- 11 juil. 2018, 08:03
#2185147
Après avoir administré au cocu la leçon qu'il méritait, nous l'avons conduit au grenier où il passerait la nuit, encagé bien sûr, puis Diane et moi sommes allés nous coucher dans ma chambre.
Il était tard, nous étions tous deux fatigués, et nous avons rapidement sombré dans un sommeil profond, enlacés amoureusement.
Comme à mon habitude, je me suis réveillé très tôt. Je me suis rapproché de Diane, me suis collé contre son dos, et ai glissé mon érection matinale entre ses cuisses. Elle ne dit pas un mot et n'ouvrit pas les yeux. Seule sa main bougea pour saisir ma queue et la guider en elle, et c'est ainsi que je l'ai réveillée progressivement, par des mouvements très lents qui entraient de plus en plus profondément en elle.
Comme la veille, nous avons fait l'amour très longuement, tout en douceur, pratiquement sans un mot. Diane se laissait guider, se laisser porter par ses sensations, savourant ces attentions que son cocu n'est pas capable de lui prodiguer. Elle jouit ainsi plusieurs fois, et chacun de ses abandons était le plus beau cadeau qu'elle pouvait m'offrir.
A un moment où nous faisions une pause, nous avons entendu approcher les pas de Camille qui s'était levé et avait quitté le grenier. Je lui ai dit d'entrer, et il est venu s'allonger sur le lit contre sa Maîtresse. Ils s'embrassèrent doucement, tandis que Diane caressait la cage à travers la culotte plastique du soumis. Puis Camille vint se placer tête-bêche avec sa Maîtresse, et enfouit son visage entre ses cuisses, cherchant le mélange de nos parfums après l'amour.
Il est bon que le cocu voie comment son épouse se donne à moi (ou à d'autres amants éventuels) pour qu'il puisse mesurer ce qui le sépare des vrais mâles propres à satisfaire sexuellement une femme. Comme au réveil, je me suis donc plaqué contre le dos de Diane et l'ai pénétrée une fois de plus. Camille lui léchait le clitoris, et je sentais la pointe de sa langue contre ma queue pendant mes va-et-vient. De temps en temps, je me retirais de sa Maîtresse et plongeais dans sa bouche. Il me suçait alors avec application, comme il convient pour un soumis.
Diane ne bougeait pratiquement pas, profitant de l'instant entre son mâle et son châtré. Puis soudain, elle se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit.
- Camille, viens sous moi !
- Euh… je crois que je ne suis pas prêt pour être nettoyeur…
- Viens sous moi !
Le ton ne laissait pas de place à la contestation, et Camille s'exécuta. Aucun doute n'était possible quant à ce que Diane désirait désormais. De nous trois, c'est incontestablement elle qui apprécie le plus le principe du cocu nettoyant le foutre que l'amant a déversé au plus intime de l'épouse.
Camille était désormais sous sa Maîtresse, en position de 69. Je vins derrière elle, et commençai à la prendre vigoureusement. Mes couilles roulaient sur le visage du cocu qui s'activait à nouveau sur le clitoris, et je continuais à lui fourrer de temps en temps ma bite dans la bouche. Le désir de Diane était clair, et je ne voulais pas la faire attendre. J'ai donc laissé monter mon plaisir, et j'ai joui bruyamment en elle. Cela faisait un bon moment que nous étions réveillés et que je la besognais. Ma jouissance avait été longtemps contenue, et mon éjaculation fut à la mesure de cette attente. Le cocu était aux premières loges pour me voir tressaillir pendant que je me vidais au plus profond de sa Maîtresse, il devinait que le flot était abondant et savait à quoi s'attendre…
Je me retirai dès que j'eus le sentiment d'avoir libéré la dernière goutte, et aussitôt Diane fléchit les genoux pour plaquer son vagin sur le visage du cocu. Elle resta ainsi longuement, sans bouger. J'observais ce joli spectacle, et entendais les bruits de déglutition de Camille qui avalait toute mon sperme que sa Maîtresse lui déversait dans la bouche. Puis elle fit demi-tour et plaqua à nouveau son sexe ouvert sur la bouche du soumis pour qu'il la lèche sous tous les angles, afin que le nettoyage soit parfait.
Ce travail terminé, Diane libéra Camille et l'envoya se débarbouiller à la salle de bains, avant de revenir se blottir dans mes bras, très tendrement. Des câlins tout en douceur avant de nous lever enfin pour aller prendre le petit déjeuner, car tout cela nous avait ouvert l'appétit !
Le reste de la matinée fut plus sage. Camille était heureux des progrès rapides dans son éducation de cocu, et nous l'avons félicité sans pour autant négliger de lui rappeler les points qu'il lui reste à travailler. Le temps s'écoulait très rapidement. Nous avons fait une petite promenade dans la campagne pour nous aérer, puis sommes revenus chez moi pour partager un déjeuner rapide. Diane et Camille avaient des obligations qui leur imposait de partir en tout début d'après-midi. Elle et moi le regrettions, car nous mourrions d'envie de prendre le temps d'une sieste crapuleuse, qui aurait à nouveau donné l'occasion au cocu de boire son nectar préféré. Ce sera pour une autre fois…