« Les derniers seront les premiers »
C’est par ces mots que j’avais terminé une précédente publication.
Le dernier homme a baiser E. en dehors de moi même bien sûr, sera le premier à la baiser.
C’est ainsi que démarre une nouvelle phase de nos jeux candauliste.
Comment en sommes nous arrivés là ?
Et bien assez simple y en fait… une disette tant libertine que sexuelle.
Je ne sais pas comment l’expliquer, mais sûrement comme beaucoup de couple, après une engueulade, nous sommes sommes éloignés l’un de l’autre. Nous vivions ensemble, faisions tout ensemble, mais notre relation intime s’était évanouie.
Arriva ce qu’il arrive aussi souvent, j’ai trompé Emma.
Quand elle l’a découvert, cela a été un électrochoc pour elle, et peut-être moi aussi.
L’orage passa, le grain veillait encore mais nous partions pour l’Italie !
J’aimais toujours Emma mais je ne voulais plus de cette vie sans sexe … et là bas, je le lui ai dit ! Ça suffisait ! Et on a parlé de tout ça, ouvertement et je lui ai dit « on a encore du temps devant, nous mais cela ne va pas durer ! Tu es une femme, je veux que tu sois une femme, une femme qui assume d’être une femme ! Je veux que l’on retrouve du sexe, je veux que l’on baise, que tu baises, que tu exprimes tes désirs et tes envies ! Et je veux que l’on retrouve nos jeux … ceux d’avant ! C’est à dire que je veux que tu séduises et que tu baises, que tu te fasses baiser ! »
Je pense que j’ai été très clair là !
Cette semaine Italienne a été une semaine de baises intenses (a 2) … et de visites.
Nous sommes rentrés avec une page sur le site partenaire et l’envie de jouer à nouveau.
Je voulais qu’E. aie une aventure dans les meilleurs délais. Battre le fer tant qu’il est chaud comme on dit.
Répondre aux sollicitations, rechercher un partenaire qui nous convienne… cela nous a amusé, mais c’était trop long.
Alors j’ai fouillé dans ma mémoire et j’ai retrouvé le dernier partenaire de nos jeux.
Il en fut ravi et emballé par la proposition nous convenions d’une date assez proche.
E. rassurée de ne pas se donner a un total inconnu, c’est lui qui emportera notre choix. Nous l’appellerons C.
J’ai adoré retrouver E. fouiller dans ses dessous, essayer ses différentes tenues, en commander de nouvelles, la conseiller sur le moment de prendre rendez vous chez l’esthéticienne. J’ai adoré sa fébrilité naissante plus l’heure du rendez-vous approchait.
J’ai adoré la voir se parer de sa tenue Maison Close, de ses bas que j’ai aidé à fixer aux jarretelles.
On s’est retrouvé chez lui, un superbe appartement parisien avec ascenseur privé, magnifiquement décoré de collection d’art et une cave à vin murale digne d’un restaurant.
Il avait fait quelques travaux depuis notre dernière visite et cela alimentait notre conversation
E. était nerveuse, mais assise sur le canapé beige, aidée d’une deuxième coupe de champagne, elle se laissait aller à apprécier la caresse de son amant du jour.
Un dernier regard vers moi, un sourire, et elle se laissa aller à l’embrasser.
S’en était fait, elle avait basculé… et elle savait que son sort était scellé et elle se donnerait à C. dans quelques instants.
C. lui pris la main, et sans détours lui proposa de l’accompagner dans sa chambre en l’aidant à se lever, puis en l’embrassant pour mieux saisir ses formes et affermir son emprise.
Je l’ai regardé le suivre sur ses talons fins afin de leur laisser un peu d’avance et laisser la température monter.
Passé quelques minutes, j’ai retrouvé mon E. assise sur le lit, C. debout devant elle, le jean baissé, son sexe déjà tendu entre les lèvres de ma femme.
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