@pilaf pilaf a écrit :Vous n'êtes en aucun cas rationnel dans votre raisonnement et c'est bien ce qui me gêne... vous êtes bel et bien dominé par des préjugés qui nuisent à votre analyse...
Concernant la dimension pathologique de la gynarchie, et son explication, encore un degré zéro de rationalité... Concept défini de manière essentialiste... le genre d'erreur de base à éviter lorsqu'on prétend à une rigueur épistémologique...
Tout un tas de mots savants. Rassurez vous, je n'ai jamais considéré que vous étiez quelqu'un de stupide.
Pour ce qui est de la rationalité : même réponse que pour
@jml59 . Sauf la petite pique de la fin car le petit c... que je suis vous à la bonne
pilaf a écrit :Pensez vous que ces couples ne s'échangent jamais des mots doux? qu'ils éduquent leurs enfants en leur disant qu'il faut être soumis à un sexe féminin en particulier? que la mère de famille appelle son mari "petite merde" lorsque l'enfant se fait servir le dîner en famille? que la vie quotidienne est elle aussi gynarchique H24?
Dans l'intimité, pensez-vous que le soumis est nécessairement un être aliéné incapable de verbaliser rationnellement le plaisir qu'il est susceptible de prendre dans des jeux de frustrations, ou en se détachant de la virilité masculine à laquelle la norme sociale l'assigne? Rappelons que tout cela reste des jeux de rôle et ne reflète ni nécessairement, ni automatiquement un mal-être...
Un peu d'histoire pour rappeler aussi que la gynarchie n'est de loin pas une invention contemporaine... épargnez moi donc le couplet et tout vos propos qui suintent la décadence post-moderne...
Si cela est cantonné à un jeu de rôle dans l'intimité, il n'y a aucun soucis. Vous aimez votre femme et votre épouse vous aime aussi et vous savez encore être tous les deux. A la base je critiquais les situations où il n'y avait plus d'amour (si ce n'est à sens unique) et où le jeu dérapait.
Visiblement pour vous le jeu n'a pas dérapé et vous avez bel et bien les choses sous contrôle.
Moi, j'énonçais un profil où selon moi le jeu à complètement déraper. Ce n'est de toute évidence pas le cas dans votre couple donc très bien.
pilaf a écrit :A l'avenir, je vous invite à questionner votre attachement (légitime et que je partage) aux sentiments et à l'amour dans un couple lorsqu'avec l'âge et une personne aimante vous aurez traverser les inévitables vicissitudes familiales d'un foyer auquel je suis particulièrement attaché: perte et/ou difficultés d'emploi et de revenus de l'un et l'autre, traverser une maladie, éduquer un ou des enfants, etc, etc. Vous me semblez un peu court à ce sujet pour vous érigez en père la morale et conseiller conjugal.
Non par contre je n'ai jamais dit que le Candaulisme était immoral. J'ai surtout dit que je trouvais tristes les couples où le jeu a dérapé.
Je n'ai pas l'intention de convaincre qui que ce soit. Comme je l'ai déjà dit je savais que j'allais me prendre une levée de bouclier. Je ne cherche ni à vous convaincre, ni à vous persuader et encore moins à vous conseiller.
De plus, je ne suis pas bête au point de croire que vous écouteriez les conseils d'un individu que vous considérez immature, ect...
pilaf a écrit :Après, reste à assumer votre logique; savoir ce que vous faites de cas "pathologiques" comme nous et qui donc méritons un traitement médical, si vous êtes au pouvoir... Radiations de la fonction publique? Interdiction de travailler au contact d'enfants car trop pervers? Injonction thérapeutique? Si oui lesquelles? Séjour obligatoire en asile?
Non, non, il est nullement question d'envoyer qui que ce soit en asile ou de mettre quiconque sous traitement.
Beaucoup de personne sont psychopathes ou sociopathes (d'après le DSM), c'est pas pour autant qu'on les mets sous traitement ou qu'on les enferme. Ou même qu'on est besoin de le faire.