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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par lailatvx
#1150589
Bonjour

Je viens de découvrir ce que je suis vraiment. Un sous homme. Je n’avais pas conscience de cela jusqu'à présent. Je savais que j’étais soumis à ma femme mais je pensais que je faisais cela par amour mais je réalise que c’est aussi parce que j’ai une petite bite. Sans réellement donner dans la domination, ma femme m’a fait glisser vers l’état de carpette. Tout commença le jour où elle me dit que j’avais un zizi de petit garçon, lui demandant pourquoi ? Elle répondit qu’il était tout petit. Quelques jours plus tard, elle me demanda de m’épiler le pubis, devant mon refus elle se fâcha très fort. Je lui demandais alors pourquoi elle voulait m’épiler, elle me dit alors que, vu la taille de mon pénis, il ne méritait pas d’avoir des poils, seuls les vrais hommes pouvaient avoir des poils et que si je refusais, nous ne ferions plus l’amour. Devant une telle menace, je finis par accepter. Elle se mit alors à préparer la cire afin de m’épiler à l’orientale. Ce fut pour moi un véritable supplice. J’avais la peau brûlante et arrachée sur certains endroits de mes testicules. J’étais honteux de me voir dans cet état et furieux d’avoir accepté. Mais le pire était à venir.
Trois jours plus tard, elle voulut que nous allions sur une plage où le naturisme était accepté. Je lui dis que c’était une drôle d’idée mais elle insista. Arrivés sur la plage, je m’aperçus qu’elle n’avait pas amené mon maillot, je le lui fis remarquer, elle me répondit que c’était normal. Vu les ridicules petites choses que j’avais entre les jambes, ça ne devrait poser aucun problème sur cette plage. Il était clair qu’elle cherchait à m’humilier. Ce qu’elle ne se priva pas de faire, m’obligeant a être en permanence sur le dos, mes parties exposée a tous les regards. Elle me fit traverser la plage plusieurs fois pour aller lui chercher à boire. Sentant les regards narquois se porter sur mes petites choses, le rouge me montait aux joues à chaque traversée. Chaque fois qu’un homme bien membré passait prés de nous, elle ne manquait pas de me le faire remarquer en me disant : regarde un vrai homme ; je ne la reconnaissais pas et je vécus une véritable journée d’humiliation.
Le soir, elle voulut faire l’amour dans des positions inadaptées à mes mensurations, pour me dire que mon truc était trop petit. Il en fut ainsi pendant six mois jusqu’au jour où elle refusa de me faire l’amour. Et elle employa la méthode la plus brutale pour me le faire comprendre. Alors qu’un soir je m’approchais d’elle en érection, elle empoigna mes petites couilles dans une de ses mains et me les écrasa violemment. Alors que la douleur dévorait mes petites choses, elle fit de même avec mon gland, déclanchant une éjaculation que je ne pus retenir. Elle me dit en écrasant mes testicules de plus en plus fort qu’elle ne voulait plus me voir ainsi, que c’est elle seule qui déciderait quand nous ferions l’amour, qu’elle n’accepterait que les érections provoquées par elle. Elle serra mes couilles une dernière fois en tirant violemment dessus, ce qui me fit me tordre de douleur et tomber par terre. « J’espère que tu as compris » me dit-elle en tournant les talons. Apres quelque pas, elle fit demi tour et revint vers moi, posa son pied sur mes testicules et me dit tout en les écrasant « maintenant, tu vas nettoyer tes cochonneries ». Honteux je m’exécutais puis partis me coucher, le bas ventre ravagé par la douleur.
A partir de ce jour, elle décida de me mettre à l’abstinence sur des cycles de plus en plus longs en réprimant toutes velléités d’érection de ma part par un écrasement de mes testicules en règle, même mes érections matinales étaient châtiées. D’humiliations en frustrations, je fini par être impuissant après un an. Une thérapie chez une psycho sexologue m’apprit que j’avais été châtré psychologiquement et que la seule solution était de quitter ma femme. Chose à laquelle je ne pus me résoudre car j’aimais beaucoup mon épouse malgré tout. Après en avoir parlé avec ma femme, elle accepta de me garder si j’étais gentil, ce qui voulait dire, me plier à tous ses désirs et tout accepter, c’était à prendre ou à laisser. J’acceptais ses conditions par amour du moins, c’est ce que je pensais.
Quelques semaines plus tard, j’avais une douleur persistantes aux testicules due à une correction un peu trop forte, elle m’emmena chez sa doctoresse (une amie à elle) pour me faire ausculter. Lorsque celle-ci me demanda de me déshabiller, je fus pris d’une sorte de panique, ma pauvre petite bite qui n’est déjà pas bien grosse se ratatina encore plus. Lorsque la doctoresse vit mes petites choses, elle regarda ma femme du coin de l’œil en disant : hé bien ma pauvre ! Tout en palpant mes testicules, elle demanda alors a ma femme depuis combien de temps je n’avais pas fait l’amour.
Ma femme répondit : depuis plus d’un an
La doctoresse dit que c’était beaucoup trop long, que ce n’était pas bon
Ma femme répliqua que j’étais impuissant et qu’elle m’avait castré psychologiquement.
Pourquoi ? demanda la doctoresse
Pour ne pas qu’il me casse les pieds trop souvent et pour ne pas qu’il me trompe, dit ma femme.

J’étais honteux d’entendre ces deux femmes discuter sur mon sort de pauvre male impuissant et sous- dimensionné, je ne me sentais plus vraiment un homme.
La doctoresse demanda à ma femme si cela ne lui manquait pas de ne pas faire l’amour.
Ma femme répondit alors que oui mais que mon petit zizi ne pouvait la satisfaire.
Je comprends, dit cyniquement la doctoresse en pressant mon testicule douloureux.
Je senti le vertige me gagner.
- Comment fais-tu ? Dit alors la doctoresse à ma femme.
Ma femme répondit que, de temps en temps, elle trouvait un vrai homme pour satisfaire ses besoins sexuels.
La doctoresse pressa de nouveau mon testicule meurtri en me regardant de façon hautaine au moment où je venais d’apprendre que j’étais cocu.
- Alors, ce n’est pas un problème, tu peux le laisser comme ça. Tu l’as castré, tu as réussi ton coup, maintenant tu es tranquille.
Ma femme lui avoua que, de temps en temps, elle aimerait me faire bander.
Pour quoi faire, dit la doctoresse, puisqu’il ne peut te satisfaire.
Pour le voir me désirer, répondit ma femme.
Dubitative, la doctoresse dit en regardant mes pauvres petites choses entre ses doigts fins « pour les testicules ça ne semble pas très grave, cela devrait passer, pour le reste je vais vous donner du viagra, vous verrez ce que cela donne.. »

Le soir, ma femme m’administra une petite pilule bleue et, après un bon moment de stimulations, je parvins à obtenir une érection de ma petite queue. Erection qu’elle ne réprima pas pour une fois, elle m’imposa de rester nu ainsi en la regardant se préparer au lit. Tout excité, j’espérais lui faire l’amour. Elle fit durer le plaisir jusqu'à la fin de mon érection. Lorsqu’elle vit que ma queue était redevenue flasque, elle me dit : chéri, ce soir je vais te faire un cadeau surprise, je lui dis merci. Elle s’approcha fièrement de moi et me dit :
-je t’offre mon corps, soulage toi en lui.
Je maudis alors cette bite qui était devenue flasque et molle.
-Alors chéri, qu’attends-tu pour me pénétrer, dit ma femme en feignant de ne pas voir mon absence d’érection.
Elle prit un air surpris pour me dire : Ho pauvre chéri, c’est déjà fini, tu n’as pas de chance, la prochaine fois j’essaierai d’aller plus vite.
Je me sentis vraiment humilié face à cette superbe femme que j’étais incapable de satisfaire.
Elle me demanda de me mettre a genoux puis me dit : branle-toi, je veux te voir branler ta queue molle et vider toi-même tes petites couilles, ajoutant, je ne peux le faire moi-même, je n’aime que les queue bien dures. Je m’exécutais à me soulager moi-même. Vas-y, dit-elle, je veux voir ta substance couler lamentablement de ton petit zizi tout mou.

Depuis ce jour, j’ai accepté ma condition de soumis et de cocu volontaire sans en être conscient. Tout simplement parce que je ne suis rien d’autre qu’une petite bite molle avec deux ridicules petites couilles destiné a être soumis, un sous homme fait pour servir les femmes sans mériter d’en jouir. Je suis maintenant convaincu que je dois accepter mon état et remercier ma femme de m’accepter auprès d’elle avec mon infirmité. Et de tout faire pour la rendre heureuse. Je comprends aussi pourquoi ma femme me parle d’eunuques en me vantant les mérites d’une telle solution qui élimine, dit-elle, les tensions du corps des hommes et leur permet de vivre plus longtemps. Me faisant remarquer que, dans mon cas, je ne perdrais finalement pas grand-chose, vu la taille ridicule de mes toutes petites couilles et que j’en serai sûrement plus heureux, je n’aurai plus cette frustration provoquée par mon impuissance. En fait, elle commence à me préparer à une castration définitive et non plus psychologique. Je crains qu’elle y parvienne tant je l’aime, pardon tant je lui suis si soumis et dévoué, en plus elle est très persuasive. Lorsque je regard mes pauvres petites choses, je ne suis pas loin de penser qu’elle a sûrement raison.
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par floflo93
#1172667
Pour moi, tu n'es pas un soumis, tu n'est pas un sous homme. Tu reste un homme. Ta femme a fait de toi ce que tu es. Et je trouve ceci lamentable. De plus de t'ammener jusqu'à une castration définitive. C'est vraiment horrible et même cela devrai être interdit hormis sur prescription médicale du as un problème.

Ton histoire fait plus mal qu'elle est excitante. Enfin c'est mon point de vue.

Et je suis sur que malgrès tout, tu pourrais donner du plaisir à une autre femme.

Perso, je te plains.
par reverencieux
#1175513
c'est du pur délire ce texte ecrit d'une main pendant que l autre branle sa petite quequette, j'en suis certain, en tout cas ça n'a rien a voir avec le candaulisme, le candaulisme c'est du plaisir pas de la mutilation ni de privation de jouissance, au contraire
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par floflo93
#1175584
reverencieux a écrit :c'est du pur délire ce texte ecrit d'une main pendant que l autre branle sa petite quequette, j'en suis certain, en tout cas ça n'a rien a voir avec le candaulisme, le candaulisme c'est du plaisir pas de la mutilation ni de privation de jouissance, au contraire


+1
par delyoh
#1175900
NAVRANT !!!!!
Change de femme et essaies des methodes d'allongement et de grossissement tel que le jelking, vas voir sur google.

bon courage

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