Bonsoir,
Ce n est paw simple de convaincre une femme a ce genre de fantasme. Elles sont bien differentes sur ce sujet que nous.. sinon on verrait bien plus de candauliste "femme" ...
La seule solution' est de savoir si votre couple est solide et la communication.
Parles lui en de temps en temps, sans la brusquer, et surtout ne la braque pas... Trouves lui des exemples: si un jour elle trouve un beau mec et qu elle te le dit, dis lui simplement que si elle acceptait ton fantasme, elle pourrait s adonner a des plaisirs charnels avec lui, et avec ton consentemenf...
Bon courage...
- 29 août 2017, 06:44
#2066714
Bonjour @nous49400 ,
Comme te l'ont dit les autres, il est clair que les femmes sont très différentes des hommes dans le cadre du libertinage ou du candaulisme. L'éducation et la "morale" construisent en effet des murs autour de nous qu'il est bien difficile de briser. De ce fait, je pense qu'une femme a tendance à désirer celui qu'elle aime alors qu'un homme aimera celle qu'il désirera. Et encore, les choses ont bien évolué et les mœurs des jeunes générations tendent, à mon avis, à se débrider pour ces dames, il suffit de voir le succès d'applis comme Tinder. Malgré ça, c'est encore un sacré cap à passer pour une femme que d'entrer dans le monde du libertinage. Peur des MST, d'être considérer comme un objet, angoisse de la "vindicte populaire" (un homme qui aime le sexe est un "sacré gaillard", une femme dans ce cas est une salope) ... La liste des freins est longue. Ceci dit, beaucoup d'hommes ont ce fantasmes mais subissent le passage à l'acte comme une atteinte à leur virilité et à leur esprit de possession. Nous ne sommes au final pas si différents.
Peut-être pourrais-tu lui proposer une sortie en club libertin, en lui expliquant honnêtement qu'il s'agit de ton fantasme. Garanti-lui que vous n'y serez qu'en spectateurs dans un premier temps et respecte ton engagement. Laisse la observer et se faire une idée des pratiques de ces lieux. Tu verras bien ses réactions. Si le poids des tabous n'est pas trop lourd pour elle, il y a de fortes chances pour qu'elle en soit un peu émoustillée, si elle en éprouve le désir, faites l'amour à 2 dans un coin isolé du club ou attendez d'être rentrés pour évoquer la soirée lors de vos ébats. Ne la force jamais, laisse votre couple avancer doucement. Discutez de vos ressentis mutuels, sans tabou et sans crainte des réactions de l'autre. Et puis si vraiment elle ne peut franchir ce Rubicond, accepte le et passe à autre chose, il y a tant d'amusement à avoir dans un couple, pourquoi se cantonner à un seul. Une femme déteste se sentir oppressée par le désir d'un conjoint et la méthode visant à rabâcher sans arrêt est sans doute la plus contre-productive. Crois-moi, il n'y a rien de pire pour un époux aimant que d'entendre un jour : "j'ai fait ça pour te faire plaisir mais ce n'est pas mon truc"
Comme te l'ont dit les autres, il est clair que les femmes sont très différentes des hommes dans le cadre du libertinage ou du candaulisme. L'éducation et la "morale" construisent en effet des murs autour de nous qu'il est bien difficile de briser. De ce fait, je pense qu'une femme a tendance à désirer celui qu'elle aime alors qu'un homme aimera celle qu'il désirera. Et encore, les choses ont bien évolué et les mœurs des jeunes générations tendent, à mon avis, à se débrider pour ces dames, il suffit de voir le succès d'applis comme Tinder. Malgré ça, c'est encore un sacré cap à passer pour une femme que d'entrer dans le monde du libertinage. Peur des MST, d'être considérer comme un objet, angoisse de la "vindicte populaire" (un homme qui aime le sexe est un "sacré gaillard", une femme dans ce cas est une salope) ... La liste des freins est longue. Ceci dit, beaucoup d'hommes ont ce fantasmes mais subissent le passage à l'acte comme une atteinte à leur virilité et à leur esprit de possession. Nous ne sommes au final pas si différents.
Peut-être pourrais-tu lui proposer une sortie en club libertin, en lui expliquant honnêtement qu'il s'agit de ton fantasme. Garanti-lui que vous n'y serez qu'en spectateurs dans un premier temps et respecte ton engagement. Laisse la observer et se faire une idée des pratiques de ces lieux. Tu verras bien ses réactions. Si le poids des tabous n'est pas trop lourd pour elle, il y a de fortes chances pour qu'elle en soit un peu émoustillée, si elle en éprouve le désir, faites l'amour à 2 dans un coin isolé du club ou attendez d'être rentrés pour évoquer la soirée lors de vos ébats. Ne la force jamais, laisse votre couple avancer doucement. Discutez de vos ressentis mutuels, sans tabou et sans crainte des réactions de l'autre. Et puis si vraiment elle ne peut franchir ce Rubicond, accepte le et passe à autre chose, il y a tant d'amusement à avoir dans un couple, pourquoi se cantonner à un seul. Une femme déteste se sentir oppressée par le désir d'un conjoint et la méthode visant à rabâcher sans arrêt est sans doute la plus contre-productive. Crois-moi, il n'y a rien de pire pour un époux aimant que d'entendre un jour : "j'ai fait ça pour te faire plaisir mais ce n'est pas mon truc"
- 29 août 2017, 16:20
#2066874
@tp2415 Très bonne analyse et très bon conseil.
Si je peux rajouter : pour commencer en club, privilégier les soirées réservées aux couples.
Beaucoup dialoguer avec ta compagne, ne pas être insistant et laisser faire le temps, ne pas être pressé.
Amusez vous bien
Si je peux rajouter : pour commencer en club, privilégier les soirées réservées aux couples.
Beaucoup dialoguer avec ta compagne, ne pas être insistant et laisser faire le temps, ne pas être pressé.
Amusez vous bien
- 29 août 2017, 16:55
#2066893
Je suis le parfait exemple, mon mari m'avait avoué il y a déjà de nombreuse années son fantasme.
J'ai réagi comme ta femme,
Non, il est fou ! Jamais !
Et puis il ne m'a plus parlé de ce fantasme.
Mais il été tout de même déjà dans mon esprit.
Et un jour s'est moi qui lui a fait la demande.
J'ai réagi comme ta femme,
Non, il est fou ! Jamais !
Et puis il ne m'a plus parlé de ce fantasme.
Mais il été tout de même déjà dans mon esprit.
Et un jour s'est moi qui lui a fait la demande.