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par manukib56
#1726140
Mon entretien annuel

Mardi 13 janvier 2015

Comme dans toute entreprise, le début d’année est la période des bonnes résolutions pour les patrons et surtout des fameux entretiens annuels. L’occasion de pouvoir discuter des perspectives, de fixer les objectifs pour cette nouvelle année et surtout faire une rétrospective de l’année écoulée.

Le vendredi qui suivit son intrusion dans mon bureau, je reçu un mail de sa part.

« Je serai sur Vannes le mardi 13 janvier, merci de me réserver un créneau à partir de 18h pour ton entretien annuel. Cordialement, Marc. »

J’attendais ce rendez vous avec impatience, c’était très important pour moi de faire un état des lieux de mon activité avec Marc. Il était toujours de bons conseils pour moi et savait me guider dans mes choix. Il a peut être beaucoup de travers mais professionnellement il m’a toujours apporté le soutien dont j’avais besoin et a toujours su répondre présent quand j’en avais besoin. La confiance qu’il a pu me donner en me confiant l’agence de Vannes est pour moi un honneur dont je ne peux le décevoir.

J’organisai donc mon emploi du temps de cette journée en conséquence, ne pouvant décaler un rendez vous important à 17h, il me fallait faire vite avec mon client pour ne pas déborder sur le temps qui était consacré à Marc.

Émilie quitta le bureau comme à son habitude à 17h30, suivi à quelques minutes près de Maxime. J’étais donc seule avec mon client et devait essayer de conclure mais ses questions étaient nombreuses et méritaient toute mon attention.

Les minutes défilèrent et le rendez vous trainait dans la longueur. Connaissant la ponctualité de mon chef je ne fus pas surprise d’entendre la porte de l’agence s’ouvrir à 18h pile.

Marc vit que j’étais en rendez-vous client et patienta dans le hall d’accueil. Priorité aux affaires.

Mon entrevu arrivait à sa fin, nous nous levons tous les deux et je raccompagnai mon client jusqu’à la porte.

« Merci beaucoup Mlle P… pour vos conseils. Ce fût très constructif et ne manquerai pas de revenir vers vous. »
« Je me tiens à votre disposition Mr J…. Bonne soirée et bon retour. »

Je refermai la porte derrière lui, tira le rideau et tourna la clé.

« Bonsoir Marc, désolée pour ce petit contre temps. C’était le Monsieur de l’entreprise … je crois qu’on avance bien sur son sujet et on devrait concrétiser par quelque chose de pas mal pour l’agence. »

« Très bien. Tu me rejoints dans ton bureau ? » Cette phrase était pleines de sous entendus mais je commençais très bien à cerner le personnage. Même si ma tenue était à mon goût très joli cela ne lui suffisait pas et voulait que je me plie à sa règle.

C’est donc obéissante comme toujours que je le laissai aller dans mon bureau pendant que je fis un bref passage par la salle de pause pour me dévêtir complètement et ainsi honorer de ma présence dans les meilleurs conditions.

Il m’attendait tranquillement installé dans le canapé, son ordinateur était sur la table basse présentant différents graphiques illustrant l’exercice 2014 et le slide qui devait suivre présentait certainement les objectifs pour cette nouvelle année.

« Installe-toi là. Bon on va passer en revue brièvement l’année 2014 qui globalement est une bonne année. Tu as bien bossé. On voit que le commercial est bien maitrisé sur ton périmètre et que souvent la prospection est concrétisée par un produit comptable derrière. (…) »

Son laïus dura de longues minutes ne cessant de gratifier mon travail en soulignant la qualité de mes documents. Je me sentais des ailes pousser !

« (…) pour 2015, on va donc essayer d’étendre un peu ton portefeuille client. Je vois que la petite équipe que tu t’es constituée tient la route et que tu vas pouvoir déléguer pas mal de petits jobs routiniers à Maxime pour te dégager un peu de temps. Je voudrai te voir suivre au moins pour cette année dans un premier temps un grand compte. »

Grand compte, comprenez un très très gros client. Souvent des Pdg de très grosses holdings.

« Par contre en plus de produits en assurances, tu assureras pour le compte de mon autre société son patrimoine. As tu déjà fait de la gestion en patrimoine. »

« Non, je n’ai qu’une vision théorique là dessus. J’ai eu quelques cours et TD dessus en licence mais rien d’autres. »

« Bon tu as les fondamentaux maintenant faut les mettre en application. Et puis je serai là pour t’assister les premiers temps. Je te sens capable. »

« Merci » que vouliez vous que je réponde d’autre.

« Bien entendu, le client que je compte que tu gères est tu l’imagines un peu particulier. »
« Volage quoi ! »
« C’est à peu près çà oui ! » éclata t’il de rire
« Donc voilà le contexte. Monsieur B… est le patron d’une grosse firme d’importation de bois destiné à la construction. Il a, enfin je devrais dire, ils ont aussi plusieurs scieries et entreprises de construction. Je dis ils car lui il est l’administrateur mais c’est sa femme qui détient tout. Elle est l’héritière d’une grande famille d’industrielle qui a fait fortune pendant la seconde guerre mondiale.
C’est elle qui tient un peu les rênes de l’affaire. En gros toutes les décisions importantes passent par elle. C’est un couple d’environ soixante cinq ans, donc, qui en on vu passé des choses, difficile donc de les rouler dans farine.
Ils souhaiteraient qu’on leur établisse un inventaire patrimonial matériel et imatériel, à leurs âges ils voudraient maintenant passer le flambeau à leurs deux fils. S’ils nous accordent leur confiance pour cette tâche c’est le jackpot pour nous. Il faut donc vraiment les travailler au corps. »
« Quand vous dites au corps j’imagine que cela sous entend bien le premier sens du terme. »
« J’y arrive. Ton petit ami Frédéric tu es en couple avec lui de manière officielle ? »
« Oui bien entendu pourquoi cette question ? »
« Pourquoi pendant nos parties de jambes en l’air, il ne participe plus ? »
« C’était une des conditions pour qu’il revienne avec moi. Il a toujours voulu me voir baiser avec les autres et me soumettre à ses moindres désirs. Maintenant c’est différent c’est moi qui dicte les lois et je préfère jouer avec sa frustration. Mais je ne vois pas où vous voulez en venir. »
« Disons qu’on va avoir besoin de ta lopette. J’ai rencontré ce couple lors d’une soirée mondaine sur Paris en octobre dernier. Jean Pierre et eux ont un ami en commun qui me les a présentés. C’est un couple qui s’ennui beaucoup et selon les dire la femme aimerait s’envoyer en l’air avec des petits jeunots. Lui ne serait plus trop opérationnel, de cette défaillance elle s’octroi le droit au plaisir comme elle aime le dire ouvertement. En fait un peu comme toi, son mari subit l’appétit sexuel de sa femme. »
« Entendu, donc vous souhaiteriez que je vous livre Frédéric à cette vieille dame pour honorer le contrat. »
« Oui »
« Ok de toute façon, avec moi il n’a jamais été sur la réserve je ne vois pas pourquoi je ferai de même avec lui. »
« Tu m’épateras toujours, t’aime l’humilier à ce point. »
« Oui j’avoue j’y trouve un certain plaisir. »
« On peut l’appeler là pour qu’il vienne afin que nous mettions tout de suite les choses en place. Faudrait pas trainer à les rencontrer. »

Je saisis mon portable et l’appela aussitôt.

« Oui, c’est moi. T’es où là ? Tu passes à l’agence ? Je t’attends et tarde pas ! »
« Il était au centre de Vannes pour faire quelques soldes, il sera ici dans 5 à 10 minutes. »
« Bien, continuons sur les autre dossiers. »

Studieusement, nous faisions un point dossier par dossier pour donner les suites. Frédéric n’avait pas trainé et cela faisait à peine cinq minutes que j’avais passé mon coup de téléphone qu’il toquait à la porte.

Sans pudeur, je me levis de mon fauteuil pour aller lui ouvrir totalement nue. Qu’elle ne fût pas la tête de mon compagnon de moi voir ainsi.

« Allez rentre vite, ne laisse pas le froid rentrer. » Je refermai derrière lui et l’accompagna à mon bureau. Sa tête fit la même expression que quand je lui ouvris la porte quand il vu Marc avachit dans mon bureau.

« Salut Frédéric, meilleurs vœux ! Tiens je t’en prie assis toi. Voilà si j’ai demandé à Manue de te faire venir c’est que bien entendu nous avons besoin de toi. Nous avons une mission à te confier. Si j’ai bien compris ta demoiselle t’interdit toute relation avec une autre fille, et bien grâce à moi une petite entorse va être faite à la règle et nous avons besoin de tes services d’escort-boy pour une de nos potentielles clientes. »

« Ben je ne sais pas trop … » Je ne lui laissai pas le temps de terminer.
« On ne te demande pas ce que tu en penses, on te dit ce que tu dois faire. Ca vaudra bien toutes les fois où tu m’as mise dans les bras d’inconnus pour ton plaisir. »

« Bon voilà qui est réglé. J’essaye de prendre rendez vous avec eux au plus vite et je vous choppe des billets de train pour Paris. C’est moi qui régale. Mais réservez votre vendredi prochain, je vais caler çà. »

« Parfait pour moi »

« Bon, ma petite Manue je pense que nous avons fait le tour. En tout cas très concluant cette année. Je te réitère les félicitations. » Il se leva du canapé et s’avança face à moi. Les mains sur sa ceinture. Pendant qu’il s’avançait il déboutonnait son pantalon pour arriver devant moi le sexe à la main. Il voulait certainement conclure cette réunion par une petite gâterie.

En plus de la présence de Frédéric, la motivation de le prendre en bouche était grande. Ma bouche s’ouvrit donc à son sexe encore mou et l’aspira. Sa verge se gonflait sous l’effet ventouse de mes lèvres. Son gland venait maintenant taper le fond de ma gorge. Pendant qu’il faisait glisser son organe ses mains malaxaient mon petit 85b avec énergie et des fois venaient appuyer ma tête sur l’arrière du crane pour bien m’amener à le prendre en bouche dans sa globalité.

« Elle suce bien ta petite copine quand même. Elle sait y faire avec la bite d’un homme. Regarde moi çà, je la fourre jusqu’aux couilles. Tu entends comment elle dégobille çà, une pro. Une vraie bonne salope ! Que dis-je une pute ! N’est ce pas ? »
« Mmmh » ne fut que ma seule réponse audible
« Allez approche toi, vient voir comment qu’elle me suce. Mets-toi aux premières loges. »

Frédéric penaud se laisse diriger par Marc et vint s’installer à coté de moi.

« Mets-toi à genoux à coté de ta maitresse. Voilà comme çà. Regarde comment ma bite est aspirée. Allez n’ai pas peur approche ton visage pour bien voir. »

Son visage était à dix centimètres du mien, le spectacle de la verge de Marc qui entrait et sortait de ma bouche dans un bruit de succion lui était insupportable. Cette mise en scène m’excitait et ne faisait qu’accentuer ma volonté de le faire jouir.
Sa verge se gonfla enfin, il était sur le point de venir. Mais il ne me laissa pas le temps de le finir.

Il se retira de ma bouche précipitamment et dirigea son membre vers mon compagnon et l’aspergea de foutre.

« Tiens prends çà ! Voilà le fruit du travail de ta maitresse. Tu n’es qu’une serpillière, juste bon à récupérer le foutre des amants de ta copine. »

Le visage de Frédéric était rempli de sperme, les yeux fermés il n’osait dire quoi que ce soit.

Cette profusion de jouissance marqua la fin de mon entretien annuel qui fut ma foi enrichissant. Et prometteur
par manukib56
#1740460
Le rendez vous fatidique

Vendredi 23 janvier 2015

Le rendez avait été pris dans la semaine qui suivait mon entretien annuel. J’avais briefé Frédéric sur le fait qu’il devait être le plus à l’écoute possible des besoins de cette inconnue et peu importe ce qu’elle demandera il devra s’y soumettre.

Cette rencontre était capitale pour moi et le chiffre d’affaires de l’agence.

Nous prenions le train de 17h20 au départ de Vannes pour la destination de la Gare Montparnasse. Habillés comme de véritable entrepreneurs, Frédéric avait lui même fait l’effort vestimentaire en se vêtissant d’un pantalon de costume et d’une chemise.

Très minimaliste pour le coup, je m’étais habillée comme quotidiennement, une petite jupe tailleur assorti d’un pull col montant assez moulant.

Nous nous installâmes tout les deux dans un carré avec table. Afin que je puisse continuer le temps du trajet à travailler sur un dossier que je devais boucler impérativement dans le week-end pour le rendre à mon client le lundi.

Un homme d’une quarantaine d’année vint s’asseoir en face de nous pour profiter de la table aussi. Mais pas que …

Je pense que son choix de venir se poster en face de moi n’était pas si dépourvu de sens, à la façon où il me dévisageait. J’ai bien compris qu’il voulait se rincer un peu l’œil pendant ces presque quatre heures de trajet. Son regard pervers était lourd mais devant la gène que cela occasionnait chez mon petit ami, je ne pouvais que me satisfaire. Je n’étais pas avare de petits sourires à son encontre. Je me laissai donc dragué pour la jalousie de mon compagnon.

Nous arrivions assez tard sur Paris, 21h. Un peu éreintés par notre voyage, un taxi nous attendait sur le quai pour nous amener directement à notre rendez vous. Sans trop perdre de temps nous suivîmes notre chauffeur qui nous fît monter dans une grosse Mercedes. Arpentant les rues de Paris à vive allure, je n’ai même pas eu le temps d’apprécier la Capitale. La voiture se gara devant un grand immeuble chic fermé par une immense porte en bois à deux battants.

Siégeant devant cette batisse, je décidai d’envoyer un texto à Marc pour lui signaler notre présence.

« Nous sommes arrivés. Nous sommes devant la porte »
« Interphone 25 »

J’appuyai donc sur le bouton pointant vers l’appartement n°25. Quasi instantanément la gaffe électrique de la porte se déclencha. Frédéric la poussa et nous voici dans une grande cour donnant sur plusieurs fenêtres de résidences bourgeoises.

Marc arriva à notre rencontre.
« Vous avez fait bon voyage ? Venez suivez moi, on vous attendait. »

Nous montâmes par un escalier tout en bois dont la main courante montrait une certaine noblesse dans sa finition.

La porte d’entrée s’ouvrit pour nous et un vieux couple nous accueillit sur le pas de la porte.

L’homme faisait bien son âge la soixantaine tandis que sa femme paraissait plus vieille. Son physique était assez ingrat en plus d’être un peu ronde, elle ne dégageait rien de féminin dans son allure.

« Ah voici les termes du contrat ! Entrez, nous vous attendions avec impatience. »

La femme semblait pressée et ne voulait pas perdre de temps dans les futilités de bon usage.

« Bon en tout cas vous êtes très charmant, votre employeur avait raison. Quel est votre nom mon garçon ? »
« Frédéric, madame »
« Bien, et ben Frédéric n’attendons pas plus longtemps mets toi à l’aise. »

Pendant qu’il était en train de se déshabillé timidement à la vue de tous, l’homme nous invita gentiment à prendre nos aises dans le salon en nous servant à boire.

Frédéric était intimidé par cette nouvelle expérience qui s’ouvrait à lui et ne semblait pas etre quant à lui pressé par ce qui allait se passer.

Il arriva dans le salon nu comme un ver de terre, le sexe mou. La femme était derrière lui et fît irruption elle aussi dans la pièce totalement nue. Elle était hideuse et ne pouvait en aucun cas dégager ne serait une once de désir. Mais s’en était ainsi et il devait s’y plier. Son corps avait des formes disgracieuses, les seins tombants, son ventre flasque n’était qu’un bourrelet. Toutes ses cuisses et ses jambes étaient recouvertes de vergetures. Son sexe pas du tout entretenu laissait place à une toison dense remontant quasiment à son nombril. Comment pouvait on en arriver à cet état là, si ce n’est qu’une volonté forte de se laisser aller à l’immondicité.

Je me surpris l’espace d’un instant à ressentir une petite compassion pour Frédéric. Ce que j’étais en train de lui demander était absolument ignoble, mais il en était ainsi.

Arrivée derrière lui, elle le saisit par la taille et contourna sa main droite pour venir saisir son sexe. Malheureusement totalement inerte. Il resta stoïque sans mots dire, livré à son sort.

Tranquillement assise aux premières loges, j’assistais à cette mise en scène tandis que Marc parlait business avec l’homme de maison qui semblait n’accorder aucune importance à sa femme.

Elle malaxait le sexe de mon partenaire pensant que cela suffirait à le faire prendre de la vigueur. Voyant au bout de quelques minutes que cela était vint, elle passa devant lui pour s’agenouiller au niveau de sa verge. Elle l’aspira comme elle pouvait en maintenant un succion suffisamment importante pour le garder en bouche.

« Allez donc ne soit pas timide. Tu peux me toucher les seins si tu veux, çà t’aidera à t’exciter. Ne me dit pas que tu es comme mon mari, un bon à rien incapable de bander. Tu es impuissant ? »
« Non Madame ! » Il se pencha suffisamment pour prendre en main ce vieux mamelon qu’il essaya de malaxer comme il pouvait. Malgré toute la bonne volonté qu’il y mettait cela ne semblait pas porter ses fruits et son sexe resta mou au fond de la bouche de cette vieille femme.

Cette absence d’érection commença à agacer à la propriétaire, qui ne trouvait pas son compte dans cette affaire. Il me fallait donc réagir au plus vite.

Je me dirigeai donc vers ce couple incertain.

« Je peux vous aider Madame ? »
« Si vous croyez y arriver, allez-y ! » un peu vexée elle me laissa sa place. Mais resta tout de même bien à proximité.

Accroupie devant lui, je saisis son sexe dans ma bouche. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas sucé, et son plaisir de retrouver ma bouche se fit vite voir. Son sexe gonfla dans la minute où je l’avais pris en bouche. Je m’assurai de bien le faire gonfler avant de le redonner à la dame opérationnelle.

« Et bien mademoiselle, je dois vous avouer que je suis surprise de votre efficacité. Seriez vous amène d’en faire autant à mon pauvre mari ? »

Entendant cela Marc et le vieil homme arrêtèrent instantanément leur discussion pour reprendre le fil de la soirée. Marc m’adressa un regard qui en dit long. Cette soirée était importante pour nous et peu importe ce que demandait cette horreur de la nature nous devions lui satisfaire ses moindres désirs. A la différence d’elle son mari bien qu’ayant un âge aussi avancé était moins répugnant elle.

Je m’avançai donc vers lui avec comme seule ambition le faire jouir comme jamais il n’a eu l’occasion de jouir. Pendant la traversée de la pièce, je quittai mes vêtements un à un. Frédéric ne voulait pas cela et çà se voyait. Il s’en voulait de ne pas avoir été à la hauteur. S’il avait pu bander avant cela n’aurait certainement pas eu lieu. Mais il en était ainsi.

J’exhibai au vieillard mon petit 85b, et l’invita à les prendre en bouche. Sa langue se baladait d’un sein à l’autre sans vraiment trop savoir où aller. Il effleurait tout de même de temps à autres mes tétons qui pointèrent tout de même. Sa joie de pouvoir palper une poitrine ferme et jeune se lisait sur son visage. Il était excité comme un gamin devant son cadeau de Noël. Ses gestes maladroits s’affirmaient de minutes en minutes et devenaient plus précis.

Frédéric assistait malgré lui à la scène en se contraignant de devoir se vouer corps et âme a cette inconnue. A ce moment précis son corps était lui totalement détaché de son âme, qui lui meurtri par ce qu’il était en train de voir l’anéantissait toujours un peu plus.

La femme était bien décidée à tirer profit de ce jeune homme. Elle le fit s’allonger sur le dos et l’habillât d’un préservatif tendu par Marc, le complice de cette soirée. A peine capuchonné, qu’elle le chevaucha pour venir s’empaler sur son sexe encore tendu.

« Allez embrasse moi les seins pendant que tu me baises. Et vas y hein ? N’ai pas peur ! »

Sa bouche vint se coller à ces seins pendants tandis qu’elle s’affutait sur son sexe par de longs allers et venus. Elle y mettait tout son poids et l’écrasait presque.

Elle gémissait de manière très forte, sans doute en exagérant pour montrer à son mari qu’elle était aux mains d’un jeune expert.

Son homme était maintenant occupé à me trifouiller le sexe et semblait pas du tout déstabilisé par les cris de sa femme. Il vivait son moment présent en profitant de chaque instant. Ses doigts fouillaient mon sexe. Le fait d’avoir à faire à un sexe totalement épilé le motivait encore plus. Je fus surprise par l’intrusion d’un troisième doigt. Ils les écartaient pour m’ouvrir le plus possible.

A l’aide de ma main, j’essayais de venir au contact de son pantalon pour m’assurer que tous mes efforts portaient bien ses fruits. Et la satisfaction enfin de sentir une bosse naissante dans son entre cuisse se fit sentir. Il était temps de lui faire prendre l’air et surtout montrer à sa dame la vigueur du Monsieur. Je déboutonna donc son ceinturon, ouvrit sa braguette et fit descendre son pantalon et son slip dans un seul mouvement. Sa verge tendu pointa fièrement et je dois l’admettre elle était de taille tout à fait acceptable.

Ma main s’occupa d’elle, je sentais entre mes doigts l’organe se gonfler. Il sorti ses doigts pour venir apposer ses mains sur mes épaules et m’invita à m’agenouiller devant lui pour le prendre en bouche.

« Ca fait une éternité que je ne me suis pas fait prendre en bouche. Allez vas y suce moi petite. »

J’y étais maintenant, alors pourquoi rebrousser chemin. Et de toute façon il nous le fallait se contrat. Et puis voir comment Frédéric réagissait m’excitait encore plus.
C’était tout de même étrange d’être ainsi livrée à un vieillard, il fallait constamment le stimuler sinon très vite il pouvait perdre son érection.

Pendant que je me donnais à son sexe, il malaxait mes petits seins pour se donner du courage.

Frédéric reçu l’ordre de changer de position et ainsi de la prendre en levrette. Ce qui pour lui, lui permettait tout en baisant de m’observer en train de câliner mon petit vieux.

« Tu as déjà sodomisé une femme, mon petit ? »
« Oui madame. »
« Alors vas y, enfonce toi bien dans mon petit trou. Ca fait une éternité que je n’ai pas senti un sexe à cet endroit. » Il ne pouvait pas être plus répugné mais abdiqua. Sans grande précaution, il essaya même comme çà. La lubrification du préservatif lui sembla suffisante. Et sans surprise il s’y engouffra sans même ressentir une légère résistance. L’avantage c’est qu’étant un peu plus à l’étroit tout de même il arrivait à sentir quelque chose. Il cela le masturberait normalement suffisamment pour prétendre pouvoir jouir.

« Mmmhhhh c’est bien mon petit. Tu as vu comme on y rentre comme dans un moulin. Je suis sur que tu ne la baises pas si facilement ta petite copine. Non mais regarde là en train de sucer mon pauvre mari. Elle va réussir à le faire jouir. Toi par contre quand tu te sens l’envie d’éjaculer. Ne va pas le gâcher dans la capote. Retire-toi bien avant, j’ai envie de gouter ton jus d’homme. » Le fait que la dame évoque mes ébats avec son mari agaçait encore plus Frédéric, qui par énervement accentuait sa cadence pour la baiser toujours plus fortement.

Mon petit vieux se sentait partir. Je senti un moment un doux liquide couler dans ma bouche, il était en train de jouir. Je me refusais à le boire et recracha aussitôt son jus hors de ma bouche. Je le fini en le masturbant et lui offrit mes petits seins comme réceptacle à sa jouissance. Il s’écoula donc sur mon torse en lâchant de longs râles de plaisir.

« Regarde moi ta petite salope comment elle a fait jouir mon mari. Mon dieu, jamais il ne m’a jouit autant dessus. Viens donc me voir ici ! »

Je m’approchai d’elle, elle se redressa et quitta mon petit ami pour venir me lécher la poitrine et recueillir le jus de son homme.

Frédéric sauta sur l’occasion pour quitter son préservatif et venir présenter son sexe à la vieille femme qui s’agenouilla devant lui pour recevoir ce jeune cru. Il se masturba quelques minutes tandis qu’elle gardait sa bouche ouverte pour l’accueillir. Il se senti venir et planta son sexe dans la bouche et la rempli le plus qu’il pu. Elle s’efforçait de boire tout sans rien ne laisser s’échapper. Elle était fière de recevoir ainsi autant de sperme.

Toujours est il nous avons su donner de notre personne pour voir se concrétiser ce dossier. Et les retours de ce couple furent tellement bons que l’issue de ce contrat se profil bien.
par manukib56
#1746323
La journée de la femme dignement fêtée

Lundi 09 mars 2015.

La veille était la journée de la femme, même si à ce jour je n’y accordais pas une grande importance, je comptais tout de même marquer le coup.

Ne pouvant me rendre disponible ce dimanche pour des raisons familiales, anniversaire d’une petite nièce. Je fis comprendre à Frédéric que le lendemain je comptais sur lui pour m’offrir une journée digne de ce nom.

Il vient de trouver un emploi de gestionnaire dans une petite PME sur la région d’Auray. Il pouvait maintenant donc s’assumer un peu plus grâce à son salaire. Mais je crois que ce qui le déstabilise aussi dans cette vie professionnelle, c’est qu’en plus du retournement de situation concernant notre couple, nos différences de salaires le mettait mal à l’aise.

Toujours est-il, ce lundi il était bien décidé à m’envoyer diner dans un petit restaurant assez huppé de Vannes pour célébrer cette journée féministe.

Il était 18h, cela faisait maintenant une petite demi-heure qu’Émilie avait déjà quitté le travail. Il ne restait plus que moi et Maxime à l’agence.

Il me restait encore quelques petits papiers à terminer, tandis que Maxime profitait de ce temps mort pour continuer d’avancer sur son mémoire de stage. Il n’était pas rare qu’il reste après la fermeture de l’agence pour avancer sur son dossier, il savait aussi que j’étais plus disponible pour des questions éventuelles. Tout comme Marc, j’essaye d’être au mieux la plus professionnelle dans mon travail et guider le mieux qu’il soit mon stagiaire.

Frédéric arriva à l’agence peu avant 19h. Bouquet de fleurs à la main il pensait me trouver seule au bureau. Maxime était dans son bureau (qui était le mien auparavant) tandis que moi je m’afférai dans le mien à envoyer quelques derniers mails en conclusion de ma journée.

Il arriva dans mon bureau tout penaud.

« Bonsoir, tu es prêtes. J’ai réservé pour 19h15. »
« Oui je finis deux trois trucs et je suis à toi. Merci pour les fleurs ! Tu peux les mettre dans un vase et les mettre sur la petite table. Merci »

Il alla chercher un vase qui devait trainer dans la salle de pause et décora mon bureau de son bouquet. L’odeur des fleurs parfuma la pièce.

Sagement il s’assit sur le canapé du bureau et m’attendit en prenant soi de ne pas me déranger.

Je le trouvais attachant de le voir ainsi se plier en quatre pour moi. Mes deux trois mails envoyés j’étais fin prête à aller diner avec mon cher et tendre. Mais l’envie irrésistible de me lover près de lui prit le dessus. Langoureusement je vins donc à lui et l’embrassa tendrement.

Mes mains caressaient son corps par dessus sa chemise et son pantalon, l’envie de lui et de le sentir montèrent en moi.

Assise à ses cotés, j’écartais légèrement les cuisses pour lui laisser entreprendre la possibilité d’y glisser une main.

Il remonta ma cuisse pour se glisser dans mon entrejambe, sa main passa sous ma jupe droite et alla en contact avec ma lingerie.

Il caressa mes lèvres à travers le fin tissu tout en continuant son baiser. Ses gestes étaient doux et minutieux. Un doigt s’y glissa par le coté pour venir comme un rideau découvrir mon petit abricot. J’écartai très largement mes jambes pour lui souhaiter la bienvenue. Il prit la température et y insérant un doigt et compris mon état d’excitation quand il comprit à quelle point j’étais excitée.

Je m’excusai de lui pour venir m’agenouiller au pied du canapé, entre ses jambes. J’ouvris son pantalon, pour en extirper son sexe déjà à demi tendu. Sans le faire plus attendre, ma bouche vint l’aspirer et commença une longue et douce fellation.

Avec ma main droite je le masturbais tandis que ma bouche s’occupait à lui décupler le plaisir. De temps en temps, ma langue venait simplement titiller son gland pour m’assurer de l’exciter toujours un peu plus. Sa verge gonflait à chaque coup de langue.

Sa main caressait mes cheveux et m’encourageait à continuer. Je le regardai droit dans les yeux, son sexe en bouche. Il me motivait par des mots doux.

« Oh oui chérie, que c’est bon ! Vas y continue. Tu sais que j’aime çà. » Je le sentais se détendre et prendre confiance.

Il m’invita à me lever. Ses mains se lovèrent sur mes hanches pour me contourner et venir s’agripper à la fermeture éclaire de ma jupe. Dans un mouvement sec il la fit descendre, et aussi le vêtement glissa à mes chevilles. Pendant qu’il s’occupait de ma lingerie intime, je déboutonnai mon chemisier pour me mettre à nue devant lui.

Enfin nue, sa main ne cessait de fouiller mon sexe tandis que moi je me penchais sur le sien pour le masturber.

Je me redressai, sa bouche s’approcha de mon sexe et tandis qu’un doigt s’atterrait à des allers et venus entre mes lèvres humides, sa langue parcourait le dessus en venant se frotter sur mon clitoris.

Ma respiration se faisait plus saccadée et des petits gémissements commençaient à sortir de ma bouche.

« Oh oui ! Mmmmh » Ses doigts écartaient mes lèvres pour venir mettre à l’air libre ma petite protubérance érectile. Cela donnait le champ libre à langue qui venait y dessiner des petits huit. Je me sentais couler face à ces caresses buccales. C’était à mon tour d’agripper sa chevelure comme pour lui faire comprendre que je ne voulais pas qu’il s’en décolle.

Sa langue me fouillait de plus en plus et commençait à investir l’entrée de mon sexe. J’entamai une danse du bassin pour venir me coller un peu plus à son visage.

Il leva pour embrasser mes petits seins. Tout en les embrassant, il retirait son pantalon pour lui aussi adopter la tenue d’Adam.

Il me fit s’allonger sur le canapé passa ses mains sous mes jambes pour venir me positionner plus près de lui. Les jambes relevées et suffisamment écartées il s’agenouilla devant et appuyant sur l’arrière de mes cuisses pour m’assure de bien les garder en l’air, il vint tapoter son sexe à l’entrée de mes lèvres et me pénétra. La tête légèrement relevé sur l’accoudoir j’assistais à cette pénétration. Nos regards s’échangèrent ils étaient pleins de tendresse.

Pendant qu’il me pénétrait son pouce droit massait mon clitoris pour rajouter encore un peu plus de plaisir. Je n’arrivai plus à contenir mes petits cris de plaisir.

« Ah ! Mhhh ! Oh oui. Comme çà doucement. »

Il tenait sa verge de sa main pour accentuer encore plus la raideur de son membre et donner l’effet qu’il donnait plus d’effort dans la pénétration.

« Oh oui chérie, que c’est bon d’être en toi ! Oh !! Comme tu es bonne » Son rythme s’accélérait. Des fois il se dégageait totalement et venait soit frotter contre mon clitoris ou alors le tapoter avant de revenir me pénétrer et me baiser par des vas et viens rapides et secs.

Aucun de nous n’était dans la retenue de nos petits cris et nous nous laissions aller à notre simple plaisir.

Il essayait de prendre un peu de hauteur sur ses genoux pour venir me pénétrer de manière plus profonde.

J’avais envie de plus, un besoin de le sentir encore et toujours plus. Je me dégageai de lui, il s’assit sur le canapé. Dos à lui je viens m’asseoir dessus et je pouvais ainsi moi même gérer la pénétration et l’intensité dont je voulais être baisée.

Notre accouplement prenait une tournure plus virile. Je passais mes bras derrière pour essayer de prendre appui et me coucher un peu plus sur lui. Il profita de cette aubaine pour prendre entre ses mains mon petit 85b et le malaxer comme il se doit.

Je donnais à cœur pour descendre et monter le long de son organe. Ma respiration se faisait plus soutenue, mes gémissements étaient plus fréquents. Petit à petit je commençais à sombrer dans l’euphorie du plaisir charnel. Nos corps étaient en train de se retrouver et revivaient cette synergie qui nous était chère auparavant.

Une de ses mains quittait de temps en temps un de mes seins pour venir caresser mon petit bouton.

J’accélérai, mon corps chauffait sous l’effort que je produisais. Le plaisir m’inondait.

Frédéric me saisit par les hanches pour me faire me relever. Il m’invita à me mettre à quatre pattes sur le bord de l’assise du canapé. Bien ouverte, il me pénétra en levrette. Une jambe accroupie sur le canapé et une autre posée au sol, c’est ainsi que maintenant il décida de me prendre. Agrippé à mes fesses il me secoua par ses assauts. Je sentais ses testicules qui venaient cogner contre mon clitoris à chaque intrusion.

Cela dura de longues minutes où mes cris étaient maintenant fortement audibles.

Nous avions besoin de souffler. Toujours debout je m’agenouillai devant lui pour le prendre à nouveau en bouche et surtout calmer un peu nos ardeurs.

Pendant que je m’amusais à l’exercice de quelques gorges profondes, pour son plus grand plaisir, ma main ne cessait de caresser mon sexe pour continuer d’attiser ce désir.

C’est avec deux doigts dans mon sexe que maintenant je continue de le sucer. Ses râles à lui aussi se font entendre.

« Mon dieu, qu’est ce que tu suces bien. J’aime ta bouche ! Oh oui vas y comme çà enfin bon bien tout. Voilà bien au fond. Allez continue. Garde-la en bouche. » M’encourageait il.

Quand son sexe sortait de ma bouche je tirai la langue pour qu’il vienne le tapoter contre. Des fois c’était ma joue qui prenait cette gifle. Il aimait le rentrer et appuyer sur l’intérieur de ma joue comme pour me transpercer le visage.

La bouche entre ouverte, il glissa son long dans la longueur à l’extérieur, une branlette espagnole avec des lèvres pour être plus claire. Je salivais abondamment pour accentuer cette sensation de glisse.

Tout d’un coup il eu une idée particulière, il escalada le canapé pour s’y mettre debout et me fit m’asseoir entre ses jambes. Assis sur l’arrière du canapé ma tête coincée entre ses jambes au niveau de ses bourses, je les léchai pendant qu’il se masturbait au dessus de moi.

« Vas y ouvre bien grand la bouche. » Avec sa main il appuya sur son sexe pour le mettre vers le bas. Il le cala entre mes lèvres et accroupie sur ses jambes il commença des flexions pour venir toujours plus enfoncer son organe au fond de ma gorge. Son gland tapait le fond de ma bouche et je n’avais d’autre choix que de subir cette invasion. Il était littéralement en train de me baiser la bouche.

Pendant que nous étions occupés à cela, Maxime entra dans mon bureau dans l’idée de nous saluer avant de quitter l’agence. Ne voulant pas nous déranger il patienta sur le seuil, dans l’attente que l’un de nous ai prit conscience qu’il était là.

Je repris ma position initiale, allongée sur le canapé les jambes bien en l’air pour être à nouveau prise de la sorte. C’est quand Frédéric me repénétra à nouveau que je tournai la tête vers la porte et vis mon stagiaire sagement en train de nous mater.

Il ne fallait pas être dupe pour savoir qu’il avait du déjà nous entendre depuis un bon moment. Ce prétexte de nous dire au revoir et simplement pour se rincer l’œil et sans doute pour voir ce qui pouvait me jouir ainsi.

« Ne reste donc pas planté là. Amène ta bite ici ! Y’a jamais assez de deux ! » Je voyais bien que cela décontenançait Frédéric mais cela m’importait peu. C’était à mon plaisir que je pensais.

Et faut l’avouer, Maxime avait fait d’énorme progrès en matière de sexe depuis son arrivée à l’agence. C’était long d’être un performer mais il prenait de plus en plus d’assurance qui en faisait de lui un bon coup !

Devant mon air directif, il ne se fit pas prié plus longtemps. Et vint se positionner à mes cotés pendant que Frédéric continuait à me sauter.

Il balada ses mains sur mes seins qui sautillaient au rythme des aller et venus de mon copain.

« Allez sort ton sexe, je veux te sucer. » Il déboutonna son jean et défit sa ceinture et me tendit son sexe à sucer. Il était totalement penché au dessus moi.

Voyant que de toute manière il ne maitrisait plus rien, Frédéric se résigna à me partager avec ce jeune homme.

« Va te mettre sur le dossier du canapé ! » ordonna t’il à Maxime qui alla docilement s’asseoir sur le dossier du canapé les pieds sur l’assise. A genoux sur l’assise je n’avais plus qu’à me pencher pour atteindre de ma bouche le jeune sexe tandis que Frédéric me baisait par derrière en levrette. Chaque fois qu’il poussait son sexe dans le mien m’obligeait à enfoncer le sexe de Maxime un peu plus dans ma bouche. Mon jeune stagiaire profitait de mes seins pendant et ballotant pour venir les peloter au passage.

J’étais excitée et j’en voulais encore plus.

« Prends-moi le cul ! Allez vient en moi ! » Il n’eut pas fallut insister plus. Un bref filet de salive sur la zone cible et son sexe appuyait pour forcer le passage étroit.
J’avais mal et avait du mal à me décontracter mais j’en avais envie et besoin d’être prise plus fortement. Il continua sa traversée et réussit enfin à me sodomiser. Le sexe de Maxime dans ma bouche dissimula mes cris.

« Oh oui comme çà. Allez vas y baise moi le cul ! »
« Tu la sens bien ma queue ? »

Je n’en pouvais plus mes cris se mêlèrent à de la jouissance. Frédéric me secouait comme il pouvait bien décidé à m’enculer comme il se doit. Maxime jouait avec son sexe et ma bouche.

Il me fallait reprendre à nouveau mes esprits. Frédéric s’allongea par terre en prenant soin de pousser la table basse décorée de son bouquet de fleurs. Je le chevauchai vaginalement pendant que Maxime toujours fidèle au poste se tenait debout devant moi en pointant son sexe dans ma bouche.

J’avais enfin repris mes esprits et contait bien maintenant reprendre un peu la situation en main. Je fis asseoir Maxime sur le canapé et m’agenouilla devant lui pour venir à nouveau le sucer.

« Allez vient Frédéric, y’a de raison qu’il n’y ai que moi à profiter de la queue de mon petit stagiaire. »
« Non Manue, tu sais bien… » Je ne laissai pas terminer sa phrase.
« Est ce que je te demande ton avis. Je te dis viens alors tu viens. Tu ne vas pas faire le difficile. Elle est bien plus jeune se bite que celui de mon propriétaire, tu t’en souviens. Et celle de Mathias tu l’aimais bien aussi au fond de ta gorge. Allez vas y suce »

A en croire le visage de Maxime, cela non plus ne l’enchantait guère de se voir sucer par un homme. Mais il savait que quand j’avais une idée derrière la tête il était impossible de me la retirer. Sans mots dires il se laissa porter par l’excitation du moment.

Frédéric à contre cœur, se vit contraint et forcer de le prendre en bouche. Je le voyais à quel point il était en dégout de cela et qu’il ne s’attendait pas à cela. Ma main masturbait le sexe pendant que la bouche de mon compagnon s’activait dessus.

« Elle n’est pas bonne la bite de mon petit stagiaire ? Tu sais qu’elle me baise aussi celle là. Et ben quoi vas y prends la entière. Quand c’est moi qui te suce tu aimes bien que je l’engouffre entièrement, alors vas y exécutes toi. » Ma main appuyait sur l’arrière de sa tête pour venir l’obliger à l’enfoncer encore plus.
« Ce n’est pas la bite de Jean Pierre que je te demande de sucer mais celle de Maxime. Tu te rends comptes là, tu suces le stagiaire de ta petite amie. Tu l’aurais imaginé çà avant ? »

Quand il marquait des pauses pour reprendre son souffle, je prenais le relai et lui faisait une démonstration de ce qu’est une bonne suceuse.

« Regarde comment ma bouche est familière avec sa bite. Mmmh elle a bon gout sa queue ! Et quand elle me baise je ne te dis pas le pied que je prends avec. Allez à ton tour, fais le jouir ce petit. Montre moi que toi aussi tu es une bonne suceuse ! »

Frédéric s’exécutait et y mettait du sien pour que ne puisse lui reprocher quoi que ce soit. Maxime semblait s’y être fait à l’idée et se détendait à son tour. Il s’agrippait à ma poitrine pour toujours avoir un contact féminin l’aidant sans doute dans l’acceptation de son désir.

Voyant Frédéric bien parti pour la fellation, je me dressai sur le canapé pour venir m’asseoir sur le visage en arrière de Maxime. Il se livrait à un magnifique cunnilingus pendant que mon homme le suçait.

« Au lieu de nous regarder là, continue à le sucer. Allez vas y ! »

« Suce le ! Oh il sait y faire avec sa langue, je dégouline dessus. Vas y Maxime fais plaisir à ta patronne. Mmmmh elle est bonne ta langue, allez vas y fouille moi »

Je descendais d’un cran pour venir à accroupi au dessus du jeune sexe. Frédéric le relâcha de sa bouche et comprit sa mission. C’est lui même qui vint positionner le sexe de mon stagiaire à l’entrée du mien. Pendant que sa main le tenait en l’air je vins tranquillement m’asseoir dessus en le regardant bien dans les yeux pour qu’il puisse voir chaque mimique de mon visage pendant la descente et qu’il comprenne le pied que je suis en train de prendre.

J’écartais bien les jambes pour qu’il puisse apprécier chaque détail de cette queue qui me remplie.
« Ohh regarde comment je viens m’empaler dessus. Mmmh Elle est bonne sa queue. Oh là elle est bien en moi. Je le sens ! Oh oui Maxime allez vas y baise bien ! Allez ! Plus fort. »

Cela dura un long moment, j’étais heureuse de voir que Maxime pouvait être endurant. Surtout aujourd’hui où j’étais bien décidée à en profiter le plus longtemps possible.

La position changea, Frédéric alla s’asseoir sur le canapé tandis que Maxime me prit en levrette, debout penchée à quatre vingt dix degré je le suçais pendant que l’autre me baisait.

Cette position était assez inconfort, je m’agenouillai donc pour véritablement faire une levrette dans les règles de l’art. Ainsi cambrée mon petit cul s’ouvrit montrant les vestige d’un passage encore frais.

« Allez, toi aussi vient me prendre le cul. Mon à mon petit ami comment on baise sa patronne. » Maxime avait maintenant de l’expérience en matière de sodomie, d’un coté il était à bonne école. Il me sodomisa donc en une seule fois. Et marquait de longs moments de baise effrénée dans mon petit orifice.

Le sexe de Frédéric dans ma bouche ne suffisait plus à camoufler mes cris. J ‘étais en train de repartir dans un état second de jouissance ultime.

La fin semblait proche, pour le préserver encore un peu de temps. Je le quittai et m’allongea par terre sur le dos. Les jambes bien relevées, j’autorisai Frédéric à venir terminer le travail en me sodomisant ainsi à même le sol.

« Alors ca fait quoi de passer après le petit jeunot ? Tu as vu il m’a bien défoncé ! C’est devenu un bon baiseur maintenant tu sais. Émilie et moi on ne s’en prive pas au bureau. Allez montre lui que toi aussi tu sais me baiser. Allez ! »

Frédéric était énervé et excité par cette situation et me pilonnait comme jamais sans se soucier si jamais mal ou pas. Ce qui lui importait c’était de me défoncer.

Maxima s’agenouilla à ma droite au niveau de mon torse, il s’astiquait en vu de jouir dans les minutes, que dis je dans les secondes à venir. Il avait prit pour cible ma bouche, voire même me sseins. Ce qui n’était pas pour me déplaire.

Mais j’avais aussi envie d’autre chose.

« Préviens nous quand tu vas jouir. Toi Frédéric tu vas le bouffer aussi son foutre. »

« Ca y ‘est j’arrive. » Il visait mes seins, le liquide n’allait pas tarder à sortir. Frédéric obéissant se pencha devant, la bouche ouverte attendant, tout en continuant à me sodomiser.

Le sperme jaillit enfin et venait s’écouler en longue trainée sur mon visage. Ma bouche, mon menton, ma joue. Frédéric essayait d’attraper au vol quelques filets. Mais il n’eut d’autre choix que de venir lécher la semence directement sur mon visage. Je l’embrassai à pleine bouche pour venir partager avec lui tout ce que j’avais récolté.

« Il est bon le foutre du stagiaire hein ? Allez nettoies moi de tout çà. »

Maxime prit un peu de distance pour nous laisser terminer notre relation conjugale. Frédéric quitta mon petit orifice pour venir s’insérer dans mon sexe.

A nouveau il me prit par l’intérieur des cuisses pour venir coller mes jambes jusqu’à mon ventre et venait me baiser fortement de tout son poids jusqu’en butée. Il allait très vite, il était comme s’il faisait des pompes et m’infligeait de terrible va et viens.

Il se redressa, se dégagea et m’éjacula sur le ventre et le haut du sexe. Son foutre était chaud, très liquide. Perdant son érection, il jouait avec son sexe à la manière d’un lasso et venait tapoter avec dans sa mare de sperme.

Inutile de vous dire que nous sommes arrivés au restaurant avec quelque peu de retard. Mais que direz vous c’était pour la bonne cause.
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par skyman
#1746858
zztop a écrit :T'es une vraie salope.... Gobe ma grosse queue


:shock: Whouaaa tu as fait combien d'années d'étude pour arriver à sortir une phrase aussi pertinente ???
Avatar de l’utilisateur
par Xander
#1746930
skyman a écrit :
zztop a écrit :T'es une vraie salope.... Gobe ma grosse queue


:shock: Whouaaa tu as fait combien d'années d'étude pour arriver à sortir une phrase aussi pertinente ???


:lol: :lol: :lol: Excellent!!

Quand a Manue tu es vraiment de plus en plus salope j'adore :)
par manukib56
#1748938
L’erreur qui coûte chère


Cette semaine je rencontrais un client dans ce que j’appelle un face à face pour une question de montage financier sur des plans d’assurances.

Lors de ces rendez vous que je qualifie d’important, j’essaye d’en la mesure du possible que le client se sente à son aise et privilégie donc les rendez vous sur le canapé.

C’était une règle clé que Marc m’avait enseigné au cours de ma formation, plus le client se sentira à l’aise, plus il aura confiance en son interlocuteur et plus la signature sera aisée.

C’est donc pour cela qu’un espace canapé et fauteuils est aménagé dans le bureau, pour donner au client une sensation d’être comme à la maison.

Ce jour là je recevais un client d’un âge proche de la retraire qui cherchait à se prémunir pour ses futurs vieux jours. Je l’accueilli donc dans mon bureau et passions un peu plus d’une heure où je lui expose les différentes possibilités.

Je voyais qu’il me zieutait de manière discontinue et que mon discours commercial ne lui importait peu. Il scrutait mon corps avec un regard de pervers. J’essayai du mieux que je pouvais de ne pas me déstabiliser face à cela.

« Écoutez mademoiselle, ce que vous me dites me parait en effet fort intéressant. Mais qu’est ce que j’y gagne concrètement si je signe chez vous. Deviendriez vous ma correspondante privilégiée ? »

« Notre équipe en effet se tiendra à votre disposition tout au long de la démarche et pourra vous renseigner sur toutes questions qui vous semblerait importante. »

« Votre équipe, j’en ai rien à faire. C’est de vous que je parle. Qu’est ce que vous pouvez m’offrir de plus que la concurrence. Vous ! »

« Excusez moi, mais je crains ne pas comprendre le fond de votre pensée Mr … »

« Vous m’avez très bien compris. Une si jolie fille de votre âge à ce poste n’est certainement pas arrivée ici par hasard. J’imagine donc que vous ne verrez pas d’inconvénients … »

« Alors que ‘l’on soit bien clair tout de suite Monsieur … notre agence est une agence sérieuse avec une déontologie et un sérieux qui nous est reconnu. Je préfère que nous en restions ainsi et vous prierai de bien vouloir quitter mon bureau. »

« Une petite qui a du caractère ! Mais je ne m’en arrêterai pas là mademoiselle. »

L’homme se leva et prit congé de moi.


Vendredi 12 mars 2015.


Il était 18h30 quand je m’apprêtai à quitter le bureau pour aller rejoindre Frédéric, nous avions projeté d’aller voir le dernier film de Jean Jacques Annaud, quand Marc fit irruption dans l’agence. Cela me rappela la fois où il était entré pour me baiser sauvagement sur mon bureau.

« Alors ! C’est quoi ce bordel, maintenant qu’on est responsable d’une petite agence de bourgade on se croit au dessus de tout. La petite bourgeoise que tu es devenue a vite oublié comment elle est arrivée ici ! »
« Je ne comprends pas ce que vous dites ? »
« Comment çà tu ne comprends pas. Ce n’est quand même pas moi qui ai foutu à la porte Monsieur … mardi dernier. »
« Non mais attendez, il … »
« Je ne veux pas savoir. Tu n’as pas su gérer et c’est tout. Tu croyais quoi que je n’en aurais pas été mis au courant. »
Intimidé par cette intrusion je ne savais que dire.

« Regarde moi çà comment t’es habillée, moi je vais te faire un retour au source ma petite. Allez enfile moi çà. » Il tenait dans sa main un sac en tissus qu’il ouvrit.

Il en sorti une jupe en cuir, un pauvre débardeur, une paire de chaussures talons pointus et de lingerie bas de gamme.

Valait mieux pour moi ne pas montrer de résistance en quoi que ce soit. Je m’exécutai donc. J’abandonnai devant lui mon tailleur deux pièces, retira ma belle lingerie et ainsi nue vint chercher les vêtements qu’ils avaient jetés à ses pieds.

J’enfilai d’abord le string, ensuite le débardeur, il n’y avait pas de soutien gorge dans la panoplie. La jupe était très moulante et particulière courte, c’était tout juste si elle cachait quelque chose. Une paire de bas vint terminer la tenue.

« Va te maquiller. Et mets en un paquet je veux te voir comme une pute. Et attache moi ces cheveux. Je t’attends dans mon véhicule. »

Je quittai mon bureau pour aller en salle de pause où il y un miroir. Marc quitta l’agence.

Je forçai sur le rouge à lèvre pour en mettre exagérément, le rimmel était aussi mis à outrance. Quand j’eu tiré mes cheveux en arrière et ai bien pris le temps de me regarder dans ce miroir, c’était effectivement une pute que je voyais apparaître. Je me trouvais moche mais pour ne pas créer d’autres émulsions envers mon patron je devais une nouvelle fois me plier à ses règles.

Avant de rejoindre Marc dans sa voiture, j’eu juste le temps de prévenir Frédéric par sms.

« Ne m’attends pas ce soir. Biz »

Je fermai l’agence et chercha des yeux la grosse berline de mon responsable. Il s’était garé à quelques centaines de mètres de l’agence pour bien me faire défiler dans la rue dans cet accoutrement. J’avais du mal à tenir perchée sur ces talons hauts. Même si les températures s’étaient adoucies en cette saison, il n’en faisait pas moins assez froid dehors pour me pavaner en débardeur et mini jupe. Mais connaissant Marc maintenant, je ne me risquai pas à mettre un manteau.

« Ah ben voilà ! Une vraie trainée. Allez monte »
« Où va-t-on ? »
« Tu le sauras bien assez tôt. »

Il quitta Vannes en direction de Nantes. Nous étions sur la quatre voies et aucun de nous parlait.

Cela faisait peut être vingt minutes que nous roulions quand il mit son clignotant pour sortir sur l’aire de repos de Marzan. Petite commune du Morbihan.

Le parking semblait vide à l’exception d’une ou deux voitures, d’un camping car et de quatre camions routiers.

Nous fîmes le tour du bâtiment sanitaire pour nous garer sur les rangements en épis destinés aux poids lourds. Bien entendu, comme vous l’aurez comprit Marc prit bien soin de venir faufiler sa voiture entre deux camions.

« Bon va attendre que la famille qu’il y a au fond se casse et ensuite tu vas aller faire ton petit show là bas. J’ai étais clair ? Mais avant çà … » Il déboutonna son pantalon pour y extraire son sexe et me le présenter à sucer.

Bien entendu notre arrivée en plein phare entre deux camions a causé de l’inquiétude auprès des routiers et pendant que je suçais mon chef dans sa voiture j’entendais des portes de camion s’ouvrir. C’était le chauffeur d’un camion qui venait voir ce que notre voiture faisait là. Sauf que pour le coup il eu une agréable surprise. Il resta à la vitre avant conducteur pour être aux premières loges du spectacle exhibition.

« Allez vas y pompe moi bien ! »

Je m’appliquai du mieux que je pouvais pour ne pas à avoir d’autres reproches.

« Ca y est ils sont partis. Allez sort de la voiture et va te pavaner à la lumière là bas. Fais toi voir de tous. »
« Mais si je sors comme çà je vais me faire agresser. »
« Tu crois quoi ! Allez descends ! »

Pas rassurée, je descendis du véhicule. Très vite suivie par le chauffeur. Il gardait une certaine distance mais sa présence omniprésente ne me rassurait point. Marc assistait à la scène de sa voiture.

Arrivée à la lumière du bâtiment, je n’en menais pas large. Ne cessant de regarder dans la direction j’attendais avec la plus grande impatience un signe de sa part pour me dire de revenir au véhicule.

Un homme sorti de sa voiture et je suis sure prétexta d’aller au toilette pour venir me mater. Ses yeux ne décollèrent pas de moi pendant toute sa venue. Il me croisa et dans un sourire me salua.

« Bonsoir »

Il alla à l’urinoir sans me quitter des yeux. Il ne fallut pas 2 minutes pour qu’il revienne en ma direction mais cette fois ci de manière plus assurée.

« Vous cherchez quelque chose ? »
« Heu .. » incapable de répondre quoi que ce soit. Il voyait bien que j’étais frigorifiée.
« Vous devez avoir froid dans cette tenue ? »
« On s’y habitude »
« Vous êtes venue avec votre conjoint ? »
« Heu ce n’est pas mon conjoint »
« Entendu »

Le cinquantenaire était grassouillet et pas du tout dans mes gouts. De taille assez petite, son ventre débordant en faisait un bonhomme disgracieux. Ses cheveux gris semblaient gras et son jean ne devait pas être très propre. Bref tout pour me répugner.

Marc sorti enfin de sa voiture ; ce qui fit légèrement reculer le type. Le camioneur était toujours dans son périmètre de courtoisie.

« Bonsoir Monsieur. »
« Bonsoir, excusez moi je crois qu’il y a eu méprise. Je pensais que cette demoiselle était seule. »
« Oh ne vous excusez pas, vous savez c’est une petite trainée que j’ai ramassé sur la route. Je l’ai amené ici pour en faire profiter aux autres. »
« Je vois que monsieur est partageur, ca se perd de nos jours. »

Il se rapprocha dangereusement de moi. Son air était plus détendu et avait compris maintenant ma présence, seule, habillée de cette manière. Je ne parlai plus.

« Regardez-moi, une belle petite jeune fille toute seule abandonnée. » Il vint se coller dans mon dos me prenant par la taille. Je sentais son souffle parcourir mon épaule. Ses mains remontèrent le long de mon ventre pour venir prendre mes seins.

« Mmmh mais c’est qu’elle est docile cette petite. Dis moi ma petite tu vas être gentille avec tonton Henri hein ? »

Qui ne mot dit consent.

Il retira ses mains de mes seins et dans la seconde j’entendis un bruit de braguette. Il me prit la main pour me guider vers un coin de mur un peu plus à l’abri du vent et des regards. J’étais entre les pissotoirs et un wc fermé. Le sol était sale, jonché de feuilles immaculées dans la boue et certainement l’urine. L’odeur des lieux était forte.

Il me fit m’agenouiller sur ce parterre, son pantalon était déjà baissé jusqu’au cheville et à la manière d’un pilon il enfonça son sexe dans ma bouche sans attendre autre consentement. Je restai statique et ne faisait aucun effort pour donner quoi ce soit comme plaisir à cet inconnu. Mais cela ne semblait pas le soucier.

« Mouaahhhh quelle salope ! Hein ? Tu aimes te faire baiser la bouche. Allez vas y fait moi bander petite pute. Je vais t’apprendre moi à venir te pavaner comme ca sur les aires d’autoroute. » Ce scénario devait le stimuler car son sexe gonfla en une fraction de seconde et rempli la quasi totalité de ma bouche. Il s’agrippait à mes cheveux pour venir me faire aller et venir sur sa bite.
« Allez ma belle avale tout. Je sais que tu en es capable. » Son sexe sentait l’urine à plein nez. Il n’avait même du prendre la peine de se la secouer après avoir pissé tout à l’heure.
J’avais des relents de vomit.
« Qu’est ce qu’il y a elle sent fort ma queue. Tu ne crois tout de même pas que j’allais te la laver pour toi non plus. Allez tu n’as qu’à la nettoyer avec ta salive. »

Tellement occupée à me retenir de ne pas vomir que je n’avais pas fais cas que le routier lui aussi comptait maintenant profiter de la situation.

Sans même avoir prit le temps d’échanger avec qui que ce soit, son sexe vint se présenter à ma gauche.

« Allez, quoi tu ne vois pas que mon ami veut que tu le suces aussi. Un bon garage à bite comme toi ne peut pas lui refuser cela ? »

C’est donc contrainte que j’accueilli un deuxième sexe totalement inconnu dans ma bouche.

« Bonsoi’ messieur. Est ce que je peux me joind’ à vous ? »
« Oh dis donc tu en de la chance ma cocotte. Un black j’espère qu’il sera à la hauteur de leur réputation. Joints toi à nous mon ami. Cette jeune trainée n’attend que çà. »

Marc se tenait bien à l’écart de cela et suivait avec attention ce gang bang improvisé.

Le plus vieux des trois me releva. Il souleva le peu de jupe qui m’habillait et me malaxait les fesses avec fermeté.

« Je crois messieurs que l’on va bien s’amuser avec cette petite pute gracieusement offerte par le monsieur là. »

Il retira mon débardeur et retira ma jupe qu’il jeta au sol sans même prendre garde à les épargner des flaques ou autre.

Le Black qui se tenait derrière moi me cambra et écarta mon string pour venir me lécher l’anus. Henri enfournait son sexe dans ma bouche tandis que le routier me pelotait les seins en attendant son tour pour venir se faire sucer.

Un doigt vint me pénétrer et la langue ne cessait de s’activer autour pour préparer le terrain de l’intrusion d’un second.

« Comment t’appelles-tu mon garçon ? »
« William Monsieu’ »
« Et toi ? »
« Scusi, non ho capito »

Stupeur, le type que j’étais en train de sucer et qui était avec nous depuis déjà un peu plus d’une demie heure en fait ne comprends rien de ce que les autres disaient. Car il n’était pas français.

« Oh putain un Italien ! Moi je m’appelle Henri et toi ? Henri, William et toi ? » En le montrant du doigt.

« Mi chiamo Alessandro »

A défaut de les connaître j’avais au minimum leur prénom, je savais maintenant que j’allais être abusée par Henri le cinquantenaire, William l’antillais et Alessandro l’italien.

« Et ben en tout cas ce n’est pas la pwemiè’ bite dans son cul qu’elle doit se pwend’ celle là ! »

Le plus jeune des trois, déboutonna son pantalon, tout en continuant de fouiller avec son autre main ma petite intimité.

« Wouahhhh ! Quelle bite ! Ah oui en effet ce n’est pas un mythe la taille des blacks. Tu ne vas tout de même pas la baiser par le cul avec çà ? »
« Paw no ploblem ti mal !”

Toujours occupée par la contrainte de sucer l’italien de service, je comprenais par bride ce que les deux autres essayaient de manigancer derrière moi. Le latino devenait plus sec dans ses gestes et comptait bien aussi profiter parti de la situation.

Il s’amusait à me faire essayer de vomir en m’enfonçant de manière très forte et brutale son sexe au fond de ma gorge. Ses mains s’appuyaient sur mes épaules pour bien me tenir cambrée pour que les autres puissent avoir accès direct à mon petit cul.

« Excusez-moi messieurs de vous interrompre. Je vois que vous vous apprêtez à la baiser comme il se doit. Et vous auriez bien tord de vous en priver. Mais voici de quoi vous habiller » Marc avait prévu le coup encore une nouvelle fois et tandis à William une boite de préservatifs.

Henri prit une nouvelle fois les choses en main et vint m’arracher à Alessandro.

« Allez la pute viens te mettre en place pour te faire défoncer la rondelle par notre ami. Les chiennes se font baiser à même le sol non ? Allez fous toi à quatre pattes ! »

Au milieu d’eux, je m’agenouillai sur le sol crasseux et n’eus d’autres choix que d’y venir y poser les mains pour être mise à quatre pattes. Je me sentais honteuse d’être ainsi mise en scène. Mais cela ne leur suffisait pas.

« Allez vas y marche un peu comme çà. Viens chercher ta bite ! Montre à quel point tu en as envie ! » Tête baissée l’air répugnée je m’exécutai à déambuler entre eux à la manière d’un chat qui cherche les caresses sur les jambes de ses maitres.

« Regardez çà les amis, c’est qu’elle se colle à nous la trainée. Tu la veux cette queue ? Hein ? Allez William fais nous l’honneur de défoncer cette petite pute ! »

L’antillais vint me stopper dans ma balade et et me tourna de manière à être derrière moi.

« Allez camb’ toi bien ! Pose ta tête pou’ bien ouvwi ton cul ! » Elle appuya sur l’arrière de ma tête pour venir de force m’obliger à poser ma joue droite directement contre le carrelage. Je sentais sur ma peau l’humidité du sol et de petits gravillons venaient s’enfoncer sur ma peau.

Il me saisit les mains pour venir les mettre en croix derrière mon dos. Alessandro les maintenaient liées. Je n’avais plus rien pour me maintenir et tout mon poids venait se concentrer sur mon visage au sol.

Henri écarta mes cuisses et me cracha dessus pour assister son ami du soir.

Prise entre les mains de ces deux hommes je n’avais plus aucun moyen de m’échapper tellement leur force m’empêchait de bouger. Dans une dernier sursaut de lucidité j’en appelais à leur bonté.

« S’il vous plais ne faites pas çà ! Marc où êtes-vous ! »
« Et bien ma mignonne on aurait des remords ? C’est trop tard je crains. Allez vas y Will défonce là pour nous. »

Il avait retiré son pantalon et s’était équipé d’un préservatif. Un dernier filet de salive et l’impact était imminent.

Je senti son sexe venir se positionner sur mon petit orifice. Les mains d’Henri ne cessèrent d’écarter mes cuisses pour ouvrir au maximum l’étroit passage. Accroupi au dessus de moi, il comptait bien ne pas avoir à s’y reprendre à plusieurs fois pour venir me pénétrer.
J’essayai du mieux que je pouvais de me concentrer. Aussi bizarre que cela puisse paraître, il fallait me faire une raison, je ne pouvais m’échapper et cette sodomie était inévitable. Il me fallait donc me détendre au mieux pour essayer de supporter le mieux qu’il soit cette bite étrangère. Je savais qu’elle était grosse quant à la stupéfaction du cinquantenaire mais je ne l’avais pas encore vu. Qu’entendait-il par gros ?

J’allais être vite fixée, il entama sa descente. C’était fort, il forçait. Je ne pouvais pas me retenir de crier, des larmes coulaient le long de mon visage. J’avais mal. J’essayais de souffler au mieux pour ne pas me contracter plus. Mais c’était impossible, il était trop !

« Stop, s’il vous plaît ! J’ai mal ! Je vous en prie ! Aïe nonnn ! »
Mes doléances n’étaient pas entendues. Il continuait. L’italien forcit dans sa prise en main pour m’éviter de trop bouger. Henri essayait toujours d’écarter un peu plus. William accrocher à mes hanches ne s’arrêtait pas et comptait bien forcer cette porte.

Jamais je n’avais connu une sodomie aussi douloureuse malgré ce que j’avais pu connaître avec Jean Pierre. Cela ne faisait aucun doute, cet étalon était mieux monté que mon sexagénaire.

Mes cris portaient de plus en plus, la douleur était intense. Qu’en enfin avec toute la puissance du sexe black mon petit cul céda. J’ai cru qu’il m’avait déchiré. J’étais en feu.
Mais cela ne semblait pas vouloir le faire arrêter. Quand il eu touché le fond, il commença à bouger en moi et retirait volontaire tout son sexe pour revenir investir le passage.

« Pouahh et bien il t’a bien ouverte on dirait. »
« Mmmh çà y’est je suis bien dedans ! T’es sewé ! Wegad’ comment ca went’ maintenant”

Henri relâcha mon fessier et se prépara aussi, voulant à son tour profiter de l’ouverture. Dans un grand moment de politesse après m’avoir bien écartelé, l’antillais céda sa place au sénior.

« La vache !! On y rentre comme dans un moulin ! Beau travail garçon ! Voilà un cul bien éduqué. »

Alessandro lacha mes mains pour lui aussi passer derrière. Les trois hommes tournèrent ainsi un très long moment, voulant chacun profiter de mon anus le plus possible. J’étais secouée de partout et mes bas s’effilaient toujours un peu plus à force de frotter par terre.

Tantôt ils tiraient mes cheveux pour que je relève la tête afin de me mettre une bite en bouche, tantôt il me l’écrasait totalement au sol.

Allessandro voulu me prendre d’une manière bien particulière. Il me fit m’allonger dos au sol en prenant bien soin de me faire glisser comme si j’étais une serpière. Il passa ses mains sous mon bassin et me forçà à me mettre dans une position qui s’apparente à une chandelle. Ma tête en appui contre le sol, mon cou était torsionné de manière très douloureuse mais encore une fois sans les soucier plus que cela.

Henri essayit de me maintenir ainsi édifiée en me tenant par les jambes. Alessandro prit une position étrange il passa une jambe au niveau de mon flan droit et l’autre jambe derrière ma cuisse gauche. Il était au dessus de moi me chevauchant en billet. Il pointa son sexe vers le bas. Cracha violemment sur mon anus et me pillona avec grosse vigueur. Me surplombant ainsi il n’y avait plus aucun obstacle pour stopper sa descente. Jamais je n’avais été pénétrée aussi profondément. Ca en était même trop.

Amusé par cela William voulu testé aussi suivi ensuite par Henri.

Cela par contre en était trop pour le plus vieux.

« Ohhh putain, je vais jouir. Toujours au dessus de moi. Il se retira, décapuchonna son sexe du préservatif et m’aspergea dans un même mouvement de son foutre. Avec la hauteur le liquide venait m’asperger les seins mais aussi le visage de manière assez forte. C’était dur pour moi de garder les yeux ouverts tellement son jet était incontrôlable.

J’attendais donc patiemment que cela s’arrête, toujours dans cette position d’inconfort. Une sensation bizarre me retira de cet état second, comme s’il pleuvait à la différence prêt que cette pluie était assez chaude. J’entrouvris les yeux pour véritablement me rendre compte qu’il était bonnement en train de me pisser dessus.

« Quoi ma jolie ? Tu n’allais pas rester comme çà pleine de foutre faut bien te nettoyer. Ne me dis pas que c’est ta première douche dorée ? » Toute cette urine m’empêchait de faire quoi que ce soit. Il était impensable d’ouvrir la bouche pour prononcer quoi que ce soit au risque de devoir le boire. Je fermai mes yeux à nouveau pour m’éviter plus longtemps cette image de cauchemar. Ca y est les jets se faisaient par à-coups il devait avoir finir, sa vessie devait être maintenant totalement vide. Une main m’agrippa par les cheveux et me fit me remettre à quatre pattes.

« Et si on lui prenait sa petite chatte maintenant. Hein les gars ? Où pourrions-nous nous mettre à l’aise. A oui tient. Suivez-moi. »
Toujours agrippé à mes cheveux il me traina comme une chienne en laisse dans le WC à coté d’où nous étions. Il bascula la lunette et me fit m’asseoir dessus. A nouveau les jambes en l’air en faisant quasi le grand écart. Allessandro prit place et me baisa. Ses mains frappaient mes seins pleins de pisse. Henri força une nouvelle fois ma bouche pour m’enfoncer son sexe mou qui sentait horriblement l’urine.

J’avais envie de vomir et j’étais à deux doigts de le faire.

William s’imposa devant l’attroupement des deux hommes. Il me releva du siège des toilettes et prit ma place. Dos à lui il vint me faire s’asseoir sur lui pour à nouveau investir mon anus. Il me suréleva de ses mains en maintenant bien mes jambes en l’air et écartées pour que l’italien puisse prendre l’autre trou.

J’étais sur une aire d’autoroute, assise sur un black dans un wc absolument dégoutant prise en sandwich par deux inconnus. Cela était totalement irréaliste, le cauchemar allait bien se terminer tôt out tard. Allessandro se voyait venir et se retira pour venir par le coté m’éjaculer sur le visage. Il devait ne pas avoir jouit depuis un long moment vu la quantité importante qui se déversait sur mon visage.

William continuait à me sodomiser, quand après de longues minutes ce fut à son tour de jouir. Il me fit m’allonger par terre et au dessus de moi m’éjacula et imita son aieul en se terminant par m’uriner dessus.

Dès que leur affaire été faite, ils me laissèrent là gisante sur le sol. Et regagnère chacun leur véhicule.

Marc me laissa un instant seule, je ne savais trop où il était. Quand enfin il arriva à mes coté, me prit en photo avec son téléphone.

« Alors, tu as bien compris maintenant ce que tu étais où il faut que je te fasse une autre démonstration ? »
Je ne répondis pas.
« Allez relève toi sale trainée. Putain tu chlingues comme pas permis. »

Arrivés à son véhicule, il ouvrit son coffre.

« Tu crois tout de même pas que tu vas monter comme çà dans ma caisse. Allez rentre dedans »

Le coffre se referma sur moi et me plongea dans le noir. Le trajet dura une internité mais eu comme avantage de pouvoir me laisser me reposer. Je sentais mon corps meurtris et mon anus me faisait mal. J’étais collante, puante, moche et totalement nue dans ce coffre.
Le coffre s’ouvrit à nouveau. J’étais arrivée chez Marc.

Jean Pierre nous attendait sur le pas de la porte avec une serviette éponge.

« Ca va ma petite Manue ? Viens rentre tu dois avoir froid. Je t’ai fait couler un bain. C’est bon c’est terminé maintenant. Repose-toi et détends-toi. C’est fini. »

Je passai la nuit chez Marc ...
par manukib56
#1752530
Face au miroir

Qu’étais je devenue ? Étais cela que je voulais ? La nuit fut interminable tellement de questions venaient hanter ma nuit.

J’attendais avec impatience le petit matin pour venir m’extirper de cette maison. Je me sentais oppressée.

Il était à peine 8h du matin, je n’avais pas réussit à fermer l’œil de la nuit. Jean Pierre avait lui aussi passé la nuit chez son ami. Une chambre lui était attitrée dans cette immense demeure.

A pas de loup, je vins à son chevet le suppliant de me ramener chez moi.

« Jean Pierre ! Jean Pierre ! J’ai besoin de rentrer chez moi. Tu peux me ramener. »

Il me prêta une de ses chemises pour m’habiller ne serait qu’un peu. Mais vêtements étaient importables de la veille.

On sorti dans la fraicheur matinale et entra dans sa voiture. Au moment où il ferma la portière derrière moi, je me sentis en sécurité. Jean Pierre avait toujours été très délicat avec moi et je savais qu’il n’abuserait jamais de moi. Il avait toujours eu une affection particulière pour moi, depuis le début j’avais provoqué chez lui une certaine émotion, où la tendresse primait sur les autres filles de la bande.

Le trajet se fit dans un parfait silence. Sa voiture s’arrêta devant le grand portail de mon logement de fonction.

« N’hésite pas à m’appeler si tu as le moindre soucis. A n’importe quelle heure. »
« Merci Jean Pierre. Ca va aller. Bonne journée. »

Arrivée enfin chez moi, je me dirigeai immédiatement sous la douche pour encore une fois essayer de me laver de la souillure de la veille.

Emilie venait à peine de se lever.

« Manue c’est toi ? Qu’est ce qui c’est passé ? Frédéric m’a dit que tu avais annulé votre rendez vous au dernier moment. Ca va ? »
« Oui oui t’inquiète. » Je la pris par la main, l’approcha de moi et l’embrassa à pleine bouche. J’étais nue dans la salle de bain prête à me glisser sous ma douche. Ma main effleura le déshabillé de nuit de ma colocataire et le fit glisser le long de son corps et l’invita à me rejoindre sous la douche.

J’avais un besoin de tendresse, de caresses. Je caressai longuement son petit fessier pendant que nos lèvres étaient toujours collées entre elles. Elle avait compris ce que je recherchai et avec le plus de délicatesse possible, s’assura de me détendre du mieux qu’elle puisse.

Ses mains touchaient délicatement mes seins et sa bouche venait les embrasser. Son souffle sous ma peau me donnait des frissons.
Une de ses mains descendit lentement, doucement vers mon entre cuisse. Mon sexe était encore sensible de la veille tellement il avait été malmené. Son touché me fit sursauter les premiers instants, et le temps me fit me réhabituer à la sensation.

Son touché m’électrisait le bas ventre et le désir commençait à monter. A mon tour je vins reproduire le geste sur elle pour que toutes les deux nous soyons sur le même nuage.

Elle alluma la douche. La pluie chaude venait humidifier nos peaux et accentuait cet érotisme du moment.

Elle s’agenouilla face à moi, écarta mes jambes et me fit surélever une sur la paroi de la douche. Elle approcha son visage de ma vulve et y posa un doux baiser. Sa langue vint ensuite panser mes douleurs. Je m’agrippai à ses cheveux, ma tête se bascula en arrière et ma jouissance pue enfin prendre tout son sens.

C’était bon, délicat, attentionné.

Nous restâmes ainsi de longues minutes avant de prendre congés de la salle de bain pour nous étendre sur mon lit.

Frédéric n’avait pas dormit sereinement non plus cette nuit là. Il était toujours dans l’interrogation du pourquoi j’avais annulé notre soirée au dernier moment.

Inquiet il décida de venir ce matin là chez moi pour m’assurer que j’allais bien. Il toqua à ma porte. N’ayant aucune réponse, il ouvrit la porte et entra dans mon grande demeure.

Sans bruit il se dirigea vers ma chambre pensant me trouver en train de dormir. Bien entendu c’est tout autrement qu’il me trouva. Lovée dans les bras d’Emilie entièrement nues.

Toutes les deux nous ne levèrent ensemble et alla à la rencontre de l’homme. Nous le tirâmes à nous, et l’invita à nous rejoindre dans nos ébats.

Cette matinée fût salvatrice pour moi et grâce à elle pu véritablement comprendre qu’elles étaient réellement mes attentes et mes envies.

Le lundi matin quand je suis arrivée à l’agence, avc un gros pincement au cœur et une très grosse émotion. Je m’asseyais pour la dernière fois dans mon fauteuil et alluma aussi pour la dernière fois mon ordinateur.

De la manière la plus formelle qui soit j’adressai mon ultime mail à destination de Marc pour lui annoncer ma démission.

Fin.
par zztop
#1752728
Pas la fin de toutes tes histoires, MANUE..
Viens raconter ce que tu comptes faire, ce qui s'est passé après, de toi, du cas d'Emilie, etc...
Tu dois revenir..
par zztop
#1768463
Déstabilisée? Voire choquée? Que s'est il passé dans ta vie depuis? Que fais tu désormais pour vivre? Ta sexualité n'est elle pas morne désormais MANUE..
Viens me raconter tout cela...
par manukib56
#1781716
C'est en moi !

Le mail que je lui avais adressé raisonna comme une bombe au sein de notre compagnie d’assurances.

Recevant ses mails professionnels sur son Smartphone, il fut instantanément informé de ma volonté de démissionner. Il était loin de s’attendre à cette prise de décision venant de ma part, surtout aussi brutale.

Cela faisait même quinze minutes que je venais d’envoyer mon mail que mon portable vibra en affichant le nom de Marc. Je ne me sentais pas en état de m’entretenir avec lui et préféra laissa sonner dans le vide.

Trois longs bip retentirent, signalant qu’un message avait été déposé. Sans me préoccupé de mon téléphone, je quittai mon bureau en laissant tout comme si je revenais le lendemain.

Mais dans ma tête c’était clair je tournai la clé pour la dernière fois.

J’étais bien décidée à tirer un trait de cette expérience. Un taxi m’attendait devant l’agence pour me conduire à la gare. Ma valise à la main, je rentrai chez mes parents en Ile et Vilaine pour me ressourcer. Je laissais tout derrière moi : voiture, appartement, ordinateur, portable professionnel etc … Bref à cet instant précis je redevenais la jeune Emmanuelle.

Une fois dans le train, je me sentis prise d’un soulagement que je n’avais pas connu depuis des mois. Plus personne ne m’attendait, plus ce besoin d’exister auprès des autres. Je redevenais la jeune étudiante banale que certains qualifiaient de timide.

J’avais coupé les ponts avec tout le monde, je me sentais préservée dans mon cocoon familial, à l’abri de mauvaise intension.

J’avais prétextée à mes parents que je me prenais des vacances exceptionnelles pour essayer de sortir un peu la tête du boulot. Bien entendu je m’étais gardé de leur dire tous dans les détails.

Même Frédéric ignorait où j’étais et je ne l’avais pas mis non plus dans la confidence de ma volonté de démissionner.

J’étais maintenant libre, je n’avais plus rien. Plus de travail, plus d’appartement, plus de voiture.

Je retrouvai ma chambre de gamine, mes parents l’avaient conservée comme je l’avais laissée. Avec mes posters d’époque et quelques peluches meublant encore la pièce. Cette atmosphère en était rassurante. Même si certaines nuits je m’écroulais en sanglots sans trop savoir pourquoi, ce temps était nécessaire pour moi pour me reconstruire et commencer doucement à repenser au lendemain.

Cela fait maintenant trois semaines que je suis chez mes parents, reposée je suis prête à rebondir.

Mon père et ma ma mère sont toujours persuadés que je travaille dans le cabinet d’assurances, je n’ai pas osé leur dire que j’avais démissionné de peur qu’ils me demandent de justifier pourquoi j’ai fais cela.

Je les quittai donc en prétextant retourner au travail et à ma vie de femme d’affaires. Quand ils me déposèrent sur le quai de la gare, j’étais tirailler de voir leur fierté dans leurs yeux. Pour eux j’étais l’exemple même de la réussite sociale. Être à la tête d’une agence d’assurances à mon âge relevait du génie, ils étaient loin de se douter que cela ne relatait seulement que de mon cul.

J’avais décidé de retourner à Vannes pour rendre des comptes à Frédéric et Émilie qui avaient le droit de savoir pourquoi j’avais pris cette décision. C’est la boule au ventre que je suis retournée dans ce wagon pour rejoindre le Morbihan.

Nous sommes le 20 avril, le temps est pluvieux et me voilà après un mois d’absence de retour à Vannes sans trop vraiment savoir où aller.

Ma valise à la main j’errai dans les rues de Vannes. Je décidai de me poser dans un bar pour me réchauffer et réfléchir à ce que j’allais bien pouvoir faire.

Il n’eut fallut pas plus de cinq minutes pour que quelqu’un s’approche de ma table.

« Mademoisell P… quel plaisir de vous revoir. Vous étiez partie en vacances m’a t’on dit ? J’étais passé à l’agence pensant vous voir mais elle était fermée. Rien de grave j’espère ? »

Le monsieur qui venait de m’accoster était un de mes clients.

« Vous a t’on dit ? C’est à dire ? »
« Et bien voyant que l’agence était fermée je me suis permis d’appeler sur votre portable mais c’est un monsieur qui a répondu et qui m’a dit que vous rentreriez d’ici quelques semaines. Et je suis content de vous aujourd’hui. »

Il était certainement tombé sur Marc qui avait récupéré mon téléphone. Mais je fus surprise qu’il espère encore me voir revenir.

Il fallait que j’en sache d’avantage. Je décidai donc d’aller voir Emilie. Je retournai donc à mon ancien domicile.

« Manue !!!! Quel plaisir de te revoir. Je me suis inquiétée tu sais. Tu es partie comme çà sans rien dire. Ca fait du bien de te savoir de retour. Vas y installe toi, je reviens dans tout de suite. »

Je me dirigeai dans le grand salon, rien n’avait changé depuis mon départ à croire que je n’étais jamais partie. Emilie me retrouva dans le salon complètement nue.

« Tu vois je n’ai pas oublié les règles que tu m’avais imposée. »

« Tu peux te rhabiller. Ca en est fini pour moi tout çà. J’ai tourné la page » Je me sentais gênée de la voir ainsi totalement dénudée debout en face de moi. Son sexe était encore impeccablement entretenu sans doute pour coller à la volonté de Marc. Ses petits seins se dressaient juste au dessus de mes yeux. Même sans avoir de réelles attirances pour les femmes, le corps féminin ne me laissait jamais indifférente et je savais apprécier les jolies courbes comme celles d’Émilie. Je connaissais son corps et me souvenais de l’odeur de sa peau. Je sentais une certaine chaleur à l’intérieur de moi, était ce de l’excitation. Je n’en sais rien et ne voulais pas avoir à faire à cela pour l’instant.

« Écoute Émilie, c’est compliqué pour moi. Marc a été trop loin cette fois et je ne peux pas continuer ainsi. Il est temps pour moi de passer à autre chose. »
« Mais l’agence ? »
« Quoi l’agence ? Elle tournait avant moi, elle continuera à tourner après moi. »
« Je ne crois pas non. Tout le monde te demande. Même Maxime le pauvre il est perdu sans toi. Je ne sais pas ce qui c’est passé entre toi et Marc et je dirai que cela fait parti de votre histoire. Mais tu as pensé à moi et Maxime ? Qu’est ce qu’on fait nous maintenant ? »
« Mais vous continuerez comme à l’habitude. »
« Non, Manue ! Justement Marc parle de fermer l’agence et de délocaliser les gros comptes à bordeaux avec Camille, et les petits comptes de les filer à la concurrence. »
« Mais il ne peut pas faire çà ? »
« Je crois que ta démission lui a touché son estime propre et il réagit de manière brutale. Mais d’un coté on le connaît tous maintenant. Mais il en est bien capable tu sais. »
« Pfffffff ! Et sinon tu as des nouvelles de Frédéric ? »
« Oui il vient souvent ici, il ne comprend pas non plus et se demande vraiment ce qui c’est passé entre vous deux. Je préfère être honnête avec toi tout de suite, il nous arrive de coucher ensemble de temps à autres. Tu sais il est très triste en ce moment et …. »
« Non ne te justifie pas, je peux comprendre. Je n’ai pas été très présente avec lui ces derniers temps. Ca ne me gène pas du tout t’inquiète. » et c’était vrai, je les comprenais et cela me rassurait même de le savoir entre de bonnes mains. Émilie était une fille bien et honnête. C’était tout le bonheur que je pouvais leur souhaiter.

Il était temps pour moi de prendre congé et de quitter cet appartement qui ne m’appartenait plus.

« Promets-moi de passer à l’agence demain matin Manue ? S’il te plait ! Au moins pour voir Maxime. »

« Je verrai, je ne sais pas … »
par manukib56
#1782045
Je n’ai pas pu passer à l’agence le lendemain matin, c’était encore beaucoup trop tôt pour moi. Il me fallait panser mes plaies et retrouver un équilibre psychologique pour espérer renouer contact avec ces gens de ce monde.

C’est Émilie qui initia la reprise de contact par un texto appelant de l’aide.

« Il faut que tu reviennes ! STP fais le pour nous ! »

Cela faisait quelques semaines que j’avais élu domicile chez une amie qui m’hébergeait gracieusement. Démissionnaire de mon travail je ne pouvais malheureusement pas toucher les allocations.

Cette fille était une amie de l’IUT avec qui je m’entendais bien mais que j’avais préservé volontairement en laissant un peu de distance à notre relation amicale. Elle n’a pas hésité une seconde quand je lui ai demandé un toit. Elle vivait aussi à Vannes et travaillait comme gestionnaire administratif dans une petite société bretonne.

J’essaye de me faire discrète dans les rues de Vannes, de peur de croiser un client ou quelqu’un comme Jean Pierre, voire même Marc.

Mais l’appel au secours d’Émilie allait provoquer la chose.

Je me rendis à l’appartement un soir pour la rencontrer. Elle m’expliqua que Marc avait été catégorique, et que l’agence vivait ces derniers mois. Le temps de transférer les dossiers et la porte se fermera pour toujours.
Elle me demanda d’essayer de le raisonner, que moi seule pouvait encore éviter le pire.

Prise ainsi par le sentiment de culpabilité, il me fallait une nouvelle fois prendre sur moi pour accepter cette entrevue avec cet homme. L’angoisse m’envahissait …

Mercredi 3 juin :

Nous avions rendez vous dans un restaurant où nous avions l’habitude de déjeuner lors d’occasions extraordinaires. La boule au ventre, je m’avançai seule dans cette rue piétonne en direction de ce lieu de rencontre.

Il était déjà là et m’attendait tout sourire.

« Manue, quel plaisir de te revoir ! Allez viens rentre. Allons-nous installer. »

Sans mots je le suivi dans le restaurant et pris place en face de lui sur cette table minuscule. Je n’osai lever la tête de peur de croiser son regard.

« Bon je n’irai pas par quatre chemins Manue, l’agence a besoin de toi et tu le sais. Si tu ne reviens pas, je ne vois pas comment je peux la garder. Moi je suis bloqué dans l’Est de la France avec mes nouveaux projets, je ne peux pas tout mener de front. Tu es indispensable, il faut que tu reviennes. »
« Non. Pas après ce qui c’est passé. »
« Mais tu en as besoin ! C’est peut être dur à admettre mais tu as ce besoin d’être stimulé de cette manière. Si je suis là aujourd’hui à vouloir te faire revenir ce n’est pas à cause de ton cul ma belle. Je suis convaincu de tes compétences, je sais que tu es capable de mener cette agence d’une main de maître. A la différence des autres, tu as un besoin d’être stimulé de cette manière pour gagner en efficacité. »
« Mais comment pouvez dire çà ! Vous croyez que de se faire violer sur un parking, c’est de la stimulation par le haut. »
« Oublie cette enveloppe charnel. Fais en abstraction. » Le ton montait entre nous deux.
« Comment çà fais en abstraction, vous voulez que je vous remémore qu’ils m’ont tout de même pissé dessus ! » J’étais aux bords des larmes
« Et alors quoi ! Oui, ils l’ont fait. Oui ils ont abusé de toi. Mais entre nous, je commence à te connaître Manue. Tu as pris ton pied ! C’est juste ton estime de toi qui en a prit un coup. C’est tout. Tu as besoin de cela pour avancer, c’est comme çà faut l’assumer. Ce n’est qu’un corps, je sais ce que tu vaux autrement. Regarde comment tu t’es affirmée en quelques années. Dans ton couple, dans ta relation avec les autres … Sans cette stimulation tu ne te serais pas forgée cet état d’esprit et ces ambitions. Tu as besoin de cela ais tu te le refuses trop encore. Regarde ton stagiaire, un coincé de première qui grâce à toi c’est émancipé et demande à ce que tu reviennes. Acceptes d’être ce que tu es ! »

Cela en était trop pour moi, j’ai préférai quitter le restaurant.
par manukib56
#1786339
Mon retour dans la vie active.

Mercredi 10 juin 2015 :

Il m’eu bien fallut une semaine pour peser le pour et le contre avant d’enfin décider à revenir à l’agence.

Portée par le fait de ne pas imposer à Émilie et Maxime les conséquences de ma décision, je me devais de revenir pour leur permettre de continuer d’avoir de l’activité.

Ce matin là avait un goût amer. Sans la grande conviction que je connaissais il y a encore quelques mois. Je trainais chez ma copine pour me préparer, je faisais volontairement durer les choses pour reculer encore un peu plus.

J’arrivai devant la porte de l’agence. La lumière du plafonnier dans l’espace d’accueil était allumée. Je n’étais pas la première arrivée.

Je poussai la porte et entra dans le hall. J’apercevais au fond de la pièce la porte de mon bureau fermée.

Je m’y dirigeai avec toujours cette boule au ventre. Tout était calme. J’allumai la lumière dans mon bureau et redécouvrit mon ordinateur et mes dossiers qui ne semblaient pas avoir bougés même d’un millimètre.

Emilie m’entendit arriver et vint à ma rencontre un café à la main.

« Salut Manue ! Contente de te voir parmi nous ! » Elle était entièrement dénudée, fidèle aux règles qui nous étaient imposées. Je ne pouvais m’empêcher de regarder son corps parfaitement dessiné. Ce fût celui de Maxime qui arriva dans mon bureau pour me saluer.

« Bonjour Manue. Content de vous revoir aussi. » Mes yeux instinctivement se posèrent sur sa verge. Cela faisait des mois que je n’avais vu le sexe d’un homme, à en croire que j’avais oublié à quoi cela ressemblait. Lui aussi avait opté pour une épilation intégrale. Cela m’amusait de voir que même chez les hommes la chasse aux poils était devenue un véritable phénomène.

Pour retrouver ma place dans cette société il fallait que je fasse des efforts. Je les invitai à m’attendre dans mon bureau pour que nous fassions une petite réunion staff. Je les quittai pour aller dans la salle de pause. Cette fameuse pièce où nous devions laisser nos habits les mercredis. Je me forçais à la tâche, je me devais de mettre au même niveau que mes camarades. Je quittai donc mes vêtements un a un pour finir aussi entièrement nue à mon tour.

Nous étions tous les trois assis nus dans l’espace salon de mon bureau, buvant un café. Je me faisais exposer par mes collaborateurs tous les suivis des dossiers depuis mon départ. J’essayai du mieux que je pouvais de donner mes lignes directrices pour rattraper le retard engendré. Je savais que mes semaines à venir allaient être très fournies en masse de travail pour combler cette absence.
Occupés à déblatérer sur chaque dossier aucun de nous entendu la porte de l’agence s’ouvrir et se fermer.

Marc fît irruption dans mon bureau sans même prévenir de sa présence.

« Ah çà y est la team de Vannes est au complet. Je vois que vous êtes studieux ! »


Il nous dévisagea tous les trois et son petit rictus que je lui connaissais de toujours ne l’avait pas abandonné.

Il a alla se mettre à côté d’Emilie sans rien demander déboutonna son pantalon et sorti son sexe mou le tendant à sucer. La jolie rousse le saisit en bouche et s’attela à le faire gonfler entre ses lèvres.

J’assistai blaze à la scène me disant que de toute façon, en ayant acceptée de revenir ici il fallait me faire à l’idée que ce genre d’événement allaient refaire partis de mon quotidien.

Maxime regardait avec envie son patron en train de se faire sucer, son sexe se durcissait aussi excité par ce spectacle. Emilie se donnait à la tâche. De temps en temps on entendait des sons de gorges, elle s’essayait à la profonde. Marc était agrippé à ses cheveux la retenant de tout retour en arrière et s’assurant ainsi de l’avoir toujours collée contre son ventre. Elle essayait de le repousser en appuyant sur ses hanches, mais l’homme ne fléchissait pas. Son visage devenait rouge et preuve qu’elle était en train de s’étouffer. Il la relâcha enfin, lui accordant un moment de répit. Avant à nouveau de s’y ré engouffrer.

Vulgairement, il était en train de la baiser par la bouche. Elle quitta son siège pour venir se mettre à genoux devant lui. Il fît signe à Maxime de venir près de lui.

« Fais en sorte qu’elle ne se dégage pas ! » Le stagiaire était maintenant au courant des pratiques de son patron et il n’avait plus besoin qu’on lui explique ceux dont on attendait de lui. Il se mit derrière Emilie et lui attrapa ses mains pour l’obliger à les garder dans son dos. A l’aide de son autre main, il appuyait sur sa tête pour la faire s’enfoncer toujours un peu plus sur le sexe de Marc. C’était lui maintenant qui décidait du rythme.

« C’est bien mon petit ! Voilà fais-la s’enfoncer encore plus. Elle peut me prendre en bouche encore plus elle en a la capacité. C’est sûr que sa responsable d’agence à des prédispositions pour ce genre de pratique. Je dirai même qu’elle excelle dans cette pratique. Heine Manue ? »

Tout en baisant la bouche d’Emilie il s’adressait à moi comme si c’était ma bouche qu’il était en train de remplir.

Il s’en amusait, il avait compris qu’étant revenue au sein de l’agence, j’assumais indirectement ce qui s’y passait. Il retira son sexe et laissa respirer la jeune assistante. Il se dirigea vers moi le pantalon rabaissé et le sexe encore gorgé. Il me prit la main droite et fit comprendre en tirant dessus qu’il voulait que j’obtempère et m’agenouillant à mon tour devant lui.

J’arrivai au niveau de sa ceinture, mon visage était presque à le toucher. J’entrouvris légèrement la bouche pensant qu’il voulait l’investir. Mais non, il se garda une distance et se paluchait énergiquement.

Bestialement, comme le dominant de la troupe il comptait seulement marquer son territoire en venant m’éjaculer dessus. Je me convaincu que ce n’était qu’une enveloppe corporelle et qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait.

Il s’astiquait encore et encore quand soudain je compris qu’il était arrivé au point de non-retour. Il fléchit légèrement les genoux pour bien s’axer en face de mon visage. Posa sa main sur le dessus de ma tête de peur sans doute que je ne fuie. Les premiers jets sortir de son sexe et viennent gicler en désordre sur mon visage. Un coup sur ma joue, l’autre sur mes lèvres allant même dans mes yeux, que j’essayais de garder le plus possibles fermés.

Son sexe ramollissait à chaque giclée, il me bifflait avec en prenant bien soin de répandre sa semence partout sur mon visage à la manière d’un masque de soin. Le devant de mes cheveux était collant de sperme. Une fois s’être bien vidé, il me fit ouvrir ma bouche et je due le nettoyer de tout son foutre avant de ne pouvoir le laisser prendre congé de moi.

Contre toute attente vint le tour de Maxime qui sous les ordres de son supérieur, tout penaud prit lui aussi place devant moi et le sexe tendu vers moi se masturba quelques instants avant de venir immaculer mon visage. Il se déchargea en deux temps, le premier étant focalisé sur mon visage il descendit ensuite pour venir se finir sur mon petit 85B.

Il colla son sexe tout gluant entre mes seins et vint les serrer contre et s’offrit une petite caresse mammaire. Il savourait le moment et marqua la fin en me saisissant par les tétons le temps d’un instant pensant qu’il allait pouvoir les faire se dresser.

Marc renfourna son sexe dans son pantalon.

« Bon je vous laisse à votre travail. On déjeune ensemble ce midi ? Je reviens d’ici une petite heure. »

Il quitta mon bureau comme il y était entré.
par zztop
#1788411
Effectivement, tu fais une erreur majeure de jugement.. Si tu as eu ce poste, c'est grâce à tes compétences professionnelles et non pas pour ton cul.. Aussi accueillant soit il... Et autre erreur : ce n'est pas l'excuse d'Emilie et du stagiaire qui t'a fait revenir... Non, petit cul..? Viens faire un tour aux Charrues pour te changer les idées
par manukib56
#1943128
Voilà bien plus d’un an que je ne me suis pas connectée sur le forum. J’y suis retournée cette semaine et j’ai été agréablement surprise de voir au combien mes textes étaient lus.
J’ai reçu un grand nombre de marques d’affections de vous par messages privés et je vous en remercie.
Je dois dire que c’est agréable de se savoir soutenue et comprise. Merci à tous !
Pour donner de mes nouvelles donc.
En juillet 2015, j’ai fait un abandon de poste me permettant ainsi de toucher le chômage tout de suite.
J’ai pas mal galéré ces quelques mois, je suis rentrée sur Vitré chez mes parents.
J’ai coupé tout contact avec Vannes et ces habitants. (Marc, Mathias, Frédéric, Audrey etc…)
Seuls quelques messages étaient encore échangés avec Emilie par sms, qui s’inquiétait beaucoup pour moi.
Je crois que j’ai frôlé de très près une petite dépression. Heureusement ma famille et mes amis d’enfance ont sût m’encadrer et me donner espoir en mon futur.
Jean Pierre, était très inquiet pour moi et s’en voulait terriblement de la tournure qu’avaient pris les choses.
Cette soirée sur l’aire de repos était pour lui peut être la soirée de trop.
Je savais qu’il prenait de mes nouvelles via Emilie et je sentais bien au fond de lui qu’il avait réellement d’empathie envers moi.
Il aura été un peu mon Saint Bernard dans cette affaire, c’est grâce à lui aujourd’hui que je me suis reconstruite et que je peux revenir à vous.
Je ne travaille plus dans les assurances mais dans les produits bancaires. Jean Pierre a beaucoup sollicité ses contacts en tant qu’ancien chef d’entreprise. Et grâce à lui je travaille maintenant dans une banque en tant que chargée d’affaires en produits bancaires (prêts, placement etc …).
Je vis maintenant sur la région de Lorient avec Jean Pierre, nous formons un couple heureux depuis presque un an.
Beaucoup de choses ceux sont passées qui j’en suis sûre feront l’objet de nouveaux récits.

Votre dévouée Manue
par manukib56
#1943420
Un nouveau chapitre est en train de s'ouvrir

12 décembre 2015 :

Cela fait maintenant quatre mois que Jean Pierre et moi sommes officiellement en couple. Il a déménagé aussi pour que nous installions dans une petite commune limitrophe de Lorient, là où je travaille maintenant.

Notre vie est des plus classiques à la différence près notre écart d’âges qui provoque encore chez certains des interrogations.

Jean Pierre vit pleinement de sa retraire d’ancien chef d’entreprise tandis que moi je me construis une nouvelle vie professionnelle sur une base plus seine.

Avec Jean Pierre nous discutons beaucoup, son calme et son analyse me permettent d’amener beaucoup de réponses à mes questions et vraiment me donner confiance en ce que je suis réellement.

Notre sexualité est jusqu’à aujourd’hui classifiée comme banale, si on peut classifier cela comme çà. La fidélité est bien présente autant chez moi que chez lui.

Mais une certaine routine commença doucement à s’installer, ma reprise de confiance en moi me fît aussi admettre que cette sexualité un peu débridée est essentielle pour moi et que la sensation d’appartenir à un homme dominant était entrée dans mes meurs.

Jean Pierre avec son rôle protecteur et quasi paternel ne pouvait plus m’offrir cela. Il était garant de mon épanouissement mais plus à n’importe quel prix.

Mais par amour pour moi il était prêt à quelques sacrifices.

Un jour de semaine, il m’annonce qu’il nous a réservé une petite chambre dans un hôtel spa cinq étoiles dans le nord de la Bretagne pour aller se détendre un petit peu en cette fin d’année.
C’est vrai que mon travail me prenait beaucoup de temps et que le stress m’avait un peu tendu. L’idée d’un petit week-end relaxant était fort opportune.

Nous arrivions devant ce magnifique hôtel sur la côte de Perros-Guirec, offrant une vue imprenable sur la mer. Il faisait froid et la pluie battait fort, un temps idéal pour s’offrir un petit séjour cocooning dans cette demeure de luxe où Spa et soins du corps seront mes seules activités.
Nous étions arrivés en tout début d’après-midi, la table pour le déjeuner était réservée. A peine déposé nos valises dans notre chambre très cosie et à la décoration intérieure très raffinée, nous descendîmes au restaurant.

La table ronde s’accolait à l’immense verrière offrant une vue à 180° sur la Manche. Le détail des quatre couverts ne m’avait pas interpelée tout de suite. Je sentais Jean Pierre subitement un peu tendu comme gêné à l’annonce de quelque chose.

« Ça va ? »
« Heu oui oui. »
« Tu m’as l’air tendu ? »
« Non non ça va. Je t’assure ! »

Un couple fît son apparition dans la salle du restaurant et sont pris en charge par le serveur. Débarrassés de leurs manteaux, ils arpentent l’allée entre les tables vers notre direction.

A leur approche Jean Pierre se leva.
« Bertrand ! Comment vas-tu ? »
« Bonjour Céline. » Et il fit la bise à cette dame.

Ils étaient dans les même âges que Jean Pierre, peut-être un peu moi pour la Dame. L’homme était assez grand et gardait une certaine forme athlétique. Quant à elle, plus petite mais relativement fine et très bien conservée pour son âge. Ces cheveux blonds ondulés laissaient entrevoir des reflets blancs. Elle était très sobrement maquillée et habillée avec très grande classe.

« Je vous présente ma compagne, Emmanuelle. »
« Enchantée Emmanuelle. Bertrand. Jean Pierre m’a beaucoup parlé de vous. »
« Bonjour, Céline, la femme de Bertrand. »
« Vous avez fait bonne route ? » Jean Pierre les invita à notre table.

La discussion battait son plein et de manière très courtoise. Devant cette petite déconvenue je restais malgré moi un peu en retrait, ne comprenant pas trop pourquoi Jean Pierre ne m’avait pas parlé de la venue de ses amis ce week-end. Ceci le rendait encore plus suspicieux.

Il faut tout de même l’avouer ce couple était très charmant et d’agréable compagnie. En rien ne se dégageait d’eux quoique ce soit de déplacé.

Ils me posèrent beaucoup de question à mon intention me demandant ce que je faisais dans la vie, quels étaient mes centres d’intérêts. Au fil de mes réponses je me doutais bien qu’ils étaient déjà au courant de pas mal de sujet me concernant. Ceci me toucha, à l’idée que Jean Pierre parle de moi autant à son entourage proche.

« Dites-moi Emmanuelle, j’ai un modelage dans une petite heure vous inviteriez vous à moi histoire que nous papotions pour laisser ainsi nos hommes. »
« J’en serai ravie. Merci. »
Céline se leva, embrassa son mari.
« Je monte à notre chambre pour passer mon peignoir. Emmanuelle nous nous retrouvons à l’espace Spa ? A tout de suite » La ravissante dame prit congé de nous.

Voyant l’heure, je m’excusai auprès de ces messieurs pour à mon tour me changer pour le soin.
Je retrouvai Céline dans le patio de l’hôtel. Toutes les deux en peignoir nous attendions les masseurs.

Une jeune femme et un jeune homme vinrent à notre rencontre, ils portaient le polo bleu marine du staff Spa.

« Mesdames, si vous voulez bien nous suivre. »

La pièce n’était pas bien grande et sentait bon les huiles essentielles. De jolies plantes vertes venaient orner la salle. On nous remis une grande serviette de bain à chacune. Pudiquement je m’éclipsai derrière un paravent pour ôter mon peignoir et m’enrouler dans la serviette.
Céline, sans doute moins pudique que moi, retira son peignoir et le déposa sur une chaise. Elle allongea sa serviette sur la table de massage et vint s’y allonger dessus ventre à plat.
Brièvement, dans sa quasi nudité intégrale (seulement une culotte de dentelle l’habillait), je remarquai que son corps était encore très ferme pour son âge. Que je situais aux alentours des cinquante-cinq ans. Sa poitrine certainement plus généreuse que la mienne défiait encore les lois de l’apesanteur.

Toutes les deux seulement drapées de notre serviette sur les hanches nous nous faisions masser. Céline était pétrie par les mains musclées du jeune homme tandis que j’étais éprise de la douceur de la jeune fille. Le moment était plus que relaxant.

Après bien trois quart d’heures de relaxation extrême, ils nous couvrirent d’une couverture chauffante et prirent congés de nous en laissant le soin de mettre une petite musique douce en fond.

Nous étions toutes les deux, allongées, cote à cote.

« Quel calme ! Moi je suis totalement détendue. Et vous ? »
« Oh oui, cela m’a fait un bien fou. »
« Jean Pierre me disait que vous travaillez dans l’agence …… sur Lorient ? »
« Oui, je suis chargée d’Affaires. J’y travaille depuis septembre. »
« Je sais Jean Pierre nous a raconté votre histoire. Comment vous sentez vous maintenant ? »

Elle semblait être au courant de beaucoup de choses et j’imagine bien qu’elle doit être dans la confidence … Je n’osai répondre et laissa pas à un long moment de silence.

« Je connais Marc vous savez. Je sais de quoi il est capable. C’est normal que vous soyez autant bouleversée. Nous sommes pareilles c’est indéniable, à la différence prêt vous étiez trop jeune pour cela. »

Je ne comprenais pas trop où elle voulait en venir par « nous sommes pareilles »

« Quand Marc tient une jeune femme et qu’il sent le pouvoir qu’il peut exercer sur elle, il devient incontrôlable. On ne peut pas anticiper ce dont il veut et les limites qu’il se donne à lui. C’est un peu ce que nous recherchons inconsciemment au fond de nous, mais pour cela il faut être totalement en phase avec nous-même. Et seule la maturité peut nous aider à assumer cela. »
« Pourquoi me racontez-vous tout cela ? »
« Jean Pierre est venu nous voir pour nous parler. Il sent que vous n’êtes pas tout à fait épanouie, qu’il vous manque quelque chose. Aussi étrange que cela puisse paraitre quand vous étiez sous l’emprise de Marc vous sembliez plus assouvie et plus sûre de vous. Effectivement la dernière épreuve qu’il vous a fait vivre, vous l’avez vécu comme extrême, borderline. Certains pourraient même qualifier cela de viol. Mais c’est juste que c’était trop tôt dans votre éducation. Jean Pierre tient beaucoup à vous ça se ressent, depuis le premier jour où il vous a rencontré. Mais il sait que vous avez besoin d’autres choses, que vous êtes très demandeuse. Et par amour, il accepte. Il sait que pour vous garder à ses côtés il doit vous donner certaines libertés pour que vous puissiez assouvir vos besoins et canaliser votre excitation. »

« Mais comment avez-vous connu Marc et Jean Pierre ? »

(…)
par manukib56
#1943712
Qui sont ils ?

(…)

L’histoire est assez longue.

Bertrand et moi nous nous sommes rencontrés alors que nous étions encore sur les bancs de l’école, pendant nos études supérieurs.

Bertrand suivait des cours pour reprendre l’entreprise familiale et moi j’étudiais la compta.
Depuis notre première rencontre nous nous sommes jamais séparés, même dans le travail. C’est moi qui tenais la comptabilité dans le groupe.

Nous avions une petite vie très bien rangée. Après nos études, Bertrand a donc reprit la société de terrassement de son père et je suis venue l’épauler pour tout ce qui était administratif et comptabilité.

Nous nous sommes mariés et avons eu deux beaux enfants.

C’est en 2005 que tout a commencé. Bertrand avait considérablement développé la société et avait racheté quelques entreprises locales pour étendre son activité dans la région.

Très vite de petite PME, nous sommes arrivés à un groupe comptant pas loin de 200 salariés.
Devant cette croissance à trois chiffres notre assureur historique ne pouvait plus nous garantir. Notre cheptel d’engins, de véhicules et notre masse salariale devenaient trop important pour sa structure plus axé particuliers et petites entreprises.

Le club des entrepreneurs auquel Bertrand appartenait lui avait donné le contact d’un assureur réputé et capable de pouvoir nous assurer dans les meilleurs conditions.

Le rendez-vous a donc été pris avec ce fameux Marc. Je me souviendrai toujours de cette première rencontre.

Nous nous rendions, Bertrand et moi, à son agence pour discuter des modalités. J’ai tout de suite été prise de quelque chose devant cet homme sûr de lui, avec un discours commercial bien rôdé. Son regard était lourd et pesant. La présence de Bertrand ne le mettait en rien mal à l’aise. Il en allait même à des commentaires du genre : « avec une épouse aussi charmante que la vôtre » etc …

L’entretien dura une bonne heure, au moment de nous quitter il nous raccompagna jusqu’à la porte.

« Au plaisir de vous revoir très prochainement. Et peut-être dans d’autres situations ? »
Bertrand n’avait pas relevé cette fin de phrase et salua l’assureur content d’avoir pu traiter une affaire avec lui. La poignée de main je lui adressai était sans équivoque plus moite et moins ferme. Son large sourire n’était pas là pour me rassurer.

Jusque-là tout se passait normalement, j’avais peu de contacts avec lui si ce n’était pour gérer des facturations ou des réactualisations de certificat. Je m’y étais fait à ces petits piques misogynes et essayait d’en faire abstraction.

En 2008, nous avons connu dans la société une petite baisse d’activité, la concurrence était rude et les prix de marchés s’effondraient. Nous devions resserrés nos dépenses au mieux pour maintenir la tête hors de l’eau. Bertrand s’investissait énormément dans son travail et se donnait corps et âme pour maintenir l’activité et assurer de garder ses salariés. Je le voyais moins souvent.
De mon côté j’essayais au mieux de limiter nos dépenses et cherchait les économies possibles. Les assurances étaient un gros poste de dépense pour nous chaque trimestre. D’années en années les trêves augmentaient et commençaient à peser lourd dans la balance.

Je décidai de mon propre chief de prendre rendez-vous avec Marc pour trouver une optimisation ou alléger certaines clauses.

Et c’est là où tout a commencé …

Il m’a reçu dans son bureau un soir alors que tout le monde avait quitté l’agence.

Je lui expliquai la situation économique de l’entreprise, qui certes n’était pas catastrophique mais qu’une vigilance accrue des dépenses était nécessaire pour redresser la barre.

Marc, était très à l’écoute même si je sentais de temps à autre son regard un peu insistant sur mon chemisier.

Après de longues minutes de discussion et d’échanges, il en arrive à me proposer des solutions avec des échéanciers de paiement mieux étalés, et des clauses suspensives retirées. Bref, nous avions trouvé un accord. Mais une question me taraudait l’esprit.

« Mais dites-moi ce que nous faisons, cela rentre bien dans le cadre réglementaire ? »
« Je ne vous cache pas que nous tutoyons avec la légalité même si nous n’en sortons pas. Mais ne vous inquiétez pas ceci est mon affaire. Ce n’est pas pour rien que tous les grands entrepreneurs me font confiances. » Un dernier clic sur son ordinateur, Il se leva de sa chaise, se dirigea vers la porte de son bureau et referma la porte. Je n’osais me retourner. Le cliquetis de la clé de la porte me fît tressaillir de peur.

« Bien entendu, comme nous chevauchons avec la légalité il m’est indispensable d’avoir une contrepartie de votre part. Comme dans toute négociation, des concessions doivent être faites dans les deux sens. »
« Vous savez comme je vous le disais, nous avons une trésorerie très tendue. Je ne sais pas combien vous voulez mais nous ne pourrons certainement pas payer, si ce n’est ce que nous vous devons. »
« Qui vous parle d’argent ? N’y a-t-il vraiment que çà dans la vie ? »

Il s’approcha de moi et posa ses mains sur mes épaules. J’étais tétanisée et çà il le savait.

« Je fais un pas vers vous, maintenant c’est à vous de faire un pas vers moi. Vous voulez enlever le stress à votre mari ? Il se démène tant pour votre société. Il serait tellement fier de vous, de savoir que vous aussi vous vous démener pour trouver des solutions pour l’entreprise. » Sa main glissait dangereusement sur mon sein droit. Par-dessus mon chemisier il venait me peloter.
Je suis d’éducation catholique, issue d’une famille assez bourgeoise. Nous avons toujours été élevés dans des règles d’éducations traditionnelles. La sexualité était existante bien sur entre Bertrand et moi mais cela était très conventionné. C’est tout juste si je pratiquais la fellation. Cela m’arrivait de temps en temps mais vraiment pas de manière systématique. Je trouvais ça rabaissant pour la femme que de prendre le sexe de son mari en bouche pour lui procurer du plaisir.

Marc me fît me lever, par la main il me fît faire le tour de son bureau. Il s’assit sur sa chaise de bureau et me fît mettre à genoux devant entre ses jambes.

« Je ne veux pas qu’il est quoi que ce soit de signé entre nous. Tout ce qui nous liera sera de l’oral !!!! » Son rire en disait long sur jeu de mots.

Il dégrafa sa ceinture, déboutonna son pantalon et lentement fît glisser sa braquette pour en extraire son sexe. C’était la première que je voyais un autre sexe que celui de mon mari.
Sa main empoigna ma chevelure et avant même que je ne puisse réagir, il m’inclina pour que mon visage soit au plus près de sa verge.

« Allez ma petite bourgeoise. Montre-moi ce que tu sais faire. Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça ! »

Pétrifiée, hypnotisée, horrifiée, aucun qualificatif ne pourra illustrer vraiment ce que je ressentais à ce moment-là. Comme transportée, sans vraiment comprendre ce qui m’arrivait. Sous la contrainte j’ai dû ouvrir la bouche et gober son sexe mou.

« Vas-y salive plus pour bien la faire glisser ! Mais dis-moi ce n’est quand même pas la première que tu suces une bite dit moi. Allez vas y ! » Sa main sur mes cheveux donnait la cadence. Je salivais pour faciliter l’intrusion et remarqua que cela faisait gonfler sa verge dans ma bouche.
« Mais non de Dieu, range tes dents !!! » il me gifla le visage pour me remettre dans le droit chemin.
« Je suis sûr que ta gamine de 17ans suce mieux son petit ami que toi tu ne dois sucer ton mari. Allez maman mais toi à l’ouvrage. »

Sa verge était maintenant devenue bien raide et il ne cessait de pousser toujours un peu plus loin dans ma gorge au risque de m’étouffer.

Il la ressortie et me fît cracher dessus.

« Allez crache sur ma queue Maman et ouvre grand la bouche. Je vais t’apprendre comment une bonne salope comme toi doit sucer. Tu feras un heureux à la maison après çà, je te le garantie. »
Je libère de ma bouche un petit filet de bave qui vint s’écraser sur son gland. Docilement j’écartai les lèvres pour lui offrir ma bouche bien béante.

Sa main resserra ma touffe de cheveux, son bassin se décolla de l’assise de sa chaise et brutalement il vint enfourner son sexe dans ma bouche. Ses va et viens étaient incessants et il n’hésitait pas à se retirer totalement pour se refourreauter dans ma gorge.

« Voilà, comme çà. Vas-y maintenant joue un peu avec ta langue. Fais monter la sève. Tu voulais me donner de l’argent mais c’est moi qui vais te donner des liquidités »

Déjà que la fellation n’était pas une de mes pratiques favorites alors l’idée du sperme me dégouttait au plus haut point. J’avais bien sur entendu que certaines femmes pouvaient avaler le sperme de leur conjoint mais pour moi cela restait très fantasmagorique pour les hommes et n’était réservé qu’à une poignée de femmes. Comme dans les films x par exemple.

Il alterna sa main sur main, pour me prendre avec sa main gauche. La main droite libérée le servait maintenant à se masturber tout en m’obligeant à le prendre en bouche.

Sa verge se gonflait encore entre mes lèvres, et sans prévenir un jet long et fort inonda ma bouche. Il venait de m’éjaculer dans ma bouche. La quantité était abondante et j’essayais d’évacuer ce liquide blanchâtre le plus possible par les côtés. Son foutre coulait le long de mon menton et venait goûter sur mon chemisier et le sol du bureau.

« Ne me dis pas que tu n’y pas goûte. Allez nettoies moi tout çà. »
Il me força à lui nettoyer le sexe. C’était la première fois que je goûtais le sperme et ce n’était pas celui de mon mari. Chaque coup de langue me ramenait une quantité de ce liquide chaud et à ma grande surprise sucré et pas si nauséabond.

J’étais bouleversée par ce qui était arrivé. Je reprenais petit à petit mes esprits à genoux entre les jambes d’un parfait inconnu.

Je quittai le bureau sans même me retourner et sans dire un mot.
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