- 26 févr. 2012, 02:19
#1009215
Bonsoir,
J'ai découvert grâce à Madd que ce très vieux post n'est pas mort. Toutes mes excuses de n'avoir pas répondu a vos compliments et remarques très judicieuses.
Mohican voit juste en grande partie et ma vision des choses a parallèlement évolué depuis que j'ai écris ce texte. Je parviens parfois à comprendre ce que peut-être la vie de couple et ce qu'elle peut apporter. J'ai même fini par admettre que je suis en situation paradoxale, intellectuellement convaincu que l'amour est illusion dans la droite ligne de ce que j'ai décrit mais fondamentalement idéaliste.
Il m'arrive désormais de me dire que je manque quelque chose. Il n'est pourtant pas certain que la chose me soit accessible. Comme il le dit, chaque cas est différent. Je ne vais pas étaler ma vie, ni me lancer dans de la psychologie de bazar (même si je trouve ça très rigolo), mais ce qui est évident pour certain ne l'est pas pour tout le monde. Les cas simples se résolvent d'eux-mêmes.
Mes premières expériences de domination avaient été une forme de libération. M'autoriser à être un salaud et à changer radicalement les règles du jeu avaient été une façon de dépasser le paradoxe de l'époque. De façon assez inattendue, je suis devenu une bien meilleure personne après cela.
Là où je ne suis pas Mohican, c'est sur cette question de l'équilibre entre chacun. Je conçois la pratique domination et la soumission comme une forme de jeu. Le déséquilibre est temporaire et doit correspondre à un plaisir des deux. On peut d'ailleurs lire la relation de façon totalement inverse. Il m'est arrivé, en position de dominant, de beaucoup travailler à la compréhension de ce qui déclenchait le plaisir chez ma partenaire ou ma correspondante. Décortiquer le mécanisme, imaginer les mots, les gestes et les situations qui feront vibrer la bonne corde. D'une certaine façon, dominer est se mettre au service de la partie soumise. C'est comme ça que je le conçois et je pense qu'il y a autant de façon de faire que dans une relation de couple conventionnelle. L'équilibre peut également se jouer dans l'inversion alternative les rôles. Il y a bien entendu aussi des relations malsaines, comme partout.
Je rêve toujours autant d'une relation de ce type, avec parfois des hauts et des bas. Je crois que ce serait une étape très enrichissante, mais je dois être un bien mauvais candidat car tous les contacts que j'ai pu avoir avec des couples n'ont jamais débouché sur quoi que ce soit de concret.
J'ai découvert grâce à Madd que ce très vieux post n'est pas mort. Toutes mes excuses de n'avoir pas répondu a vos compliments et remarques très judicieuses.
Mohican voit juste en grande partie et ma vision des choses a parallèlement évolué depuis que j'ai écris ce texte. Je parviens parfois à comprendre ce que peut-être la vie de couple et ce qu'elle peut apporter. J'ai même fini par admettre que je suis en situation paradoxale, intellectuellement convaincu que l'amour est illusion dans la droite ligne de ce que j'ai décrit mais fondamentalement idéaliste.
Il m'arrive désormais de me dire que je manque quelque chose. Il n'est pourtant pas certain que la chose me soit accessible. Comme il le dit, chaque cas est différent. Je ne vais pas étaler ma vie, ni me lancer dans de la psychologie de bazar (même si je trouve ça très rigolo), mais ce qui est évident pour certain ne l'est pas pour tout le monde. Les cas simples se résolvent d'eux-mêmes.
Mes premières expériences de domination avaient été une forme de libération. M'autoriser à être un salaud et à changer radicalement les règles du jeu avaient été une façon de dépasser le paradoxe de l'époque. De façon assez inattendue, je suis devenu une bien meilleure personne après cela.
Là où je ne suis pas Mohican, c'est sur cette question de l'équilibre entre chacun. Je conçois la pratique domination et la soumission comme une forme de jeu. Le déséquilibre est temporaire et doit correspondre à un plaisir des deux. On peut d'ailleurs lire la relation de façon totalement inverse. Il m'est arrivé, en position de dominant, de beaucoup travailler à la compréhension de ce qui déclenchait le plaisir chez ma partenaire ou ma correspondante. Décortiquer le mécanisme, imaginer les mots, les gestes et les situations qui feront vibrer la bonne corde. D'une certaine façon, dominer est se mettre au service de la partie soumise. C'est comme ça que je le conçois et je pense qu'il y a autant de façon de faire que dans une relation de couple conventionnelle. L'équilibre peut également se jouer dans l'inversion alternative les rôles. Il y a bien entendu aussi des relations malsaines, comme partout.
Je rêve toujours autant d'une relation de ce type, avec parfois des hauts et des bas. Je crois que ce serait une étape très enrichissante, mais je dois être un bien mauvais candidat car tous les contacts que j'ai pu avoir avec des couples n'ont jamais débouché sur quoi que ce soit de concret.