- 21 févr. 2019, 15:10
#2264482
Ahahahah, voilà une situation que j'ai bien connue.
Les affres de la perte de contrôle, où tout ce que nous avions établi passe à la trappe "parce que dans le feu de l'action on n'y pense plus".
J'ai aussi connu le candidat qui ne veut pas du mari, mais qui attend que les choses soient allées très loin pour le dire, créant un souffle de frustration pas possible qui engendre des prises de tête hallucinantes au sein du couple, les reproches et accusations mutuelles.
Et je me suis dit "bon sang, mais dans quoi nous ai-je entraînés ?!"
Les débuts ont été houleux, tourmentés et perturbant.
Mais le dialogue a toujours prévalu et nous a aidé à traverser les situations les plus compliquées.
J'ai tout relaté ici, dans le sujet en lien dans ma signature.
Mais avec le recul, j'avoue avoir du mal à digérer certaines choses. Et si je me penche dessus avec plus de discernement, je me rends compte que c'est en raison de blessures de l'égo. J'avais entrepris un travail sur moi, pour tenter de le remettre à sa place. Mais force m'est de constater qu'il est sacrément résilient ! Dès que l'on baisse la garde, paf! , tel un élastique tendu que l'on lâche, il nous revient en pleine figure.
Mais dans ton cas précis, explique lui clairement que bien que fantasmant sur cette idée, la concrétiser t'es malgré tout difficile et que tu as besoin d'y aller pas à pas, que tu souffres de cette précipitation, que si vous fixez des limites, c'est pour te préserver de chocs trop intenses qui, à terme, s'avèreraient contre-productifs.
D'autre part, tu présentes un besoin de contrôle, de conserver la main (ah que je connais bien ça !). Mais à moins d'avoir une épouse soumise, il va falloir que tu apprennes à lâcher prise. Tout un programme...
En tout cas, bon courage.
Les affres de la perte de contrôle, où tout ce que nous avions établi passe à la trappe "parce que dans le feu de l'action on n'y pense plus".
J'ai aussi connu le candidat qui ne veut pas du mari, mais qui attend que les choses soient allées très loin pour le dire, créant un souffle de frustration pas possible qui engendre des prises de tête hallucinantes au sein du couple, les reproches et accusations mutuelles.
Et je me suis dit "bon sang, mais dans quoi nous ai-je entraînés ?!"
Les débuts ont été houleux, tourmentés et perturbant.
Mais le dialogue a toujours prévalu et nous a aidé à traverser les situations les plus compliquées.
J'ai tout relaté ici, dans le sujet en lien dans ma signature.
Mais avec le recul, j'avoue avoir du mal à digérer certaines choses. Et si je me penche dessus avec plus de discernement, je me rends compte que c'est en raison de blessures de l'égo. J'avais entrepris un travail sur moi, pour tenter de le remettre à sa place. Mais force m'est de constater qu'il est sacrément résilient ! Dès que l'on baisse la garde, paf! , tel un élastique tendu que l'on lâche, il nous revient en pleine figure.
Mais dans ton cas précis, explique lui clairement que bien que fantasmant sur cette idée, la concrétiser t'es malgré tout difficile et que tu as besoin d'y aller pas à pas, que tu souffres de cette précipitation, que si vous fixez des limites, c'est pour te préserver de chocs trop intenses qui, à terme, s'avèreraient contre-productifs.
D'autre part, tu présentes un besoin de contrôle, de conserver la main (ah que je connais bien ça !). Mais à moins d'avoir une épouse soumise, il va falloir que tu apprennes à lâcher prise. Tout un programme...
En tout cas, bon courage.
Chronique candauliste de notre couple... avec tout ce que ça implique : par là !