- Aujourd’hui, 02:50
#2890440
Bonjour à tous,
Je suis assurément candaulisme, mes quelques expériences l'ont largement confirmé, plus ma femme va voir ailleurs et plus je l'aime.
Mais voilà, ma compagne n’a plus de désir pour moi.
Au début de notre relation, c’est moi qui avais une libido plus forte qu’elle, ce qui la faisait se sentir étouffée. Ça a entraîné beaucoup de tensions et de disputes. Ce n’était pas simple pour moi : je devais trouver un équilibre entre exprimer mes besoins et respecter les siens. Finalement, j’ai choisi de ne plus lui montrer mon désir, et cela a permis d’apaiser les choses entre nous.
Je suis assez ouvert d’esprit, et je lui ai toujours dit qu’elle était libre d’aller voir ailleurs si elle en ressentait le besoin. Je ne crois pas en la possession dans le couple.
Depuis, nous avons eu un enfant, né en octobre dernier. Cela fait environ un an que nous n’avons pas eu de relations sexuelles ensemble.
Ce week-end, elle est partie à Paris pour le travail, mais je savais que c’était aussi une manière pour elle de sortir, de faire la fête. Et j’étais content pour elle : je l’encourage à vivre, à s’amuser, à ne pas s’enfermer dans une routine. Je la vois plus vivante, plus souriante quand elle sort.
Elle m’a raconté, un peu à demi-mot au début, qu’elle avait été draguée par plusieurs hommes lors de cette soirée. Finalement, dans une discussion honnête et bienveillante, elle m’a avoué que ça lui avait fait du bien de se sentir désirée, qu’elle aurait peut-être même eu envie d’aller plus loin.
Et aussi étrange que cela puisse paraître, ça m’a fait plaisir pour elle. J’aime qu’elle se sente belle, qu’elle reprenne confiance en elle. La maternité l’a transformée, elle a eu l’impression de perdre son corps. Et si le fait d’être draguée, voire d’avoir des relations avec d’autres, peut l’aider à se sentir femme à nouveau, je suis prêt à l’accepter.
Mais au fond de moi, quelque chose me travaille. J’ai le sentiment qu’il s’est peut-être passé quelque chose ce week-end. Et pourtant, je n’ai pas envie de lui poser la question. Je respecte son intimité, son jardin secret, si c’est ce dont elle a besoin. J’essaie de prendre sur moi.
Mais une inquiétude plus profonde grandit : elle parle parfois de revoir d’anciens amants, d’avoir des moments à elle, et je la soutiens… sauf que moi, de mon côté, je ne ressens plus aucun désir venant d’elle. J’ai peur d’être mis de côté. J’ai peur que cela m’abîme, que je devienne jaloux malgré moi, que je la perde.
Je pense qu’elle n’est plus attirée par moi non plus parce que ma situation a changé. Avant, je travaillais beaucoup, trop même, dans un job que je n’aimais pas. Quand elle est tombée enceinte, j’ai voulu faire une pause, prendre une année sabbatique, reprendre le sport, être présent pour elle et ensuite pour notre enfant. Nous avions décidé que ce serait moi qui m’occuperais du bébé.
Aujourd’hui, je suis en reconversion pour devenir assistant maternel, mais je n’ai pas encore de revenus, mais économies ont fondue en 18 mois de "vacances". Et je vois bien qu’elle ne trouve pas cela séduisant : un homme sans travail, sans pouvoir d’achat. En plus, j’ai dû mettre le sport entre parenthèses pour m’occuper de notre fils, qui a maintenant 9 mois. Avant, j’étais combattant de MMA, et je sais que cela participait à l’image virile qu’elle appréciait.
Aujourd’hui, je suis un homme à bout de souffle, qui ne travaille pas, qui ne fait plus de sport, et qui frôle la dépression.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout
Je suis assurément candaulisme, mes quelques expériences l'ont largement confirmé, plus ma femme va voir ailleurs et plus je l'aime.
Mais voilà, ma compagne n’a plus de désir pour moi.
Au début de notre relation, c’est moi qui avais une libido plus forte qu’elle, ce qui la faisait se sentir étouffée. Ça a entraîné beaucoup de tensions et de disputes. Ce n’était pas simple pour moi : je devais trouver un équilibre entre exprimer mes besoins et respecter les siens. Finalement, j’ai choisi de ne plus lui montrer mon désir, et cela a permis d’apaiser les choses entre nous.
Je suis assez ouvert d’esprit, et je lui ai toujours dit qu’elle était libre d’aller voir ailleurs si elle en ressentait le besoin. Je ne crois pas en la possession dans le couple.
Depuis, nous avons eu un enfant, né en octobre dernier. Cela fait environ un an que nous n’avons pas eu de relations sexuelles ensemble.
Ce week-end, elle est partie à Paris pour le travail, mais je savais que c’était aussi une manière pour elle de sortir, de faire la fête. Et j’étais content pour elle : je l’encourage à vivre, à s’amuser, à ne pas s’enfermer dans une routine. Je la vois plus vivante, plus souriante quand elle sort.
Elle m’a raconté, un peu à demi-mot au début, qu’elle avait été draguée par plusieurs hommes lors de cette soirée. Finalement, dans une discussion honnête et bienveillante, elle m’a avoué que ça lui avait fait du bien de se sentir désirée, qu’elle aurait peut-être même eu envie d’aller plus loin.
Et aussi étrange que cela puisse paraître, ça m’a fait plaisir pour elle. J’aime qu’elle se sente belle, qu’elle reprenne confiance en elle. La maternité l’a transformée, elle a eu l’impression de perdre son corps. Et si le fait d’être draguée, voire d’avoir des relations avec d’autres, peut l’aider à se sentir femme à nouveau, je suis prêt à l’accepter.
Mais au fond de moi, quelque chose me travaille. J’ai le sentiment qu’il s’est peut-être passé quelque chose ce week-end. Et pourtant, je n’ai pas envie de lui poser la question. Je respecte son intimité, son jardin secret, si c’est ce dont elle a besoin. J’essaie de prendre sur moi.
Mais une inquiétude plus profonde grandit : elle parle parfois de revoir d’anciens amants, d’avoir des moments à elle, et je la soutiens… sauf que moi, de mon côté, je ne ressens plus aucun désir venant d’elle. J’ai peur d’être mis de côté. J’ai peur que cela m’abîme, que je devienne jaloux malgré moi, que je la perde.
Je pense qu’elle n’est plus attirée par moi non plus parce que ma situation a changé. Avant, je travaillais beaucoup, trop même, dans un job que je n’aimais pas. Quand elle est tombée enceinte, j’ai voulu faire une pause, prendre une année sabbatique, reprendre le sport, être présent pour elle et ensuite pour notre enfant. Nous avions décidé que ce serait moi qui m’occuperais du bébé.
Aujourd’hui, je suis en reconversion pour devenir assistant maternel, mais je n’ai pas encore de revenus, mais économies ont fondue en 18 mois de "vacances". Et je vois bien qu’elle ne trouve pas cela séduisant : un homme sans travail, sans pouvoir d’achat. En plus, j’ai dû mettre le sport entre parenthèses pour m’occuper de notre fils, qui a maintenant 9 mois. Avant, j’étais combattant de MMA, et je sais que cela participait à l’image virile qu’elle appréciait.
Aujourd’hui, je suis un homme à bout de souffle, qui ne travaille pas, qui ne fait plus de sport, et qui frôle la dépression.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout