- 27 avr. 2018, 17:09
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Tiens juste pour causer et voir si çà fait plaisir ou pas
Nous sommes (je le rappelle) un – vrai – couple libertin et surtout candauliste de Vannes en Bretagne – toujours en recherche de (vrais) amants, durables et voulant une maîtresse régulière sans aucun tabou et souvent (si par hasard un ou des volontaires me lisent ….. ne pas hésiter)
Bon en quelques phrases je vous conte ce qu'on appelle un « moment de solitude »
C'était en mai de l'an dernier.
Elle a depuis bien longtemps un amant, super sympa, et super bon baiseur, il s'appelle Lionel. Son seul défaut (c'est pour çà qu'il en faut d'autres), c'est qu'il est toujours très occupé ou en voyage de boulot
Donc nous ne le voyons pas assez souvent, aux alentours d'une fois par mois ou ils baisent à chaque fois plusieurs fois – dès son arrivée, au dessert, très souvent la nuit, et en général une dernière fois – pour la route – au matin
Il est connu de toute la famille, et de nos amis « classiques » aussi, mais évidemment comme un simple ami.
Donc au mois de mai dernier il était là en présence d'une belle sœur et de son mari, d'un beau-frère et de sa femme, et d'un couple d'ami qui sont aussi des voisins
Bien sûr personne ne doit être au courant de notre vie privée. Nous passons pour assez « bourges », et rien ne fait penser que ma femme a un gros coté très « salope » à ma grande satisfaction
Le but de cette réunion était qu'ils venaient tous nous aider à couler une chape béton pour une terrasse. Cela devait aller assez vite et ensuite était prévu un bon barbecue et quelques bouteilles de rosé.
Le chantier commence de bonne heure, sous le soleil, tout le monde aide de bon cœur en rigolant et vers midi cela se termine
Pendant que les brochettes cuisent nous prenons tous l'apéro : tout va bien
Seul « détail » un beau petit vent s'est levé, agréable car il fait chaud mais quand même assez fort
Le problème quand on réuni des gens qui se connaissent peu mais qu'on est intimes avec tous (et dans le cas de Lionel encore bien plus) c'est qu'on en oublie qu'ils ne sont pas du même milieu et que ce qu'on peu dire à l'un il vaux mieux l'éviter avec l'autre. Et que cela peu amener des réflexions non réfléchies qui sont sans conséquences avec les uns mais au contraire fâcheuses avec les autres.
Donc à un moment ou je retourne les brochettes, un coup de vent malicieux emporte ma petite casquette publicitaire qui passe sur le toit du garage.
Remarque instantanée à très haute voix de ma chérie : « chéri attention, tu va perdre tes cornes », et dans la seconde, et d'une voix aussi forte, Lionel renchéri : « pas grave ma chérie on va lui en faire pousser plusieurs autres cette nuit »
Je reste figé et je sent que je devient écarlate, je sens la sueur qui me coule dans le dos, tout le monde est devenu silencieux et nous observe, je remarque que ma femme et son amant qui comme par hasard sont très (trop) près l'un de l'autre sont, comme moi, figés, et ma femme bien pâle
Cela doit durer deux/trois secondes qui me semblent une éternité … et ma femme d'une voix un peu bizarre bredouille « c'est cuit, à table »
Les conversations ont reprises, d'abord un peu lentement puis normalement, et malgré que je me sente vraiment très gêné l'après-midi se passe normalement
Je croise ma femme ou son amant plusieurs fois à la cuisine. Tous les deux m'affirment être désolés, ils ont zappés que nous n'étions-pas seuls …. et espèrent que ce sera vite oublié. Je fais le fort en affirmant que nous vivons comme nous le voulons et que çà n'a donc aucune importance.
D'habitude, Lionel part dans les premiers quand nous avons d'autres invités, quitte à revenir plus tard ; bienséance oblige.
Et bien là, non, il reste et, comme nous serre les mains ou fait la bise à nos autres invités
Enfin nous nous retrouvons seuls tous les trois à ranger la vaisselle puis à nous retrouver au salon, sa voiture restant seule, bien visible, devant la porte du garage
Ma femme décrète d'un seul coup alors que nous étions restés tous les trois silencieux depuis que nous étions seuls : « après tout je m'en fout. Nous vivons comme nous le voulons. J'ai la chance d'avoir un mari que j'aime et qui m'aime, et qui m'autorise à avoir les amants qu'il me faut. Lionel est un de mes préférés au point que j'ai aussi de l'amour pour lui et que j'adore de jouir autant avec l'un qu'avec l'autre. Alors les gars oubliez cet incident et Lionel ce soir surpasse toi. Tant qu'à faire de passer pour une salope, baise-moi assez fort et bien pour que j'en soit fière »
Je ne saurais pas décrire la soirée tant elle a été chaude. Cinq minutes après cette sentence, ma femme était nue, sur le dos, sur le bord de la table du séjour, et Lionel, debout entre ses jambes, bandé comme un arc, la pénétrais violemment, sans capote, à « vif », et se mettait à la ramoner avec vigueur ….. j'assiste très souvent aux accouplements de ma femme avec des tas de gars différents. Je crois que là ; cela a été probablement une des fois ou sa jouissance a été à la fois la plus rapide et la plus forte. En furie ils étaient, en transpiration, un coït qui ressemblait à une bataille violente ou ils ont grognés, criés, ou Lionel, toujours si bien élevé, l'a traité de salope, a crié « tu veux qu'il porte de vraies cornes alors prends bien çà, mouille, joui comme la pute que tu est devenue, qu'il vois bien comme tu aime et comme il t'en faut beaucoup»
Elle même alors qu’emboîtés encore, ils soufflaient un peu, que des gouttes de sperme coulaient au sol m'as dit dans un souffle « tu me reproche toujours de ne pas me lâcher assez, tu sais que c'est parce que je t'aime et que j'ai peur de te faire souffrir, mais j'en ai assez de me retenir quand le plaisir me submerge …. si tu savais ce que c'est bon de me lâcher complètement …. j'ai cru mourir »
J'ai été toute la nuit entre jalousie et fierté, entre honte et rempli d'orgueil à la voir si belle, si offerte, si pleine de vie, de joie de vivre et si femelle.
Après cette magnifique saillie, ils ont recommencés sur notre lit, sans même passer par la douche. Quand il l'a enfilée en levrette, sa chatte a dégorgée le reste de sperme du coup d'avant. Là ils ont pris le temps, variant les positions, passant du 69 ou ils ont tous deux goûtés aux secrétions de l'autre, aux face à face ou leurs langues goûteuses se mélangeaient autant que leurs organes génitaux. J'ai admiré des amants, des amoureux, des animaux sexués qui ne savaient plus ce qu'ils faisaient et dont les regards passaient de l'extase à la folie ….
Je les ai approvisionnés en boisson, je me suis endormi alors qu'ils copulaient, j'ai été réveillé par leurs bruyantes jouissances …..
Et vers cinq heures du matin j'ai obéi comme si je n'était qu'un vulgaire gode quand, d'une voix autoritaire, Lionel m'as fait savoir que je devais m'allonger sur le dos, bander et plus vite que çà, pour qu'elle vienne s'enfiler la chatte sur ma queue, et que lui vienne l'enculer en une double pénétration de rêve ….... ou elle était violemment secouée sur ma queue par le mandrin qui la poussait par le cul
Quand cela c'est terminé, nous nous sommes endormis tous les trois côte à côte, ma bite garnie de deux spermes mélangés ….. le pied !
L'odeur était forte dans notre chambre …..