- 06 mai 2010, 21:23
#37338
La découverte récente de ce site est une chance inespérée, moi qui vit ma vie de cocu dans un isolement quasi total depuis des années. À qui en parler ? Soulagement, aussi, de ne pas me savoir seul à présent dans cette situation et d’avoir accès à vos témoignages, vos réactions…
Je vous livre ici un autre aspect de ma vie. Cela va faire deux mois que je ne fais pas l’amour avec ma femme. Lorsqu’elle sort pour aller baiser avec ses amants, ce qui est souvent le cas en ce moment, elle se refuse à moi. À l’inverse, combien de fois a-t-elle couchée, elle, lors des nombreuses escapades amoureuses ? Il lui est arrivée d’avoir jusqu’à trois rendez-vous dans la même journée. Quand elle rentre, elle est rompue, elle me dit qu’il n’est pas question que je la touche, qu’il faut que je comprenne, qu’elle a tous les hommes qu’elle veut, que sa vie sexuelle est comblée… que j’ai eu l’immense chance de la baiser pendant des années... et que maintenant mon tour est passé, qu’il faut que je me prépare à l’idée qu’un jour nous ne baiserons plus ensemble. Cette perspective me terrifie.
Hier, j’ai travaillé à la maison, rivé 10 heures de rang sur mon ordinateur. Elle a déambulé devant moi dans une jupe si courte que peu de gestes lui étaient permis, sauf à souhaiter elle-même que j’entrevoie, dans une fausse innocence, sa petite culotte blanche. Ce dont elle ne s’est pas privée, ne serait-ce que pour s’amuser à me voir devenir aussi blanc que le linge de ses dessous. Dans l’après-midi, le téléphone a sonné. À ses mots, j’ai compris que c’était un amant. Tout en parlant avec lui, elle est venue se caler sur le bord du bureau où je travaillais, elle roucoulait au téléphone en croisant et décroisant ses jambes nues devant moi. Mon cœur battait à rompre. Quand la conversation a pris fin, elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit :
« Mon cocu adoré, je sors ce soir… c’est pas la peine de m’attendre dans la nuit. »
Je n’en peux plus, sa beauté affolante, cette abstinence forcée me feraient tomber dans les pommes. Je suis dévoré de désir pour elle et je vis chaque jour dans un état second, quasi hallucinatoire. Je le lui ai dit. Elle m’a répondu : « Mon pauvre chéri adoré, c’est dur de vivre avec une salope, n’est-ce pas ? Mais en même temps tu n’as pas le choix, tu ne peux pas te passer de moi… Sois positif, mesure plutôt la chance que tu as que je revienne toujours vers toi alors que tant de mes amants me souhaiteraient entièrement pour eux !»
Que pouvais-je répondre ? Je sais qu’elle a raison… cruellement raison…
Je vous livre ici un autre aspect de ma vie. Cela va faire deux mois que je ne fais pas l’amour avec ma femme. Lorsqu’elle sort pour aller baiser avec ses amants, ce qui est souvent le cas en ce moment, elle se refuse à moi. À l’inverse, combien de fois a-t-elle couchée, elle, lors des nombreuses escapades amoureuses ? Il lui est arrivée d’avoir jusqu’à trois rendez-vous dans la même journée. Quand elle rentre, elle est rompue, elle me dit qu’il n’est pas question que je la touche, qu’il faut que je comprenne, qu’elle a tous les hommes qu’elle veut, que sa vie sexuelle est comblée… que j’ai eu l’immense chance de la baiser pendant des années... et que maintenant mon tour est passé, qu’il faut que je me prépare à l’idée qu’un jour nous ne baiserons plus ensemble. Cette perspective me terrifie.
Hier, j’ai travaillé à la maison, rivé 10 heures de rang sur mon ordinateur. Elle a déambulé devant moi dans une jupe si courte que peu de gestes lui étaient permis, sauf à souhaiter elle-même que j’entrevoie, dans une fausse innocence, sa petite culotte blanche. Ce dont elle ne s’est pas privée, ne serait-ce que pour s’amuser à me voir devenir aussi blanc que le linge de ses dessous. Dans l’après-midi, le téléphone a sonné. À ses mots, j’ai compris que c’était un amant. Tout en parlant avec lui, elle est venue se caler sur le bord du bureau où je travaillais, elle roucoulait au téléphone en croisant et décroisant ses jambes nues devant moi. Mon cœur battait à rompre. Quand la conversation a pris fin, elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit :
« Mon cocu adoré, je sors ce soir… c’est pas la peine de m’attendre dans la nuit. »
Je n’en peux plus, sa beauté affolante, cette abstinence forcée me feraient tomber dans les pommes. Je suis dévoré de désir pour elle et je vis chaque jour dans un état second, quasi hallucinatoire. Je le lui ai dit. Elle m’a répondu : « Mon pauvre chéri adoré, c’est dur de vivre avec une salope, n’est-ce pas ? Mais en même temps tu n’as pas le choix, tu ne peux pas te passer de moi… Sois positif, mesure plutôt la chance que tu as que je revienne toujours vers toi alors que tant de mes amants me souhaiteraient entièrement pour eux !»
Que pouvais-je répondre ? Je sais qu’elle a raison… cruellement raison…