- 09 mars 2019, 14:29
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Stéphane part se rafraichir à la salle de bains. Je m’effondre à mon tour sur le lit. Cela faisait presque 10 ans qu’un homme ne m’avait pas enculé, et jamais aussi puissamment. Julie vient à côté de moi et m’embrasse tendrement. Elle me remercie de lui avoir montré ça, de m’être offert comme ça devant elle, même si elle aussi aurait aimé me voir jouir comme ça. Je ne sais pas quoi répondre, alors je dis que je ne sais pas quoi répondre. Elle me demande si c’était bon, je réponds que oui. Et toi, t’as aimé regarder ? Oui, ça m’a donné l’impression d’être à ta place quand tu nous regardes ou quand on fait l’amour tous les deux. J’ai un peu mal au cul, quand même. Ah bah oui, tu crois quoi. On explose de rire tous les deux. Je lui demande si elle a envie que Stéphane la baise encore. Elle me dit que oui, mais qu’elle aimerait bien le sucer aussi. Déjà parce qu’elle aime (le) sucer et qu’elle ne le fait pas beaucoup quand il vient, mais aussi car elle a envie de le finir en faciale pour une fois.
Stéphane revient dans la chambre. Il a rapidement repris cette fois-ci car il bande déjà de nouveau. Julie lui fait signe de venir s’asseoir au bord du lit. Il s’installe et Julie descend du lit pour s’agenouiller devant lui et prendre son sexe dans sa bouche. Je suis autorisé à rester près d’eux mais doit renfiler le string. Je regarde Julie faire. Elle ferme les yeux et lèche son membre de bas en haut avant de plonger la tête dessus et faire disparaître ce qu’elle peut dans sa bouche et le pomper rapidement. Elle crache plusieurs fois dessus et étale sa salive avec sa main, puis le suce tout en le branlant d’une main qui glisse sur sa tige grâce à la salive. Quand elle me suce, c’est cette méthode qu’elle utilise pour me faire jouir presqu’instantanément. Je m’imagine à la place de Stéphane. Rien que d’y penser, ma bite me fait mal, serrée dans mon petit string. Elle descend sur ses couilles pour lui gober puis remonte en le léchant de bas en haut. Une fois en haut, elle bave de nouveau dessus pour couvrir sa queue de salive et le pompe de nouveau en le branlant. Il pose ses 2 mains sur la tête de Julie, et lui maintient pendant qu’il enfonce sa queue dans sa bouche, progressivement plus profond, lui faisant faire des bruits typiques extrêmement excitants. Il sort sa queue et lui claque sur les joues avant de la renfoncer dans sa bouche, puis il s'allonge et lève un peu ses hanches pour qu'elle lui gobe encore les couilles et lui lèche le cul. Après quelques minutes, il se redresse et lui dit qu’il a encore envie de la baiser, qu’il veut que je le voie encore la baiser. La voir crier de plaisir sans moi, la voir mouiller, le voir la faire jouir, le voir se vider en elle, et venir nettoyer.
Elle lui dit qu’elle veut le faire jouir sur son visage et dans sa bouche, qu'elle aime le sucer et qu'elle en a envie. Il insiste et gagne car elle se tourne et se penche devant lui. Debout les mains sur le miroir de l’armoire, lui debout derrière elle, il passe sa main devant elle pour lui caresser longuement les seins, puis descend entre ses cuisses pour la caresser. Il la fait jouir comme ça rapidement. Les jambes de Julie tremblent de plus en plus. Elle lui dit dans un souffle de ne pas traîner. Il la fait se pencher, puis lui attrape les hanches et la pénètre une nouvelle fois. Très rapidement, il lui impose un rythme vigoureux et la malmène. Julie l’encourage à nouveau à la fesser, à l’insulter, à l’attraper par les épaules, les cheveux. Elle lui dit qu'elle a envie qu'il l'encule encore. Il change de trou et reprend ses coups de reins. Il la lime et lui dit "C'est quand même ton cul que je préfère". Puis ils se retournent et Julie se laisse tomber au bord du lit. Stéphane se replace et continue de la prendre violemment dans cette position. Elle continue de l’encourager à la baiser comme ça, écartant ses fesses avec ses mains. Stéphane se lève sur ses cuisses, l’attrape par les cheveux et lui enfonce la tête dans le matelas. Il continue de la baiser comme ça, lui demandant d’écarter plus les fesses, lui disant qu’elle aime se faire démonter comme ça. Tout ce qu'on entend, ce sont les cris étouffés de Julie, le bruit de ses fesses qui claquent, et les claques de Stéphane sur son cul quand il la fesse violemment. Stéphane finit par jouir en elle une dernière fois. Il s'enlève et Julie peut relever la tête. Elle pousse un long soupir de ravissement. Elle a un grand sourire sur le visage, comme ravie et rassasiée. Elle lui dit qu’elle aime quand il fait d’elle son vide-couilles. Il lui répond que ça tombe bien, il aime bien la remplir de foutre. Amis de la poésie, bonsoir.
Evidemment, Julie m’ordonne de nouveau de la nettoyer, mais de ne pas avaler. Je m’exécute et une fois bien nettoyée, elle s’enlève et m’embrasse pour que je puisse lui passer le sperme de Stéphane, qu’elle avale avant de retomber lourdement sur le lit. Elle est rassasiée pour la soirée, et ses jambes ne la tiennent plus de toute façon.
Stéphane lui propose, puisqu’elle n'en peut plus, que je reprenne le relais. Il lui dit qu’il a bien aimé tester mon cul après le sien, qu’il voulait essayer encore de voir s’il pouvait me faire jouir en m’enculant, mais que par contre, y avait pas à dire, elle suçait immensément mieux que moi. Elle a rigolé à cette dernière remarque, lui répondant que quand même, elle a bien plus d’expérience que moi là-dessus. Elle me regarde et me dit "c’est reparti pour un tour, mon chéri !" et ajoute "J’espère pour toi que tu vas jouir, parce que sinon, je ne sais pas quand tu pourras". Gloups.
Stéphane s’allonge et me demande de le sucer. Je m'inspire de ce que Julie lui a fait un peu plus tôt. Je le lèche de bas en haut puis descend sur ses couilles avant de remonter, bavant copieusement sur sa queue avant de le pomper en faisant en même temps glisser ma main sur son sexe. Il me demande d’arrêter. Il se retourne et se met à 4 pattes devant moi et me dis de le branler en lui léchant le cul. Je m’installe et plonge ma tête entre ses fesses pour le lécher. Pas mon moment préféré, je vous avoue. Je n’avais jamais léché d’autres fesses que celles de Julie, et la comparaison n’a même pas lieu d’être. Mais on m’ordonne alors je m’exécute. Il me dit de bien caresser ses couilles dans ma main, de pas oublier de jouer avec.
Cela dure 15 bonnes minutes avant qu’il ne se remette sur le dos pour me redemander de le sucer, mais il demande à Julie de venir aussi. Elle se place près de moi et me tient la queue de Stéphane pendant que je le suce. Parfois, Stéphane la fait le sucer et le lécher en lui guidant la tête avec sa main, et je me retrouve moi d’un côté de son sexe, Julie de l’autre, nos langues se frôlant et se rencontrant avec sa queue comme médiatrice. Stéphane nous demande de bien le lécher, mais aussi de mélanger nos salives. "Bavez bien dessus tous les deux". Il a les yeux et semble aux anges.
Puis il se redresse et nous fait nous arrêter. Il dit à Julie qu’elle va de nouveau pouvoir profiter du spectacle et me replace à 4 pattes devant lui, au-dessus de Julie allongée sous moi. Il me retire de nouveau mon string, me badigeonne de lubrifiant, et m’insère assez facilement 2 doigts, puis un 3e et enfin un 4e (un peu plus difficilement). Je gémis tandis qu’il fouille dans mon cul et me dilate progressivement de nouveau. Puis il enlève sa main et me dit "Tu pourras remercier ta nana d’être fatiguée !" avant de s’insérer en moi. Contrairement à tout à l’heure, il s’enfonce cette fois-ci d’un seul coup, quasiment jusqu’à la garde. Je pousse un long râle. Il ressort complètement et re-rentre une deuxième fois de la même manière, cette fois-ci jusqu’au fond. Et il recommence encore, et encore, ressortant complètement pour mieux me re-dilater totalement mon trou. Je l’entends pousser un grognement à chaque fois qu’il me pénètre "Han ! Han ! Han !"tandis que de mon côté, je gémis moi aussi. Cette pénétration est plaisante, mais pas aussi stimulante que tout à l’heure. Si je suis fermement agrippé par Stéphane, et me sens à sa merci dans ce rythme, c’est physiquement moins efficace pour moi. C’est peut-être le but. Il demande à Julie si ça va en-dessous, elle répond que ça va très bien. "Tu aimes voir le cul de ton copain s’ouvrir et se fermer comme ça ?" "Oui, ça me permet de comprendre comment tu t’amuses avec le mien."
Il finit par me limer de façon plus fluide, assez lentement, mais tout de même avec une certaine vigueur. Il insiste sur la fin de la pénétration, faisant claquer mes fesses sur son ventre, comme s’il souhaitait à la fois me prendre doucement mais tout de même taper au fond fortement. Il demande à Julie si elle veut qu’il accélère. "Oui, vas-y plus fort".
Il attrape la laisse et la tient tendue, me tirant sur le cou pour me relever la tête, et accélère progressivement jusqu’à me prendre vigoureusement comme tout à l’heure. C’est beaucoup plus stimulant et je sens à nouveau cette sensation d’être au bord de l’explosion mais non. Mes fesses continuent de claquer, fermement maintenues par Stéphane qui me rabat sur sa queue sans que je puisse l’en empêcher. Il m’encule maintenant par grands coups secs et puissants mais rapides, sans temps morts. Mes jambes tremblotent et ma respiration est hachée par ses coups de butoir. Mes fesses me brûlent et je sens mon anus chaud et palpitant ne plus offrir grande résistance à sa queue qui glisse maintenant parfaitement en moi.
Je crie à chaque fois qu’il est complètement en moi, et Julie m’encourage à me lâcher, à crier plus fort, de la même façon que je peux l’encourager à crier plus fort quand je la prends. Je me fais alors plus vocal, ce qui semble encourager Stéphane à en faire de même, et il grogne plus fort aussi tandis qu’il continue de me ramoner. De mon côté, j’ai l’impression d’être toujours au bord de l’orgasme, sans réussir à passer le précipice et me vider, ce qui est particulièrement frustrant.
Stéphane s’enlève et s’allonge pour que je m’enfile sur lui, comme précédemment. Il a envie que je "fasse le boulot pour lui". Je grimpe sur lui et m’agenouille, fesses tournées vers lui. Il écarte une fesse d’une main et guide son sexe de l’autre et le réintroduit dans mon cul. "Allez, vas-y, bouge maintenant." Je m’exécute et vais et viens sur son sexe, ondulant mon bassin, essayant de faire coulisser le plus possible sa bite. Il apprécie et m’encourage, tout en me tenant par la laisse. "Hum, ouais, comme ça c’est bon, t’as bien regardé comment fait ta copine, toi." Il me fesse plusieurs fois et me demande ensuite de bien écarter mes fesses pour lui, ce que je fais. Il m’attrape alors par les hanches pour me faire monter et descendre plus fermement sur son membre. Il s’aide en synchronisant des coups de reins qui font claquer mes fesses puis me demande de lui caresser les couilles en même temps qu’il m’encule. Là aussi, j’obéis. Il demande à Julie si elle veut le revoir défoncer de nouveau son mec comme une petite chienne. Elle lui dit que oui. "Tu veux me voir le baiser comment ?" "Bien fort." "Alors à 4 pattes !"
Il me jette sur le côté, me tire au bord du lit, me fait me mettre à 4 pattes et s’installe debout derrière moi. Julie vient se placer à côté de moi de sorte à voir la bite de Stéphane rentrer en moi. Il me dit "Ça a pas eu l’air de te déplaire tout à l’heure, non ?" Il me demande de répondre. "Oui, ça m’a plu." "Ça t’excite que je t’encule comme j’encule ta copine, l’un après l’autre ? Je suis sûr que t’en peux plus." "Oui, j’ai l’impression que je vais exploser." "On va voir si j’arrive à te faire gicler comme ça devant ta nana, mais je ne veux plus t'entendre." Il demande à Julie d'attraper le plug que j'avais porté et de me le mettre dans la bouche. J'ouvre grand et elle me le met. Il me remplit la bouche et je ne peux plus parler, uniquement gémir ou crier.
Il attrape mes hanches et s’enfonce d’un coup dans mes fesses et me bourrine directement. Je ne peux m’empêcher de crier à nouveau à chaque fois qu’il est au fond de mon cul, lui grognant aussi en rythme. "Vas-y, gicle comme ça, je suis sûr que tu peux y arriver avant que je te remplisse !" Il me défonce et je n’en peux plus. Je laisse retomber ma tête sur le matelas et le laisse utiliser mon cul comme il l’entend, mais il tire rapidement sur la laisse pour me redresser. "Relève la tête, salope !" Il me tient fermement par la laisse, puis m’attrape par les épaules pour prendre appui sur moi et s’enfoncer le plus profondément possible. "Ecarte tes fesses !" J’obéis. Ma queue est tendue comme jamais et me fait mal, je la sens se dresser au maximum à chaque fois que Stéphane est complètement entré en moi, mes couilles ballottant à chaque aller-retour dans mes fesses, mais je ne viens toujours pas. Il lâche mon épaule droite et passe sa main dans mes cheveux pour les attraper. "Allez salope, j’espère que ça vient pour toi parce que je vais pas tarder à me vider." Il tire mes cheveux et me maintient la tête bien droite puis pousse un râle, ralentit et se vide pour la deuxième fois dans mes fesses. Il se laisse tomber et moi sous lui et continue à me donner encore quelques coups de riens brusques avant de se retirer. Il demande à Julie d’aller nettoyer. "Chacun son tour." Il lui dit de s’installer sous moi, et à moi de m’agenouiller au-dessus d’elle. On s’installe puis je me relâche et pousse pour évacuer le foutre de Stéphane. Je le sens couler et entend Julie déglutir, tandis que Stéphane nous dit "voilà, c’est bien", d’un ton très content de soi.
Je n’en peux plus. Mes jambes me portent à peine, j’ai l’impression que mon trou est distendu et brûlant. J’ai le souffle court, gêné par le plug que je recrache enfin, ma bite sur-tendue me fait mal et j’ai l’impression que mes couilles pèsent 2kg chacune. Julie constate que je n’ai toujours pas joui et en est déçue. "Tant pis, tu connais la punition, c’était comme ça ou tant pis !" Stéphane éclate de rire. "Eh bah, cette fois-ci, c’est elle qui te mène à la baguette !" On rit tous les trois car les rôles ont effectivement bien changé. Stéphane me dit qu’il espère quand même ne pas m’avoir trop fait mal, et je le rassure en lui disant que ce n’est pas le cas, que c’était costaud mais qu’il n’a rien forcé au début, et que ça s’est bien passé. C’est presque bizarre après tout ça de le voir s’inquiéter comme ça, sorti de son rôle de 1er dominant de la soirée (Julie étant la 2e, et moi le soumis) , mais c’est gentil de sa part.
Il est passé 2h du matin (quand même) quand Stéphane repart.