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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
par mystère
#90278
il y a une dizaine d'années moi (christian) et ma femme (bénédicte) recevions des amis (michel et claire)à 'apéro.
Ma femme au bout d'un moment avait bien bu et je constatais qu'elle était assise dans le canapé, les cuisses un peu écartée. Mais bon ... Et puis j'ai surpris michel en train de reluquer. J'ai réalisé qu'il était en train de se rincer l'oeil. Et ma femme qui ne se doutait de rien et qui s'agitait en rigolant.
je ne me faisais pas de souci car elle était prude et devait comme d'hab avoir mis culotte et collant. Mais je sentais que je commençais à bander. Et je m'aperçus que michel devenait de plus en plus insistant et que lui aussi ...

Un peu plus tard, sur la fin de la soirée, ma femme ramena les verres et michel l'y aida. Ma femme parlait de rincer les verres ...
Moi je discutais avec claire et le spectacle de ma femme cuisse ouverte me fis m'attarder sur claire et ses charmes.
Mais bon ... j'imaginais.

voila fin de soirée, béné et michel reviennent. on se quitte et on se souhaite à plus tard.

Béné me dit tout de go : eh bé michel il est un peu collant
comment ça ? disje

B : sous prétexte de m'aider à la vaisselle, le voila qui se colle contre moi
Moi (curieux) : c'est pas grave ?
B : non, mais il s'est mis à se frotter
Moi (qui commence à être excité) : comment ça ? son ventre contre tes fesses ?
B : tout à fait
Moi : et tu as senti quelquechose (je voulais l'entendre prononcait des mots cochons)
B : oui, c'était dur
Moi : il se branlait sur tes fesses en fait
B : oui je l'ai sentie
Moi : tu as senti quoi
B : sa ... bite
Moi : oh mon salaud ! (faussement choqué) et elle était vraiment dure ?
B : oui et il se serrait bien fort
Moi qui commencais à bander fort et j'étais étonné : tu as protesté ?
B : je lui ai dit qu'on pouvait nous voir
Moi : comment ça ? c'était en fait l'inviter à se branler contre toi si on étais pas là !!
B : oh merde !! tu crois qu'il l'a pris comme une invitation ? Mais aussi qu'est ce qui lui a pris ?
Moi : si tu n'avais pas écarté tes cuisses il ne se serait pas rincé l'oeil !!
B : mais qu'est ce qu'il y a à voir sous ma jupe j'étais en slip et collant
Moi : c'est tout le mystère de ce qu'il y a dans l'entre jambe, on imagine un lieu humide et chaud prêt à être enfilé. i en plus tu écartes. En fait tu me fais bander. cette histoire me fait bander
B : tu n'es pas jaloux qu'il bande pour moi et qu'il se soit astiqué la queue contre mon cul
Moi (ses mots crus me chauffaient) : je t'imagine tendant tes fesses
B : si tu savais ...
Moi : quoi !?
B : au moment de se retire de contre moi, il a descendu sa main, l'a passée sous ma jupe et l'a remontée jusqu'à mon cul
Moi : ça t'a plu ?
B : j'étais suffoquée et je sentais ses doigts qui trifoullaient ma raie. Si j'avais pas eu de collant, ils seraient passés sous ma culotte et peut être que ...
Moi : peut être quoi ?
B: un doigt peut être dans ...
Moi : il t'aurait foutu un doigt dans le cul ?

Alors là, n'y tenant plus j'ai plaqué ma femme par sur la table de la salle à manger et je me suis collé à ses fesses et j'ai joué la scène comme si j'étais michel. Je me suis frotté, j'ai remonté sa jupe, j'ai tiré son collant et sa culotte vers le bas et je lui disais
C'est ça que tu aurais aimé
B : oui qu'il m'arrache mes dessous
Moi: salope et qu'il te fasse sentir sa queue
B : oui et qu'il me branle la chatte

Et ainsi on s'imaginait, elle prise et baisée par Michel, et moi me délectant à la voir se faire baiser. rapidement j'ai eu juste le temps de l'enfiler et de lui lacher la purée.

C'est là que j'ai compris que j'aimerais la voir se faire sauter ....

quelques temps plus tard en rentrant du travail, béné me dit que michel nous a appelé pour nous inviter. Béné me dit que michel lui a glissé : Béné vient en jupe ça te va bien ....

La suite une autre fois
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par EPSILON92
#90571
Vivement la suite en effet !
Quand a t il lieu cet apero ?

Tu as une photo de ta femme ?
par mystère
#90938
Le soir dit, Bénédicte portait une jupette blanche, un chemisier clair, un soutien gorge noir, porte jaretelle et slip idem.

Nous arrivons et nous nous asseyons tous sur des sortes de pouf. Enfin, ces trucs où on est tj en équilibre instable. Claire portait un tailleur beige un peu strict, ce qui tranchait avec le sexy de Béné, mais cela m'exitait. D'ailleurs sur ces poufs, je n'arrêtais pas de plonger mon regard jusqu'au minou de Claire caché par un triangle de tissu blanc.

Béné était en fait un peu coincée. Assise à côté de moi, elle était presque à genoux ce qui faisait que ses dentelles étaient bien cachées...

je lui mis une main sur un genou et doucement je remontais, et je la forçais à écarter un peu. Elle résistait en se trémoussant, et comme en même temps elle devait gérer les biscuits à attraper en se penchant, puis en se redressant en arrière, ce qui devait arriver arriva : à un moment ou elle se redressait, et comme je remontais plus haut ma main, elle perdit l'équilibre en arrière.

Et voila ma Béné, sur le dos, les jambes en l'air (puisque posées sur le pouf), écartées, la jupette retroussée, offrant à tous le spectacle impudique de ses fesses, de ses dentelles, de sa petite culotte. Comme en plus elle gigottait, tout cela était amusant et même un peu humiliant pour elle.

Michel dit : wahou !!!
Claire se leva comme si elle n'attendait que cela, elle souleva son tailleur et nous fit voir sa culotte blanche et ses bas auto fixants en lui disant: tu vois moi aussi je suis habillée en salope.

Claire se mit à quatre pattle à califourchon sur une des cuisses de Béné, et sous prétexte de l'aider à se redresser, ne faisait que l'empêtrer encore plus. En fait leurs cuisses gainées se collaient, de temps en temps, Claire s'écroulait sur Béné. de fait elles s'enlacaient en jouant. Mais plus ça allait, plus la jupette remonatit, plus le chemisier s'ouvrait, plus le tailleur remontait à la taille.

ces cuisses, ces jambes, culottes, linges, lingeries, dentelles, mains, souffles faisaient de ce spectacle une introduction à pas mal de fantasmes.

Moi même me mis derrière Claire pour l'aider à se redresser, Michel se mit accroupi près de latête de Béné. Je vis ses mains, courrir sur son chemisier sous préteste de le refermer, en fait de s'insinuer sous le tissu pour malaxer la poitrine de Béné.

Et moi derrière claire, je me mis à enlacer aussi sa poitrine pour la redresser. En faitje bandais, et je voyais bien ce cul qui se trémoussais devant moi. des idées folles m'envahissaient.

Pour Michel, les idées étaient moins folles et plus concrètes : il sortit son sexe et le frotta contre la chevelure et le front de Béné qui ne se rendait compte de rien.

A un moment, il se mit de coté et sa queue commaenca à tambouriner la joue et le visage de Béné qui se tourna et découvrit l'engin. Elle ouvrit la bouche de stuppeur et de ... je ne sais quoi. De désir probablement, car elle me regarda comme si elle me demandait.

Moi aussi j'étais étonné de ce qui se passait et je lui fit un signe comme pour lui dire "au point ou on en est va y si tu veux".

Aussitot elle se retourna et engloutit le dard. Je défis ma ceinture, je baissais pantalon et culotte et de mon coté je commencais à m'astiquer contre les fesses de claire. tout en pétrissant sa poitrine que j'avais sorti de son soutien gorge. Nous roulames de côté pour nous occuper de nous deux. Très vite nos langues se mélangèrent, ma main descendit et glissa dans sa culotte. elle avait toujours son tailleur ce qui l'entravait un peu mais qui me donnait l'impression de la forcer alors que sa chatte était trempée

Je jetais un coup d'oeil à Michel et Béné. Ils étaient maintenant eux aussi allongéIl lui chevauchait une cuisse. sa main dans sa culotte. Il pétrissait à fond. Il voulu lui baisser son slip. Hélas pb technique : "Béné, on met sa culotte par dessus son pj, mais c'est pas grave, tu tirera ta culotte de coté"

excusez moi, mais ces souvenirs me font bander. Je rejoins Béné et je vous raconte plus tard la suite

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