apparaît devant moi. Elle n’est pas sexy, mais plutôt sensuelle. Elle porte une robe dans un tissu assez épais qui lui arrive sous le genou et qui est décolletée relativement sagement sur ses petits seins, mais par contre elle épouse à la perfection son jolie corps tout en rondeurs. La couleur beige contrastait efficacement avec sa peau ébène. Un collier en or tombant entre ses seins, des bottes et des bas complétait la tenue. Le maquillage était celui des grands soirs de sortie. Elle avait envie d’être belle ce soir, elle était magnifique. Mon pantalon se déformait d’envie pour elle. Elle me repoussa en souriant lorsque mes mains prirent possession de ses formes.
Après le diner léger, direction le salon de dégustation. Notre entrée fut remarquée, enfin surtout la sienne. Je voyais ses mâles grisé par le vin mater ma petite femme. L’excitation grandit encore en moi. On passa un moment à déguster quelques vins que l’on n’avait pas eu l’occasion de gouter la veille. Une fois encore, elle ne cracha pas beaucoup de vin. Voyant la fin du salon arrivé, je commençais à me dire qu’une fois encore j’avais trop fantasmé, mais que je consolerais bien en fourniquant ma belle dans la voiture en lui disant des trucs salaces. Dans un dernier espoir, je la laisse seule pendant que je vais acheter quelques cartons de bouteilles et les charger dans la voiture. Il y a du monde aux caisses, le temps de ramener la voiture et de charger et de la garer de nouveau, il se passe bien une demi heure. En revenant dans la grande salle ou il y a les stands, je ne la trouve pas tous de suite. Je m’inquiète un peu, puis la repère sur un stand d’un petit vin local que je n’avais pas vu. Ma coquine est en grande discussion avec nos deux anciens de la veille, cette fois, l’un deux à carrément une main qui se balade hardiment sur les fesses. L’autre se contente de la prendre à la taille ou d’attraper ses bras ou ses épaules nues, pouvant ainsi apprécier la douceur de sa peau, accentuée par les soins de l’après-midi. Je m’approche discrètement, profitant d’une foule encore dense. Un troisième larron semble participé à la discutions, la petite cinquantaine. Au vues du tablier, je suppose qu’il s’agit du vigneron. Lui aussi, il pose régulièrement ses mains sur les bras ou les épaules de ma femme. Cette coquine se laisse faire et rit aux éclats de leurs blagues. Elle me cherche parfois du regard, mais je laisse encore un peu durer le plaisir, le sexe en érection. Je décide de me faire voir. Elle me repère, me fait signe de venir la voir, elle ne repousse pas la main de l’autre toujours accroché à ses fesses, trop occupé par ce qu’il fait, il ne se rend compte que je suis là que lorsque je suis devant lui, il retire alors discrètement sa main. Ma femme me dit en me faisant un clin d’œil :
- Goute ce vin, il est sympa, tu devrais m’en prendre quelques bouteilles !
- Bien sur ! Tes désirs sont des ordres, ma chérie.

Je goute le vin, il n’est pas mauvais, mais il n’y a pas de quoi s’extasier. Je joue tous de même le jeu.
- Oui, il me plait bien. Je vais en prendre un carton de six.
- Pas la peine, venez boire un verre à la maison, me dit Roger, Christian dort à la maison, c’est un ami, je suis sur qu’il vous fera un meilleur prix que l’organisateur du salon.
- Je ne sais pas, il faut voir avec ma femme si elle n’est pas trop fatiguée.
- Non, mon chéri, on peut aller boire un verre vite fait.

C’était donc décidé, mais je m’inquiétais du surnombre de vieux mâles en présence. J’avais le fantasme qu’elle me fasse cocu avec un vieux, mais le gang bang, ce n’est pas mon fantasme. Elle me chuchota à l’oreille son envie d’aller aux toilettes. On parla vin avec les nouveaux amis de ma femme. Puis lorsqu’elle revint vers nous, elle me glissa quelques choses de mouillé dans la main et me parlant à l’oreille :
- Va aux toilettes pour voir ce que c’est. Il était trop mouillé, c’était trop désagréable.

Je les quittais pour rejoindre les toilettes en serrant très fort ce que j’avais dans la main et me disant :
- Elle l’a fait, j’y crois pas, elle l’a fait, j’y crois pas, elle l’a fait, j’y crois pas …….

Je m’enfermais dans un wc et découvrais ce que j’avais bien imaginé, un string ficelle donc le triangle de tissu était complément mouillé. Je ne pus m’empêcher de le porter à mes narines pour en sentir les délicieux effluves, ma langue entra aussi en contact avec le sous vêtement imbibé, pendant que mon autre main malaxait ma queue qui bandait douloureusement. J’étais comme sur un nuage, dans un autre monde.
#1194373
Je reviens vers le petit groupe, tous très collés à ma femme. Mon arrivé donne le départ pour aller chez Roger. Le vigneron reste sur place à regret, il doit ranger son stand et un repas avec les autres vignerons et l’organisateur l’attend. Je suis un peu soulagé d’en voir un de moins. Roger propose que Georges monte avec moi au cas où on se perde et que me femme monte avec lui (malin va). Je suis étonné mais excité quand ma femme me dit que c’est une très bonne idée avec une voix tellement enjouée qu’elle s’est surprise elle-même. Elle me glisse à l’oreille en serrant mon paquet tendu :
- Je t’aime, peut-être que ce soir…
- Ce soir, quoi ????
Trop tard, elle suivait déjà son nouvel ami en tortillant très sensuellement son petit cul rebondit. En me dirigeant vers ma voiture avec Georges, je jette un coup d’œil et voit que le chauffeur de ma femme l’a prise par la taille pour faire les derniers mètres qui les séparent du véhicule. Dans la pénombre, j’ai même l’impression que ce sont sur ses fesses que la main est posée.
On se suit en voiture sur une dizaine de kilomètres en campagne. La voiture qui me précède roule de plus en plus lentement au fur et à mesure du trajet. Je me pose tous un tas de questions, ma machine a fantasme tourne à pleine régime. Je crois que Georges m’a parlé ou m’a questionné, mais j’étais trop fasciné par la situation pour y prêter attention. Curieusement, alors que le trajet me semblait interminable, une fois arrivé, je me suis dit « déjà arrivé ?! ».
J’étais partagé entre la peur et l’excitation de savoir ce qu’ils avaient fait pendant le trajet. Une fois devant cette ancienne grosse ferme rénové en habitation cossu, j’ai rejoint ma femme pour parcourir la cour qui mène à l’entrée. Je la prends par la main, lui serre très fort, je n’ose pas lui demandé de peur de connaitre la réponse, mais je veux savoir. Elle semble comprendre mon dilemme et me glisse à l’oreille, pendant que nos anciens chuchotent à l’avant :
- Il a découvert que je n’avais pas de culotte. J’aime bien ses grosses mains calleuses sur mon petit minou intégralement épilé.
- Quoi ?
- Et oui, je n’ai plus un seul poil, même derrière. C’est vrai que ses grosses mains calleuses me changent de tes mains douces…
Je voulais en savoir plus, mais nous pénétrions déjà dans la demeure de notre hôte. Au regard de Georges, je compris qu’il avait été mi également dans la confidence.
On prend place dans le salon, moi assise à côté de ma belle dans le canapé, très bas et nos deux compères dans les fauteuils qui nous font face. Je me dis que j’aurai du me mettre dans un fauteuil et l’un d’eux dans le canapé, histoire de faciliter les choses, mais alors que le champagne nous est servi, je remarque que ma femme s’est assise en relevant sa robe assez haut sur les cuisses, on voit déjà la bande de ses bas noirs.
Alors que nous sommes tous assis et après avoir trinqué, le silence se fait, chacun perdu dans ses pensées et ses fantasmes et buvant quelques gorgés bien fraiches. Je regarde nos amis et remarque qu’ils sont captivés par ma femme. Je la regarde à mon tour et découvre que ses jambes sont suffisamment écartées et la robe relevée de plus belle pour laisser voir sa petite chatte entièrement imberbe que l’on devine luisante, je sens mêmes ses effluves de femme excitée. Les jambes habillées de bas et de bottes noires, elle nous offrait la une pose de plus sensuelle. Ma queue fait des bonds dans mon pantalon, j’ai même l’impression que je fais éjaculé tellement je suis excité. J’ai envie de la caresser, de l’embrasser, j’hésite, je ne sais plus quoi faire, pris en la trouille et le désir. Je jette de nouveau un coup d’œil vers les autres, l’un d’eux se masse le sexe à travers le pantalon.
Je dois reboire une gorgé car ma bouche est sèche d’émotion. Je pose mon verre et l’embrasse sur la joue, elle tourne la tête et me donne un baiser torride, sa langue caressant la mienne avidement. Je pose ma main sur l’intérieur de sa cuisse, immédiatement ses jambes s’écartent largement cette fois. Offrant une parfaite vue sur sa belle chatte ruisselante aux deux males en chaleur.
Ma main atteint son sexe, elle bascule le bassin vers l’avant en se rapprochant du bord du canapé pour faciliter la caresse. Mes doigts se perdent entre ses lèvres marécageuses, nos bouches toujours soudées. Elle caresse brutalement ma queue et mes couilles par-dessus le pantalon. Je sens une de ses jambes s’écarter encore, c’est Roger qui l’a tient pendant Georges pousse la table basse avec les verres. Il commence à caresser sa cuisse juste au-dessus des bottes. Il s’agenouille et pose la jambe sur son épaule. Sa main arrive prêt de la mienne, il enlève ma main et me prend la place. Notre baiser cesse, ma femme regarde ce mec caresser sa chatte. Je vois ses grosses mains prendre possession de l’imité de ma femme. Ses doigts sont presque 2 fois plus gros que les miens. Il flatte un peu le clito pendant un autre doigt masse l’entrée de son vagin. Il se penche en avant en sa bouche vient dévorer cette belle chatte. Ma femme a un orgasme pratiquement au contact de cet inconnu. Elle lache ma queue pour prendre la tete de son lécheur de chatte.
Je suis bientôt mi de côté par Georges qui me prend ma place pour lui enlever sa robe par le haut, découvrant ses jolies petits seins aux tétons extrêmement gonflés. Il se jete dessus comme un mort de faim ouvrant son pantalon. Il prend un de ses mains pour lui mettre dessus.
#1197347
Elle s’en saisit sans hésiter et commence à le branler. Je prends un peu de recul pour profiter du spectacle que me fait le trio. Je m’installe dans un des fauteuils, je masse ma queue, n’osant pas la sortir et me masturber pour ne pas jouir trop vite. Son lécheur de chatte se relève et se déshabille. Elle le regarde avec intensité, découvrant cette queue. Elle se redresse, repoussant l’autre pour caresser la grosse queue dressée qui se propose à elle. Elle la regarde comme fascinée, la palpe, la décalotte, caresse les lourdes couilles en douceur. Puis, comme dans un rêve, je la vois approcher son visage tout près, frotter ses joues, son menton, puis tendre la langue sur le large gland. Elle le tète doucement entre ses lèvres, puis progressivement le laisse entrer dans sa bouche avec un air satisfait. Mon cœur tapait fort dans ma poitrine devant cette torride et troublante vision, j’ai l’impression de sentir mon sang battre dans la moindre parcelle de mon corps. Notre deuxième comparse s’était lui aussi dévêtu et se branlait devant la scène. Il s’approcha jusqu’à toucher du gland la joue de ma belle. Surprise, elle eut un sourire amusé et me jeta un regard des plus coquins, avant d’emboucher cette autre queue sans me quitter des yeux. Cette fois, elle le pompa directement avec amplitude, avalant presque entièrement cette verge plus modeste. Elle gouta plusieurs fois chacune des bites, à tour de rôle, s’aidant de ses mains pour occuper le délaissé. Puis Georges descendit le long de son corps pour laper à son tour la chatte africaine qui l’excitait tellement. Alors qu’il s’agitait entre ses cuisses, elle attrapa les fesses de Roger comme pour l’inciter à aller plus loin dans sa bouche. Il ne se fit pas prier et après avoir testé la longueur qu’il pouvait y mettre, il baisa la bouche de ma femme en lui tenant fermement la tête. Il commença à la traiter de pute, de salope, de vide couilles, de pute à vieux, de sac à foutre… Cette garce a eu un autre orgasme puissant juste à ce moment-là en écrasant le visage de son lécheur et se laissant retombée sur le dossier du canapé. Pour la première fois, je la voyais jouir de tous son corps ébène, contrastant avec la tête grisonnante s’activant entre ses cuisses.
Après quelques minutes de récupération, elle repoussa Georges et s’allongea sur le canapé, une jambe pliée et reposant sur le dossier du canapé, l’autre posé sur son pied au sol. Son regard dévisageant les deux hommes, eux hypnotisés par cette belle chatte noire aux petites lèvres roses foncées. Elle ne disait rien, mais l’invitation était claire. Roger, à la plus grosse virilité, se déshabilla prestement, il mit à nu un corps puissant. De gros bras, un dos large, un ventre bedonnant mais ferme, mais surtout une peau très blanche et une pilosité fournie sur tous ses membres. Il s’agenouilla son lourd sexe en main. Elle me regarda, intrigué par ma réaction, lorsqu’il frotta son gland le long de sa belle chatte. Il la caressa ainsi du clitoris jusqu’à l’entrée de sa grotte humide pendant quelques minutes. Je souris à ma femme et, comme un signal, elle ferma les yeux, le visage serein. Il poussa sur son sexe et je vis ce gros gland se frayer un passage en les chaires intimes de l’amour de ma vie. J’entendais mon cœur battre dans ma poitrine.
#1199157
Je vois qu'il y a beaucoup de visiteur, mais peu d'encouragement, peu de remerciement.
Voici une photo de ma belle africaine, en espérant motivé les visiteurs pour quelques messages et encouragement.
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canda a liké
#1199871
Je regardai, captivé, la colonne de chaire progresser lentement dans le minou trempé d’excitations, aidant en cela la pénétration. Pour s’excitée encore plus et excité aussi son baiseur, elle s’écarta les grandes lèvres, dévoilant encore plus ses chaires roses et son clitoris gorgé de désir.
Notre vieux ne put se retenir de dire :
- Oh ! Putain, la salope, elle est bien serrée. Sa chatte est trop bonne, je vais te remplir comme une chienne.

Sous ses mots, elle se tortilla et son bassin se mit à danser pour accentuer son plaisir et le sien. Mouvement qui lui vient naturellement lorsqu’elle prend son pied (pour en avoir parlé avec elle, elle ne se rend pas compte de ce mouvement).
Pendant qu’il coulissait lentement en elle, il lui attrapa les seins entre ses grosses mains calleuses, les rudoya puis se saisi de ses gros tétons noires pour les serrer et les étirer. Ma petite salope, qui aime être quelque peu brutalisée pendant le sexe, eu encore un orgasme. Il commença alors à accélérer les va et viens en poussant sa queue très profondément, puis se retirant, ne laissant que la pointe du gland en elle. Cette garce gémissait comme jamais. Cette fois, ne tenant plus, je sortie mon sexe pour me branler.
Notre deuxième compère, qui était resté spectateur en se branlant, s’approcha du couple copulateur. Il se saisit d’une main de ma belle pour se faire masturber. Ce contact avec la chaire chaude et douce fit ouvrir les yeux à ma femme, qui, dans un élan spontané, tira le vieux pénis vers elle et tendit les lèvres pour l’engloutir. Je n’en revenais pas, elle, si passive et modérément portée sur la fellation, me clouait par son audace et ses envies.
Notre sucé s’empara des belles et longues jambes noires par le dessous des genoux, les replia et les écartant le long du torse de la belle, maintenant écartelée. Il s’offrait ainsi une meilleure vue sur la pénétration mais permettait aussi à son vieux pote de la baiser encore plus en profondeur. Le baiseur accéléra encore jusqu’à la pilonner sauvagement, faisant claquer ses couilles sur le cul mouillé, pendant que l’autre tenait toujours les jambes. Elle avait du mal à garder l’autre en bouche. Je connais ses fantasmes et savais que ce genre de situation la mettant faussement contrainte allait la faire jouir. Ce qui ne tarda pas. Un énième orgasme s’empara d’elle. C’était un véritable festival de jouissance que je n’avais jamais pu lui offrir.
Je sentais le pilonneur pas très loin de l’éjaculation. Il était temps pour moi d’entrée dans le jeu pour le plaisir de tous. Je commençais à dire tout haut ce que je lui dis habituellement quand je la baise et qui l’a fait partir.
- Tu aimes ça te faire baiser comme une pute, sale trainée. Tu sers de vide-couilles pour vieux. Tu te fais baiser comme la dernière des salopes. Montres leur la putain que tu es, qu’ils aient envie de venir te baiser souvent. Vide-lui bien ses grosses couilles poilues. On va te baiser à la chaine, on va te remplir de foutre.
Elle s’agitait ma belle garce, son ventre dansait de plus belle. Ne tenant plus, le vieux baiseur lâcha sa purée, bien planté au fond de la chatte, en grognant comme un ours. Elle jouit encore une fois.
Essoufflé, il s’écroula en arrière, laissant la chatte béante et recrachant les premières bordées de semence. La place se resta pas vacante longtemps, poussé par le deuxième, le fatigué s’installa dans un des fauteuils. Georges s’installa entre les cuisses et frotta son gland, étalant le sperme du clitoris à l’anus. Sonnée et toujours au septième ciel, elle se remettait du dernier et puissant orgasme qu’elle avait eu, elle reçut cette nouvelle, et plus modeste queue de vieux en elle. Le pénis plongea dans les profondeurs marécageuses avec une facilité déconcertante.
- Oh putain ! Roger, tu lui as démonté la chatte. En plus, elle est tellement pleine que je la sens à peine.
Ses mots déclenchèrent des choses chez ma femme car juste derrière il déclare :
- Elle jouit déjà cette salope, je sens sa chatte se serrer autour de ma queue. Oh oui ! Elle est bonne ta pute.
Sur ce morceau de poésie, il accéléra la cadence. L’autre, à peine remit de ses efforts et de ses émotions, s’agenouilla à côté d’eux, il humecta son gros index et glissa sa main sur les fesses relevé de ma belle. Il taquina la pastille noir, qui, sous l’effet du plaisir et des sécrétions qui la maculait, se laissa ouvrir.
- Ouai, bonne idée Roger, elle me serre encore plus la bite cette garce.
- Elle ma mit la bague au doigt ! Ah ah ah !
Et cette garce jouit encore un fois de ce traitement. J’avais de plus en plus de mal à me retenir de jouir et cessais de me branler. Ma belle ouvrit les yeux, elle semblait me chercher, je m’avance près d’elle, elle me sourit et attrape ma queue pour m’attirer à sa bouche.
#1201485
hmurlibertin a écrit :Je regrette beaucoup de ne pas vivre en Lorraine, ne veux tu pas amener ta belle femme en vacances dans les Alpes ?


Je l'ai déjà enmener dans les Alpes, elle a adoré les paysages, mais ne veux pas y retourné, il n'y a que vers la chaleur que je peux l'enmener eb vacances. C'est une femme du soleil.
#1203229
Avant de continuer, que pensez vous de ses petites seins?
Aimeriez vous jouer avec?
N'hésitez pas à être cru, ici ou en mp.
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canda a liké
#1203461
Elle me suça profondément, je ressentis à la fois la passion qu’elle y mettait, mais aussi les soubresauts qui l’animaient au rythme du vieux cocufieur. Je regardais ma belle garce se trémousser et jouir sous les assauts des anciens, l’un planté dans sa chatte, l’autre lui doigtant sans tendresse sa petite rondelle noire. Je ne tiens que quelques secondes de ce traitement et lui signalais ma jouissance imminente. Elle ne se déroba pas et avala pour la première fois ma semence. Nos deux complices n’avaient pas perdus une miette de ce spectacle et Roger de dire :
- Oh la putain ! Elle avale la purée en plus ! Je crois qu’on a décroché le gros lot mon Georges !
- C’est sûr ! Je n’arrête pas sentir sa chatte avoir des spasmes autour de ma queue. Cette trainée n’arrête pas de jouir. Elle est tellement trempée que je la sens à peine.
- Bouge pas mon con ! tu vas bientôt la sentir ! elle aussi va le sentir passer !
Il se redressa, me poussa sur le côté et attrapa ma femme dans ses bras puissants, retirant par le fait le sexe planté en elle. Elle se laissait faire pantelante. Il la retourna sur le ventre, puis releva ses fesses. Elle se mit à quatre pattes, mais immédiatement, il lui plia les bras pour qu’elle reste le visage contre l’assise du canapé. Son compère inclina une lampe et mit en lumière son cul, dévoilant d’une manière très obscène sa chatte entrouverte et son anus, tous les deux couverts de sperme et de sécrétion vaginale. Il se saisit d’un vêtement pour essuyer la chatte, je me rendis compte que c’était ma chemise, il fit même entrée le tissu bien entre les lèvres pour la sécher un peu mais laissa l’anus en l’état. Je voyais bien ou il voulait en venir, j’imaginai la suite sans trop vouloir y croire. Allait-elle l’accepter ?
Toujours est-il que Georges, la queue toujours en l’air, se replaça derrière ses belles fesses bien ronde et, après lui avoir assené deux petites claques, une par fesse, lui refourra son vieux pénis dans le vagin. Elle se remit à gémir instantanément, plus fort.
- Ah oui ! C’est déjà mieux comme ça ! Je la sens mieux cette putain. Je vais te défoncer la chatte, salope !
Il la baisait en douceur de toute sa longueur ou très rapidement en profondeur, alternant différents rythme qui semblait beaucoup plaire à ma tendre épouse. Cette catin avait orgasme sur orgasme, j’avais déjà entendu parler de multiorgasmie, mais là je voyais la chose en direct et sur ma femme en plus. Moi qui réussissais à la faire jouir une fois et rarement deux fois de suite, je la voyais enchainer les jouissances. Parfois, il me semblait qu’elle avait une sorte de jouissance ininterrompue. C’était beau, magique et excitant d’assister à ça et aussi frustrant de ne pas l’avoir fait atteindre ce summum avec ma propre bite.
Roger, qui était resté spectateur le temps de se remettre en forme, prit ma main, la posa sur sa verge tendue et m’imprima le mouvement de sa branlette. Curieux, je ne me retirais pas. Je fus surpris du contact doux et chaud en serrant délicatement cette chaire. C’était à la fois agréable et étrange de branler cet homme. J’agissais avec sa queue comme je le faisais avec la mienne. Il émit quelques gémissements de contentement.
- Regarde ton homme, il me branle ! Il me branle bien !
Ma femme ouvrit les yeux. Elle parut vraiment étonnée, puis nous lança un sourire amusé mais avec des yeux luisant de lubricité. Je sentie une main calleuse et puissante me saisir par la nuque et m’appuyer sur le cou, m’enjoignant à m’agenouiller. Je me laissais guider, pas très sûr de pouvoir, ni de vouloir faire ce qu’il m’invitait à lui faire. N’ayant jamais eu de fantasme bisexuel, j’hésitais devant le gros vît que je branlais toujours lentement, allais-je le prendre en bouche ou pas ? Je jetais un œil vers ma femme, cherchant une réponse. Roger se rapprocha de ma belle en m’accompagnant avec lui. Mon visage a quelques centimètres de celui de ma femme et de cette queue. Toujours hésitant.
Je sentie une main se poser sur ma nuque pour me contraindre à prendre ce gland luisant d’excitation, mais cette main était fine, douce, je pouvais reconnaitre ce grain de peau entre mille, c’était elle qui me donnait la marche à suivre en faisant un oui de la tête. Je laissais le gland et la tige envahir ma bouche. L’odeur ne me gêna pas, c’était celle de ma femelle, mais la texture me rebuta quelques peu. J’entrepris de le sucer de mon mieux, comme j’aime être sucé. Je le faisais sans plaisir, mais car cela avait l’air de déclencher d’autres orgasmes à ma femme. Après quelques minutes, je cessais, lui faisant comprendre que ce n’était pas mon truc. Il n’en fit pas cas, me repoussa gentiment et se pencha sur les fesses de ma femme. Georges, qui démontrait une sacrée endurance, se mit à coulisser très lentement. Il écarta les globes bruns foncés, puis Roger, après avoir enduit son index de salive, taquina la rondelle plissée qui, une fois encore, n’offrit aucune résistance à l’insertion. Une fois le doigt bien calé à fond, le baiseur accéléra doucement. Puis le doigt s’agitât à son tour. Elle avait droit à une préparation dans les règles de l’art. Je m’étais rapproché et regardais ça de très près.
Après quelques minutes de ce traitement, Roger fit signe à son pote de se retirer, lui-même retira son doigt. De nouveau, il se saisit de ma main pour la mettre sur la queue gluante de son vieil ami. Comprenant le jeu, je tirais la colonne de chaire jusqu’à la poser sur l’anus entrouvert de ma belle. Tremblant de tout mon être, je remis de la salive autour du gland pour aider à ce qu’il allait bientôt arriver. Le saint des saints, ce que j’avais eu tant de mal à posséder, ce qui m’était offert que si parcimonieusement, si rarement, cultivant en moi une sorte de culte à ce plaisir interdit, allait bientôt subir les assauts d’un quasi inconnu.

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