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Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par Patrick
#299
:?:
Modifié en dernier par Patrick le 23 sept. 2009, 13:51, modifié 1 fois.
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par patricesud
#305
bjr "expérience inoubliable" ça c'est certain, mais pas dans le bon sens du terme en ce qui me concerne,la 1ere fois tu n'étais pas cocu car consentant mais maintenant tu vas l'etre mais aprés tout si ça te plait comme ça.
par Patrick
#345
patricesud a écrit :bjr "expérience inoubliable" ça c'est certain, mais pas dans le bon sens du terme en ce qui me concerne,la 1ere fois tu n'étais pas cocu car consentant mais maintenant tu vas l'etre mais aprés tout si ça te plait comme ça.


C'est bien pour ça que je dis , que lorsque l'on demande à sa femme de prendre un amant , juste pour éprouver la sensation de la savoir dans les bras d'un autre homme , on prend le risque de la voir répéter les aventures , et de ne plus rien maitriser ...! Il ne faut pas trop tenter le diable !
par ptikikietcocu
#792
Il n'y a pas de danger selon moi et d'après mon expérience. Mais il est vrai que celui qui veut devenir cocu consentant ouvre la cage aux oiseaux. La marche arrière est périlleuse. Mais si on est vraiment amoureux de sa femme, si on a très envie de la savoir heureuse et satisfaite, alors, cette douce humiliation qui résulte des moments qu'elle passe avec un autre, à qui elle se donne totalement, est facile à vivre.
Pour ma part, je suis cocu depuis 25 ans et mon épouse a un amant régulier depuis une vingtaine d'année, amant qu'elle reçoit à la maison, qui déjeune ou dine avec nous et qui bien sur emmène ma femme au 7ème ciel dans le lit conjugal, en ma présence ou non, avec ma participation ou non. Entre mon épouse et moi, nos relations sexuelles se sont espacées et depuis 5 ans, elles me sont interdites (à ma demande). En effet, je lui ai demandé si lorsqu'elle faisait l'amour avec moi, elle le faisait par envie ou par devoir parce que je suis son mari. Sollicitant une réponse franche, elle m'a avoué qu'elle n'éprouvait aucune envie de faire l'amour avec moi et que, d'ailleurs, pour jouir, c'est à son partenaire du moment qu'elle pensait. Je n'en ai pas été étonné dans la mesure où je n'ai jamais réussi à lui donner autant de plaisir que ses amants, n'étant ni assez membré (10cm en érection sur 2,5cm de diamètre), ni très résistant (je serais plutôt un éjaculateur précoce), ni très endurant (après un rapport, je suis "out"). Ses amants ont donc contribué à équilibrer notre couple qui vient de dépasser 30 ans de mariage. Autant dire que nous ne regrettons rien
par hubby
#804
ptikikietcocu a écrit : Mais si on est vraiment amoureux de sa femme, si on a très envie de la savoir heureuse et satisfaite, alors, cette douce humiliation qui résulte des moments qu'elle passe avec un autre, à qui elle se donne totalement, est facile à vivre.

Comme "ptikikietcocu" J'ai du me rendre à l'évidence, Je ne donnais plus de plaisir à me femme. Et plutôt que de l'obliger à une relation sexuelle qui ne lui apportait rien, il y a 5 ans, nous avons à mon initiative décidé de ne plus l'obliger à baiser. Cela fait 5 années qu'elle profite d'une totale liberté sexuelle et que nous vivons en totale harmonie.
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par cpl75marichaste
#1308
rebonjour amis
en effet on se croit souvent plus fort que l'on n'est
en realite voila un episode (reel) ou j'avais "craqué". Et pourtant cela n'a fait que renforcer notre parcours

Nicolas avait admis qu’il était le seul à provoquer en elle de telles émotions et ce rayonnement incomparable qu’elle affichait après chacune de leurs rencontres. Et la satisfaction en retour que lui-même éprouvait et qui alimentait ce désir de la séduire plus encore.
Après de longues circonlocutions et atermoiements, elle était venue, pateline, à lui demander de passer une longue soirée, voire une nuit, seule avec Damien. De ne pas avoir à partager.
C’était aussi troublant que tentant et, présumant de lui-même, Nicolas accepta, se proposant même de préparer le nid des tourtereaux. Il leur réserva une suite au sommet du Sofitel Sèvres, puis à l’heure dite l’y conduisit . Elle ne voulait pas qu’ils se rencontrent. Que Nicolas puisse empiéter sur ce qu’elle voulait n’appartenir qu’à elle. Il se gara au parking du sous-sol, se rendit à la réception chercher la clé et régler la chambre puis la rejoignit.
- Voilà mon amour. La clé de votre nid d’amour…
- Je t’aime mon chéri tu sais… et l’embrassa
- Et pourtant c’est avec un autre que tu as envie de faire l’amour…
- Chuttt !... Ne gâche pas tout ! tu sais bien que toi aussi ça t ‘excite et que c’est toi qui m’a incitée…
Elle prit le sac posé à l’arrière, et son mouvement dévoila le haut de ses bas noirs.
- Comment t’es tu préparée pour ton amoureux ?
- Curieux ! juste un peu alors…
- Elle remonta encore un peu la jupe plissée noire de son tailleur et apparurent deux jarretelles qui encadraient un minuscule string en dentelle fendu, duquel émergeaient anneaux et pendentifs. Elle la redescendit aussitôt.
- Ca te plait ?
- Tu ferais bander un régiment ! Vous vous rejoignez où ?
- Dans la chambre. Il va arriver d’ici une demi-heure. Je lui laisserais une clé à la réception.
- Pourquoi ? tu ne lui ouvriras pas ?
- Si je te dis tout, je n’aurais plus rien à te raconter…
- Juste un peu…
- Mais après tu t’en vas ?
- Oui. Promis !
- Il m’a demandé de me menotter les mains dans le dos, de mettre un masque sur mes yeux et de l’attendre ainsi sur le lit…
- Et ça t’excite ?
- C’était la dernière question… Toi sois sage…..
Elle sortit après un dernier baiser et disparut dans l’ascenseur.
Sur le chemin du retour, il était presque euphorique. De l’avoir quittée aussi gaie désirable et insouciante. De l’imaginer certainement installée comme elle l’avait décrit et peut être déjà dans ses bras.
Peut-être aussi parce qu’elle avait pris une telle initiative seule, et qu’il allait vivre les affres fantasmées de ne pas y participer. Elle seule menait le jeu.
Il découvrit vite qu’il lui était impossible de penser à autre chose. Il joua un moment avec les enfants et prépara le dîner pour tenter de s’occuper l’esprit. Il leur inventa une soirée chez une amie afin d’expliquer son absence, regarda un moment la télé avec eux, les coucha puis s’installa seul au salon à écouter de la musique.
Minuit et quart. Cela faisait bientôt cinq heures qu’ils étaient ensemble. Elle devait en avoir assez maintenant. Son étalon devait l’avoir épuisée. Il guettait la sonnette. Ce fut le téléphone qui tinta.
- Tu vas bien mon chéri ?
- Très bien mon amour…. Tu veux que je viennes te chercher, j’imagines ?
- Non…On se réveille à peine, tu sais. Je voulais prendre de tes nouvelles.
- Vous avez… dormi ?
- Pas que ça…tu te doutes… non ? son ton était mutin et serein
- Il t’a fait du bien ma chérie…
- Oh oui mon amour. Et il continue…
- Il est en toi en ce moment ?
- Oui…C’est délicieux , tu sais. Merci de ce cadeau. Damien dit que tu es un homme formidable. Tu es heureux ? tu penses à moi ?
- Oh oui… Et toi ?
- Oui on parle beaucoup de toi…
Sans malice, et c’était le pire, elle venait de lui dire qu’en revanche lorsque les caresses unissaient leurs corps c’était à son amant qu’elle s’offrait sans limite, oublieuse de tout, et de lui.
- Damien va commander de quoi reprendre des forces, tu permets que je demandes du caviar et du champagne ?
- Bien sur mon amour…
- Tu es adorable !
- Il est encore en toi ?
- Oui … Dans mon ventre. Je suis assise sur lui. C’est bon, tu sais
- Non, mais j’imagine.
Il attendait qu’elle lui annonce enfin qu’elle allait rentrer, le rejoindre, qu’elle avait de lui, mais il était évident qu’elle n’y pensait même pas. Le léger tremblement de voix trahissait celui du reste de son corps. Le signe avant-coureur d’une nouvelle étreinte qui débutait. Ses silences annonçaient la fin proche de leur conversation. Ce fut un monologue sans appel ni hésitation.
- Il faut aller dormir maintenant mon amour … Ne m’attends pas, Damien me ramènera demain matin. Je t’aime…
- Je t’aime…
Elle raccrocha.
Il était à l’unisson du saxo de Coltrane. Seul. Plus sûr de rien. Perdu dans des sentiments brouillés et contradictoires. Il y avait résisté jusque-là, peut-être pour conserver la plénitude de ses moyens quand elle rentrerait, pour être à la hauteur de son mâle précédent, mais il sortit une bouteille de scotch et commença à lui faire un sort.
Ca ne le détendait aucunement. Au contraire. Petit à petit la façade et les certitudes s’effritaient.
L’idée même qu’il ne puisse lui être indispensable devenait insupportable. Il était là, dans le salon, seul, à ne penser qu’à elle, à se branler misérablement tandis qu’elle devait tout offrir d’elle et l’oublier sous les caresses et les coups de queue de cette bite ambulante.
Comment pouvait-elle lui infliger cela ? Si l’idée l’avait séduit, et qu’il avait jusqu’ici esquissé les contours, il n’avait pas l’âme d’un Séverin… L’alcool aidant, il perdait toute maîtrise. Se laissait envahir par la colère. Presque de la haine. Peut-être allait perdre toute dignité, choir du piédestal sur lequel il s’était installé, pour lui, pour elle, mais tant pis, il composa son numéro. Il n’eût droit qu’à sa boîte vocale. Ce qui ne fit qu’empirer encore son état.
N’avait-elle pas entendu la sonnerie, tant elle se donnait à lui ? L’avait-elle éteinte volontairement pour s’isoler complètement avec son amant ? La bouteille se vidait trop vite.
Bien plus que tous les hommes qui avaient pu la posséder, ce fut l’infirmier auquel il pensa instantanément. Celui avec qui elle l’avait trahi, qu’elle avait peut-être aimé. Il l’appela à nouveau sans plus de succès. C’était insupportable . Il arpentait l’appartement. Appelait à nouveau. Rien. Il se résolut enfin à aller se coucher mais une fois dans la chambre, face à une des penderies toutes ses tenues étaient là. Il perdit alors le contrôle. Comme un forcené il prit dans la cuisine de grand sacs poubelle et commença à les remplir de tous ses vêtements. Il en avait entassé déjà plusieurs face à la porte d’entrée, lorsque le téléphone retentit.
- Qu’est ce qui se passe chéri ? Je viens de voir que tu m’as appelée au moins dix fois… Tu vas bien ?
- …Oui, enfin non, enfin je ne sais pas… Pourquoi tu ne répondais pas ?
- Tu sais, il est quatre heures du matin, on dormait…
- Oui excuses moi, je ne me rendais pas compte
- Tu veux que je rentre ?
- Non, ça va aller, laisse.
- Tu es sûr ?
- Oui, ne t’inquiètes pas. Je t’aime à demain.
A la fois honteux et rassuré par le simple son de sa voix et la calme évidence de ses propos, assommé par l’alcool, il s’effondra sur le lit et s’endormit aussitôt.
Une demi-heure plus tard, Caroline était penchée sur lui. Sans un mot, sans une réflexion sur les sacs qu’elle avait enjambés, elle le déshabilla, fit de même, et ce fut blottie dans ses bras qu’elle termina cette nuit là.
Au matin, la gueule de bois aidant, Nicolas éprouva la pire honte et atteinte à son amour-propre. Elle dormait encore, ses vêtements pêle-mêle à terre. Comment avait-il pu se montrer aussi fragile envers elle, si faible, si peu en accord avec ce personnage sûr de lui ? Qu’allait-il pouvait lui dire au réveil ? Lui qui se considérait pourtant comme un maître du verbe et des sentiments…
Il lui avait offert un cadeau qu’elle désirait tant, pour l’en frustrer ensuite. C’était impardonnable
Il prépara le petit-déjeuner. L’odeur du café la tira du sommeil lorsqu’il entra dans la chambre.
- Tu sais,
- Chut, mon chéri, ne dis rien, viens me faire l’amour
- Que lui as tu dit ?
- Rien, que je voulais rentrer et il s’est rendormi
- Tu m’en veux ?
- Non mon amour, au contraire…
- Au contraire ?
- Oui de te voir jaloux à ce point. A force de m’offrir aux autres, j’aime que tu me désire toujours autant. Ca m’excite même, tu sais. Baises moi fort. Je te dirais tout ce qu’il m’a fait. Tu as envie ?
- Oui…
C’était difficilement compréhensible. Le point de rupture qu’il avait touché d’aussi près, le mélange dangereux des sentiments et du jeu qui s’était produit pour la première fois, la douleur insupportable dont il avait senti le souffle, tout cela avait disparu sur un seul mot d’elle.
L’effet était pourtant inverse. Le risque était bien la composante essentielle au-delà de ce qu’il avait imaginé. Pour lui. Avec elle. Il venait d’en prendre définitivement conscience. Leurs étreintes d’une violence presque oubliée succédèrent à la tendresse. Une possession muette voulue par les deux.
Au soir les mots reprirent leur place. Nécessaires. Même si l’épisode ne semblait ne pas avoir eu prise sur elle, pour lui, c’était un échec et une faiblesse. Il fallait remonter à cheval après la chute. Elle avait brièvement appelé Damien pour simplement donner de ses nouvelles.
- Tu veux le revoir ? Terminer ta nuit avec lui ?
- Tu es sur de vouloir en parler ?
- Oui, j’ai honte de ce que j’ai fait.
- Tu ne dois pas, j’aime que tu ais réagi comme ça.
- C’était bon ?
Elle sourit en l’embrassant.
- Tu es maso chéri…. Oui c’était bon
- Tu l’attendais comme tu me l’avais dit ?
- Oui… Et il bandait bien tu sais. Je n’ai rien vu, mais je l’ai senti entrer en moi . Je m’étais attachée et c’était très excitant.
Elle le caressait lentement. Il bandait.
- Et ensuite ?
- Il m’a prise ainsi presque de force. Il me disait de tenter de me refuser j’essayais, mais je n’y parvenais pas.
- Ca te plaisait ?
- Oui… J’ai joui très vite et lui aussi
- Et ensuite ?
- On s’est reposé, on a parlé en se caressant puis on a recommencé
- Tu étais bien ? tu avais envie de lui ?
- Mais oui mon amour… Tu le sais bien. Tu n’aurais pas réagi ainsi sinon…
- Tu aurais voulu rester ?
- Oui.. peut être.. je ne sais pas. Il m’avait déjà prise trois fois quand nous nous sommes endormis. J’étais épuisée
- Tu aurais aimé de réveiller dans ses bras et qu’il te prenne à nouveau ?
- Oui, mais arrête mon amour, c’est un jeu trop dangereux. Tu t’en es pourtant rendu compte. J’ai eu tout ce dont j’avais envie ou presque. Il y a des choses qui doivent être qu’à nous. Qu’à toi.
- Tu as envie de le revoir ?
- Tu ne sais pas poser les limites ! Oui j’ai envie de le revoir , qu’il me baise, qu’il m’encule, qu’il me parle, qu’il me caresse, mais c’est toi mon mari, c’est toi que j’aime, tu ne dois pas permettre ça, et je n’en serais pas frustrée.
C’était ce qu’il avait envie d’entendre.
Très vite ils se revirent. Parfois elle seule avec Damien juste quelques heures dans la journée, le plus souvent le soir tous les trois à leur appartement, ce que préférait Caroline.
L’épisode de cette nuit-là fut vite oublié et sans que ce fut de l’amitié, l’attirance de Caroline pour cet homme et sa complicité avec Nicolas, permettaient d’aller plus loin qu’il ne l’avaient fait jusque là.
D’un commun accord, Damien, même si en réalité il n’était que l’instrument de leurs fantasmes, assurait lors de ces soirées le rôle du mâle dominant au sein du trio. Caroline donnait libre cours à des pulsions souvent suggérées par Nicolas, parfois issue de sa propre imagination, ce qui le réjouissait au plus haut point. Il arrivait que Caroline se mette à longuement à la sucer au salon , encore tout habillé, tandis qu’il discutait avec Nicolas puis d’un coup se lève le prenne par la main et lance à son mari.
- On va baiser, chéri. Tu nous laisses tranquilles, mais tu peux venir écouter et te branler derrière la porte. Du moment qu’on ne t’entends pas…
bill77 a liké
par hubby
#1408
Festival, je suis de ton avis, tout est possible si cela se fait en toute transparence.
Dès que Marine a été attirée par un autre elle m'en a aussitôt parlé. Elle avait 25 ans à l'époque et lui plus de 50. C'est moi qui l'ai poussée à aller au bout de la chose, tout était clair entre nous. Elle a voulu continuer un peu avec lui et je lui ai donné raison. Ce fut son premier amant et il lui a tout appris.
Maintenant qu'elle a 40 ans elle a eu beaucoup d'autres amants que j'ai connu ou pas, mais j'en ai toujours été au courant. Comme vous elle peut quand elle veut partir en vacances avec son amant. Elle a eu un coup de coeur avec un homme qui a duré deux ans. Ils ont partagé un appartement et je tenais le rôle de l'ami du couple.

Après plus de 15 ans nus sommes toujours ensemble et partageons un sentiment fort.
par hbreton56
#1414
mais dans toutes ces relations.. y-at'il des enfants ?..

en clair, comment associer vie de couple avec enfants et liberté de la femme ?

il est clair que pour moi, la maman ne va pas "abandonner" ses enfants même pour son amant ....
par hubby
#1420
Il est clair que la maman ne va pas abandonner ses enfants pour un amant. Mais le mari peut garder les enfants lorsque la maman sort. Ce n'est pas parceque l'on est maman que l'on doit être privée de gymnastique sexuelle.
Pour ma part en tant que cocu je considère que je dois tout faire pour que mon épouse puisse profiter d'une totale liberté sexuelle. Par exemple pour les vacances partir avec les enfants 8 jours avant maman pour lui permettre de profiter d'une semaine de liberté.
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par jp85
#1992
le candaulisme,précisons le bien,est une pratique a risque qui doit ètre bien réfléchi entre deux personnes responsable,bien sur quel bonheur quand cela fonctionne mais n'oubliez jamais que le mot risque est omniprésent,et ne faites pas l'erreur comme j'en ai connus que cela va arranger le couple qui bat de l'aile,la c'est le mur direct.

Avant toute chose le couple doit ètre très solide ;)
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par EliseNice
#2764
festival a écrit :le cuckolding est fait d'une succession de 1iere fois sans retour.
la 1iere fois ou elle suce un autre,
ou elle baise avec un autre devant moi,
ou elle embrasse un autre (dans cet ordre pour moi) hors contexte sexe

la 1iere fois ou elle me regarde me masturber à genoux devant elle et son amant
la 1iere fois ou elle me dit qu'elle a beaucoup plus de plaisir avec ses amants qu avec moi et qu'elle ne souhaite plus que je la penetre

la 1iere fois ou elle passe la nuit chez un homme que je ne connais pas. le 1ir week end avec un autre

la 1iere gifle qu elle m'a donné d'abord en privé puis en public; puis la 1iere que j'ai reçu une gifle d'un de ses amants

la 1iere fois ou elle m'a fait mettre ma 1iere cage de chasteté et ma 1iere periode de chasteté

a chaque fois c'est une étape de franchie qui ne peut pas etre annulée.


Oui absolument, étant dans la situation de la femme adultère j'ai également se sentiments de suite de premières fois, mais cela est aussi vrai dans un couple disons ordinaire, premier baiser, première carresse, premier rapport...
Mais dans le cas du cuckolding les sensation sont peut être plus fortes car elles remettent en cause des éducations, des principes, et surtout le regard que l'on porte sur son mari, le père de son enfant. Après ces premières fois, surtout celle qui plus ou moins l'humilie ou le mettent en situation de faiblesse, il ne m'est plus possible de le voir comme je le voyais il y a deux ans.
Et il faudrait sûrement bien du temps et bien des mots pour tenter d'expliquer comment j'ai modifié l'idée que j'avais de moi....
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par EliseNice
#2875
Je crois que de toute manière à l'intérieur d'un couple chacun sait ou suppose ce que l'autre apprécie ou est capable d'apprécier. Pour ma aprt je opréfère rester en déça de ce que j'imagine qu'il attend. Je vois en cela deux avantages, le premier je ne prends pas de risques d'aller trop loin, le second cela le laisse dans un état d'attente et de manque tout à fait bénéfique pour sa libido ainsi que l'alimentation de son fantasme.
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par sergio
#2939
Le texte de cpl75marichaste est superbe et reflète assez bien ce que peuvent ressentir certains candaulistes, notamment les debutants.
par marimoderne
#4370
Superbe récit de cpl75marichaste.
Il détaille parfaitement le genre de sensations que je recherche en cherchant à faire de ma femme une femme adultère. Un mélange de jouissance et de peur totale. Seule la manière de voir se concrétiser l'adultère ne me correspond pas.
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par jp85
#4372
chaque couple a un parcours particulier et bien a lui,le principal est d'en tirer le bonheur escomptée et de vivre cela dans le respect de l'autre
#4383
merci de vos compliments et des messages de ceux qui m'ont fait un petit mot a après l'avoir lu
, seuls ou avec leur compagne
Mais même si c'est une partie de mon livre, cela raconte de facon tres realiste et fidele cette épisode de notre parcours. Je veux pas faire de proselytisme mais sachez qu'après cela nous avons poursuivi même beaucoup plus loin sans jamais nous perdre ... loin de la
je vous en met un autre extrait
Ils s’étaient réinstallés rue Chaptal, tout près de là, et aimaient de temps en temps déambuler le long du boulevard, sans but particulier, ou pour y réaliser un fantasme.
Le plus fréquent était de se rendre dans un de ces immenses complexes, le Sexodrome ou celui qui lui faisait face, à la fois sex shops, peep show et cabines de projections de films, sur plusieurs étages. Caroline se préparait à l’image des filles qui peuplaient les bars à hôtesses environnants, se couvrait d’un long imper juste fermé d’un ceinture pour préserver sa réputation tant qu’elle était en territoire connu, puis ils achetaient une poignée de jetons à l’homme de l’entrée avant de rejoindre les cabines à l’étage. Une fois entrés dans l’établissement, Caroline dénouait sa ceinture et pour le tenancier à cette vue, il était implicite que c’était une fille qui venait faire une passe. C’était en principe interdit comme le stipulait le panneau derrière lui « Une seule personne par cabine », mais cela ne semblait pas lui poser de problème particulier...
Une fois dans la pénombre silencieuse de ces allées de cabines, juste brisée par les gémissements suggestifs des films, ils investissaient l’une d’entre elles et dans l’espace minuscule juste éclairé par l’écran, Nicolas s’installait dans le fauteuil et Caroline sans un mot ôtait son imper et s’agenouillait devant lui. Le sol carrelé, la boîte de kleenex, la poubelle à capotes, tout était aux antipodes du confort supposé nécessaire au plaisir. Froid, anonyme, dénué de toute intimité. Les parois des cabines n’atteignaient pas le plafond et l’on entendait distinctement, les halètements sourds des hommes qui se masturbaient autour d’eux. Pourtant, dos aux images de ces filles qui se faisaient pénétrer dans les configurations les plus diverses, Caroline libérait aussitôt son sexe et s’en emparait pour le sucer et le branler avec vigueur, comme la professionnelle du sexe dont elle donnait l’image.
Si ce n’était qu’une apparence, le rôle provoquait en elle un émoi qu’il remarquait à chaque fois, lorsque se retournant, posant les mains de part et d’autre de l’écran, écartant les jambes et cambrant sa croupe, elle offrait à son membre la facilité d’un sexe humide et luisant, à laquelle aucune caresse préliminaire n’avait contribué. Cela ne durait que quelques minutes. Une étreinte brève et muette et pourtant satisfaisante pour les deux.
Parfois le jeu allait plus loin. Défaite de son imper, Nicolas l’envoyait arpenter le couloir, frapper aux portes des cabines occupées afin d’offrir ses services aux inconnus solitaires. Par principe elle maugréait, mais une fois ainsi presque nue en talons aiguilles, seule dans l’allée, la porte de salut verrouillée derrière elle, sans plus le choix d’un quelconque retour en arrière, elle commençait sa quête. Il y avait une douzaine de portes de chaque côté. Seules celles qui étaient fermées abritaient un occupant. Nicolas écoutait ses talons claquer sur le sol puis s‘arrêter un instant, avant d’entendre ses ongles tapoter et sa voix murmurer.
- Vous désirez de la compagnie ?
Généralement l’homme troublé dans son plaisir solitaire ne répondait pas immédiatement et Caroline devait réitérer son offre à travers la porte.
- C’est combien ?...
- C’est gratuit…
Il y avait toujours un délai, avant que l’homme étonné de cette bonne fortune ne se reculotte avant de basculer le loquet. Ensuite pour Nicolas ce n’étaient que des bruits de succion lointains, qu’elle agrémentait à son intention de commentaires crus.
- T’as une belle bite chéri. C’est moi qui te fait bander comme ça ou les salopes qui se font baiser sur l’écran ? Allez, baises moi bien toi aussi…
Le tout enjolivé de halètements qu’il savait forcé, mais qui donnaient parfaitement le change. Selon son humeur et le nombre de préservatifs que Nicolas lui avait remis, sa mission accomplie elle frappait aux portes suivantes et il arrivait qu’elle aille ainsi satisfaire quatre ou cinq heureux bénéficiaires de ce cadeau inespéré, avant de le rejoindre, le faire jouir en quelques minutes, quand ce n’était pas quelques secondes, puis quitter l’endroit main dans la main, gais, fiers d’eux, comme si de rien n’était.
bill77 a liké
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par sergio
#4386
Toujours très bien ecrit et detaillé ton recit. :)
Pour ma part, il n'y a pas la même excitation avec ce second texte qu'avec le premier. Je me retrouve plus dans la position de Damien en train de baiser la femme d'un autre, que dans celle ou il lui demande de s'offrir à des inconnus.
Mais il en faut pour tous les gouts. ;)
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par patricesud
#4657
marimoderne a écrit :Pour ma part c'est très nettement ça qui me fais fantasmer. Pour moi l'amant doit être totalement dépersonnalisé. Il ne peut y avoir de complicité entre moi et lui. Et même entre ma femme et lui. Juste une histoire de sexe.

je pense que tu te trompes ,à moins que tu fasses baiser ta femme par n'importe qui et meme "au hasard",sinon il faudra un minimum de désir pour ta femme et meme de toi ,un rdv préalable donc un minimum de complicité....je pense que ta femme baisera avec un mec qu'elle désire et qu'il y aura une complicité sexe entre euxComme tu en es au stade de fantasme tu n'imagines meme pas la réalité.
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par cpl75marichaste
#4691
bonjour
oui en effet c'est tres different de faire baiser son epouse par un ou des inconnus pour un acte rapide et charnel (qui peut malgre tout etre intense et plaisant pour elle) et qu'elle noue une relation intime avec un amant...
Vous ressentirez cette sensation à la fois terrible et delicieuse lorsque pour la premiere fois vous lui demanderez dans l'intimite si elle est amoureuse de lui et qu'elle minaudera puis finira par avouer "oui un peu" ... et que vous constaterez au fur et a mesure ce qu'elle est prete spontanement a faire pour lui et pour lui plaire, j'en sais quelque chose Sourire
#4763
Toute vie est danger ! Aimer est danger ! Naitre est danger ! Vivre est danger !
Nous sommes mortels...
Mais quand on aime, quand on aime vraiment, sans épithète obligatoirement réductrice, (que ce soit : un peu, beaucoup, passionnément etc...) quand on aime, disè-je, on aime jusqu'au bout !
Car ce plaisir de laisser libre sa femme ne peut se faire que par Amour !
Enfin, c'est ainsi que je le ressens !
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par patricesud
#4892
marimoderne a écrit :
patricesud a écrit :je pense que tu te trompes ,à moins que tu fasses baiser ta femme par n'importe qui et meme "au hasard",sinon il faudra un minimum de désir pour ta femme et meme de toi ,un rdv préalable donc un minimum de complicité....je pense que ta femme baisera avec un mec qu'elle désire et qu'il y aura une complicité sexe entre euxComme tu en es au stade de fantasme tu n'imagines meme pas la réalité.

Absence de complicité ne veux pas dire absence de désir. Amant dépersonnalisé ne veut pas dire n'importe qui.
Ce qui attire ma femme ce sont les super beaux mecs musclés et belle gueule. Le genre qui exerce une séduction purement animale. Je ne vais pas te faire un dessin. Le genre chippendales, pour ne pas le citer, qu'il lui suffit de voir danser et se désabiller sur une scène pour savoir si elle serait prête à se faire sauter par lui, sans avoir besoin de discuter avec lui dans un rdv préalable.
Maintenant je comprend que ce genre de magnétisme animal là ne soit pas forcément la réalité de ce que tu vis en tant qu'amant de femme adultère, à moins que tu ne sois du genre chippendales.
Alors comme tu dis en grand spécialiste, je suis au stade du fantasme donc je n'imagine pas la réalité. Mais ce que tu ne sais pas pour ta part, c'est la réalité des fantasmes de ma femme.

Bonjour je suis loin d'etre un spécialiste... lol je comprend tes fantasmes car j'en ai aussi,ceux de ta femme maintenant,je me souviens d'une lecture d'un témoignage d'une femme qui se promenait avec son mari dans un village et qui avait avouer ressentir une forte exitation à la vue d'un forgeron en train de travailler,l'odeur du cuir,la transpiration avait t'elle dit ...voilà une une exitation purement animale.... Comme quoi !! chacun ses truc !!!

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