Juillet 2021, Excitation-frustration. Suite 2 et fin
Mon tél vient enfin de se manifester, vite, je l’attrape d’une main tremblante. C’est Fab qui m’appelle:
_ Désolé, je suppose que tu ne dors pas.
_ Comment veux-tu que je dorme dans ma situation...
_ Ouai, je comprends... Mais franchement, j’ai fait au mieux, tu sais ! Je viens juste de partir et je me suis arrêté dans le premier chemin que j’ai trouvé.
_ Et Marine ? Elle est partie aussi ?
_ Oui, elle est en route pour chez vous. Il restait plus grand monde en fait... Rassures toi, elle s’est mise aux jus de fruit rapidement.
Rire puis petit silence. J’attends impatiemment la suite.
_ Bon tu veux que je commence par où ? Tu veux les photos tout de suite ou tu préfère que je te raconte... Je préfère de vive voix parce que par WhatsApp, ça va prendre trop de temps... J’ai tellement de chose à te raconter.
De nouveau je l’entends pouffer de rire.
_ Ok, tu as raison... Allez, racontes ! Dis moi tout et je veux tous les détails... J’en peux plus... Vous avez baisé ?
De nouveau, rire nerveux de Fab, j’enclenche l’enregistrement.
_ Un truc de fou. Elle est terrible notre coquine... Je suis encore tout excité rien que d’y penser...
Je sens la pression monter d’un coup et mon cœur battre la chamade. Il a l’air heureux et je suis jaloux de ça. Pas la jalousie habituelle du style « elle m’a trompée, elle ne m’aime plus. Elle a couché avec un autre etc.... ». Non, je suis jaloux de ce plaisir qu’ils ont eu ensemble et dont je n’ai pas profité, moi ! Comme un type jaloux d’un autre qui vient de se payer une belle voiture alors que lui n’en a pas les moyens.
De nouveau le silence, comme s’il cherchait à rassembles ses souvenirs. Et puis il se lance., Il parle d’une voix un peu tremblante, pleine d’émotions. Il me raconte que c’était compliqué parce qu’il y avait toujours quelqu’un dehors et que c’était le seul endroit pour s’isoler. Il me raconte leur attente en discutant séparément à droite et à gauche, guettant le moment opportun. Il me parle de ses doutes, de ses réflexions, de sa déception en imaginant que c’était foutu et qu’il allait falloir trouver un autre endroit et que ça allait être compliqué... Et vers 1h, l’espoir qui renaît, les gens qui quittent la soirée, la salle qui se vide peu à peu... Il ne restait que quelques uns, assis à picoler et grignoter tout en discutant. Et là, il voit Marine sortir sur la terrasse alors qu’il discutait avec un ancien collègue.
Sa voix devient soudain plus sourde, comme s’il revivait plus intensément ce qu’il me raconte. Il me décrit toute sa fébrilité lorsque Marine réapparait quelques minutes plus tard. Il me parle de son empressement à se débarrasser du type et du moment magique où le voyant seul, Marine passe devant lui en le regardant avec insistance tout en se dirigeant vers la sortie sur la terrasse.
Fab continue son récit méthodiquement, respectant notre marché. Il me détaille tout, son excitation lorsqu’il croit deviner qu’elle lui lance avec un petit sourire, « tu viens ? » alors qu’elle passe la porte.
J’imagine la scène, ma coquine pleine d’envie, dirigeant les opérations. C’est elle qui mène le jeu à ce moment là et j’en suis tout chamboulé. Je ne peux m’empêcher de le couper :
_ Oh putain, tu veux dire que c’est elle qui a commencé ? Je veux dire qui t’a proposé d’aller sur cette foutue terrasse ?
Fab lâche une sorte de ricanement avant de me répondre :
_ Exactement mon vieux, je peux te dire qu’elle n’attendait que ça elle aussi ! Je te jure que c’est vrai !
_ Pfff, pas la peine de jurer, je te crois ! Mais je ne m’attendais pas à ça, c’est tout... Je pensais qu’elle serait plus sur la réserve et qu’elle attendrait que tu prennes l’initiative...
_ Ouai ben attends la suite et là, tu vas faire comme moi, tu vas halluciner... Je peux te dire qu’elle était hyper chaude ! Bon désolé mais j’ai une envie pressante, j’ai bu trop de bières, je reviens...
Intérieurement, je bouillonne. Je découvre que ma coquine avait une telle envie de se faire baiser qu’elle avait carrément pris la direction du jeu... Je sens mon ventre se crisper et ma queue durcir encore plus. Finalement, elle s’est lâchée, comme je le lui avais demandé ! Elle n’avait fait que suivre mes directives et répondre à mes envies que je lui avais consciencieusement détaillées. Pourquoi étais-je surpris alors ? Si elle n’y était pas parvenue, si elle avait repoussé Fab, j’aurai été hyper déçu. Alors pourquoi ce petit serrement au niveau de ma gorge. Comme si j’étais mal à l’aise avec l’idée que Marine ait pu avoir hyper envie de prendre un max de plaisir en mon absence...
Je tremble de partout, je m’allonge et je ferme les yeux en respirant un grand coup.
Soudain la voix de Fab, de nouveau là.
_ Bon, ça va mieux... Donc je la suis et elle m’entraîne derrière la salle dans un coin non éclairé complètement désert avec juste une table et deux chaises qui trainaient là. Tu devines dans quel état j’étais !
Je ricane bêtement avant de répondre :
_ Oui... La queue bien raide !
Il rigole à son tour avant de poursuivre.
_ Et j’avais de bonnes raisons pour ça, tu penses bien ! ET elle n’a rien fait pour me calmer... Figures toi qu’à peine arrivé dans ce petit coin sombre, j’ai... J’avais trop envie de voir.. Je lui ai demandé de recommencer comme au début... Qu’elle remonte sa robe.
Je ferme les yeux, faisant défilé dans ma tête les premières photos reçues. Je bande comme un fou et ne peux m’empêcher de commencer à me masturber lentement, le souffle court. D’une voix étranglée je lui demande :
_ Elle t’a montré sa chatte ? Comme ça, sans hésiter ?
La voix de Fab me parvient comme étouffée et je devine qu’il ressent lui aussi cette excitation insupportable rien qu’en se remémorant cet instant.
_ Oui... Sans hésiter... Et avec un petit sourire provoquant en plus. Tu sais, à ce moment là, j’ai compris qu’elle était... Tu sais comme on dit d’habitude quand on s’éclate tous les trois... En mode salope quoi !
J’ai un mal fou à respirer tellement ma gorge est serrée. J’aspire un grand coup et souffle lentement. Je l’imagine parfaitement bien ma coquine, cuisses écartées, exhibant sa chatte trempée de désir avec son envie incontrôlable de se faire baiser par Fabien.
_ Continues... Vous avez fait quoi ensuite... Elle t’a demandé de sortir ta bite ?
Petit silence.
_ Non... Elle est venue la sortir elle-même...
OH putain ! Je suis sans voix. Les yeux fermés, je l’imagine s’avançant lentement vers lui pour...
_ Elle a défait mon pantalon, baissé le tout et poussé en arrière pour que je m’assois sur une chaise. Je me suis laissé faire, tu penses bien... Elle s’est accroupie entre mes jambes et sans attendre, elle a commencé à me sucer... Putain que c’était bon... Elle en voulait... Je peux te dire qu’elle m’a bien pompé. J’en revenais pas... Elle était complètement... Comme si elle ne se contrôlait plus quoi ! Le genre de truc dont tous les mecs rêvent !.
J’entends sa respiration, plus forte, plus rapide. Il revit le truc, le salopard. Je continue de me masturber, le souffle court, des images plein la tête. La respiration de Fab toujours dans le haut parleur. Je ne peux m’empêcher de lui dire :
_ Tu sais que je me branle en t’écoutant !
_ Je me branle aussi en te racontant... C’est trop excitant de repenser à tout ça. Je comprends parfaitement ce que tu ressens, tu sais !
_ Et les photos ? tu en as pris ? Envois les moi !
Petit silence.
Notation de réception d’un message whatsApp. Mon cœur bat la chamade. Deux photos reçues. Le regard de Marine fixé sur l’objectif pendant que sa langue lèche le gland de Fab. Un regard où je devine un peu de provocation. Je lâche ma queue, à la limite de l’éjaculation. J’ai l’impression qu’une tempête se déchaine dans ma tête. La deuxième photo montre La bite de Fabien profondément enfoncée dans la bouche de ma coquine. C’est terrible, je tremble de partout, la poitrine comprimée, la sueur dégoulinant sous mes bras, dans mon dos, partout...
_ Continues... Elle t’a sucé longtemps ?
_ Un bon moment, oui... Avec des poses parce que j’étais limite... Trop dur de se retenir si tu vois ce que je veux dire...
_ T’avais envie de gicler ?
_ C’est ça. Elle non plus ne voulait pas que je parte alors elle s’arrêtait de temps en temps.
J’attends la suite en silence, les yeux fermés, ma queue de nouveau dans ma main.
_ Moi, je ne faisais rien... J’attendais la suite... Elle a fini par se lever et...
Je l’entends aspirer un grand coup. Lui aussi est à la limite ! C’est fou ça ! Il a baisé ma femme il y a moins d’une heure, il s’est vidé en elle et là, il est de nouveau prêt à jouir !
_ Ecoutes moi bien Pat, c’est elle qui m’a baisé ! Elle s’est levée et s’est mise debout devant moi et... Je t’envoie les photos, tu comprendras mieux.
J’attends fébrilement son message. Je fixe mon téléphone tout essayant de me calmer sans vraiment y parvenir. Soudain, plusieurs photos apparaissent, les unes après les autres, en cascade sur WhatsApp. Je les fait défiler d’un doigt tremblant, j’en ai le souffle coupé...
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Je reste sans voix, complètement tétanisé, en apnée total. Il me faut quelques secondes pour comprendre que Fabien m’interpelle ;
_ Tu es toujours là ?
_ Heeuu oui...
_ Ah... J’ai cru qu’on était coupé... Tu aimes ?
_ Pfffooouuuaaaa, j’en reviens pas... Ca me fait mal au bide tellement j’ai envi de baiser en voyant ça !
Rire de Fabien qui résonne dans mes oreilles.
_ Je te comprends parfaitement ! Même moi, j’ai envie de remettre ça en les regardant... Quel pied ! Tu sais qu’elle a fait exprès d’aller tout doucement pour que je puisse prendre les photos ! Elle voulait que tu puisses bien regarder, comme d’habitude qu’elle a dit... Bon, c’était compliqué quand même parce que je n’avais pas beaucoup de recul... Et c’est les seules que tu auras parce qu’après... On a un peu perdu le contrôle si tu vois ce que je veux dire.
De nouveau, je l’entends pouffer de rire. Je parcours les photos, encore et encore, comme si je voulais les graver à jamais dans ma mémoire. Je me branle de nouveau, en serrant plus fort, un peu plus vite. J’ai envie de me vider, envie de gicler en imaginant ma petite dévergondée en action.
D’une voix étranglée par l’émotion je demande :
_ Elle t’a baisé comment ? Racontes !
Petit silence entrecoupé de nos souffles respectifs.
_ Elle se balançait d’avant en arrière... Tu sais comme elle bouge bien son petit cul quand on la baise, ben là, elle faisait pareil. Moi je ne pouvais rien faire vu que j’étais assis sous elle... Elle a baissé le haut de sa robe pour que je puisse m’occuper de ses seins... Lui l’écher ses tétons... Les pincer avec mes lèvres... tout ce qu’elle aime quoi...
J’imagine chacune de ses descriptions, sentant monter ma sève. Je continue de me masturber, le souffle court, tremblant de tout mon corps en sueur.
De nouveau la voix de Fab, entrecoupé du bruit de son souffle, saccadé lui aussi... Je lui demande :
_ Tu te branle toi aussi ?
Rire étranglé puis d’une voix à peine audible :
_ Oui... Comme toi, non ?
_ Continues de raconter...
_ Ben plus elle bougeait son cul, plus j’avais du mal à me retenir... En plus, le fait qu’on pouvait être surpris... C’était... C’était encore plus excitant... Elle soufflait de plus en plus fort et elle gémissait aussi... de plus en plus fort aussi... Je la tenais aux hanches pour l’aider à aller plus vite et plus... Plus au fond... Sentir sa chatte toute serrée sur ma bite... C’était trop bon... Et elle, elle appuyait ma tête contre ses seins... Et elle a fini par jouir... Et moi, j’ai tout lâché. Elle était toute raide, toute crispée en essayant de pas crier. Putain si tu l’avais vu, c’était comme si elle étouffait !
Un bruit de grognement me parvient au travers d’une sorte de brouillard dans ma tête. Je devine vaguement qu’il vient de jouir une nouvelle fois et à mon tour, j’éjacule en me branlant énergiquement. Le sperme sort de ma queue en longs jets sur mon ventre, ma poitrine, jusque sur mon menton. Dans ma tête, je vois une salope déchainée, empalée sur la bite bien raide de Fab.
Je me sens épuisé, complètement épuisé, vidé.
_ Pat ? Tu vas bien ?
_ Bien sûr que je vais bien... Merci pour le récit... Et les photos...
_ Hi, hi, c’est la moindre des choses... Tu sais, on s’est dit après coup que si tu avais été là... Ben on aurait autant pris notre pied... J’ai pas envie que tu m’en veuilles pour quoi que ce soit. On s’amuse autant quand on est tous les trois...
_ T’inquiètes, je ne t’en veux pas du tout, au contraire... C’est moi qui voulais vivre ce genre de choses... Mais je t’avoue que j’ai pas trop envie de recommencer là.
_ Ouai, ça aussi je le comprends bien... Franchement, moi, à ta place, je sais pas si je serai capable de faire ça... Mais bon, avec Sophie, il n’y a aucun risque, hein ?
On éclate de rire ensemble et ça me fait un bien fou. Je me sens de nouveau détendu, presque libéré de cette compression sur ma poitrine. Après tout, ce n’était qu’un jeu, un peu particulier, certes, mais juste un jeu.
_ Bon je te laisse, j’ai de la route à faire moi !
_ Ouai, c’est ça, casse toi sale con, maintenant que tu as bien baisé ma meuf... Enfoiré !
On rit de nouveau, comme les deux potes complices que nous sommes.
Je me lave et me recouche, presque apaisé. J’éteins et suis sur le point de m’endormir quand soudain, un message WhatsApp... De Marine :
_ Je viens d’arriver à la maison. Je suis morte. Je suppose que Fabien t’a raconté et montré certaines photos. On en discutera demain si tu veux bien mon chéri. ;Je t’aime très fort ! Merci pour m’avoir permise de m’évader un peu ce soir. A demain mon amour à moi.
J’hésite à lui répondre... Finalement je me dis que non, ce sera mieux demain. J’aurai sa version à elle et je pourrai de nouveau « en profiter ».