Bonjour, je viens de lire le post. Je trouve tout à fait normal qu’elle vous dise que vous lui suffisez et qu’elle est comblée avec vous. La première des craintes Pour nous les femmes, c’est votre réaction. On se dit que, oui quand on en parle dans le lit, c’est très excitant mais le jour où ça arrive, ne va t’il pas faire une crise de jalousie? Ne va t’il pas mal le prendre si je crie plus fort avec mon amant? Si je jouis plus vite qu’avec lui?
Ensuite, c’est le côté « traditionnel » qui s’impose. Comment pourrais-je tromper mon mari? Le regarder en face?
Pour nous, Ivan a été treeeeees patient. Bien à l’écoute de mes craintes, il m’a rassuré pendant des semaines. On s’est même pris au jeu sur une terrasse à noter les hommes qui passaient devant nous. 1 pour « non merci même pas en rêve » jusqu’à 10 « oui, tout de suite »! Cela m’a permis de tester un peu sa réaction quand je disais 9,5 sur un homme !
Nous avons également été dans un salon de dessins erotiques. Ça n’a l’air de rien mais quand on a autant de barrières à lever, c’est une étape!
Ensuite, les jeux a 2 sont de bons remèdes aussi. Suivant ce qu’elle aime (massages, cuni, peu importe), cela peut petit à petit lever des barrières aussi. Les jeux seront de plus en plus osés, là mettant ainsi plus à l’aise à chaque fois.
La communication est, je pense, très importante. Les doutes de chacun (pas que ceux de Mme) doivent être levés.
Pour ce qui est des sentiments qu’elle a peur de développer pour un complice, je suis aussi passée par la. En réalité, ce qui m’a beaucoup aidé c’est que Ivan n’a pas parlé d’amant, mais de complice. Il ne disait pas « tu penses faire l’amour avec lui » mais « t’aimerais bien qu’il te baise! » le fait de renommer « l’accouplement » avec un vocabulaire que nous avons choisi ensemble m’a permis de bien délimiter les choses et de me libérer.
Voilà, notre petite expérience... j’espère que cela pourra aider Mme si elle lit votre post.
En tous cas, l’idee doit faire son chemin petit à petit.
Je vais suivre votre post avec intérêt en tous cas.