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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
#1204843
EvaBovary a écrit :Je préfère pour ma part le domestiquer pour mon plus grand plaisir mais aussi de ces hommes qui découvrent que des femmes peuvent avoir mieux qu'eux-même une compréhension aigüe de leur désir profond.
Au plaisir toujours renouvelé de vous lire.
Eva


C'est drôle mais je préfère, et de loin, cette idée de dialogue, de partage ;)
je me méfie toujours de ceux qui pensent avoir une compréhension de mes désirs profonds .... Je ne sais pas, ça doit être instinctif :lol: :lol: :lol:
HAVE SEX HAVE FUN
#1204865
EvaBovary a écrit :Bonjour Cassandra,
C'est un plaisir partagé d'échanger avec vous, et nos affinités de pensée paraissent tellement claires que d'aucuns imaginent une connivence voire une usurpation d'identité. Depuis la lecture de votre réponse à mon mail, j'ai parcouru vos posts, dont la plus part datent d'une année. J'y ai lu la même affirmation de notre singularité amoureuse, même si nos parcours apparaissent différents. Si j'ai goûté de nombreux amants (une bonne cinquantaine), le candaulisme de mon mari est beaucoup plus récent.
J'ai commencé par le faire assister à mes ébats, puis prendre plaisir à sucer mes amants. Plus récemment encore je l'ai, comme vous, enfermé dans une cage, mais celle-ci reste virtuelle. Il ne doit en aucune façon user de "mon bien", et doit me demander l'autorisation avant toute velléité de se toucher. Bien sûr, comme vous, je veille à cultiver sa frustration mais aussi sa délivrance par une traite régulière.
Mais nos affinités sont ailleurs, dans l'interprétation que nous faisons de notre façon d'épanouir notre vie amoureuse. Mon mari est dans sa vie publique, un homme de pouvoir, j'entends par là, qu'il fait naître autour de lui un phénomène de cour, d'hommes et de femmes, comme nombre de politiques de bon rang. Il éprouve, avec moi, une façon de compenser cette dominance dont je lui interdit d'user, en acceptant que je prenne totalement en main sa sexualité. Je suis devenue ainsi experte en cultivant sa jalousie, sa frustration, mais aussi ses gratifications dès que je le sors de ce gentil masochisme dans lequel je le maintiens et dans lequel il se complaît. Cette situation nous comble de jouissance, je suis libre de vivre une sexualité amoureuse très riche, et lui se trouve délivré de la tâche de cultiver son plaisir et sa jouissance amoureuse. Il me délègue en quelque sorte cette mission comme il délègue d'autres missions à ses obligés. En ces périodes de régression puritaniste, cela lui évite de prendre aucun risque en cette matière et il me reconnaît comme la meilleure experte en ce domaine.
Je vous concède que le machisme ordinaire se nourrit d'ignorance, et le phallus conquérant n'est pas le meilleur outil de compréhension empathique du monde. Je préfère pour ma part le domestiquer pour mon plus grand plaisir mais aussi de ces hommes qui découvrent que des femmes peuvent avoir mieux qu'eux-même une compréhension aigüe de leur désir profond.
Au plaisir toujours renouvelé de vous lire.
Eva


Bien dit et bien écrit mais voilà la domination ou le sentiment de la domination
des autres hommes ou femmes ne mène nul part.
L'idéal ( on peut toujours rêver!), serait quand même que chacun s'accorde et commence déjà par se respecter
et ne veuille rien imposer à l'autre sans qu'il l'aie librement consenti!
Après comme l'on dit:
"Tout le reste est de la poésie"!.

JPh
#1205910
cocucotebasque a écrit :Bien dit et bien écrit mais voilà la domination ou le sentiment de la domination
des autres hommes ou femmes ne mène nul part.



« L’amour physique est sans issue. »
de Serge Gainsbourg
Paroles de la chanson Initials B. B.
#1206120
non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)

Quant à ceux qui confient le soin à d'autres de gérer leur sexualité, ils me font penser à ses engagés qui prennent plaisir à ramper devant un gradé ou à défiler au pas. Comme disait Einstein, ceux là n'ont pas besoin d'un cerveau, une moelle épinière leur suffit!
"hommes de pouvoir" mon c--!
#1206339
Erosverde76 a écrit :non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)


On ne peut pas/plus éditer .... :cry:

Content de voir qu'Erosverde est toujours parmi nous, ces posts se faisaient moins présent ;)
#1206403
Erosverde76 a écrit :non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)

Quant à ceux qui confient le soin à d'autres de gérer leur sexualité, ils me font penser à ses engagés qui prennent plaisir à ramper devant un gradé ou à défiler au pas. Comme disait Einstein, ceux là n'ont pas besoin d'un cerveau, une moelle épinière leur suffit!
"hommes de pouvoir" mon c--!


Bonjour ErosVerde,
Il ne m'avait pas été donné l'occasion d'échanger avec vous. Pour autant j'avais perçu combien vous êtres possédé par la nostalgie, au point d'afficher une photo qui date au moins des années cinquante. Nostalgie, aussi ces références récurrentes aux années sombres de notre histoire. Au point de chercher constamment à en débusquer des connections avec le moindre des comportements. J'imagine que si vous fréquentez assidûment ce site, vous êtes à l'écoute des fantasmes, et qu'il ne vous vient pas à l'esprit de les confondre avec la vie sociale de tout à chacun. Quand une femme se met en levrette, vous n'imaginez pas un instant "qu'elle prenne plaisir à ramper devant un gradé". Quant à Einstein, souvent ceux qui le cite serait bien en peine d'expliciter le moindre mot de la théorie de la relativité générale. Retenons toutefois de ces propos rapportés que le grand savant faisait la parfaite distinction entre le cerveau conscient et le cerveau reptilien. Or c'est justement de ce différentiel que naît le fantasme, entre les canons de la vie en société qu'ils soient d'origine culturel et religieuse et ces pulsions reptiliennes. Confondre les deux, c'est n'avoir pas compris le concept même de fantasme et vivre dans la confusion, qui appelle l'anathème, comme votre conclusion qui traduit bien la subtilité et la profondeur de votre analyse.
Pour autant, je ne doute pas, que vous sachiez raisonner, et ne pas simplement éructer.
Eva
#1206417
cocucotebasque a écrit :
EvaBovary a écrit :Bonjour Cassandra,
C'est un plaisir partagé d'échanger avec vous, et nos affinités de pensée paraissent tellement claires que d'aucuns imaginent une connivence voire une usurpation d'identité. Depuis la lecture de votre réponse à mon mail, j'ai parcouru vos posts, dont la plus part datent d'une année. J'y ai lu la même affirmation de notre singularité amoureuse, même si nos parcours apparaissent différents. Si j'ai goûté de nombreux amants (une bonne cinquantaine), le candaulisme de mon mari est beaucoup plus récent.
J'ai commencé par le faire assister à mes ébats, puis prendre plaisir à sucer mes amants. Plus récemment encore je l'ai, comme vous, enfermé dans une cage, mais celle-ci reste virtuelle. Il ne doit en aucune façon user de "mon bien", et doit me demander l'autorisation avant toute velléité de se toucher. Bien sûr, comme vous, je veille à cultiver sa frustration mais aussi sa délivrance par une traite régulière.
Mais nos affinités sont ailleurs, dans l'interprétation que nous faisons de notre façon d'épanouir notre vie amoureuse. Mon mari est dans sa vie publique, un homme de pouvoir, j'entends par là, qu'il fait naître autour de lui un phénomène de cour, d'hommes et de femmes, comme nombre de politiques de bon rang. Il éprouve, avec moi, une façon de compenser cette dominance dont je lui interdit d'user, en acceptant que je prenne totalement en main sa sexualité. Je suis devenue ainsi experte en cultivant sa jalousie, sa frustration, mais aussi ses gratifications dès que je le sors de ce gentil masochisme dans lequel je le maintiens et dans lequel il se complaît. Cette situation nous comble de jouissance, je suis libre de vivre une sexualité amoureuse très riche, et lui se trouve délivré de la tâche de cultiver son plaisir et sa jouissance amoureuse. Il me délègue en quelque sorte cette mission comme il délègue d'autres missions à ses obligés. En ces périodes de régression puritaniste, cela lui évite de prendre aucun risque en cette matière et il me reconnaît comme la meilleure experte en ce domaine.
Je vous concède que le machisme ordinaire se nourrit d'ignorance, et le phallus conquérant n'est pas le meilleur outil de compréhension empathique du monde. Je préfère pour ma part le domestiquer pour mon plus grand plaisir mais aussi de ces hommes qui découvrent que des femmes peuvent avoir mieux qu'eux-même une compréhension aigüe de leur désir profond.
Au plaisir toujours renouvelé de vous lire.
Eva


Bien dit et bien écrit mais voilà la domination ou le sentiment de la domination
des autres hommes ou femmes ne mène nul part.
L'idéal ( on peut toujours rêver!), serait quand même que chacun s'accorde et commence déjà par se respecter
et ne veuille rien imposer à l'autre sans qu'il l'aie librement consenti!
Après comme l'on dit:
"Tout le reste est de la poésie"!.

JPh


Bonjour JPh,
Merci pour le compliment, j'y suis, et vous le savez bien, toujours très sensible. Je suis, bien sûr, totalement d'accord avec vous, et je pense que le respect est à la base d'une exploration jouissive des fantasmes. Il s'agit très exactement du respect de la personnalité reptilienne de l'autre, de l'acceptation du fait que derrière le vernis sociétal réside un "animal" reptilien qui porte des comportements de l'espèce, et qui sont d'autant plus respectables qu'ils ont permis sa survie au cours de millions d'années, là où nos codes sociétaux ont au plus quelques milliers d'années. Le fantasme naît de cet écart entre cerveau conscient pétri des diktats de la vie sociétale. Ceci est tellement vrai, que ceux qui vivent pleinement leur libertinage, c'est à dire, qu'ils dissolvent toute distinction entre les deux, en viennent à perdre tout fantasme, d'où la nécessité de pousser plus loin encore leur quête de plaisir par exemple avec le sadomasochisme.
A vous lire.
Eva
#1206436
Dans mon souci, de faire court, comme disait Mohican, j'ai escamoté vos remarques sur la domination. Il est certain que c'est un sujet central de différentiation entre les codes sociétaux et les codes reptiliens. Depuis des milliers d'années, la quête de nos sociétés est de construire un mode de domination acceptable. On voit combien cette quête est difficile, car l'envie de domination d'essence reptilienne (pour avoir le droit de se prévaloir de privilèges et de les transmettre à sa descendance) prend des formes variées, tribales, politiques, économiques. Pour autant, les vieux codes reptiliens sont toujours là en nous, et bien que domptés par la culture, les religions et l'éducation. Les fantasmes leur donnent vie, mais de façon codée, encadrés, comme des "réserves reptiliennes" dans un univers policé. Il est tout aussi important de préserver ces réserves fantasmatiques que les réserves naturelles, car leur négation conduit à les voir resurgir dans la vraie vie sous des forme incontrôlées, voire violentes. Vivre en fantasmes réalisés ou non, dans ce que j'appelle nos "réserves reptiliennes" les codes reptiliens de la dépendance nous permet de mieux les connaitre, les maîtriser et finalement d'en jouir. Autant, il est vrai que la jouissance est une des clés de la survie, et la là même de l'existence de notre espèce.

Désolée, de me laisser aller, à des formulations, par trop conceptuelles, mais parfois les écrire conduit à les percevoir mieux.
Peut-être n'ai-je pas assez baisé et fait assez la chienne, pour prendre ce plaisir à traduire en mots ces réflexions.
Eva
#1206483
Au cas où votre cerveau, cher Eva, ne serait pas "que" reptilien, il vous a, sans doute échappé, que mon topic ne date pas des années cinquante mais de bien plus en amont vers les années 70 (non pas 1970) je veux dire 1870, puisqu'il s'agit d'Arthur Rimbaud! Vous connaissez? Un poète libre et symbole d'une âme qui vous échappe visiblement...
Quant à la référence à la Résistance et à la collaboration eh bien oui, c'est une sacrée référence pour moi.
Tant pis pour vous si cela ne vous évoque qu'une histoire de rutabagas et de grande vadrouille, nous n'avons pas les mêmes valeurs...
Figurez-vous que lorsqu'aujourd'hui, je vois de zélés serviteurs de l'Etat ou d'entreprises (hommes de pouvoir?) s'empresser de dresser la liste des prochains passagers d'un vol charter ou procéder sans aucun questionnement à l'interconnexion de différents fichiers informatiques concernant l'identité et les pratiques de millions de gens, alors oui, je ne me peux m'empêcher de penser "et en juillet 42 qu'auraient-ils fait?" ces gentils maris d'une autre Cassandra ou d'une Eva...
Vous me direz que cela nous éloigne de notre sujet...Pas tant que cela, l'individu ne se coupe pas en rondelles de saucisson...homme de "pouvoir" soumis à sa femme ou soumis à la loi de la baisse tendancielle du taux de profit, je ne fais pas la différence!
Je vous souhaite ni dieu, ni maître!
#1206685
EvaBovary a écrit :
Erosverde76 a écrit :non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)

Quant à ceux qui confient le soin à d'autres de gérer leur sexualité, ils me font penser à ses engagés qui prennent plaisir à ramper devant un gradé ou à défiler au pas. Comme disait Einstein, ceux là n'ont pas besoin d'un cerveau, une moelle épinière leur suffit!
"hommes de pouvoir" mon c--!


Bonjour ErosVerde,
Il ne m'avait pas été donné l'occasion d'échanger avec vous. Pour autant j'avais perçu combien vous êtres possédé par la nostalgie, au point d'afficher une photo qui date au moins des années cinquante. Nostalgie, aussi ces références récurrentes aux années sombres de notre histoire. Au point de chercher constamment à en débusquer des connections avec le moindre des comportements. J'imagine que si vous fréquentez assidûment ce site, vous êtes à l'écoute des fantasmes, et qu'il ne vous vient pas à l'esprit de les confondre avec la vie sociale de tout à chacun. Quand une femme se met en levrette, vous n'imaginez pas un instant "qu'elle prenne plaisir à ramper devant un gradé". Quant à Einstein, souvent ceux qui le cite serait bien en peine d'expliciter le moindre mot de la théorie de la relativité générale. Retenons toutefois de ces propos rapportés que le grand savant faisait la parfaite distinction entre le cerveau conscient et le cerveau reptilien. Or c'est justement de ce différentiel que naît le fantasme, entre les canons de la vie en société qu'ils soient d'origine culturel et religieuse et ces pulsions reptiliennes. Confondre les deux, c'est n'avoir pas compris le concept même de fantasme et vivre dans la confusion, qui appelle l'anathème, comme votre conclusion qui traduit bien la subtilité et la profondeur de votre analyse.
Pour autant, je ne doute pas, que vous sachiez raisonner, et ne pas simplement éructer.
Eva
EvaBovary a écrit :
Erosverde76 a écrit :non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)

Quant à ceux qui confient le soin à d'autres de gérer leur sexualité, ils me font penser à ses engagés qui prennent plaisir à ramper devant un gradé ou à défiler au pas. Comme disait Einstein, ceux là n'ont pas besoin d'un cerveau, une moelle épinière leur suffit!
"hommes de pouvoir" mon c--!


Bonjour ErosVerde,
Il ne m'avait pas été donné l'occasion d'échanger avec vous. Pour autant j'avais perçu combien vous êtres possédé par la nostalgie, au point d'afficher une photo qui date au moins des années cinquante. Nostalgie, aussi ces références récurrentes aux années sombres de notre histoire. Au point de chercher constamment à en débusquer des connections avec le moindre des comportements. J'imagine que si vous fréquentez assidûment ce site, vous êtes à l'écoute des fantasmes, et qu'il ne vous vient pas à l'esprit de les confondre avec la vie sociale de tout à chacun. Quand une femme se met en levrette, vous n'imaginez pas un instant "qu'elle prenne plaisir à ramper devant un gradé". Quant à Einstein, souvent ceux qui le cite serait bien en peine d'expliciter le moindre mot de la théorie de la relativité générale. Retenons toutefois de ces propos rapportés que le grand savant faisait la parfaite distinction entre le cerveau conscient et le cerveau reptilien. Or c'est justement de ce différentiel que naît le fantasme, entre les canons de la vie en société qu'ils soient d'origine culturel et religieuse et ces pulsions reptiliennes. Confondre les deux, c'est n'avoir pas compris le concept même de fantasme et vivre dans la confusion, qui appelle l'anathème, comme votre conclusion qui traduit bien la subtilité et la profondeur de votre analyse.
Pour autant, je ne doute pas, que vous sachiez raisonner, et ne pas simplement éructer.
Eva


BRVO Evabovary, enfin une personne intelligente qui ne se laisse pas prendre aux elucubrations de celui qui a pris le pseudo de EROSVERDE qui se prend pour la lumière du monde alors quil n'est qu'un vermisseau luisant, enfin quelqu'un qui lui ferme son caquet,, bravissimo
#1207042
EvaBovary a écrit :
Erosverde76 a écrit :non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)

Quant à ceux qui confient le soin à d'autres de gérer leur sexualité, ils me font penser à ses engagés qui prennent plaisir à ramper devant un gradé ou à défiler au pas. Comme disait Einstein, ceux là n'ont pas besoin d'un cerveau, une moelle épinière leur suffit!
"hommes de pouvoir" mon c--!


Bonjour ErosVerde,
Il ne m'avait pas été donné l'occasion d'échanger avec vous. Pour autant j'avais perçu combien vous êtres possédé par la nostalgie, au point d'afficher une photo qui date au moins des années cinquante. Nostalgie, aussi ces références récurrentes aux années sombres de notre histoire. Au point de chercher constamment à en débusquer des connections avec le moindre des comportements. J'imagine que si vous fréquentez assidûment ce site, vous êtes à l'écoute des fantasmes, et qu'il ne vous vient pas à l'esprit de les confondre avec la vie sociale de tout à chacun. Quand une femme se met en levrette, vous n'imaginez pas un instant "qu'elle prenne plaisir à ramper devant un gradé". Quant à Einstein, souvent ceux qui le cite serait bien en peine d'expliciter le moindre mot de la théorie de la relativité générale. Retenons toutefois de ces propos rapportés que le grand savant faisait la parfaite distinction entre le cerveau conscient et le cerveau reptilien. Or c'est justement de ce différentiel que naît le fantasme, entre les canons de la vie en société qu'ils soient d'origine culturel et religieuse et ces pulsions reptiliennes. Confondre les deux, c'est n'avoir pas compris le concept même de fantasme et vivre dans la confusion, qui appelle l'anathème, comme votre conclusion qui traduit bien la subtilité et la profondeur de votre analyse.
Pour autant, je ne doute pas, que vous sachiez raisonner, et ne pas simplement éructer.
Eva


Bien dit ,
(malgré les quelques "fautes de frappe")
on va dire ça comme ça
et l'erreur dans le temps!
Il ne faut pas chercher trop loin ni descendre trop profond,
au risque de réveiller une "chose" inconnue.
C'est bien pour ça qu'amusons nous de la façon la plus agréable possible.
JPh
#1207498
Erosverde76 a écrit :Au cas où votre cerveau, cher Eva, ne serait pas "que" reptilien, il vous a, sans doute échappé, que mon topic ne date pas des années cinquante mais de bien plus en amont vers les années 70 (non pas 1970) je veux dire 1870, puisqu'il s'agit d'Arthur Rimbaud! Vous connaissez? Un poète libre et symbole d'une âme qui vous échappe visiblement...
Quant à la référence à la Résistance et à la collaboration eh bien oui, c'est une sacrée référence pour moi.
Tant pis pour vous si cela ne vous évoque qu'une histoire de rutabagas et de grande vadrouille, nous n'avons pas les mêmes valeurs...
Figurez-vous que lorsqu'aujourd'hui, je vois de zélés serviteurs de l'Etat ou d'entreprises (hommes de pouvoir?) s'empresser de dresser la liste des prochains passagers d'un vol charter ou procéder sans aucun questionnement à l'interconnexion de différents fichiers informatiques concernant l'identité et les pratiques de millions de gens, alors oui, je ne me peux m'empêcher de penser "et en juillet 42 qu'auraient-ils fait?" ces gentils maris d'une autre Cassandra ou d'une Eva...
Vous me direz que cela nous éloigne de notre sujet...Pas tant que cela, l'individu ne se coupe pas en rondelles de saucisson...homme de "pouvoir" soumis à sa femme ou soumis à la loi de la baisse tendancielle du taux de profit, je ne fais pas la différence!
Je vous souhaite ni dieu, ni maître!


Bonjour,
Ce qu'il y a de sympathique dans vos propos, c'est qu'ils obligent à trier, à ordonner, à synthétiser pour retrouver un fil supposé à la pensée : Einstein, Rimbaud, les rutabagas, les vols charter, zélés serviteurs de l'Etat, juillet 42, ... et vous dites que dans tout cela "je ne fais pas la différence". Vous voulez, j'imagine, mettre à l'épreuve le "pauvre esprit reptilien" que, en tant que femme vous voulez bien me reconnaître. Rimbaud (qu'il est dommage de flouter, il ne mérite pas cela) et Einstein ont en commun d'explorer les limites de l'esprit, les rutabagas et les vols charter d'être les marqueurs d'une époque, les serviteurs zélés et juillet 42, le symbole d'un Etat oppresseurs. On peut dire que la navigation aux limites de la pensée est la meilleure défense contre l''Etat oppresseur quelques soient la marque des périodes de l'histoire. Quel rapport avec mon propos, qui précisément s'attache à cerner les limites des comportements issus de l'évolution et de la culture, et qui vise à se libérer des emprises de l'un et de l'autre. Quittez cher ami, le confort facile du prêt à penser, et les clichés qu'il véhicule pour la vraie liberté de pensée.
Bien à vous,
Eva
#1207685
Re: et encore un, je m'inquiète
Envoyé: Aujourd’hui, 16:27
De: cassandra
A: EvaBovary

Visiblement, je vois que - malgré mes modestes conseils - vous avez choisi l'option "je déterre la hache de guerre"... et que les gardiens du temple n'ont pas tarder à revenir frapper à votre porte avec la crosse de leur fusil. Fusils qui font pschhhhit, je vous l'accorde, tant on connaît d'avance la trajectoire de leurs balles.
Mais je vous avais prévenu, ils ne vous lâcheront pas et ont écoeuré (oui, c'est le bon mot je crois) plus d'une femme qui avait choisi de témoigner ici. Ce n'est pas dommage pour ces personnes, ni dommage pour vous ou pour moi, mais pour l'espace d'échange de ce site.
Loin d'échanger, je crois qu'ils n'ont que cela à faire à vrai dire, et vous l'avez bien formulé : éructer. Eructer et faire rentrer les têtes qui dépassent de leur pensée toute faite, joliment enrobée de références littéraires, de sciences exactes, de comportementalisme de café du commerce, de souvenirs nauséeux et, surtout, d'amalgames en tous genres.
Nonobstant, vos coups font mouche - si j'en juge à leurs réactions - et votre clairvoyance à les mettre à jour, fameuse. Mais ce sont des efforts qui me semblent bien inutiles, croyez-moi: ils ont l'air si convaincu.
Eux qui sont si friands de citations, peut-être pourrait-on leur donner à ronger celle-ci, ils y feraient sans aucun doute leurs dents déjà bien aiguisées par la haine qu'ils jettent sur ce forum: "À ce dont un esprit se satisfait, on mesure la grandeur de sa perte" (Hegel).

Vous avez mieux à faire, et l'avez vous-même écrit : constater et "habiter" chaque jour la suprématie féminine dans VOTRE vie.
Réservons maintenant nos échanges à une sphère privée, voulez-vous. Cela éclairera leur visage de mâles satisfaits convaincus de nous avoir fait taire, et ils pourront continuer leurs tours de garde ici. Quant à nous, nous y gagnerons à parcourir de jolies plages de discussion, non touchées par la pollution (de l'intolérance).

Bien à vous.
#1207687
Re: et encore un, le dernier.
Envoyé: il y a 3 minutes
De: EvaBovary
A: cassandra

Ma chère Cassandra,
Comme vous l'avez vu, je suis une guerrière, et je n'ai pas, malgré vos conseils judicieux, résisté au plaisir d'en découdre. Mais je confesse, que le contradicteur n'est pas de niveau, et sauf à la curiosité de découvrir ce site et ses habitants, le plaisir est bien maigre.

Je pense comme vous, que nous aurons plus de satisfactions à garder pour nous nos échanges qu'à les livrer en pâture à des vilains. Mais, je me suis laissée aller à commettre ce dernier message à ErosVerde :

"Ce qu'il y a de sympathique dans vos propos, c'est qu'ils obligent à trier, à ordonner, à synthétiser pour retrouver un fil supposé à la pensée : Einstein, Rimbaud, les rutabagas, les vols charter, zélés serviteurs de l'Etat, juillet 42, ... et vous dites que dans tout cela "je ne fais pas la différence". Vous voulez, j'imagine, mettre à l'épreuve le "pauvre esprit reptilien" que, en tant que femme vous voulez bien me reconnaître. Rimbaud (qu'il est dommage de flouter, il ne mérite pas cela) et Einstein ont en commun d'explorer les limites de l'esprit, les rutabagas et les vols charter d'être les marqueurs d'une époque, les serviteurs zélés et juillet 42, le symbole d'un Etat oppresseurs. On peut dire que la navigation aux limites de la pensée est la meilleure défense contre l''Etat oppresseur quelques soient la marque des périodes de l'histoire. Quel rapport avec mon propos, qui précisément s'attache à cerner les limites des comportements issus de l'évolution et de la culture, et qui vise à se libérer des emprises de l'un et de l'autre. Quittez cher ami, le confort facile du prêt à penser, et les clichés qu'il véhicule pour la vraie liberté de pensée.
Bien à vous,
Eva"
#1207977
EvaBovary a écrit :"Ma chère Cassandra,
Comme vous l'avez vu, je suis une guerrière, et je n'ai pas, malgré vos conseils judicieux, résisté au plaisir d'en découdre. Mais je confesse, que le contradicteur n'est pas de niveau, et sauf à la curiosité de découvrir ce site et ses habitants, le plaisir est bien maigre.

Je pense comme vous, que nous aurons plus de satisfactions à garder pour nous nos échanges qu'à les livrer en pâture à des vilains.


Madame est trop bonne de daigner ouvrir nos vils esprits.
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
#1208144
haribo a écrit :.../... son auteur qui avec force beaux discours et tournures élégantes nous convaincrait qu'on est soit des ignares soit des imbéciles heureux :mrgreen:


Oui mais des fois, rarement d'accord car nous sommes des gueux sans éducation, on s'en rend compte .... :roll:
#1208283
reverencieux a écrit :
EvaBovary a écrit :
Erosverde76 a écrit :non pas initials BB mais "je t'aime, moi non plus" ;)

BRAVO Evabovary, enfin une personne intelligente qui ne se laisse pas prendre aux elucubrations de celui qui a pris le pseudo de EROSVERDE qui se prend pour la lumière du monde alors quil n'est qu'un vermisseau luisant, enfin quelqu'un qui lui ferme son caquet,, bravissimo


Reverencieux, je lis vos propos du 27 septembre 2012. Où peut-on voir du sadisme ? Pour ma part, je lis un désir total d'offrir du plaisir à sa belle :

Re: j'ai sucé son amant
par reverencieux » 27 Sep 2012, 22:13

chiendepavlov a écrit:
DANALO a écrit:
Malgré tout je ne me sens pas PD, je ne suis pas attiré par les hommes mais plutôt attiré par ce que vous pouvez exiger de moi avec eux ou exiger d'eux sur moi.

Je suis comme toi. Et je rajouterai... ce qui m'attire c'est leur domination.
j'ai fini par y passer aussi. Après des années à la lécher après qu'elle l'ait fait jouir en elle, elle m'a annoncé une surprise et m'a bandé les yeux. J'étais sur une chaise, nu, et elle me caressait divinement les couilles et la queue. J'ai entendu la porte d'entrée. Elles s'est mise derrière la chaise et m'a dit : "c'est lui qui me baise depuis des années. Je veux qu'il te possède aussi. Suce le avec soin, tu n'aura pas à le regretter"...Ouvre la bouche !
Sa queue est entrée. Je l'ai sucé, ça m'a paru naturel, facile et agréable. Il a mis ses mains sur ma tête pour guider mon rythme et bien gérer son plaisir. Elle avait repris ses caresses. Je ne voyais rien mais je l'imaginais en train de regarder son amant occupé à baiser ma bouche et se préparer à éjaculer.
Il a giclé puissamment. J'ai senti, non seulement son jet dans ma gorge mais aussi, a travers ça, tout ce que ça sous-tends comme sentiment de domination. Il baise ma femme depuis des années, je lèche son sperme qui ruisselle de la chatte de ma femme avant d'avoir le droit de la baiser à mon tour, mais, a présent, il s'entends avec elle pour m'emplir directement de son sperme. C'est humiliant mais j'ai aimé ça.
Je n'avais jamais eu de sexe avec un homme (si ce n'est de fugaces caresses à l'adolescence) mais la, c'était différent. C'était l'amant de ma femme et à sa demande à elle. J'avais le sentiment que c'était juste une petite évolution par rapport à l'habitude qui s'était instaurée que je ne la baise qu'après lui et après avoir léché avec soin tout le sperme dont il l'avait emplie. Il me dominait depuis des années en la faisant jouir sous mes yeux, il a franchi une étape logique en jouissant directement dans ma bouche.
Dorénavant, je serai à leur disposition à tous les deux, quelle que soit leur exigence sexuelle.....et avec grand plaisir....

beau récit, d'autant plus qu'il est semblable a ce qui m'est arrivé avec mon epouse et son amant, mais en outre ma délicieuse femme me fait lecher sucer d'autres queues de ceratins de ses amants en plus de son regulier et j'adore et depuis 4 mois elel me faait sodomisé par l'un ou l'autre, elle veut maintenant que moi aussi j'encule un homme, ça va loon mais j'addore lui faire plaisir et faire tous ses caprices

reverencieux
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#1209905
@reverecieux "mais j'adore lui faire plaisir et faire tous ses caprices" en voilà une qui a de la chance ....

par contre, tu pourrais m'expliquer : " Il me dominait depuis des années en la faisant jouir sous mes yeux" pourquoi pour toi le fait de faire jouir ta femme c'est de dominer (si on excepte toute idée de propriété sur ta femme !) en quoi le fait qu'un autre la fasse jouir te soumet à cet homme (ou femme) ?
#1211340
senioraquitain a écrit :J''ai rarement lu des "pensées" aussi sensées que la plupart de celles émises dans ce forum...sous le titre "le candaulisme, une absence d'économie amoureuse".
J'y retrouve beaucoup des mes désirs, de mes fantasmes tout cela dit avec beaucoup de "classe", de "sérieux", bref, loin des propos pornographiques d'autres forums (propos qui me plaisent d'ailleurs souvent) et qui m'ont accroché.
Bravo Cassandra d'avoir initié un tel débat...
Amicalement,
Jean Paul du 33


Bonsoir Jean-Paul,
Merci de vos compliments à Cassandra, dont je partage pleinement la vision. Je devine que j'aurais aimé vous avoir comme cocu, vous faire sucer mes amants après qu'ils m'aient prise. J'ai noté que vous aviez été initié par un homme marié et que vous preniez goût à sucer d'autres mâles, de sentir un gland entre vos lèvres. En fait j'aimerais vous voir sucer Mon Cocu devant moi. Voire plus... Peut-être, même que je pourrais initier à mon tour votre épouse, pour qu'elle se libère de l'emprise de la bien pensance et laisse parler ses désirs profonds de femme. D'autant qu'à 47 ans, elle est au summun du désir de sexe que ressent beaucoup de femmes à la maturité épanouie. Je pense que la forme d'échanges que nous avons ici, pourrait mieux que des propos plus crus la conduire sur les voies de la pleine libération et retrouver une connivence sexuelle avec vous. Il sera toujours temps de vivre une sexualité plus charnelle et une liberté de ton plus proche de sa femellité profonde.
A vous lire.
Eva
#1211964
haribo a écrit :Au secours !! :shock: :shock:


Voici ma réponse à Alexandra :
Alexandra,
Je viens de relire certains de vos messages, et j'y retrouve mes interrogations passées. J'ai découvert avec mon mari combien les relations candaulistes sont les plus fortes qu'on puissent imaginer. Au début, je craignais, comme vous que des aventures m'éloignent de mon mari, que je "tombe" amoureuse et m'éloigne de lui. Le dicton ne dit-il pas qu' "une femme aime l'homme qui la fait jouir". Or, c'est l'inverse qui se produit, plus je vis mon désir d'hommes, plus mon mari m'aime profondément et plus je l'aime en retour. La seule condition, majeur j'en conviens est de le faire participer totalement à mes plaisirs. Au début, je craignais que cela soit de ma part, une forme de cruauté, voire de sadisme, mais il n'en est rien. Bien au contraire, plus je le fais participer à mes plaisirs, à mes jouissances, plus il l'accepte, et y prend goût. Comme je le disais précédemment, son plaisir est comparable à celui qu'il prend quand il me faire jouir, mes orgasmes sont un peu les siens, et tout cas les nôtres, des orgasmes de couple. De là à ce que ces orgasmes soit offerts par d'autres hommes, il n'y a qu'un pas que j'ai franchis. Ces orgasmes sont les nôtres. Il me sais infiniment gré que je lui offre en cadeau. Ceci construit, entre nous un amour indéfectible. Comme je les lui dédie comme un offrande à notre amour, il en jouit. Plein de gratitude envers ma générosité , il serait près à se sacrifier comme sa propre offrande masochiste à lui, prêt au besoin à s'encager.
Longue vie à votre amour, plein de jouissance avec Charles.
Eva
#1212399
EvaBovary a écrit :Je me relis, et réalise à quel point je devrais me relire avant d'"envoyer". Je me choque de tous ces micro bugs et fautes que je laisse passer au fil du clavier.

Ce qui est surtout pénible, c'est la duplication de contenu ... :evil:
#1212804
EvaBovary a écrit :
haribo a écrit :Au secours !! :shock: :shock:


plus mon mari m'aime profondément et plus je l'aime en retour. La seule condition, majeur j'en conviens est de le faire participer totalement à mes plaisirs. (...) plus je le fais participer à mes plaisirs, à mes jouissances, plus il l'accepte, et y prend goût. Comme je le disais précédemment, son plaisir est comparable à celui qu'il prend quand il me faire jouir, mes orgasmes sont un peu les siens, Eva


Chère Mme Bovary
Vous évoquez ici le plaisir que vous apporte votre mari ("comparable à celui qu'il prend quand il me fait jouir") j'en suis heureux pour votre couple et vous reconnaitrez avec moi je l'espère, que c'est complètement différent de la privation infligée à son mari par Cassandra, privation qui va jusqu'à la bonne baffe quand celui ci "ose" se plaindre qu'elle ne l'ait pas averti qu'elle ne rentrerait pas de la nuit! Plaisir sadique de Cassandra à décrire le malheureux le jour où elle lui dit qu'il ne la touchera désormais jamais plus mais qu'il reste à ses ordres car elle est la 8ème merveille du monde que tous les amants de la terre s'arrachent (pardonnez l'image quelque peu triviale)
Bien à vous, votre Gustave ;)
#1213157
Cher Gustave,
Vous me faites plaisir, car d'aucuns étaient prêt à affirmer que Cassandra et moi étions une seule et même personne, usant de pseudo différents. Vous avez pu noter que si notre convergence est grande, nous restons chacune très différentes, ce qui est heureux. Je serais moins sévère que vous avec Cassandra, qui je crois pousse l'avantage à ses limites au moins dans ses propos. Je pense aussi, qu'elle a développé chez son mari un vécu masochiste dont il jouit pleinement. Et vous savez comme moi, que ce type de plaisirs est un des ciments les plus puissants dans un couple et incite à pousser toujours plus loin le plaisir sadomasochiste. L'aventure du banquier Edouard Stern, qui lui a coûté la vie, est bien réelle.
A vous lire, avec plaisir.
Eva
#1215702
@"emma" :D

"il n'y a pas de vanité intelligente, c'est un instinct. Il n'y a pas non plus d'homme qui ne soit avant tout vaniteux. Le rôle de paillasson admiratif est à peu près le seul dans lequel on se supporte d'humain à humain, avec quelque plaisir" (LFC)

"tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute
cette leçon vaut bien un fromage sans doute" (on épargnera l'insulte de préciser l'auteur ;) )

NB : vous m'excuserez, k'en suis sûr, de ne pas déliver mon CV, pour une fois que je fais court ! :lol:

bien à vous, n'est-ce pas !
#1216574
@mohican

Vous voyez bien que nous pouvons nous rejoindre. La vanité n'est qu'une pauvre défense des femmes, qui craignent de ne pas plaire, quelque soit leur beauté supposée par ailleurs, et des hommes qui ont peur de ne pas prendre leur proie dans leur filet. La vanité est aussi bien ancrée dans les gènes que le besoin de dieux. L'intelligence dont il s'agit n'est que l'expression de l'instinct de survie. Quant au paillasson, je n'y crois guère, tant est grande la vanité qui nous fait toujours choisir des challengers dignes de notre quête. Vous me direz que les relations entre hommes et femmes, n'ont aucune raison de se formuler en ces termes guerriers, tant la quête est commune, l'un étant la source du plaisir de l'autre. Mais les choses sont ainsi faites, et Darwin veille au grain pour que la vanité nous guide en toute occasion même et surtout celle qui gouvernent nos plaisirs.
Eva,
Que Flaubert me pardonne.

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