- 21 janv. 2015, 20:32
#1726140
Mon entretien annuel
Mardi 13 janvier 2015
Comme dans toute entreprise, le début d’année est la période des bonnes résolutions pour les patrons et surtout des fameux entretiens annuels. L’occasion de pouvoir discuter des perspectives, de fixer les objectifs pour cette nouvelle année et surtout faire une rétrospective de l’année écoulée.
Le vendredi qui suivit son intrusion dans mon bureau, je reçu un mail de sa part.
« Je serai sur Vannes le mardi 13 janvier, merci de me réserver un créneau à partir de 18h pour ton entretien annuel. Cordialement, Marc. »
J’attendais ce rendez vous avec impatience, c’était très important pour moi de faire un état des lieux de mon activité avec Marc. Il était toujours de bons conseils pour moi et savait me guider dans mes choix. Il a peut être beaucoup de travers mais professionnellement il m’a toujours apporté le soutien dont j’avais besoin et a toujours su répondre présent quand j’en avais besoin. La confiance qu’il a pu me donner en me confiant l’agence de Vannes est pour moi un honneur dont je ne peux le décevoir.
J’organisai donc mon emploi du temps de cette journée en conséquence, ne pouvant décaler un rendez vous important à 17h, il me fallait faire vite avec mon client pour ne pas déborder sur le temps qui était consacré à Marc.
Émilie quitta le bureau comme à son habitude à 17h30, suivi à quelques minutes près de Maxime. J’étais donc seule avec mon client et devait essayer de conclure mais ses questions étaient nombreuses et méritaient toute mon attention.
Les minutes défilèrent et le rendez vous trainait dans la longueur. Connaissant la ponctualité de mon chef je ne fus pas surprise d’entendre la porte de l’agence s’ouvrir à 18h pile.
Marc vit que j’étais en rendez-vous client et patienta dans le hall d’accueil. Priorité aux affaires.
Mon entrevu arrivait à sa fin, nous nous levons tous les deux et je raccompagnai mon client jusqu’à la porte.
« Merci beaucoup Mlle P… pour vos conseils. Ce fût très constructif et ne manquerai pas de revenir vers vous. »
« Je me tiens à votre disposition Mr J…. Bonne soirée et bon retour. »
Je refermai la porte derrière lui, tira le rideau et tourna la clé.
« Bonsoir Marc, désolée pour ce petit contre temps. C’était le Monsieur de l’entreprise … je crois qu’on avance bien sur son sujet et on devrait concrétiser par quelque chose de pas mal pour l’agence. »
« Très bien. Tu me rejoints dans ton bureau ? » Cette phrase était pleines de sous entendus mais je commençais très bien à cerner le personnage. Même si ma tenue était à mon goût très joli cela ne lui suffisait pas et voulait que je me plie à sa règle.
C’est donc obéissante comme toujours que je le laissai aller dans mon bureau pendant que je fis un bref passage par la salle de pause pour me dévêtir complètement et ainsi honorer de ma présence dans les meilleurs conditions.
Il m’attendait tranquillement installé dans le canapé, son ordinateur était sur la table basse présentant différents graphiques illustrant l’exercice 2014 et le slide qui devait suivre présentait certainement les objectifs pour cette nouvelle année.
« Installe-toi là. Bon on va passer en revue brièvement l’année 2014 qui globalement est une bonne année. Tu as bien bossé. On voit que le commercial est bien maitrisé sur ton périmètre et que souvent la prospection est concrétisée par un produit comptable derrière. (…) »
Son laïus dura de longues minutes ne cessant de gratifier mon travail en soulignant la qualité de mes documents. Je me sentais des ailes pousser !
« (…) pour 2015, on va donc essayer d’étendre un peu ton portefeuille client. Je vois que la petite équipe que tu t’es constituée tient la route et que tu vas pouvoir déléguer pas mal de petits jobs routiniers à Maxime pour te dégager un peu de temps. Je voudrai te voir suivre au moins pour cette année dans un premier temps un grand compte. »
Grand compte, comprenez un très très gros client. Souvent des Pdg de très grosses holdings.
« Par contre en plus de produits en assurances, tu assureras pour le compte de mon autre société son patrimoine. As tu déjà fait de la gestion en patrimoine. »
« Non, je n’ai qu’une vision théorique là dessus. J’ai eu quelques cours et TD dessus en licence mais rien d’autres. »
« Bon tu as les fondamentaux maintenant faut les mettre en application. Et puis je serai là pour t’assister les premiers temps. Je te sens capable. »
« Merci » que vouliez vous que je réponde d’autre.
« Bien entendu, le client que je compte que tu gères est tu l’imagines un peu particulier. »
« Volage quoi ! »
« C’est à peu près çà oui ! » éclata t’il de rire
« Donc voilà le contexte. Monsieur B… est le patron d’une grosse firme d’importation de bois destiné à la construction. Il a, enfin je devrais dire, ils ont aussi plusieurs scieries et entreprises de construction. Je dis ils car lui il est l’administrateur mais c’est sa femme qui détient tout. Elle est l’héritière d’une grande famille d’industrielle qui a fait fortune pendant la seconde guerre mondiale.
C’est elle qui tient un peu les rênes de l’affaire. En gros toutes les décisions importantes passent par elle. C’est un couple d’environ soixante cinq ans, donc, qui en on vu passé des choses, difficile donc de les rouler dans farine.
Ils souhaiteraient qu’on leur établisse un inventaire patrimonial matériel et imatériel, à leurs âges ils voudraient maintenant passer le flambeau à leurs deux fils. S’ils nous accordent leur confiance pour cette tâche c’est le jackpot pour nous. Il faut donc vraiment les travailler au corps. »
« Quand vous dites au corps j’imagine que cela sous entend bien le premier sens du terme. »
« J’y arrive. Ton petit ami Frédéric tu es en couple avec lui de manière officielle ? »
« Oui bien entendu pourquoi cette question ? »
« Pourquoi pendant nos parties de jambes en l’air, il ne participe plus ? »
« C’était une des conditions pour qu’il revienne avec moi. Il a toujours voulu me voir baiser avec les autres et me soumettre à ses moindres désirs. Maintenant c’est différent c’est moi qui dicte les lois et je préfère jouer avec sa frustration. Mais je ne vois pas où vous voulez en venir. »
« Disons qu’on va avoir besoin de ta lopette. J’ai rencontré ce couple lors d’une soirée mondaine sur Paris en octobre dernier. Jean Pierre et eux ont un ami en commun qui me les a présentés. C’est un couple qui s’ennui beaucoup et selon les dire la femme aimerait s’envoyer en l’air avec des petits jeunots. Lui ne serait plus trop opérationnel, de cette défaillance elle s’octroi le droit au plaisir comme elle aime le dire ouvertement. En fait un peu comme toi, son mari subit l’appétit sexuel de sa femme. »
« Entendu, donc vous souhaiteriez que je vous livre Frédéric à cette vieille dame pour honorer le contrat. »
« Oui »
« Ok de toute façon, avec moi il n’a jamais été sur la réserve je ne vois pas pourquoi je ferai de même avec lui. »
« Tu m’épateras toujours, t’aime l’humilier à ce point. »
« Oui j’avoue j’y trouve un certain plaisir. »
« On peut l’appeler là pour qu’il vienne afin que nous mettions tout de suite les choses en place. Faudrait pas trainer à les rencontrer. »
Je saisis mon portable et l’appela aussitôt.
« Oui, c’est moi. T’es où là ? Tu passes à l’agence ? Je t’attends et tarde pas ! »
« Il était au centre de Vannes pour faire quelques soldes, il sera ici dans 5 à 10 minutes. »
« Bien, continuons sur les autre dossiers. »
Studieusement, nous faisions un point dossier par dossier pour donner les suites. Frédéric n’avait pas trainé et cela faisait à peine cinq minutes que j’avais passé mon coup de téléphone qu’il toquait à la porte.
Sans pudeur, je me levis de mon fauteuil pour aller lui ouvrir totalement nue. Qu’elle ne fût pas la tête de mon compagnon de moi voir ainsi.
« Allez rentre vite, ne laisse pas le froid rentrer. » Je refermai derrière lui et l’accompagna à mon bureau. Sa tête fit la même expression que quand je lui ouvris la porte quand il vu Marc avachit dans mon bureau.
« Salut Frédéric, meilleurs vœux ! Tiens je t’en prie assis toi. Voilà si j’ai demandé à Manue de te faire venir c’est que bien entendu nous avons besoin de toi. Nous avons une mission à te confier. Si j’ai bien compris ta demoiselle t’interdit toute relation avec une autre fille, et bien grâce à moi une petite entorse va être faite à la règle et nous avons besoin de tes services d’escort-boy pour une de nos potentielles clientes. »
« Ben je ne sais pas trop … » Je ne lui laissai pas le temps de terminer.
« On ne te demande pas ce que tu en penses, on te dit ce que tu dois faire. Ca vaudra bien toutes les fois où tu m’as mise dans les bras d’inconnus pour ton plaisir. »
« Bon voilà qui est réglé. J’essaye de prendre rendez vous avec eux au plus vite et je vous choppe des billets de train pour Paris. C’est moi qui régale. Mais réservez votre vendredi prochain, je vais caler çà. »
« Parfait pour moi »
« Bon, ma petite Manue je pense que nous avons fait le tour. En tout cas très concluant cette année. Je te réitère les félicitations. » Il se leva du canapé et s’avança face à moi. Les mains sur sa ceinture. Pendant qu’il s’avançait il déboutonnait son pantalon pour arriver devant moi le sexe à la main. Il voulait certainement conclure cette réunion par une petite gâterie.
En plus de la présence de Frédéric, la motivation de le prendre en bouche était grande. Ma bouche s’ouvrit donc à son sexe encore mou et l’aspira. Sa verge se gonflait sous l’effet ventouse de mes lèvres. Son gland venait maintenant taper le fond de ma gorge. Pendant qu’il faisait glisser son organe ses mains malaxaient mon petit 85b avec énergie et des fois venaient appuyer ma tête sur l’arrière du crane pour bien m’amener à le prendre en bouche dans sa globalité.
« Elle suce bien ta petite copine quand même. Elle sait y faire avec la bite d’un homme. Regarde moi çà, je la fourre jusqu’aux couilles. Tu entends comment elle dégobille çà, une pro. Une vraie bonne salope ! Que dis-je une pute ! N’est ce pas ? »
« Mmmh » ne fut que ma seule réponse audible
« Allez approche toi, vient voir comment qu’elle me suce. Mets-toi aux premières loges. »
Frédéric penaud se laisse diriger par Marc et vint s’installer à coté de moi.
« Mets-toi à genoux à coté de ta maitresse. Voilà comme çà. Regarde comment ma bite est aspirée. Allez n’ai pas peur approche ton visage pour bien voir. »
Son visage était à dix centimètres du mien, le spectacle de la verge de Marc qui entrait et sortait de ma bouche dans un bruit de succion lui était insupportable. Cette mise en scène m’excitait et ne faisait qu’accentuer ma volonté de le faire jouir.
Sa verge se gonfla enfin, il était sur le point de venir. Mais il ne me laissa pas le temps de le finir.
Il se retira de ma bouche précipitamment et dirigea son membre vers mon compagnon et l’aspergea de foutre.
« Tiens prends çà ! Voilà le fruit du travail de ta maitresse. Tu n’es qu’une serpillière, juste bon à récupérer le foutre des amants de ta copine. »
Le visage de Frédéric était rempli de sperme, les yeux fermés il n’osait dire quoi que ce soit.
Cette profusion de jouissance marqua la fin de mon entretien annuel qui fut ma foi enrichissant. Et prometteur
Mardi 13 janvier 2015
Comme dans toute entreprise, le début d’année est la période des bonnes résolutions pour les patrons et surtout des fameux entretiens annuels. L’occasion de pouvoir discuter des perspectives, de fixer les objectifs pour cette nouvelle année et surtout faire une rétrospective de l’année écoulée.
Le vendredi qui suivit son intrusion dans mon bureau, je reçu un mail de sa part.
« Je serai sur Vannes le mardi 13 janvier, merci de me réserver un créneau à partir de 18h pour ton entretien annuel. Cordialement, Marc. »
J’attendais ce rendez vous avec impatience, c’était très important pour moi de faire un état des lieux de mon activité avec Marc. Il était toujours de bons conseils pour moi et savait me guider dans mes choix. Il a peut être beaucoup de travers mais professionnellement il m’a toujours apporté le soutien dont j’avais besoin et a toujours su répondre présent quand j’en avais besoin. La confiance qu’il a pu me donner en me confiant l’agence de Vannes est pour moi un honneur dont je ne peux le décevoir.
J’organisai donc mon emploi du temps de cette journée en conséquence, ne pouvant décaler un rendez vous important à 17h, il me fallait faire vite avec mon client pour ne pas déborder sur le temps qui était consacré à Marc.
Émilie quitta le bureau comme à son habitude à 17h30, suivi à quelques minutes près de Maxime. J’étais donc seule avec mon client et devait essayer de conclure mais ses questions étaient nombreuses et méritaient toute mon attention.
Les minutes défilèrent et le rendez vous trainait dans la longueur. Connaissant la ponctualité de mon chef je ne fus pas surprise d’entendre la porte de l’agence s’ouvrir à 18h pile.
Marc vit que j’étais en rendez-vous client et patienta dans le hall d’accueil. Priorité aux affaires.
Mon entrevu arrivait à sa fin, nous nous levons tous les deux et je raccompagnai mon client jusqu’à la porte.
« Merci beaucoup Mlle P… pour vos conseils. Ce fût très constructif et ne manquerai pas de revenir vers vous. »
« Je me tiens à votre disposition Mr J…. Bonne soirée et bon retour. »
Je refermai la porte derrière lui, tira le rideau et tourna la clé.
« Bonsoir Marc, désolée pour ce petit contre temps. C’était le Monsieur de l’entreprise … je crois qu’on avance bien sur son sujet et on devrait concrétiser par quelque chose de pas mal pour l’agence. »
« Très bien. Tu me rejoints dans ton bureau ? » Cette phrase était pleines de sous entendus mais je commençais très bien à cerner le personnage. Même si ma tenue était à mon goût très joli cela ne lui suffisait pas et voulait que je me plie à sa règle.
C’est donc obéissante comme toujours que je le laissai aller dans mon bureau pendant que je fis un bref passage par la salle de pause pour me dévêtir complètement et ainsi honorer de ma présence dans les meilleurs conditions.
Il m’attendait tranquillement installé dans le canapé, son ordinateur était sur la table basse présentant différents graphiques illustrant l’exercice 2014 et le slide qui devait suivre présentait certainement les objectifs pour cette nouvelle année.
« Installe-toi là. Bon on va passer en revue brièvement l’année 2014 qui globalement est une bonne année. Tu as bien bossé. On voit que le commercial est bien maitrisé sur ton périmètre et que souvent la prospection est concrétisée par un produit comptable derrière. (…) »
Son laïus dura de longues minutes ne cessant de gratifier mon travail en soulignant la qualité de mes documents. Je me sentais des ailes pousser !
« (…) pour 2015, on va donc essayer d’étendre un peu ton portefeuille client. Je vois que la petite équipe que tu t’es constituée tient la route et que tu vas pouvoir déléguer pas mal de petits jobs routiniers à Maxime pour te dégager un peu de temps. Je voudrai te voir suivre au moins pour cette année dans un premier temps un grand compte. »
Grand compte, comprenez un très très gros client. Souvent des Pdg de très grosses holdings.
« Par contre en plus de produits en assurances, tu assureras pour le compte de mon autre société son patrimoine. As tu déjà fait de la gestion en patrimoine. »
« Non, je n’ai qu’une vision théorique là dessus. J’ai eu quelques cours et TD dessus en licence mais rien d’autres. »
« Bon tu as les fondamentaux maintenant faut les mettre en application. Et puis je serai là pour t’assister les premiers temps. Je te sens capable. »
« Merci » que vouliez vous que je réponde d’autre.
« Bien entendu, le client que je compte que tu gères est tu l’imagines un peu particulier. »
« Volage quoi ! »
« C’est à peu près çà oui ! » éclata t’il de rire
« Donc voilà le contexte. Monsieur B… est le patron d’une grosse firme d’importation de bois destiné à la construction. Il a, enfin je devrais dire, ils ont aussi plusieurs scieries et entreprises de construction. Je dis ils car lui il est l’administrateur mais c’est sa femme qui détient tout. Elle est l’héritière d’une grande famille d’industrielle qui a fait fortune pendant la seconde guerre mondiale.
C’est elle qui tient un peu les rênes de l’affaire. En gros toutes les décisions importantes passent par elle. C’est un couple d’environ soixante cinq ans, donc, qui en on vu passé des choses, difficile donc de les rouler dans farine.
Ils souhaiteraient qu’on leur établisse un inventaire patrimonial matériel et imatériel, à leurs âges ils voudraient maintenant passer le flambeau à leurs deux fils. S’ils nous accordent leur confiance pour cette tâche c’est le jackpot pour nous. Il faut donc vraiment les travailler au corps. »
« Quand vous dites au corps j’imagine que cela sous entend bien le premier sens du terme. »
« J’y arrive. Ton petit ami Frédéric tu es en couple avec lui de manière officielle ? »
« Oui bien entendu pourquoi cette question ? »
« Pourquoi pendant nos parties de jambes en l’air, il ne participe plus ? »
« C’était une des conditions pour qu’il revienne avec moi. Il a toujours voulu me voir baiser avec les autres et me soumettre à ses moindres désirs. Maintenant c’est différent c’est moi qui dicte les lois et je préfère jouer avec sa frustration. Mais je ne vois pas où vous voulez en venir. »
« Disons qu’on va avoir besoin de ta lopette. J’ai rencontré ce couple lors d’une soirée mondaine sur Paris en octobre dernier. Jean Pierre et eux ont un ami en commun qui me les a présentés. C’est un couple qui s’ennui beaucoup et selon les dire la femme aimerait s’envoyer en l’air avec des petits jeunots. Lui ne serait plus trop opérationnel, de cette défaillance elle s’octroi le droit au plaisir comme elle aime le dire ouvertement. En fait un peu comme toi, son mari subit l’appétit sexuel de sa femme. »
« Entendu, donc vous souhaiteriez que je vous livre Frédéric à cette vieille dame pour honorer le contrat. »
« Oui »
« Ok de toute façon, avec moi il n’a jamais été sur la réserve je ne vois pas pourquoi je ferai de même avec lui. »
« Tu m’épateras toujours, t’aime l’humilier à ce point. »
« Oui j’avoue j’y trouve un certain plaisir. »
« On peut l’appeler là pour qu’il vienne afin que nous mettions tout de suite les choses en place. Faudrait pas trainer à les rencontrer. »
Je saisis mon portable et l’appela aussitôt.
« Oui, c’est moi. T’es où là ? Tu passes à l’agence ? Je t’attends et tarde pas ! »
« Il était au centre de Vannes pour faire quelques soldes, il sera ici dans 5 à 10 minutes. »
« Bien, continuons sur les autre dossiers. »
Studieusement, nous faisions un point dossier par dossier pour donner les suites. Frédéric n’avait pas trainé et cela faisait à peine cinq minutes que j’avais passé mon coup de téléphone qu’il toquait à la porte.
Sans pudeur, je me levis de mon fauteuil pour aller lui ouvrir totalement nue. Qu’elle ne fût pas la tête de mon compagnon de moi voir ainsi.
« Allez rentre vite, ne laisse pas le froid rentrer. » Je refermai derrière lui et l’accompagna à mon bureau. Sa tête fit la même expression que quand je lui ouvris la porte quand il vu Marc avachit dans mon bureau.
« Salut Frédéric, meilleurs vœux ! Tiens je t’en prie assis toi. Voilà si j’ai demandé à Manue de te faire venir c’est que bien entendu nous avons besoin de toi. Nous avons une mission à te confier. Si j’ai bien compris ta demoiselle t’interdit toute relation avec une autre fille, et bien grâce à moi une petite entorse va être faite à la règle et nous avons besoin de tes services d’escort-boy pour une de nos potentielles clientes. »
« Ben je ne sais pas trop … » Je ne lui laissai pas le temps de terminer.
« On ne te demande pas ce que tu en penses, on te dit ce que tu dois faire. Ca vaudra bien toutes les fois où tu m’as mise dans les bras d’inconnus pour ton plaisir. »
« Bon voilà qui est réglé. J’essaye de prendre rendez vous avec eux au plus vite et je vous choppe des billets de train pour Paris. C’est moi qui régale. Mais réservez votre vendredi prochain, je vais caler çà. »
« Parfait pour moi »
« Bon, ma petite Manue je pense que nous avons fait le tour. En tout cas très concluant cette année. Je te réitère les félicitations. » Il se leva du canapé et s’avança face à moi. Les mains sur sa ceinture. Pendant qu’il s’avançait il déboutonnait son pantalon pour arriver devant moi le sexe à la main. Il voulait certainement conclure cette réunion par une petite gâterie.
En plus de la présence de Frédéric, la motivation de le prendre en bouche était grande. Ma bouche s’ouvrit donc à son sexe encore mou et l’aspira. Sa verge se gonflait sous l’effet ventouse de mes lèvres. Son gland venait maintenant taper le fond de ma gorge. Pendant qu’il faisait glisser son organe ses mains malaxaient mon petit 85b avec énergie et des fois venaient appuyer ma tête sur l’arrière du crane pour bien m’amener à le prendre en bouche dans sa globalité.
« Elle suce bien ta petite copine quand même. Elle sait y faire avec la bite d’un homme. Regarde moi çà, je la fourre jusqu’aux couilles. Tu entends comment elle dégobille çà, une pro. Une vraie bonne salope ! Que dis-je une pute ! N’est ce pas ? »
« Mmmh » ne fut que ma seule réponse audible
« Allez approche toi, vient voir comment qu’elle me suce. Mets-toi aux premières loges. »
Frédéric penaud se laisse diriger par Marc et vint s’installer à coté de moi.
« Mets-toi à genoux à coté de ta maitresse. Voilà comme çà. Regarde comment ma bite est aspirée. Allez n’ai pas peur approche ton visage pour bien voir. »
Son visage était à dix centimètres du mien, le spectacle de la verge de Marc qui entrait et sortait de ma bouche dans un bruit de succion lui était insupportable. Cette mise en scène m’excitait et ne faisait qu’accentuer ma volonté de le faire jouir.
Sa verge se gonfla enfin, il était sur le point de venir. Mais il ne me laissa pas le temps de le finir.
Il se retira de ma bouche précipitamment et dirigea son membre vers mon compagnon et l’aspergea de foutre.
« Tiens prends çà ! Voilà le fruit du travail de ta maitresse. Tu n’es qu’une serpillière, juste bon à récupérer le foutre des amants de ta copine. »
Le visage de Frédéric était rempli de sperme, les yeux fermés il n’osait dire quoi que ce soit.
Cette profusion de jouissance marqua la fin de mon entretien annuel qui fut ma foi enrichissant. Et prometteur