par SoumisSeb68 - 30 avr. 2024, 11:22
- 30 avr. 2024, 11:22
#2795155
Bonjour à toutes et bonjour à tous,
Faisant écho à ma présentation sur le forum, je vous propose maintenant mon récit plus détaillé du commencement, du pendant et du futur de mes aventures (Certaines sont bien croustillantes).
Pour que mon récit soit le plus digeste possible, je vais essayer de soigner la forme. Je m'excuse par avance si parfois ça pique un peu les yeux, j'ai beaucoup à raconter
et à force de relire certaines choses peuvent passer à la trappe.
Je vous épargne mon enfance et une partie de mon adolescence parce que pas très intéressant mais surtout parce qu’il n’y aucun lien avec ma domination.
Mon histoire commence réellement en 2015, j'ai 17 ans et cela fait 2 ans que je suis avec ma copine. Avant d'être en couple, nous étions amis et je la connaissait depuis toujours puisque nous sommes né(e) la même année en 1998 et dans le même quartier où nous habitions. Etant donné que je n'ai jamais eu de relation amoureuse avant j'étais très nerveux à l'idée de lui avouer mes sentiments pour elle, a ma grande surprise, elle accepta immédiatement et sans hésitation. Nous étions dans une relation traditionnelle sans grande folie. Ma copine n'ayant jamais souhaitée aller plus loins entre nous, je suis toujours puceau. Celle-ci disait ne pas encore prête pour cela. Pensant réellement à cela, et à la vue de son caractère très réservée, timide et sensible je pensais avant tout qu'il s'agissait d'un problème de confiance en elle ou de la peur de mon regard sur elle. En 2 ans de relation, je n’ai donc jamais proposé d’aller plus loin avec ma copine et pensant donc respecter sa peur (ce que je pensais).
Au détours d'un repas tout les deux, et d'une discussion qui a suivie, ma copine m'explique que les relations "vanilles" ne l'interesse pas du tout et elle aimerait faire évoluer nos rapports de couple, à Dominatrice-Soumis. Elle m'explique également que sa mère est une dominatrice et qu'elle a pris goût à cet univers en regardant sa mère s'amuser sur son mari. En fin de discussion, elle ajoute qu'elle était totalement prête à me quitter pour trouver quelqu'un de plus ouvert sur le sujet si je refusais de devenir son soumis. Sur le coup, j'ai eu très peur de la perdre et je n'ai pas osé refuser. Cette même soirée, je reçois donc de ma copine (et j’ai appris par la suite que le cadeau venait de sa mère également), une cage de chasteté en métal, un petit modèle, avec un petit cadenas ouvert mais sans les clés.
Je n'ai pas réussi à retenir mes larmes, ni ma peine, mais ayant vraiement eu peur de la perdre j'ai accepté malgré tout, quelques jours après. C'est ma première relation, je la connaissait depuis mon plus jeune âge, je ne serais jamais arrivé à tourner la page, j'ai donc préféré largement me soumettre. Non sans difficultés, mon éducation a durée 6 mois avant que je ne devienne réellement soumis et dévoué à ma Maîtresse. Celle-ci a longtemps dû user du fouet et de coup de bâton sur mes testicules pour me faire rentrer dans le rang. Je ne suis pas fier de cette période, puisque aujourd'hui avec le recul, je suis pleinement heureux maintenant que mes obligations sont acquises.
Après la pause de la cage, elle me précise que la timitidé dont elle faisait preuve était surtout une façade pour m'avoir en quelques sortes dans "sa poche" pour reprendre ses mots. Son objectif étant d'avoir un soumis à ses pieds, elle était prête à tous les stratagèmes pour y arriver. Le soir même, ma copine a tout étalée sur le lit une multitudes d'accessoires de domination et entre les cordes, les fouets, les cravaches et j'en passes, j'étais terrorisé au fur et à mesure que des accessoires étaient rajouté sur le lit. Une fois terminée et dans le plus grand des calmes, ma copine me murmure à l'oreille :
"Je vais commencer ton initiation, j'attends de toi une obéissance totale et sache que je peux être très cruelle"
Sans attendre une seule minute, les premiers coup de cravache sont tombés sur mes fesses et en me tordant de douleurs, ma copine me demandait de compter à haute voix. Après une vingtaines de coups et les fesses bien rouge, elle commença à me fouetter les testicules avec un petit bâton. Hurlant de douleurs jusqu'aux larmes, elle me demanda de l'appeler Maîtresse, d'obéir à tous ses ordres et qu'elle ne cesserait les coups qu'après m'être incliné davant elle. Après m'être exécuté, elle a saisie un vibromasseur et tout en se donnant un orgasme avec, elle m'avoua que ça l'exitait de me voir en cage de chasteté, les fesses et les testicules bien rouge.
Le lendemain matin, Maîtresse avait accrochée la clé de ma cage de chasteté autour de son cou avec un joli collier en argent. Au petit déjeuner, regard amusé de sa mère et regard malicieux de Maîtresse à cause du collier, je n'ai pas su répondre à la question :
"Alors comment on se sens après être passé de lion à lion en cage ?"
Gêné et fasse à mon absence de réponse, sa mère se détourne de mon regard baissé et embraye à sa fille :
"Il est pas très communiquant aujourd'hui ton copain, je le conniassait plus pipelette, tu l'as cassée dans la nuit ?
Réponse de la fille :
"Même pas trop, il a pas encore l'habitude de sa nouvelle vie et puis de toute façon s'il l'ouvre alors que je ne l'ai pas autorisée, je le fouette alors c'est pas plus mal pour lui".
"C'est bien ma fille, avec le temps tu verras que pour être heureuse il faut parfois se montrer autoritaire. Dans quelques temps, il t'obéira aux doigts et à l'oeil, tu prendras un réel plaisir à le commander et en plus il sera plus que jamais attentionné envers toi. Regarde Philippe (Le mari de sa mère), ça fais plus de 25 ans que je ne fais plus le ménage, le linge, la vaiselle ou les repas, il s'en charge très bien tout seul. J'ai jamais été aussi libre depuis mon mariage".
"Je sais maman, ça viendra pour moi aussi et j'ai hâtes".
Un soir alors que je n'en pouvais plus de la gêne occasionnée par le port de la cage depuis plusieurs semaines, et Maîtresse ayant été exaspérée par mes plaintes à répétitions, j'ai eu droits au fouet sur les testicules. Après une longue séance de punition et après des longues minutesou j'implorais la pitié de Maîtresse, m'a dit :
"Alors t'a encore mal ? tu vois y a pire comme comme douleur. Maintenant et pour la dernière fois, je ne veux plus jamais t'entendre te plaindre".
"Oui Maîtresse pardonnez-moi de mon comportement inacceptable, cela est la dernière fois".
Depuis, je n'ai plus jamais "râlé" et le simple fait de penser à la punition me suffisait à tout oublier. De plus, avec les semaines qui ont suivies, le plus dur pour moi n'était pas du tout la gestion de la privation d'érection ou la gêne de la cage mais l'excitation et la frustration que je ressentais quand mes amis me récontait en détails leurs parties de jambes en l'air et leurs diverses aventures sous les draps.
En fin d'année, ayant eu un comportement irréprochable envers Maîtresse, celle-ci m'a offert en récompense, une branlette intégrale et l'autorisation d'éjaculer dans un préservatif. Après la petite "affaire" elle m'enleva le préservatif et de demanda de boire son contenu. Devant mon refus, elle me pinça les testicules, si fort et jusqu'a se que j'accepte d'obéir. Déçue de moi, elle me demanda de me mettre contre le lit pour la punition et elle me fouetta, une bonne vingtaine de fois. Puis elle a pris un gode ceinture et me murmure à l'oreille :
"J'étais gentil avec toi, je pensais te faire plaisir, mais tu ne peux pas t'empêcher de me décevoir. Maintenant je vais te montrer qui commande? Je possède deux godes ceintures, un petit bleu et un gros noir. Si t'es sage je te sodomise avec le bleu, si tu joues le mauvais garçon comme la regarde ce que je te fais".
Puis sans attendre elle m'enfonça dans l'anus, le gros gode lubrifié. Hurlant de douleur et après une bonne sodomie j'ai juré à Maîtresse de ne plus la décevoir. Par contre, lors des autres séance de sodomie avec le bleu j'ai bien aimé me soumettre et cela a bien participé aussi à ma soumission totale. Durant cette soirée, j'ai également appris à faire un cunnilingus à Maîtresse et je me suis exécuté à plusieurs reprise pour la remercier de m'avoir pris "comme une chienne" comme elle aime que je le dises.
Un soir un retrant à la maison, Maîtresse m'a ordonné de me déshabiller intégralement et de l'attendre à genoux dans sa chambre. A ma plus grande surprise, elle est venue 20 minutes plus tard en lingerie ouverte sur son entres-jambes et m'a ordonné de la lécher "comme je sais si bien faire en bonne serpilière que je suis". Durant cette même soirée, j'ai passé une bonne partie de la soirée à enchaîner les cunnilingus avant que Maîtresse ne se finisse avec son vibromasseur.
2015 se termine, 2016 commence et en cette année 2016, je vais sur mes 18 ans, le jour de mon anniversaire au matin et bien avant la fête prévue le soir, je reçois un message de Maîtresse :
"Retrouve moi chez-moi pour 9h, j'ai une surprise pour toi"
Une fois elle, je constate avec horreur et dégoût que Maîtresse et mon meilleur ami étaient en train de baiser tous les deux. Je ne peux retenir mes larmes, et tombe à genoux devant eux. Maîtresse me dit :
"Pour ton anniversaire je voulais te faire la surprise de m'envoyer en l'air avec ton meilleur pote je te convoitais depuis quelques temps, j'espère que tu aimes le cadeau parce que sinon c'est le fouet pour toi. Tu as été un bon soumis durant ces derniers mois et il est temps pour moi de profiter de ma liberté pour avoir des aventures avec d'autres mecs. Tu devrais vraiment prendre exemple sur ton pote, il baise comme un dieu. Ah oui j'ai oubliée tu peux pas avec ta petite cage, en plus t'es puceau petite bite".
Après avoir écouté Maîtresse, et malgré mes larmes et mes sanglots, j'ai eu pour obligation de regarder Maîtresse s'amuser avec mon meilleur ami, jusqu'a ce qu'il finisse dans son préservatif. De là, j'ai dû boire le contenu devant lui, à genoux toujours.
Maîtresse éclata de rire et dit à Julien (mon ami) :
"Tu vois je l'ai tellement bien éduquée que je peux même lui faire boire ta sème, si ça se trouve à force que lui faire boire du sperme, il va peut-être arrêter d'être une petite chose fragile".
Après avoir rigolé tous les deux Maîtresse a utilisée son gode ceinture bleu pour me sodomiser lui afin de m'humilier encore une fois. Suite à cela, Julien est parti, Maîtresse et restée pour la fête et les invités sont arrivés. Pendant toute la journée et la soirée qui a suivi, Maîtresse prenait un malin plaisir à avoir les mains baladeuses sur mon entre jambes, à caresser mon pénis, à m’envoyer des sextos et à me raconter des histoires très cochonnes. Un moment dans la soirée, elle me fais signe de la suivre dans la salle de bain, de là, elle commence à se frotter sensuellement à moi et après 10-15 bonnes minutes de sensualité, elle se mets à genoux, ouvre ma braguette, sort ma cage de chasteté et simule une branlette puis une fellation avec.
Alors que je sentais l'excitation monter et la sauce arrriver, elle s'arrêta, ranga mon pénis et me précisant que la suite est pour plus tard. Tant bien que mal la soirée passe, se termine doucement, les invités partent et nous allons dans ma chambre tous les deux. Maîtresse se déshabille, dévoilant ainsi de la lingerie super sexy et en sortant un sextoy de ses affaires elle me pousse sur lit en me demandant de la regarder. Elle se masturbait avec envie tout en poussant des cris de plaisir. Mon excitation était intense durant sa masturbation, tellement intense que je ne pouvais pas m’empêcher de gesticuler dans tous les sens.
Après avoir eu un puissant orgasme avec son sextoy, ma copine me regarde et me dit :
« j’en peux plus, entre ton pote et le vibro, j’ai jamais autant jouis et là je suis complètement rincée. Je vais passer une bonne nuit en tout cas ».
Pour me punir de l'avoir regarder avec envie, Maîtresse ma fouettée une dizaine de fois, puis m'a ordonné de dormir par terre. Le lendemain matin après m'avoir largement plotée, elle a pris son sextoy et elle le dépose sur ma cage, les vibrations étaient terribles et la sensation tellement particulière que je n'ai pas mis beaucoup de temps à avoir une misérable petite éjaculation.
Le week-end après mon anniversaire, Maîtresse était de sortie avec des amis, de mon côté j'ai eu ordre de faire la vaiselle chez sa mère pendant ce temps. Le dimanche après-midi, Maîtresse me téléphone en me disant qu'elle avait quelque chose d'important à me dire. Quelques temps plus tard, je passe chez elle et elle me dit :
" j'ai profitée de la journée du samedi pour m'amuser et pour clôturer la soirée, j'ai couchée avec une bonnes partie de tes amis et je me suis vraiment régalée. Maintenant cela sera une règle entre nous, je baise, je m'amuse et toi tu regarde comme un bon chien, enfin comme la petite chienne que tu es plutôt".
Quelque temps après avoir terminé de m'éduquer, ma Dominatrice m'a racontée que sa mère avait profiter de la soumission de son mari pour coucher et tomber enceinte de son collègue.
Sa maman lui a donc apprit le principe de la domination pour que elle aussi puisse être heureuse.
C'est là qu'elle m'a avouée avoir pris goût à la domination et qu'elle sentait en moi pour reprendre ses mots : "que j'étais un bon pigeon, facilement dominable"
A partir de 2017, nous avons trouvé notre propre logement avec Maîtresse et comme elle le dit si bien "je suis son petit toutou pour meubler l'appartement et le rendre plus joyeux". Avec le temps j'ai pris goût pour les humiliation quotidienne, au point que cela me manque lorsque Maîtresse n'est pas là. Sinon à partir de 2017, Maîtresse a continuée à coucher avec mes amis, au point de devenir une habitude les vendredi soirs et les week-ends. Par exemple lorqu'elle organisait des soirées, j'accuillais les invités à genoux par terre, leurs proposaient des fellations pendant que Maîtresse se préparait avec de la belle lingerie. Au tout début, mes amis étaient un peu gênés pour certains à l'idée de se déshabiller au point d'être nu et de coucher devant avec Maîtresse. Pour détendre davantage l'atmosphère Maîtresse m'ordonnait de préparer un apéro assez chargé et de laisser faire le temps. En quelques semaines, l'ensemble de mes amis ont pus prendre leurs marques et commencer à prendre du plaisir.
Depuis que nous avons emménagés et depuis mes 18 ans, mes obligations ont changées et sont désormais :
Pour le quotidien :
- Faire l'ensemble des tâches ménagères et l'entretien de la maison (tout)
- Faire la cuisine
- Faire le linge
- Faire les courses
Pour les finances :
- Interdiction formal d'avoir un compte bancaire, l'ancien que je possèdais a été fermé en 2017
- Interdiction de gérer les comptes
- Obligation de reverser l'intégralité de mon salaire sur le compte de ma Maîtresse
Pour vénérer Maîtresse :
- Cunnilingus obligatoire tous les matins, pour qu'elle puisse se lever et commencer sa journée de bonne humeur
- Cunnilingus obligatoire tous les soirs, et ainsi qu'elle puisse dormir paisiblement
- Fessée obligatoire pour moi tout les jours, pour me rappeler qui commande (et pour le plaisir de Maîtresse surtout)
Grace aux conseils de sa mère, ma Maîtresse est donc passée d'une personne assez réservée, à quelqu'un de dévergondée, multipliant les relations sexuelles avec des gens de passages.
Ce dont elle raffole le plus lorsque nous sortons, c'est de me faire passer pour son ami et de draguer ouvertement des hommes, voir de demander ma complicité pour obtenir des conquêtes. Pour être sûr que j'obéisse lorqu'elle me demande d'aborder un homme pour elle, elle n'hésite pas à poser sa main sur mon entre-jambes et a toucher avec insistance ma petite cage de chasteté (y compris si nous sommes en public). Ma technique pour que Maîtresse puisse se faire séduire par des hommes était de les aborder en me faisant passer pour un de ces amis et qu'elle était timide pour venir leurs parler. A part quelques rares personnes qui n'étaient pas du tout intéressés, la technique a dû faire mouche quasiment tout le temps.
Je ne l'ai pas précisé dans mon récit mais depuis ma soumission, mon meilleur ami est devenu un plan cul régulier pour Maîtresse, et celui-ci prend du plaisir à m'humilier lorsqu'il la baise. Lorsque Maîtresse et Julien sont ensemble, ils se tiennent par la main et se comportes commes des amoureux. Même si au début j'avais vraiment du mal à voir ma copine avec d'autres hommes, aujourd'hui cela m'excite terriblement.
Au courant d'une longue soirée à discuter entre eux, Maîtresse et Julien, ont étalis les règles suivantes que je dois respecter :
- Je dois toujours l'attendre à genoux et le sucer pendant que Maîtresse se préparer en lingerie.
- J'ai interdiction de le servir autrement que nu ou uniquement avec des vêtements de femme (robe, string, jupe, collants ouverts, talons...).
- Je dois boire le contenu de ses préservatifs usagés.
- Je dois nettoyer son pénis avec ma bouche après ses rapports sexuelles.
- Après chaque rapport sexuel, je dois le remercier de faire jouir Maîtresse.
- Je dois les regarder à genoux pendant qu'ils baisent.
Maîtresse ne considère pas Julien comme un amant mais pour reprendre ses mots, plutôt comme un "Sex-Friend", et qu'elle se sent "comme une bonne salope" quand elle couche avec lui. En revanche, elle n'a pas tardée à comprendre qu'un amant régulier serait nécessaire pour la satisfaire davantage (en plus de ses aventures régulières et de ses plans d'un soir).
En 2018, Maîtresse a eu une aventure avec un beau métisse de passage dans la région pour des vacances. Depuis, elle a su qu'il lui fallait absolument un beau black comme amant. Elle a ainsi consacrée une bonne partie de l'année à chercher un amant idéal, avec des critères particuliers :
- Jeune homme entre 18 et 25 ans.
- De nationalité étrangère, black.
- Marié et avec enfant (elle s'est découvert entre temps un fantasme pour les hommes mariés).
- Disponible.
- Qui accepte ma soumission
- Qui accepte de m'humilier et de devenir mon Maître.
- Qui est très pervers, pas timide et avec un appétit sexuel très important.
Malgré des échecs dans ses recherches presque toute l'année 2018, elle trouvée son amant tant rêvé sur une application de rencontre extra-conjugale.
Il s'appel Fariji, il a 25 ans, il est d'origine Guinéenne, marié, père de 3 enfants, il est venu en France pour le travail et un meilleur salaire, sa famille est resté au Pays.
Toutes les conditions étaient réunis pour la plus grand joie de Maîtresse.
Je me souviens en particulier d'une journée ou après avoir fait longuement la connaissance de Fariji, les choses se sont très accélérées avec Maîtresse.
Un matin alors que nous prenions le petit déjeuner à l'écart de tout le monde dans une boulangerie, ils s'échangeaient des regards très coquins, puis des paroles très sales.
Après quelques instants, Maîtresse a décidée d'envoyer des photos très sexy et cochonne d'elle, sur son téléphone.
Fariji n'a pas résisté très longtemps avant de gliser sa main sous la table et de lui caresser le clitoris.
Alors que Maîtresse prenait du plaisir, elle me regarde dans les yeux, ouvre la braguette de mon pantalon, sort ma cage de chasteté en simulant une branlette, et me murmerant à l'oreille :
"Je prends plus de plaisir avec mon amant en 10 minutes, qu'avec toi en 3 ans. J'ai bien fait de faire de toi une bonne chienne soumise, tu me mérites pas, tu ne mérites même pas qu'on te regarde. Regarde toi tu es misérables avec ta petite bite en cage, je me fais des mecs à la chaîne et toi tu regardes en bon soumis, j'espères que tu admires bien le travail d'un homme expérimenté. J'ai jamais été autant excitée, je mouilles comme une folle"
De mon côté je n'ai pas pu m'empêcher de répondre :
"Je suis content Maîtresse que vous preniez du plaisir avec vos conquêtes ou votre amant, je suis fier d'être votre esclave dévoué, perdre ma virilité et rester puceau me permets de vous servir sans failles"
Alors que j'allais éjaculer, Maîtresse arrêta brusquement de me branler avec ma cage de chasteté et m'ordonna de refermer mon pantalon.
J'obéis sans discuter, malgré la frustration, les ordres étant les ordres.
Comme nous étions en public, Maîtresse dû s'empêcher de crier pendant son orgasme, mais il était si puissant que toute sa chaise était trempée.
Pour ne pas éveiller de soupçon, j'ai tout nettoyé pendant que Maîtresse et Maître m'attendaient dehors.
Alors que je roulais pour ramener tout le monde en direction de la maison, Maîtresse pris le sexe de Maître et le branla d'une douce délicatesse. Une fois bien dur, elle proposa une fellation à Fariji, qui n'a pas hésité une seule minutes. Les bruits de gorge de Maîtresse et les gémissements de Maître étaient incroyables, mais il ne fallut pas beaucoup de temps avant qu'on me donne l'ordre de m'arrêter en bord de forêt. Avec le temps Maîtresse est devenue très perverse en oubliant toute forme de gêne et de timidité, du coup elle enleva sa culotte, m'ordonna de lui donner un préservatif et demanda à Fariji de la pénétrer. Après de bref vas et viens, Maîtresse de déshabilla entièrement en me demandant de regarder comment elle se fait bien baiser, pour complimenter Fariji. Margré les nombreuses aventures de Maîtresse, je ne l'ai jamais vu aussi assoiffée de sexe ni autant crier quand Fariji lui a donné un orgasme. Une fois leurs petite affaire terminé, elle me demanda de sucer Fariji pour le nettoyer, puis m'ordonna d'avaler le sperme contenu du préservatif usagé. De retour à la maison, je n'ai pas arrêté de les regarder baiser toute la journée.
Depuis, Fariji est devenu son amant officiel et il a même emménagé chez nous en fin d'année 2018.
Pour que Maîtresse puisse dormir avec son nouvel amant et marquer à nouveau ma soumission, je propose de céder ma place à Fariji et de me faire dormir par terre dans un panier pour chien.
Pour me remercier de mon bon geste, Maîtresse m'a autorisé un orgasme ruiné avec ma cage de chasteté et une sodomie.
A partir de mi-2018, Maîtresse à commencée à inviter tous mes amis en plus de son amant pour la prendre en partouze. Il y avait donc régulièrement une dizaine de personne le soir et les week-ends pour du sexe avec elle. De mon côte, je devais servir les invités déguisé en femme, avec la totale, collants ouverts, fausse poitrine, talons, robe ou jupe courte, perruque...
Lors de ces soirées, je me faisais également sodomiser par Maîtresse devant tout le monde, et elle invitait mes amis à faire de même. Avec le temps, tous on compris qu'il n'y avait rien d'homosexuel, et tout le monde me passaient dessus. Bien sûr, tradition imposée par Maîtresse, je buvais le sperme des préservatifs usagés des invités en fin de soirée, avant que tout le monde ne rentre. Les soirées se terminaient par des coup de cravache et de martinet sur mes fesses et parfois mes testicules.
En Septembre 2018, Maîtresse m'a imposée le mariage afin d'officialiser notre relation gynarchique.
Nous avons organisé deux cérémonie, une traditionnel sur une journée avec les familles et une deuxième cérémonie quelques jours plus tard avec uniquement l'amant de Maîtresse et tous les partenaires sexuels qu'elle a pu avoir depuis 2016. Lors de notre première cérémonie avec les familles, les alliances étaient en toc pour donner l'illusion d'un échange. C'était une de mes propositions pour avoir plus de budget pour elle, pour son voyage de noce (je reviendrai sur son voyage
. Maîtresse n'a pas souhaitée porter d'alliance car elle n'appartient à personne et pour qu'elle puisse avoir toutes ses chances de multiplier les conquêtes avec des hommes. De mon côté je n'ai pas eu le droit d'en porter une car j'appartient déjà à ma Dominatrice au travers de ma cage de chasteté.
Pour l'occasion de la "fête" plus intime, nous avions loué une salle en campagne profonde, pour être tranquille et à l'abris des regards (nous avons fait tout notre possible pour créer une atmosphère propice au sexe). Pour la cérémonie gynarchique, nous voulions quelque chose qui soit le plus humiliant pour moi, au possible. A l'accueil, Maîtresse proposait des fellations aux invités pour qu'ils puissent se détendre. De mon côté, j'étais assis à ses pieds en la regardant et en regardant les invités prendre du plaisir. Pendant toute la cérémonie, j'étais à genoux, totalement nu avec juste ma cage de chasteté et un plug anal rose dans l'anus. De son coté, Maîtresse avait sa vrai robe de mariage avec des mi-bas blanc mais elle ne portait pas de culotte, ni de soutien-gorge. De là j'ai signé un contrat d'appartenance avec Maîtresse en lui promettant l'obéissance absolue pour le reste de ma vie. Pour officialiser notre union, nous avons remplacé le traditionnel échange d'alliance par le changement de ma cage de chasteté pour une plus petite en métal. Bien sûr, sous les rires de tout le monde. A la fin de la cérémonie je me suis mis à 4 pattes sur une estrade prévue pour l'occasion et les convives étaient invités à mettre des coups de fouet sur les fesses. Les plus téméraires ont pus déshabiller Maîtresse et faire un "gangbang" avec elle.
Les festivités ont durés 3 jours au total et durant ces 3 jours Dominatrice a pu se lâcher en couchant d'abord individuellement avec les invités, puis en quasi orgie.
Nous avions prévu suffisamment de quoi boire, manger et dormir sur place. Pour l'anecdote, une centaines de préservatifs ont été utilisés sur 3 jours, pour une vingtaines d'invités
Après notre mariage, le voyage de noce de Maîtresse a eu lien en Octobre 2018, Pour la Polynésie Française sur 3 semaines.
Je lui est proposé de partir seule, pour qu'elle puisse s'amuser au maximum, et faire un maximum de conquête.
De mon côté, j'avais l'espèrance qu'elle tombe enceinte d'un beau black croisé la-bas, après un coup d'un soir par exemple.
Pendant ce temps, son bel amant profitait aussi de ses conquêtes à la maison et moi je faisais l'intendance de la maison.
Au retour du voyage de Maîtresse pas de brioche au four, mais pleins de photos assez évocatrice des ses activités pendant les 3 semaines
Pour 2019, 2020 et 2021 il n'y a pas eu spécialement d'anecdotes croustillantes, entre le Covid et le travail pas grand chose ne s'est passé (de nouveau).
En 2022, et à l'occasion de l'anniversaire de Maîtresse, je lui ai offert une opération pour la pose d'une prothèse de poitrine. J'ignore quel taille font maintenant les seins de Maîtresse mais celle-ci est ravie, elle est plus que jamais désirable auprès des hommes et Fariji se régale encore plus. Coup de bol pour elle, l'opération n'a quasiment laissée aucune trace sous sa poitrine.
En fin 2023, Fariji a enmené Maîtresse en Guinée pendant 1 mois, la famille de là-bas était en courant depuis de début de son aventure avec Maîtresse. En Guinée la polygamie n'est pas forcément légale, mais beaucoup d'hommes pratiquent quand même, surtout qu'une bonne partie de ces revenus y est envoyé. D'après Maîtresse, leurs vacances étaient folles, faites de baises, de bons repas, de visites extraordinaires...
En 2023 nous avons fêtés nos 25 ans, pour l'occasion Maîtresse a été prise en gangbang par les mêmes invités que lors de mariage ainsi que Fariji. Pendant la fête je portais un beau costume de lapine avec la queue sous forme de plug anal. Je m'étais occupé comme à mon habitude, du service pour les invités. Nous avions de la bonne musique et même un écran pour projeter des photos sexy de Maîtresse. En fin de soirée les invités ont pus profiter de boire un rhum arrangé directement sur la nouvelle poitrine de Maîtresse. Tout le monde a dormis sur place et le lendemain matin Maîtresse a salué chaque personne par une dernière fellation.
Pour 2024, j'ai proposé à Maîtresse de tomber enceinte d'un inconnu à qui elle aurait donnée rendez-vous en forêt ou sur une aire d'autoroute par exemple.
Pour le moment elle refuse encore, car elle préfère profiter pour avoir des aventures régulières, et se sentir libre.
Aujourd'hui et avec le recul depuis mes 17 ans, je ne regrette absolument rien et même si je n'ai pas charché de moi-même une dominatrice, je savours tous les instants de ma soumission. Il est vrai que par moment je n'en veux d'avoir essayé de résister ou d'avoir essayé d'enlever ma cage de chasteté en coupant le cadenas mais j'aurais fais erreur. Avec le temps j'ai compris qu'être encagé c'est être libre, libre ne plus avoir d'obligations et de responsabilités complexes mais simplement de devoir faire des tâches simples au quotidien. Il est vrai que sans ma soumission Maîtresse n'aurais pû vivre sa vie comme elle l'entend et être pleinement heureuse. De mon côté, la cage de chasteté et devoir l'obéissance à Madame me pousse davanche à être attentionné, bienvaillant mais par-dessus tout, heureux. Si devenir une Dominatrice ou un bon soumis vous attire, je ne peux que vous conseiller d'essayer.
C'était le résumé de mon aventure dans la soumission à ma Dominatrice, j'espère ne pas avoir été trop ennuyant.
Si possible j'accompagerais mon récit avec des photos déposée par la suite.
Merci tout cas pour votre lecture, je suis preneur si vous avez des idées que je peux proposer à Maîtresse.
Cordialement
SoumisSeb68
Faisant écho à ma présentation sur le forum, je vous propose maintenant mon récit plus détaillé du commencement, du pendant et du futur de mes aventures (Certaines sont bien croustillantes).
Pour que mon récit soit le plus digeste possible, je vais essayer de soigner la forme. Je m'excuse par avance si parfois ça pique un peu les yeux, j'ai beaucoup à raconter
et à force de relire certaines choses peuvent passer à la trappe. Je vous épargne mon enfance et une partie de mon adolescence parce que pas très intéressant mais surtout parce qu’il n’y aucun lien avec ma domination.
Mon histoire commence réellement en 2015, j'ai 17 ans et cela fait 2 ans que je suis avec ma copine. Avant d'être en couple, nous étions amis et je la connaissait depuis toujours puisque nous sommes né(e) la même année en 1998 et dans le même quartier où nous habitions. Etant donné que je n'ai jamais eu de relation amoureuse avant j'étais très nerveux à l'idée de lui avouer mes sentiments pour elle, a ma grande surprise, elle accepta immédiatement et sans hésitation. Nous étions dans une relation traditionnelle sans grande folie. Ma copine n'ayant jamais souhaitée aller plus loins entre nous, je suis toujours puceau. Celle-ci disait ne pas encore prête pour cela. Pensant réellement à cela, et à la vue de son caractère très réservée, timide et sensible je pensais avant tout qu'il s'agissait d'un problème de confiance en elle ou de la peur de mon regard sur elle. En 2 ans de relation, je n’ai donc jamais proposé d’aller plus loin avec ma copine et pensant donc respecter sa peur (ce que je pensais).
Au détours d'un repas tout les deux, et d'une discussion qui a suivie, ma copine m'explique que les relations "vanilles" ne l'interesse pas du tout et elle aimerait faire évoluer nos rapports de couple, à Dominatrice-Soumis. Elle m'explique également que sa mère est une dominatrice et qu'elle a pris goût à cet univers en regardant sa mère s'amuser sur son mari. En fin de discussion, elle ajoute qu'elle était totalement prête à me quitter pour trouver quelqu'un de plus ouvert sur le sujet si je refusais de devenir son soumis. Sur le coup, j'ai eu très peur de la perdre et je n'ai pas osé refuser. Cette même soirée, je reçois donc de ma copine (et j’ai appris par la suite que le cadeau venait de sa mère également), une cage de chasteté en métal, un petit modèle, avec un petit cadenas ouvert mais sans les clés.
Je n'ai pas réussi à retenir mes larmes, ni ma peine, mais ayant vraiement eu peur de la perdre j'ai accepté malgré tout, quelques jours après. C'est ma première relation, je la connaissait depuis mon plus jeune âge, je ne serais jamais arrivé à tourner la page, j'ai donc préféré largement me soumettre. Non sans difficultés, mon éducation a durée 6 mois avant que je ne devienne réellement soumis et dévoué à ma Maîtresse. Celle-ci a longtemps dû user du fouet et de coup de bâton sur mes testicules pour me faire rentrer dans le rang. Je ne suis pas fier de cette période, puisque aujourd'hui avec le recul, je suis pleinement heureux maintenant que mes obligations sont acquises.
Après la pause de la cage, elle me précise que la timitidé dont elle faisait preuve était surtout une façade pour m'avoir en quelques sortes dans "sa poche" pour reprendre ses mots. Son objectif étant d'avoir un soumis à ses pieds, elle était prête à tous les stratagèmes pour y arriver. Le soir même, ma copine a tout étalée sur le lit une multitudes d'accessoires de domination et entre les cordes, les fouets, les cravaches et j'en passes, j'étais terrorisé au fur et à mesure que des accessoires étaient rajouté sur le lit. Une fois terminée et dans le plus grand des calmes, ma copine me murmure à l'oreille :
"Je vais commencer ton initiation, j'attends de toi une obéissance totale et sache que je peux être très cruelle"
Sans attendre une seule minute, les premiers coup de cravache sont tombés sur mes fesses et en me tordant de douleurs, ma copine me demandait de compter à haute voix. Après une vingtaines de coups et les fesses bien rouge, elle commença à me fouetter les testicules avec un petit bâton. Hurlant de douleurs jusqu'aux larmes, elle me demanda de l'appeler Maîtresse, d'obéir à tous ses ordres et qu'elle ne cesserait les coups qu'après m'être incliné davant elle. Après m'être exécuté, elle a saisie un vibromasseur et tout en se donnant un orgasme avec, elle m'avoua que ça l'exitait de me voir en cage de chasteté, les fesses et les testicules bien rouge.
Le lendemain matin, Maîtresse avait accrochée la clé de ma cage de chasteté autour de son cou avec un joli collier en argent. Au petit déjeuner, regard amusé de sa mère et regard malicieux de Maîtresse à cause du collier, je n'ai pas su répondre à la question :
"Alors comment on se sens après être passé de lion à lion en cage ?"
Gêné et fasse à mon absence de réponse, sa mère se détourne de mon regard baissé et embraye à sa fille :
"Il est pas très communiquant aujourd'hui ton copain, je le conniassait plus pipelette, tu l'as cassée dans la nuit ?
Réponse de la fille :
"Même pas trop, il a pas encore l'habitude de sa nouvelle vie et puis de toute façon s'il l'ouvre alors que je ne l'ai pas autorisée, je le fouette alors c'est pas plus mal pour lui".
"C'est bien ma fille, avec le temps tu verras que pour être heureuse il faut parfois se montrer autoritaire. Dans quelques temps, il t'obéira aux doigts et à l'oeil, tu prendras un réel plaisir à le commander et en plus il sera plus que jamais attentionné envers toi. Regarde Philippe (Le mari de sa mère), ça fais plus de 25 ans que je ne fais plus le ménage, le linge, la vaiselle ou les repas, il s'en charge très bien tout seul. J'ai jamais été aussi libre depuis mon mariage".
"Je sais maman, ça viendra pour moi aussi et j'ai hâtes".
Un soir alors que je n'en pouvais plus de la gêne occasionnée par le port de la cage depuis plusieurs semaines, et Maîtresse ayant été exaspérée par mes plaintes à répétitions, j'ai eu droits au fouet sur les testicules. Après une longue séance de punition et après des longues minutesou j'implorais la pitié de Maîtresse, m'a dit :
"Alors t'a encore mal ? tu vois y a pire comme comme douleur. Maintenant et pour la dernière fois, je ne veux plus jamais t'entendre te plaindre".
"Oui Maîtresse pardonnez-moi de mon comportement inacceptable, cela est la dernière fois".
Depuis, je n'ai plus jamais "râlé" et le simple fait de penser à la punition me suffisait à tout oublier. De plus, avec les semaines qui ont suivies, le plus dur pour moi n'était pas du tout la gestion de la privation d'érection ou la gêne de la cage mais l'excitation et la frustration que je ressentais quand mes amis me récontait en détails leurs parties de jambes en l'air et leurs diverses aventures sous les draps.
En fin d'année, ayant eu un comportement irréprochable envers Maîtresse, celle-ci m'a offert en récompense, une branlette intégrale et l'autorisation d'éjaculer dans un préservatif. Après la petite "affaire" elle m'enleva le préservatif et de demanda de boire son contenu. Devant mon refus, elle me pinça les testicules, si fort et jusqu'a se que j'accepte d'obéir. Déçue de moi, elle me demanda de me mettre contre le lit pour la punition et elle me fouetta, une bonne vingtaine de fois. Puis elle a pris un gode ceinture et me murmure à l'oreille :
"J'étais gentil avec toi, je pensais te faire plaisir, mais tu ne peux pas t'empêcher de me décevoir. Maintenant je vais te montrer qui commande? Je possède deux godes ceintures, un petit bleu et un gros noir. Si t'es sage je te sodomise avec le bleu, si tu joues le mauvais garçon comme la regarde ce que je te fais".
Puis sans attendre elle m'enfonça dans l'anus, le gros gode lubrifié. Hurlant de douleur et après une bonne sodomie j'ai juré à Maîtresse de ne plus la décevoir. Par contre, lors des autres séance de sodomie avec le bleu j'ai bien aimé me soumettre et cela a bien participé aussi à ma soumission totale. Durant cette soirée, j'ai également appris à faire un cunnilingus à Maîtresse et je me suis exécuté à plusieurs reprise pour la remercier de m'avoir pris "comme une chienne" comme elle aime que je le dises.
Un soir un retrant à la maison, Maîtresse m'a ordonné de me déshabiller intégralement et de l'attendre à genoux dans sa chambre. A ma plus grande surprise, elle est venue 20 minutes plus tard en lingerie ouverte sur son entres-jambes et m'a ordonné de la lécher "comme je sais si bien faire en bonne serpilière que je suis". Durant cette même soirée, j'ai passé une bonne partie de la soirée à enchaîner les cunnilingus avant que Maîtresse ne se finisse avec son vibromasseur.
2015 se termine, 2016 commence et en cette année 2016, je vais sur mes 18 ans, le jour de mon anniversaire au matin et bien avant la fête prévue le soir, je reçois un message de Maîtresse :
"Retrouve moi chez-moi pour 9h, j'ai une surprise pour toi"
Une fois elle, je constate avec horreur et dégoût que Maîtresse et mon meilleur ami étaient en train de baiser tous les deux. Je ne peux retenir mes larmes, et tombe à genoux devant eux. Maîtresse me dit :
"Pour ton anniversaire je voulais te faire la surprise de m'envoyer en l'air avec ton meilleur pote je te convoitais depuis quelques temps, j'espère que tu aimes le cadeau parce que sinon c'est le fouet pour toi. Tu as été un bon soumis durant ces derniers mois et il est temps pour moi de profiter de ma liberté pour avoir des aventures avec d'autres mecs. Tu devrais vraiment prendre exemple sur ton pote, il baise comme un dieu. Ah oui j'ai oubliée tu peux pas avec ta petite cage, en plus t'es puceau petite bite".
Après avoir écouté Maîtresse, et malgré mes larmes et mes sanglots, j'ai eu pour obligation de regarder Maîtresse s'amuser avec mon meilleur ami, jusqu'a ce qu'il finisse dans son préservatif. De là, j'ai dû boire le contenu devant lui, à genoux toujours.
Maîtresse éclata de rire et dit à Julien (mon ami) :
"Tu vois je l'ai tellement bien éduquée que je peux même lui faire boire ta sème, si ça se trouve à force que lui faire boire du sperme, il va peut-être arrêter d'être une petite chose fragile".
Après avoir rigolé tous les deux Maîtresse a utilisée son gode ceinture bleu pour me sodomiser lui afin de m'humilier encore une fois. Suite à cela, Julien est parti, Maîtresse et restée pour la fête et les invités sont arrivés. Pendant toute la journée et la soirée qui a suivi, Maîtresse prenait un malin plaisir à avoir les mains baladeuses sur mon entre jambes, à caresser mon pénis, à m’envoyer des sextos et à me raconter des histoires très cochonnes. Un moment dans la soirée, elle me fais signe de la suivre dans la salle de bain, de là, elle commence à se frotter sensuellement à moi et après 10-15 bonnes minutes de sensualité, elle se mets à genoux, ouvre ma braguette, sort ma cage de chasteté et simule une branlette puis une fellation avec.
Alors que je sentais l'excitation monter et la sauce arrriver, elle s'arrêta, ranga mon pénis et me précisant que la suite est pour plus tard. Tant bien que mal la soirée passe, se termine doucement, les invités partent et nous allons dans ma chambre tous les deux. Maîtresse se déshabille, dévoilant ainsi de la lingerie super sexy et en sortant un sextoy de ses affaires elle me pousse sur lit en me demandant de la regarder. Elle se masturbait avec envie tout en poussant des cris de plaisir. Mon excitation était intense durant sa masturbation, tellement intense que je ne pouvais pas m’empêcher de gesticuler dans tous les sens.
Après avoir eu un puissant orgasme avec son sextoy, ma copine me regarde et me dit :
« j’en peux plus, entre ton pote et le vibro, j’ai jamais autant jouis et là je suis complètement rincée. Je vais passer une bonne nuit en tout cas ».
Pour me punir de l'avoir regarder avec envie, Maîtresse ma fouettée une dizaine de fois, puis m'a ordonné de dormir par terre. Le lendemain matin après m'avoir largement plotée, elle a pris son sextoy et elle le dépose sur ma cage, les vibrations étaient terribles et la sensation tellement particulière que je n'ai pas mis beaucoup de temps à avoir une misérable petite éjaculation.
Le week-end après mon anniversaire, Maîtresse était de sortie avec des amis, de mon côté j'ai eu ordre de faire la vaiselle chez sa mère pendant ce temps. Le dimanche après-midi, Maîtresse me téléphone en me disant qu'elle avait quelque chose d'important à me dire. Quelques temps plus tard, je passe chez elle et elle me dit :
" j'ai profitée de la journée du samedi pour m'amuser et pour clôturer la soirée, j'ai couchée avec une bonnes partie de tes amis et je me suis vraiment régalée. Maintenant cela sera une règle entre nous, je baise, je m'amuse et toi tu regarde comme un bon chien, enfin comme la petite chienne que tu es plutôt".
Quelque temps après avoir terminé de m'éduquer, ma Dominatrice m'a racontée que sa mère avait profiter de la soumission de son mari pour coucher et tomber enceinte de son collègue.
Sa maman lui a donc apprit le principe de la domination pour que elle aussi puisse être heureuse.
C'est là qu'elle m'a avouée avoir pris goût à la domination et qu'elle sentait en moi pour reprendre ses mots : "que j'étais un bon pigeon, facilement dominable"
A partir de 2017, nous avons trouvé notre propre logement avec Maîtresse et comme elle le dit si bien "je suis son petit toutou pour meubler l'appartement et le rendre plus joyeux". Avec le temps j'ai pris goût pour les humiliation quotidienne, au point que cela me manque lorsque Maîtresse n'est pas là. Sinon à partir de 2017, Maîtresse a continuée à coucher avec mes amis, au point de devenir une habitude les vendredi soirs et les week-ends. Par exemple lorqu'elle organisait des soirées, j'accuillais les invités à genoux par terre, leurs proposaient des fellations pendant que Maîtresse se préparait avec de la belle lingerie. Au tout début, mes amis étaient un peu gênés pour certains à l'idée de se déshabiller au point d'être nu et de coucher devant avec Maîtresse. Pour détendre davantage l'atmosphère Maîtresse m'ordonnait de préparer un apéro assez chargé et de laisser faire le temps. En quelques semaines, l'ensemble de mes amis ont pus prendre leurs marques et commencer à prendre du plaisir.
Depuis que nous avons emménagés et depuis mes 18 ans, mes obligations ont changées et sont désormais :
Pour le quotidien :
- Faire l'ensemble des tâches ménagères et l'entretien de la maison (tout)
- Faire la cuisine
- Faire le linge
- Faire les courses
Pour les finances :
- Interdiction formal d'avoir un compte bancaire, l'ancien que je possèdais a été fermé en 2017
- Interdiction de gérer les comptes
- Obligation de reverser l'intégralité de mon salaire sur le compte de ma Maîtresse
Pour vénérer Maîtresse :
- Cunnilingus obligatoire tous les matins, pour qu'elle puisse se lever et commencer sa journée de bonne humeur
- Cunnilingus obligatoire tous les soirs, et ainsi qu'elle puisse dormir paisiblement
- Fessée obligatoire pour moi tout les jours, pour me rappeler qui commande (et pour le plaisir de Maîtresse surtout)
Grace aux conseils de sa mère, ma Maîtresse est donc passée d'une personne assez réservée, à quelqu'un de dévergondée, multipliant les relations sexuelles avec des gens de passages.
Ce dont elle raffole le plus lorsque nous sortons, c'est de me faire passer pour son ami et de draguer ouvertement des hommes, voir de demander ma complicité pour obtenir des conquêtes. Pour être sûr que j'obéisse lorqu'elle me demande d'aborder un homme pour elle, elle n'hésite pas à poser sa main sur mon entre-jambes et a toucher avec insistance ma petite cage de chasteté (y compris si nous sommes en public). Ma technique pour que Maîtresse puisse se faire séduire par des hommes était de les aborder en me faisant passer pour un de ces amis et qu'elle était timide pour venir leurs parler. A part quelques rares personnes qui n'étaient pas du tout intéressés, la technique a dû faire mouche quasiment tout le temps.
Je ne l'ai pas précisé dans mon récit mais depuis ma soumission, mon meilleur ami est devenu un plan cul régulier pour Maîtresse, et celui-ci prend du plaisir à m'humilier lorsqu'il la baise. Lorsque Maîtresse et Julien sont ensemble, ils se tiennent par la main et se comportes commes des amoureux. Même si au début j'avais vraiment du mal à voir ma copine avec d'autres hommes, aujourd'hui cela m'excite terriblement.
Au courant d'une longue soirée à discuter entre eux, Maîtresse et Julien, ont étalis les règles suivantes que je dois respecter :
- Je dois toujours l'attendre à genoux et le sucer pendant que Maîtresse se préparer en lingerie.
- J'ai interdiction de le servir autrement que nu ou uniquement avec des vêtements de femme (robe, string, jupe, collants ouverts, talons...).
- Je dois boire le contenu de ses préservatifs usagés.
- Je dois nettoyer son pénis avec ma bouche après ses rapports sexuelles.
- Après chaque rapport sexuel, je dois le remercier de faire jouir Maîtresse.
- Je dois les regarder à genoux pendant qu'ils baisent.
Maîtresse ne considère pas Julien comme un amant mais pour reprendre ses mots, plutôt comme un "Sex-Friend", et qu'elle se sent "comme une bonne salope" quand elle couche avec lui. En revanche, elle n'a pas tardée à comprendre qu'un amant régulier serait nécessaire pour la satisfaire davantage (en plus de ses aventures régulières et de ses plans d'un soir).
En 2018, Maîtresse a eu une aventure avec un beau métisse de passage dans la région pour des vacances. Depuis, elle a su qu'il lui fallait absolument un beau black comme amant. Elle a ainsi consacrée une bonne partie de l'année à chercher un amant idéal, avec des critères particuliers :
- Jeune homme entre 18 et 25 ans.
- De nationalité étrangère, black.
- Marié et avec enfant (elle s'est découvert entre temps un fantasme pour les hommes mariés).
- Disponible.
- Qui accepte ma soumission
- Qui accepte de m'humilier et de devenir mon Maître.
- Qui est très pervers, pas timide et avec un appétit sexuel très important.
Malgré des échecs dans ses recherches presque toute l'année 2018, elle trouvée son amant tant rêvé sur une application de rencontre extra-conjugale.
Il s'appel Fariji, il a 25 ans, il est d'origine Guinéenne, marié, père de 3 enfants, il est venu en France pour le travail et un meilleur salaire, sa famille est resté au Pays.
Toutes les conditions étaient réunis pour la plus grand joie de Maîtresse.
Je me souviens en particulier d'une journée ou après avoir fait longuement la connaissance de Fariji, les choses se sont très accélérées avec Maîtresse.
Un matin alors que nous prenions le petit déjeuner à l'écart de tout le monde dans une boulangerie, ils s'échangeaient des regards très coquins, puis des paroles très sales.
Après quelques instants, Maîtresse a décidée d'envoyer des photos très sexy et cochonne d'elle, sur son téléphone.
Fariji n'a pas résisté très longtemps avant de gliser sa main sous la table et de lui caresser le clitoris.
Alors que Maîtresse prenait du plaisir, elle me regarde dans les yeux, ouvre la braguette de mon pantalon, sort ma cage de chasteté en simulant une branlette, et me murmerant à l'oreille :
"Je prends plus de plaisir avec mon amant en 10 minutes, qu'avec toi en 3 ans. J'ai bien fait de faire de toi une bonne chienne soumise, tu me mérites pas, tu ne mérites même pas qu'on te regarde. Regarde toi tu es misérables avec ta petite bite en cage, je me fais des mecs à la chaîne et toi tu regardes en bon soumis, j'espères que tu admires bien le travail d'un homme expérimenté. J'ai jamais été autant excitée, je mouilles comme une folle"
De mon côté je n'ai pas pu m'empêcher de répondre :
"Je suis content Maîtresse que vous preniez du plaisir avec vos conquêtes ou votre amant, je suis fier d'être votre esclave dévoué, perdre ma virilité et rester puceau me permets de vous servir sans failles"
Alors que j'allais éjaculer, Maîtresse arrêta brusquement de me branler avec ma cage de chasteté et m'ordonna de refermer mon pantalon.
J'obéis sans discuter, malgré la frustration, les ordres étant les ordres.
Comme nous étions en public, Maîtresse dû s'empêcher de crier pendant son orgasme, mais il était si puissant que toute sa chaise était trempée.
Pour ne pas éveiller de soupçon, j'ai tout nettoyé pendant que Maîtresse et Maître m'attendaient dehors.
Alors que je roulais pour ramener tout le monde en direction de la maison, Maîtresse pris le sexe de Maître et le branla d'une douce délicatesse. Une fois bien dur, elle proposa une fellation à Fariji, qui n'a pas hésité une seule minutes. Les bruits de gorge de Maîtresse et les gémissements de Maître étaient incroyables, mais il ne fallut pas beaucoup de temps avant qu'on me donne l'ordre de m'arrêter en bord de forêt. Avec le temps Maîtresse est devenue très perverse en oubliant toute forme de gêne et de timidité, du coup elle enleva sa culotte, m'ordonna de lui donner un préservatif et demanda à Fariji de la pénétrer. Après de bref vas et viens, Maîtresse de déshabilla entièrement en me demandant de regarder comment elle se fait bien baiser, pour complimenter Fariji. Margré les nombreuses aventures de Maîtresse, je ne l'ai jamais vu aussi assoiffée de sexe ni autant crier quand Fariji lui a donné un orgasme. Une fois leurs petite affaire terminé, elle me demanda de sucer Fariji pour le nettoyer, puis m'ordonna d'avaler le sperme contenu du préservatif usagé. De retour à la maison, je n'ai pas arrêté de les regarder baiser toute la journée.
Depuis, Fariji est devenu son amant officiel et il a même emménagé chez nous en fin d'année 2018.
Pour que Maîtresse puisse dormir avec son nouvel amant et marquer à nouveau ma soumission, je propose de céder ma place à Fariji et de me faire dormir par terre dans un panier pour chien.
Pour me remercier de mon bon geste, Maîtresse m'a autorisé un orgasme ruiné avec ma cage de chasteté et une sodomie.
A partir de mi-2018, Maîtresse à commencée à inviter tous mes amis en plus de son amant pour la prendre en partouze. Il y avait donc régulièrement une dizaine de personne le soir et les week-ends pour du sexe avec elle. De mon côte, je devais servir les invités déguisé en femme, avec la totale, collants ouverts, fausse poitrine, talons, robe ou jupe courte, perruque...
Lors de ces soirées, je me faisais également sodomiser par Maîtresse devant tout le monde, et elle invitait mes amis à faire de même. Avec le temps, tous on compris qu'il n'y avait rien d'homosexuel, et tout le monde me passaient dessus. Bien sûr, tradition imposée par Maîtresse, je buvais le sperme des préservatifs usagés des invités en fin de soirée, avant que tout le monde ne rentre. Les soirées se terminaient par des coup de cravache et de martinet sur mes fesses et parfois mes testicules.
En Septembre 2018, Maîtresse m'a imposée le mariage afin d'officialiser notre relation gynarchique.
Nous avons organisé deux cérémonie, une traditionnel sur une journée avec les familles et une deuxième cérémonie quelques jours plus tard avec uniquement l'amant de Maîtresse et tous les partenaires sexuels qu'elle a pu avoir depuis 2016. Lors de notre première cérémonie avec les familles, les alliances étaient en toc pour donner l'illusion d'un échange. C'était une de mes propositions pour avoir plus de budget pour elle, pour son voyage de noce (je reviendrai sur son voyage
. Maîtresse n'a pas souhaitée porter d'alliance car elle n'appartient à personne et pour qu'elle puisse avoir toutes ses chances de multiplier les conquêtes avec des hommes. De mon côté je n'ai pas eu le droit d'en porter une car j'appartient déjà à ma Dominatrice au travers de ma cage de chasteté. Pour l'occasion de la "fête" plus intime, nous avions loué une salle en campagne profonde, pour être tranquille et à l'abris des regards (nous avons fait tout notre possible pour créer une atmosphère propice au sexe). Pour la cérémonie gynarchique, nous voulions quelque chose qui soit le plus humiliant pour moi, au possible. A l'accueil, Maîtresse proposait des fellations aux invités pour qu'ils puissent se détendre. De mon côté, j'étais assis à ses pieds en la regardant et en regardant les invités prendre du plaisir. Pendant toute la cérémonie, j'étais à genoux, totalement nu avec juste ma cage de chasteté et un plug anal rose dans l'anus. De son coté, Maîtresse avait sa vrai robe de mariage avec des mi-bas blanc mais elle ne portait pas de culotte, ni de soutien-gorge. De là j'ai signé un contrat d'appartenance avec Maîtresse en lui promettant l'obéissance absolue pour le reste de ma vie. Pour officialiser notre union, nous avons remplacé le traditionnel échange d'alliance par le changement de ma cage de chasteté pour une plus petite en métal. Bien sûr, sous les rires de tout le monde. A la fin de la cérémonie je me suis mis à 4 pattes sur une estrade prévue pour l'occasion et les convives étaient invités à mettre des coups de fouet sur les fesses. Les plus téméraires ont pus déshabiller Maîtresse et faire un "gangbang" avec elle.
Les festivités ont durés 3 jours au total et durant ces 3 jours Dominatrice a pu se lâcher en couchant d'abord individuellement avec les invités, puis en quasi orgie.
Nous avions prévu suffisamment de quoi boire, manger et dormir sur place. Pour l'anecdote, une centaines de préservatifs ont été utilisés sur 3 jours, pour une vingtaines d'invités
Après notre mariage, le voyage de noce de Maîtresse a eu lien en Octobre 2018, Pour la Polynésie Française sur 3 semaines.
Je lui est proposé de partir seule, pour qu'elle puisse s'amuser au maximum, et faire un maximum de conquête.
De mon côté, j'avais l'espèrance qu'elle tombe enceinte d'un beau black croisé la-bas, après un coup d'un soir par exemple.
Pendant ce temps, son bel amant profitait aussi de ses conquêtes à la maison et moi je faisais l'intendance de la maison.
Au retour du voyage de Maîtresse pas de brioche au four, mais pleins de photos assez évocatrice des ses activités pendant les 3 semaines
Pour 2019, 2020 et 2021 il n'y a pas eu spécialement d'anecdotes croustillantes, entre le Covid et le travail pas grand chose ne s'est passé (de nouveau).
En 2022, et à l'occasion de l'anniversaire de Maîtresse, je lui ai offert une opération pour la pose d'une prothèse de poitrine. J'ignore quel taille font maintenant les seins de Maîtresse mais celle-ci est ravie, elle est plus que jamais désirable auprès des hommes et Fariji se régale encore plus. Coup de bol pour elle, l'opération n'a quasiment laissée aucune trace sous sa poitrine.
En fin 2023, Fariji a enmené Maîtresse en Guinée pendant 1 mois, la famille de là-bas était en courant depuis de début de son aventure avec Maîtresse. En Guinée la polygamie n'est pas forcément légale, mais beaucoup d'hommes pratiquent quand même, surtout qu'une bonne partie de ces revenus y est envoyé. D'après Maîtresse, leurs vacances étaient folles, faites de baises, de bons repas, de visites extraordinaires...
En 2023 nous avons fêtés nos 25 ans, pour l'occasion Maîtresse a été prise en gangbang par les mêmes invités que lors de mariage ainsi que Fariji. Pendant la fête je portais un beau costume de lapine avec la queue sous forme de plug anal. Je m'étais occupé comme à mon habitude, du service pour les invités. Nous avions de la bonne musique et même un écran pour projeter des photos sexy de Maîtresse. En fin de soirée les invités ont pus profiter de boire un rhum arrangé directement sur la nouvelle poitrine de Maîtresse. Tout le monde a dormis sur place et le lendemain matin Maîtresse a salué chaque personne par une dernière fellation.
Pour 2024, j'ai proposé à Maîtresse de tomber enceinte d'un inconnu à qui elle aurait donnée rendez-vous en forêt ou sur une aire d'autoroute par exemple.
Pour le moment elle refuse encore, car elle préfère profiter pour avoir des aventures régulières, et se sentir libre.
Aujourd'hui et avec le recul depuis mes 17 ans, je ne regrette absolument rien et même si je n'ai pas charché de moi-même une dominatrice, je savours tous les instants de ma soumission. Il est vrai que par moment je n'en veux d'avoir essayé de résister ou d'avoir essayé d'enlever ma cage de chasteté en coupant le cadenas mais j'aurais fais erreur. Avec le temps j'ai compris qu'être encagé c'est être libre, libre ne plus avoir d'obligations et de responsabilités complexes mais simplement de devoir faire des tâches simples au quotidien. Il est vrai que sans ma soumission Maîtresse n'aurais pû vivre sa vie comme elle l'entend et être pleinement heureuse. De mon côté, la cage de chasteté et devoir l'obéissance à Madame me pousse davanche à être attentionné, bienvaillant mais par-dessus tout, heureux. Si devenir une Dominatrice ou un bon soumis vous attire, je ne peux que vous conseiller d'essayer.
C'était le résumé de mon aventure dans la soumission à ma Dominatrice, j'espère ne pas avoir été trop ennuyant.
Si possible j'accompagerais mon récit avec des photos déposée par la suite.
Merci tout cas pour votre lecture, je suis preneur si vous avez des idées que je peux proposer à Maîtresse.
Cordialement
SoumisSeb68
