- 24 mai 2019, 10:32
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L'achat de la cage s'est déroulé comme prévu...le type, compréhensif, n'a pas insisté sur le jeu pervers voulu par Muriel, tout de même il a jeté un œil rapide sur mon sexe sans montrer de réaction. J'ai quand même dû défaire mon pantalon devant les trois observateurs, je m'étais préparé à cette scène, très troublante malgré tout... comment j'accepte l'humiliation... Il nous fait choisir entre plusieurs modèles... Benoît, tout sourire " il ne risque pas de la perdre ?" " Ce modèle là est réglable..." .....,"allez mets la " et nous voilà dans la rue, me voici donc équipé,....
Il me semble que tout le monde nous regarde, qu'on regarde le mari cocu, sa femme a son bras et de l'autre, l'amant..
C'est la réalité, mais s'afficher hors de l'intimité porte une autre signification.
A la maison, nu, devant Muriel et son Benoît, elle me sourit en agitant la clé pendue à son bracelet.... malicieuse, elle dépose un bec sur le bout de mon gland... première bandaison freinée... première douleur bizarre....et Benoît y va de son couplet " déjà qu'il ne bande pas beaucoup, cette fois on aura le champ libre... ça me donne encore plus envie de toi ma belle Muriel... viens danser ...qu'on teste ton mari et l'efficacité de cette cage ..."
Ils ondulent et frétillent devant moi, aguicheurs. Il pelote ma femme qui couine et se tortille. Ils font grimper leurs désirs et me narguent. Ils se dénudent. Elle est belle et sa bandaison a lui, si impressionnante. Je suis coincé, obligé d'avaler ma salive et serrer les dents. Je tente de coincer mes couilles, ma bite gonfle, douloureusement contenue, enfermée par le métal... Muriel le suce, lui, son visage tout rouge, la salive coule à la commissure de ses lèvres, elle me sourit narquoise, la bouche pleine elle regarde mon sexe enfermé. Goulue elle tient le sexe de son amant a pleines mains. Il profite et baise la bouche de ma femme. Impossible de bander pour moi et c'est une souffrance....je serre mes couilles dans l'idée de calmer mon désir....en vain.
Les amants se sont allongés et se désirent, ils font l'amour en lorgnant sur la bite encagée du mari cocu. Mon humiliation les excite c'est sûr !
J'ai l'impression que son sexe est encore plus gros, plus dur, qu'il s'applique a bien baiser ma femme. Elle se donne totalement, encourage la fougue de son amant, toute rouge et en sueur elle tend son bassin, ouvre les cuisses, crie, s'esclaffe, tremble, réclame... l'impression que mon sexe va imploser....
Elle le chevauche face à moi, elle veut voir ma quéquette dans sa cage, mon visage de mari amoureux et cocu. Ils baisent. Je souffre. impossible de me masturber comme il me convenait de le faire en profitant du spectacle... Muriel excitée par la situation profite d'un orgasme, tremblotante, courbée à rompre, les seins au ciel, sa foune transpercée par le membre qui a faillit sortir. Coup de rein pour le garder en elle et qu'il s'enfonce à nouveau. Puis elle s'offre en levrette.
Tout en baisant ma femme avec grande ardeur il esquisse un sourire en regardant la geôle qui me contient...il me domine en mâle vainqueur.
"Elle est vraiment bonne ta femme vraiment...! Dis a ton mari comme tu jouis de ma queue... t'es bonne, t'aime ça..hein ?..." Il fesse Muriel qui ne peut plus parler, juste profiter, la tête dans le drap au bord de l'orgasme qu'elle attend..." Viens ! Viens. !....." Il la prend en grognant de toute sa vigueur, son sexe planté au fond de son ventre.... j'ai une sorte de spasme, une éjaculation impossible dans ma queue tordue, le reflux du sperme me fait mal, une goutte s'échappe malgré tout...loin, bien loin de me soulager....et pourtant la douleur calme mon envie....
Les amants se détachent, l'accouplement se termine dans la petite mort partagée...
"Tu peux libérer ton mari je crois bien....hein JF tu ne peux plus bander on dirait..."
"Approche mon chéri, Benoît a raison .... ça fait quoi ?....si, si raconte moi..."
Comment expliquer la frustration douloureuse, l'envie si forte de jouir... la voir si belle, contempler ses plaisirs, ses orgasmes... voir son amant si fougueux...vivre, coincé, l'excitation sexuelle qu'ils partagent. Leurs sueurs qui se mélangent, les yeux fermés quand ils s'embrassent, puis grands ouverts sur leurs sexes qui s'emboîtent, ils se regardent baiser, prendre et partager leur plaisir, humilier le mari cocu de sourires narquois. Toute la perversité voulue et acceptée...
.... Benoît devine mes pensées..." He oui ta femme est bandante... belle Muriel, quelle amante ! " Et il l'embrasse à pleine bouche.
Il bande, il a encore envie d'elle et il peut.....ils relancent le jeu en prenant tout le temps....je m'abstiens de bander, ...trop pénible, je les regarde...ils aiment se mélanger. Ils oublient ma présence un trop long moment.... Ils copulent encore jusqu'au coït.....
"t'as vu comme elle se donne ta femme..."
"Alors mon chéri tu me racontes, la cage, tes sensations....?...ça te motive bien hein Benoît ? sourire, si si ne dis pas non mon tercero préféré.... tiens prend donc la clé et libère mon mari... l'amant qui libère le mari, whaou quelle coquinerie ! Si messieurs...laissez moi savourer cet instant....."
Quelle euphorie que d'être réjouie par Benoît devant toi, mon mari encagé, la clé a mon poignet....Oui Benoît est endurant et c'est une satisfaction, je n'y suis pas pour rien....je lui plaîs.. c'est ainsi... sourire. Je jubile honteusement de ma perversité...J' observe Benoît empêtré à défaire la cage de mon mari, doigts écartés pour éviter de toucher tes boules, alors que je sens sa semence s'écouler entre mes cuisses. Une perversité euphorisante que je n'avais jamais imaginée....une jubilation nouvelle...
Benoît évite de toucher mon sexe rabougri et retire la cage. Même sans plus bander la comparaison des deux bites n'est pas a mon avantage....loin de là...
Muriel ordonne " tu prends une douche puis tu nous serres un petit encas, mon mari chéri. Benoît, tu viens me frotter le dos sous l'autre douche pendant ce temps...."
J'ai eu le loisir de tout préparer et même de refaire le lit avant que ma femme et son amant ne réapparaissent fourbus... aucun doute de ce qui a dû se dérouler, le visage d'une femme juste baisée ne trompe pas... Avant que Benoît ne parte, c'est Muriel, elle même qui enferme mon sexe....
Elle me réveille dans la nuit, toute câline tendre et malicieuse..."alors, ça fait quoi...?". Elle tient dans sa paume tout le paquet de mon sexe et sa cage ..."raconte... raconte..." Elle presse mes couilles et puis de trois doigts, le bout de mon gland
"Arrête s'il te plaît, ça fait mal..."
Alors elle me libère et je m'épanouis. Elle mesure l'évolution de la bandaison " j'aime ce développement, je te plaîs. hum... baise moi vas y baise moi "
Je suis violent, féroce et d'une vigueur rare....je défonce ma femme énergiquement, sauvagement....on aime ça... notre étreinte sublime aboutie rapidement a un orgasme partagé. L'impression d'éjaculer une semence abondante avec énergie. Un libération mutuelle, impossible de se séparer. On s'endort lié, mon sexe debandé reste en elle.