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Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Askelletbelle
#2788732
Je voudrais vous proposer ici un récit que j'ai posté il y a déjà pas mal de temps sur un forum disparu. Je l'écrivais et le postais au fur et à mesure, lors de mes absences du domicile familial, ce qui était fréquent, à cause de mon travail. Je révèlerai celui-ci au cours du récit.


Mon épouse et moi vivons maintenant depuis près de 10 ans ensemble. J’avais toujours pensé que l’érosion de la vie sexuelle dans un couple était inéluctable et pourtant, dès que j’ai rencontré Maëlie, j’ai cru que ça pourrait n’être finalement pas si inévitable que ça: pas très grande, dans les 1,60 m, elle a exactement tout ce qui me fait fantasmer chez une femme. Elle a des jambes magnifiques, d’une grande finesse et, quand elle met des chaussures à talons hauts, on ne peut s’empêcher de contempler l’élégance de ses chevilles, le raffinement de ses mollets légèrement étirés par la position imposée par ses chaussures. Si en plus on a le bonheur qu’elle ait choisi un modèle ouvert, le regard est attiré par les arabesques des lanières qui enserrent le pied sans le masquer, et il est ensuite comme guidé vers la jambe nue qui monte se dissimuler, mais très peu, sous une jupe courte et légère.

Mon premier contact physique avec elle l’a été par l’intermédiaire de nos mains. Je me souviens très bien de ce moment et c’est à chaque fois une petite bouffée d’émotions. Je ne suis pas un fétichiste, ni des pieds, ni des mains ni de quoi que ce soit. Mais quand nos doigts se sont rencontrés la première fois, alors qu’il était déjà évident que nous nous plaisions et qu’il allait se passer quelque-chose entre nous, ce contact m’a comme électrisé : elle avait des doigts si fins et si doux que je ne pouvais que les imaginer parcourant mon corps. Je ne pouvais plus penser à autre chose tellement j’avais envie de la caresser. J’ai pourtant été bien obligé de garder en moi toute cette énergie sexuelle qu’elle faisait naître, probablement sans même en avoir conscience. Je pense d’ailleurs qu’elle continue à ne pas avoir conscience de ce sex-appeal, et c’est sans doute mieux pour moi ainsi ! Elle n’a connu que quelques amants avant moi, suffisamment pour avoir acquis une délicieuse expérience, pas trop non plus, ce qui ne lui a pas démontré qu’elle aurait pu avoir pratiquement qui elle voulait, y compris des hommes beaucoup plus beaux et sexys qui moi!

Lors de ce premier contact, je ne connaissais pas encore son tour de poitrine, 95 B. Je ne suis pas amateur de très grosses poitrines, j’ai même plutôt un faible pour les poitrines menues. Je ne raisonne pas ainsi devant mon épouse: elle est magnifique, ni grosse poitrine, ni menue, juste belle et, une fois que le regard masculin, au prix d’un effort dicté par les règles de bienséance, a réussi à quitter le haut de ses jambes pour tenter de croiser son regard, il ne peut faire autrement que s’arrêter un instant sur son décolleté. Quel hétérosexuel serait donc capable de ne pas imaginer l’espace d’une minute, ses mains se posant doucement sur sa gorge, ses doigts suivant les lignes de son cou vers l’espace découvrant la naissance de ses seins, afin d’y plonger la main à la recherche de la douceur de ce sein magnifique?

Les quelques chanceux, dont je fais partie, ayant pu réaliser ce geste, ont également connu le contact avec ses lèvres, qui sont à l’encontre de certains critères esthétiques actuels, d’ailleurs déjà en passe d’être démodés : pas de lèvres pulpeuses chez Maëlie. Au contraire, on les dirait ouvertes dans son visage par un chirurgien de génie, d’un simple trait de scalpel. Une petite bouche, qui appelle les baisers.

Lorsqu’on répond à cet appel et qu’elle se laisse prendre dans les bras, les mains se posent naturellement sur le haut de ses jambes, ou plutôt le bas de son dos, délicieusement dissimulé sous une jupe tellement légère qu’on la comprend faite pour être enlevée. La main se sent obligée de poursuivre son exploration, uniquement partagée sur la route à suivre: se laisser aider par la gravité, afin de suivre le galbe de ses fesses, le long d’une ligne de démarcation loin d’être imaginaire, ou lutter contre l’attraction terrestre et plonger sous le tissu ennemi qui recouvre les charmes de ce buste qu’on ne pense qu’à découvrir? « Que ta main droite ne sache pas ce que fait la gauche » répond le créateur de ce corps de rêve.

La main remonte alors sur son dos, passant rapidement du creux de sa colonne vertébrale à son côté, la femme étant d’une taille modeste. La peau est douce et chaude, on se demande pourquoi certains comparent l’épiderme féminin à du satin: alors que ce dernier est froid et synthétique, la peau de Maëlie me fait plutôt penser à la soie sauvage.

Au cours de son avancée en territoire inconnu, la main ascensionnelle rencontre un contraste brutal avec la chaude douceur de son dos : un ensemble d’armature, de coutures et de systèmes de fermeture froid, oeuvrant en coulisse au spectacle du décolleté, que la bouche est maintenant en train d’effleurer. L’index glissé sous l’armature du soutien-gorge, juste sous les crochets de fermeture, le pouce et le majeur exercent une pression de chaque côté de celui-ci, par-dessus le tissu, l’obligeant à se plier en deux. L’index se retire, le pouce et le majeur glissent l’un sur l’autre et, comme d’un claquement de doigts, les deux petits seins libérés de leur carcan viennent à la rencontre de la poitrine de l’amant. La main droite, ayant temporairement terminé la découverte de la face postérieure, remonte le long du côté gauche de la jeune femme, passant sous le tissu du bustier, avançant rapidement sur le ventre plat et chaud, afin d’aider sa jumelle à débarrasser la belle de tous les atours devenus inutiles.

Bien sûr, avec le temps, nous avons cessé de faire l’amour cinq fois par week-end ! Mais pourtant, nos ébats n’ont jamais vraiment perdu en ferveur. Et puis, je ne saurais dire comment, je me suis mis à imaginer ma femme aux prises avec un autre homme, alors que je lui faisais l’amour.

Alors qu’on a la chance d’être celui qu’elle a choisi pour être son seul amant, pourquoi rêver de l’offrir à un autre me direz-vous. Je n’en sais rien et j’ai cessé de me poser la question. Sauriez-vous expliquer, vous, pourquoi finalement vous accepteriez probablement sans discuter le fait de devenir cet autre, bien qu’il faille alors supporter ma présence ? Le sexe aussi a ses raisons que la raison ignore et c’est peut-être mieux ainsi. A tout vouloir expliquer, on perd un peu de ce qui fait la magie de la vie.

La première fois que je lui ai parlé de ce fantasme, j’avais apporté un petit recueil d’histoires érotiques, parmi lesquels des récits adultères et de trios de deux hommes et une femme. Nous avions la chance de disposer d’un sauna privatif et nous nous sommes entièrement déshabillés pour le lire tranquillement. La température est montée très vite, et l’humidité également. Ma jeune épouse, qui n’était encore que ma maîtresse, tenait le livre, pendant que je lui prodiguais des caresses. J’eu la satisfaction de voir qu’elle ne quittait pas le livre des yeux, alors même que sa réponse à mes caresses étaient claires : elle vivait en rêve les histoires qu’elle était en train de lire, à travers mes attouchements.

Mon sexe était dur et je savais que, lorsque nous déciderions de passer à l’acte, nous n’allions pas battre des records de durée. Alors qu’elle lisait, je lui demandais « tu aimerais te trouver avec un autre que moi, dans ce sauna, et que ce soit lui qui soit en train de te caresser ? » Mon cśur battait extrêmement fort car, malgré notre formidable entente sexuelle et quotidienne, nous n’avions jamais abordé nos fantasmes. Je sentais mon cśur battre avec une force que je ne lui ne connaissais plus, ma bouche entrouverte laissait échapper de petits halètements en écho à ces pulsations cardiaques démoniaques. Je laissais glisser ma main le long de sa cuisse jusqu’à toucher ses lèvres intimes. Dans un soupir, elle me répondit « ouiii ».

J’atteignais un état d’excitation indescriptible. Sans même y réfléchir, j’avais suggéré à celle qui allait devenir mon épouse de prendre un amant ! Mes sentiments se mélangeaient sans que je sois capable d’y voir très clair. Il faut dire que le sang qui affluait vers mon sexe devait priver mon cerveau d’une partie de son oxygène vital. J’avançais alors un peu plus ma main, et mon index entra en contact avec le sexe de Maëlie, comme enduit de savon. Une légère pression de mes doigts faisait immédiatement glisser ses lèvres l’une sur l’autre, sans le moindre frottement. Une pression un peu plus soutenue, et voilà que s’ouvre à moi l’antre de son plaisir. J’y avance fermement, mais sans brutalité, lui arrachant un expiration en forme de râle « aaaaahhhhhh ». Elle ne lâche pas son livre et je décide de m’immobiliser, pour prolonger cette montée de notre plaisir mutuel, et pour ne pas interrompre ce moment. Chaque caresse nous rapproche tous les deux du seuil de l’orgasme, alors que chaque instant de plus passé à fantasmer augmente l'intensité future de celui-ci.

« Tu aimerais faire l’amour avec un mec que tu ne connais pas ? » lui chuchotais-je à l’oreille, mon doigt toujours enfoncé profondément en elle. « aaahh ouiii » répond-elle dans un souffle. Les hormones nous libèrent de nos interdits, je sens son sexe qui palpite, alors que le mien est au bord de la rupture. Je retire mon doigt et je me place sur le banc inférieur. Elle comprend très bien ce que je souhaite et ouvre ses jambes, relève un peu le livre, pour me laisser atteindre son sillon humide de ma bouche. Mes lèvres rencontrent les siennes, ma langue s’immisce immédiatement en elle, au lieu des caresses que je lui prodigue habituellement. Je ne suis pas sûr de l’avoir déjà connue aussi humide, même au cours de nos premiers rapports.

La chaleur du sauna est terrible, celle de nos corps également. Il y a déjà longtemps que j’ai perdu toute notion de temps, je voudrais juste que ça puisse durer toujours. Mon coeur s’est à peine calmé, chaque question que je lui pose, chaque réponse qu’elle me donne, relançant la cadence infernale. Je ne me suis pas aperçu qu’elle avait fini le recueil et qu’elle venait de s’en débarrasser. Elle me repousse un peu impatiemment et je la comprends au bord de l’orgasme. Toujours dans une forme de râle, elle me supplie « prends-moi, vite ! » Je me redresse mais n’arrive pas à imaginer de solution praticable pour la prendre de cette façon, elle assise les jambes ouvertes et moi debout sur le banc inférieur, un peu trop haut pour me permettre de la pénétrer directement. La faire allonger serait une torture inutile, étant donné la température que le bois a atteint au cours de nos préliminaires. Je m’assois donc à côté d’elle et elle se lève rapidement, avide de mon sexe dressé pour elle. Elle m’enjambe et se laisse doucement descendre vers mon pieu de chair turgescente.

Alors qu’elle atteint l’objectif, je lui demande « tu aimerais être prise de cette façon par un autre homme ? » Elle me répond « ouiii, ah ouii ce serait bon !!! » et s’empale sur mon sexe rigide en expirant tout l’air de ses poumons. Elle pousse sur ses pieds afin de me libérer partiellement, je me penche en arrière pour lui donner plus d’amplitude, ce qui me donne l’occasion de prendre ses seins en main « tu pourrais faire l’amour avec un autre, vraiment ? » « oui, oui ! » cette fois, ses réponses s’approchent plus du gémissement, saccadé par les à-coups.

Je la reprends contre moi, mes mains descendent vers ses fesses pour l’aider dans ses mouvements verticaux. Ce faisant, mon index reconnaît la zone délicate de son petit trou, complètement dégagé de ses adorables fesses par la position et tout humide, sans que je puisse décider si c’était dû à l’excitation ou à la transpiration. Ayant découvert ensemble il n’y avait pas si longtemps la sodomie, je sais qu’elle ne se plaindra pas si je m’immisce en elle de cette façon.

« Et si j’étais là moi aussi, et que je te prenne comme ça ? ». Mon majeur force doucement le passage, puis s’enfonce rapidement de toute sa longueur. Je sens mon propre sexe à travers la fine paroi, alors qu’elle continue de monter et descendre. J’arrive même à sentir mon gland lors de l’apogée de la course. Elle n’arrive plus à répondre, secouée des spasmes d’un orgasme violent. La vision de mon épouse prise par deux hommes lui procurant autant de plaisir me propulse comme, je suppose, si je venais de me faire un shoot de drogue : mon ventre se tord, me rappelant la sensation de la jalousie extrême, alors que, dans le même temps, mon sexe est traversé de plusieurs jets brûlants de semence. Je dois crier moi aussi, me sentant traversé de part en part d’un plaisir hallucinant.

Nous sommes tous deux exténués et on aimerait pouvoir rester l’un sur l’autre, l’un dans l’autre pour prolonger ce moment. Mais la chute est déjà là, le sauna est brûlant, on étouffe, le banc me scie les jambes et la position de Maëlie la soumet à la torture. Quand est-ce, donc, que toutes ces sensations sont apparues ? Tout n’était que bonheur il y a une minute. Nous sortons rapidement prendre une douche bien froide, l’esprit embrumé de tout ce qu’on vient de vivre.

J’ai l’impression confuse qu’on vient d’ouvrir la boîte de Pandore, l’avenir nous le dira.
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par Dionysos06
#2788738
@Askelletbelle beau récit et beau partage qui ne fait pas l'impasse sur les risques potentiels, ni les plaisirs potentiels. De plus, madame est fort jolie.
#2789156
Au cours des années passées ensemble, nos ébats se sont sans doute un peu assagis : plus question de se sauter dessus à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Une certaine routine s’est installée, comme partout. C'est-à-dire que notre couple a pris ses marques, pour se positionner dans une vie professionnelle, amoureuse, sexuelle.

Mais le plaisir du sexe est toujours très présent. Nous dormons toujours nus, et il suffit que Maëlie passe sa main chaude et douce sur mon corps pour que mon membre, même profondément endormi et la tête engoncée entre les épaules, se redresse et montre le bout de son nez, telle la tortue tentant de se hisser hors de sa carapace. Même si je suis moi-même abattu de fatigue et sur le point de m’endormir, lui tournant le dos, Maëlie me tient tout entier en son pouvoir. Parfois, peut-être excitée par la lecture d’un roman qu’elle dévore au moment du coucher, elle vient se plaquer à moi, et sa main caresse mon torse. Si elle passe une fois et se maintient sur ma poitrine, nous nous endormons amoureusement dans les bras l’un de l’autre.

Mais si elle descend sur mon ventre, sa chaude caresse réveille instantanément le membre au repos. Elle descend jusqu’à effleurer les poils pubiens et je suis parcouru de frissons, car elle n’est qu’à quelques centimètres d’effleurer la zone la plus érogène de mon corps. Je veux dormir, alors je ne bouge pas, mais ce contact sensuel éveille en moi des pulsions et des images érotiques. Elle maintient sa main sans bouger, pour prétendre ne pas avoir voulu me réveiller. Mais je pense qu’elle sait que je ne suis qu’un misérable incapable de résister à sa douceur ! Je sais que mon sexe, maintenant totalement dressé, dans l’attente d’une récompense, d’une petite caresse sur son flanc, n’est qu’à quelques centimètres du dos de sa main, qui repose sur le bas de mon ventre. Au moindre mouvement, mon prépuce effleure sa peau, et je suis assailli de désir.

Elle le sait, elle le sent, et déplace ses doigts légers pour venir taquiner ma verge. Elle pose la pulpe de ses doigts sur ma colonne soyeuse, puis les déplace doucement, vers le haut du chibre tendu. Je n’ai jamais connu une main aussi douce, qui pourrait résister à un tel appel ? Une fois encore, j’imagine ses précédents amants, dans cette même situation. Je les imagine se laisser caresser de la sorte, irradiant le plaisir dans tout leur être. Je les vois en pensée se tournant vers elle, la prenant dans leurs bras et cherchant son sexe ouvert d’une main fébrile. Elle m’avoua un jour qu’elle adorait ce moment où les doigts de son amant ouvraient son sexe pour la pénétrer doucement. Elle n’a jamais tellement osé me parler de ce qu’elle aimait, plus de ce qu’elle n’aimait pas. Alors ce genre de confidence, ça m’excite au plus haut point. J’imagine des adolescents, qui ne seront pas devenus des amants, mais qui auraient eu droit de connaître cette douceur humide de leurs doigts, et de lui faire connaître le plaisir au fond de son ventre, lors de caresses échangées peut-être en boîte de nuit, ou sur une plage, comme avec ce garçon qu’elle avait rencontré en vacances en Grèce. Je sais qu’elle a eu son sexe entre les mains, je suppose qu’il a caressé sa petite chatte, mais je n’en sais pas plus. Comme c’est peu. Comme une allumette dont le souffre s’enflamme, mais pas assez pour alimenter une vraie combustion et qui s’éteint aussitôt.

« Tu imagines que ce soit la première fois que tu es avec ton amant, il t’a caressée, et maintenant, tu vas enfin le laisser te pénétrer de ses doigts ». Mon fantasme est toujours présent, je cherche du carburant pour l’alimenter, j’ai besoin de sentir son excitation à l’idée de ce scénario pour être moi-même transporté de ce plaisir masochiste qui consiste à imaginer ma femme entièrement possédée par un autre homme. « Non, pas ce soir. Ce soir, c’est toi que je veux ». Pan ! Bon, c’est flatteur, je ne vais pas me plaindre non plus. Alors changement de registre, extinction des feux, baissez les couleurs. Je sens son corps sous moi qui m’appelle et je n’ai pas de mal à trouver mon plaisir, ainsi que le sien.

Pourtant, alors que je la pressai de m’avouer un fantasme, elle me dit un jour « je ne sais pas, j’en n’ai pas vraiment, alors c’est un peu les tiens ». Elle reconnaissait donc être troublée elle aussi par cette idée d’avoir un amant. Qui ne le serait pas ? La première fois, les premières fois, c’est tellement intense, tellement différent. Pourquoi se refuser mutuellement ce plaisir à jamais alors qu’il peut être si bon parfois ?

Ayant cru comprendre également qu’elle aimerait être pénétrée par un corps étranger, pas nécessairement appartenant à un autre homme, je fis un jour l’acquisition d’un magnifique sexe en latex, que je pris le plus semblable possible au mien, souple et doux, pour un maximum de réalisme. La vendeuse m’ayant bien conseillé, j’avais également pris un beau tube de lubrifiant, pour éviter tout frottement désagréable. Je comptais en faire la surprise à Maëlie, de façon à combler, je l’espère, l’un de ses fantasmes.

Je plaçais discrètement le matériel au bord du lit, de mon côté, et je plaçais le braquemart factice sous moi, de sorte de le mettre à température corporelle. Elle était nue, près de moi, comme chaque soir. Je la caressais le plus sensuellement possible, et je fus ravi de voir que j’avais moi aussi ce genre de pouvoir sur elle. Elle se tourna sur le dos, bras et jambes légèrement ouverts, les yeux fermés, comme offerte à mes caresses. Je me plaçais au-dessus d’elle et je fis glisser mes mains tout doucement, depuis son cou, sur ses fines clavicules, m’écartant lentement vers les épaules. Puis je fis faire demi-tour à chacune de mes mains, pour refaire pratiquement le chemin inverse, mais légèrement plus bas, vers la naissance de ses seins. Mes mains étaient légères sur sa peau, j’étais sûr qu’elle était parcourue de frissons, qui devaient aboutir au tréfond de son intimité, déclenchant la lubrification progressive de son puits de plaisir.

Chacune de mes mains parcourait le galbe intérieur de ses seins, à la limite de ce qu’elle offrait à la vue de tous les hommes, quand elle portait un merveilleux décolleté. Je pensais à tous ceux qui devaient s’imaginer y glisser un jour une main sans rencontrer de résistance de sa part, jusqu’à venir empaumer totalement ce doux globe frémissant de plaisir. Mais elle n’offrait ce plaisir qu’à moi. Une part de moi-même le regrettait, alors que tout le reste de mon être s’en réjouissait totalement. Nous avons une totale confiance l’un en l’autre, et c’est sans doute ça qui me permet d’imaginer de telles scènes inavouables, qui entretiennent  le feu de notre sexualité.

Je franchis doucement les limites du « visible » en ralentissant encore le geste, allégeant mes doigts jusqu’à venir les faire mourir sur ses mamelons durcis d’excitation. Je me redressais au-dessus d’elle, puis je me penchais vers sa bouche, pendant que mes deux mains descendaient sur ses seins, continuant à caresser les mamelons de mes pouces. J’approchais ma bouche entrouverte de la sienne et je suçais doucement sa lèvre inférieure. Sa langue répondit à mon baiser en venant à la rencontre de la mienne, mes lèvres se posèrent sur sa bouche et nous nous embrassâmes tendrement, comme deux amants qui se découvrent. Aussitôt se forma dans mon esprit l’image de Maëlie embrassant un jeune homme pour la première fois, un ami qu’elle aurait proposé d’héberger en mon absence, par exemple, et qui se serait petit à petit rapproché d’elle, sans aucune préméditation de la part d’aucun d’eux, jusqu’à se retrouver dans mon exacte position, leurs langues se frottant sensuellement l’une à l’autre, ses mains sur les seins de ma femme, allongée sur le dos, offerte.

Ma bouche quitta la sienne pour descendre le long de son cou, glissa sur la peau douce de ses seins pendant que mes mains les caressaient encore, se fraya un passage sur son ventre, pour s’arrêter temporairement sur son nombril. Elle a un très joli ventre plat, dont la douceur n’est rompue que par un nombril aux contours délicats. Je m’attardais quelques instants sur lui, pour profiter de sa chaleur et le caresser de ma langue, pendant que j’en profitais pour reculer mes jambes et m’allonger de tout mon long. Maëlie bougea un peu, pour s’installer encore plus confortablement, sachant ce qui l’attendait.

Mes mains quittèrent sa merveilleuse poitrine pour glisser le long de son corps, jusqu’à ses fesses. Ma bouche quitta le nombril en direction du bassin, pour contourner sa toison en direction de son délicieux abricot, dont je comptais me délecter. Alors que mes lèvres embrassaient la peau fine de son bassin, je remarquais qu’aucun poil ne venait me chatouiller la joue pour tenter de me détourner de mon objectif. Je crus un instant qu’elle s’était entièrement épilée, répondant ainsi à un autre de mes petits fantasmes. J’approchais ma bouche de son pubis, pour constater qu’elle n’avait en fait qu’entretenu sa toison, en la taillant relativement court. J’étais un peu déçu, mais tout de même très excité, car ça changeait énormément le contact. J’embrassai son pubis, puis je fis courir ma langue sur l’intérieur de sa cuisse, qu’elle avait relevée légèrement pour me faciliter l’accès à l’antre de son plaisir.

Je tendis la langue en direction de son sexe offert, et elle ne rencontra qu’une peau vierge, entièrement dénuée de toute pilosité. Je frémis de surprise et de plaisir. Elle avait finalement voulu me faire plaisir, elle aussi, et avait transformé son intimité dans l’objectif de faire l’amour avec moi ce soir. C’est merveilleux comme on peut rester synchrones, après quasiment 10 ans ensemble !

Je fis courir ma langue sur les lèvres de son sexe, que je découvrais entièrement lisse pour la première fois. Mes doigts rejoignirent ma langue pour profiter eux aussi de ce nouveau plaisir. Elle fut rapidement trempée de ma salive, mais également de sa propre excitation. J’évitais de trop introduire mes doigts, car je voulais lui réserver un autre type de pénétration avant de la faire jouir. Je me penchais vers elle, lui murmurant à l’oreille « tu aimerais avoir un amant qui te lèche ta petite chatte toute épilée comme ça ? » « aaahhh, ouiii » me répondit-elle dans un râle de plaisir alors que me doigts s’introduisaient légèrement en elle. « Tu imagines le plaisir que tu aurais, au moment où il se préparerait à te pénétrer de son sexe bien dur ? » « ouiiii, ouiii, ce serait bon ». « Imagine que tu es avec un autre, c’est la première fois que tu te retrouves complètement nue devant lui, il t’a caressée, tu as sucé son sexe, comme tu l’as fait pour tous tes autres amants dans ta vie, et maintenant, il va te pénétrer ». Elle haletait, la tête repoussée en arrière, les jambes repliées et ouvertes, complètement offerte à son amant imaginaire.

J’aurais aimé pouvoir me trouver dans sa tête, pour observer les images qui s’y formaient, assister la pénétration qu’elle imaginait par son nouvel amant. Je pris le sexe en latex et l’approchait d’elle, discrètement. J’ouvris le tube de lubrifiant, ce qui dû la surprendre, étant donné la façon dont son sexe était déjà lubrifié, prêt à me recevoir. Mais elle continuait à s’offrir, pensant sans doute que je voulais juste profiter du plaisir des va-et-vient de nos deux sexes en présence de lubrifiant supplémentaire, qui offrait toujours une sensation différente.

Je pris une noisette de gel entre les doigts et j’en appliquais rapidement sur le gland du pénis artificiel, puis je posais mes doigts sur son sexe offert, comme elle devait s’y attendre. Une légère pression de mes deux doigts ouvrit son sexe pour les recevoir en lui. Je fis un ou deux aller retours, la paume vers le haut, l’index et le majeur caressant la paroi intérieure de son vagin en profitant de ses soupirs de bien être.

« Maintenant, imagine-toi que c’est un nouvel amant qui va te pénétrer, tu ne le connais pas, c’est la toute première fois qu’il entre en toi. Je suis là avec vous deux et je l’ai autorisé à te prendre. Tu es d’accord, tu en as envie ? » « oh ouiii » dans une expiration, puis « vas-yyy » en inspirant, n’y tenant plus. Je savourais par avance ce qui allait suivre. Je plaçais le gland du gode sur ses lèvres intimes, puis poussais doucement. J’étais à genou entre ses jambes et je tenais le gode à deux mains, car il était tout luisant de lubrifiant. Au moment où je vis ses lèvres intimes se resserrer autour du gland artificiel, j’entendis un petit cri de surprise et de plaisir. Elle comprit instantanément, bien que nous n’ayions jamais abordé le sujet d’un sextoy. Son soupir s’intensifia, se transforma en râle de plaisir.

Au-dessus d’elle, je pouvais observer pour la toute première fois un autre sexe que le mien pénétrant celui de ma jeune épouse, totalement offerte et ivre de plaisir. Dans la pénombre, l’illusion pour moi était parfaite, et j’espérais qu’il en était de même pour elle. Je pouvais voir les veines de ce membre bien raide qui s’enfonçait dans les chairs de ma femme, je le serrais à la base et le poussait jusqu’à ce que mes doigts entrent en contact avec les lèvres de son sexe, comme s’il s’agissait du ventre de son amant. Je le retirais ensuite doucement et le ressortis presque, de façon à pouvoir regarder à nouveau le gland se frayer un passage vers la douce intimité de Maëlie.

Je continuais avec de lents va-et-vients en elle, je la regardais s'offrir en rêve à un autre homme, gémissant de plaisir. Ma main gauche caressait son clitoris enduit de lubrifiant, descendait entre ses lèvres jusqu'à toucher ce sexe qui la possédait. Ma main droite guidait son amant en elle, avec sensualité. Je reproduisais le rythme et l'amplitude des mouvements dont j'avais l'habitude quand je lui fais l'amour: plutôt doux et amples, je ressortais le membre presque entièrement avant de le repousser à nouveau complètement en elle. Je gardais ma main droite fermement serrée sur la colonne de latex, de façon à servir de butée et ne pas la blesser. J'aurais voulu être capable de la prendre un peu plus brutalement, car elle m'avait dit un jour que c'était la façon dont l'avaient prise tous ses amants précédents. Je les imaginais l'embrocher de leur sexe à grands coups de reins puissants, la faisant crier de plaisir. J'aime moins cette façon de faire, car je ressens moins le plaisir du frottement de son sexe humide contre le mien. Il faut une certaine douceur pour avoir la possibilité de ressentir le moindre de nos chairs glissant l'une contre l'autre. Je sais que le jour où elle prendra un amant avec mon accord, elle retrouvera peut-être ce type de pénétration virile, alors que je continuerai à lui prodiguer une pénétration plus sensuelle, ce qui devrait la combler totalement.

Son excitation fut à son comble en quelques instants et elle me supplia de remplacer son amant juste avant qu’elle ne jouisse. Je n’eus aucune difficulté à exploser exactement en même temps qu’elle, tellement heureux de ce nouveau plaisir que nous nous étions procuré mutuellement. Je restais un moment sur elle, pendant qu’elle retrouvait son souffle. Je pouvais percevoir son sourire dans sa façon de respirer, ce qui fut confirmé quand elle me dit « merci » à l’oreille.

Je sus à ce moment qu’elle me remercierait un jour pour un plaisir encore plus intense que je lui aurais procuré, en lui permettant de vivre une scène similaire, avec un amant réel cette fois.
oZeratelle, pat45, Vilice et 14 autres a liké
#2793541
Je reprends mon récit après quelques jours d'arrêt. Si ces récits vous plaisent, je vous recommande de rechercher notre pseudo sur Flickr pour plus d'illustrations ;)

Mes petits jeux semblaient plaire à Maëlie. Après une période pendant laquelle elle me reprochait de n’avoir que ça en tête, ce qui n’était pas faux, j’eus l’impression que je l’avais gagnée petit à petit à ma cause. Je suis souvent en déplacement à l’étranger, ce qui est un peu dur parfois, car elle me manque, mais ce qui est également une source de renouveau pour nous. L’éloignement nous incite à faire travailler notre imaginaire, source de nos fantasmes, et nous évite sans doute l’usure de la routine. Lorsque je me retrouve seul, à des milliers de kilomètres de ma superbe épouse, je pense à elle tendrement. Puis il m’arrive de penser à elle plus tendrement encore, d’imaginer la prendre, nue, dans mes bras et de la serrer doucement contre moi. Mes pensées dérivent alors inévitablement sur ce qui se passerait si nous nous trouvions dans cette situation.

Je ne pense pas que ce soit le cas pour elle, puisqu’elle reste dans son environnement, ses habitudes, ses tâches ménagères, ce qui doit être moins sexy que de se trouver à l’étranger seul dans une belle chambre d’hôtel, devant son ordinateur. Lors de l’un de ces voyages, j’eus l’idée de lui faire une petite surprise pour mon retour. J’avais acheté ce qu’il fallait pour m’épiler, car elle m’avait fait comprendre à demi mot qu’elle pourrait apprécier que je m’épile le torse. Non que je sois très velu, mais elle sembla en avoir envie tout de même. « Tu sais que Corinne le fait à Fabrice ?
- ah bon ?
- ben oui, lui, il n’y arrive pas alors elle le lui fait, c’est marrant, non ? »

Oui, c’est marrant. Marrant parce que ça faisait un moment que je voulais le faire, mais que je ne savais pas si ça lui plairait. La veille de mon retour, je sors donc le produit miraculeux, « spécial aisselles et maillot » et je l’applique généreusement sur le torse et sous les bras. 6 minutes plus tard, le tour est joué, me voilà tout lisse comme un nouveau né.

Nos retrouvailles sont affectueuses, comme toujours, et nous nous couchons tous les deux un peu fatigués, moi par mon voyage, elle par ses journées de travail et de tâches ménagères. Comme d’habitude, elle veut lire un peu avant de s’endormir, je la laisse faire et je me tourne de l’autre côté, attendant patiemment qu’elle veuille bien me rejoindre. La lumière finit par s’éteindre et, comme prévu, elle vient se blottir contre moi. Elle caresse un peu mon ventre, remonte vers mon torse et s’arrête, sans avoir rien remarqué. Je suis très déçu, mais je ne veux rien dire, je veux qu’elle le découvre elle-même. Elle sent sans doute que je ne dors pas et reprend ses caresses. Soudain, elle semble prendre conscience de quelque-chose de différent. Sa main s’arrête brutalement sur ma poitrine et je l’entends pouffer de surprise. Elle fait un petit « hmmm ? » qui semble vouloir dire à la fois « c’est quoi ça ? » et aussi « j’aime bien ». Encouragé par sa réaction, je saisis son poignet délicatement pour guider sa main. Elle est encore plus douce qu’auparavant, sur mon torse totalement glabre. Elle remarque aussi mes aisselles et redécouvre mon corps d’une manière extrêmement sensuelle. Pour moi aussi le contact est extraordinaire : je profite bien mieux de la douceur de sa main sur une peau dont rien ne vient troubler la surface.

Je la guide vers mon ventre, où elle retrouve la toison qu’elle connaît sur mon pubis. Je me tourne légèrement, de façon à poser mes fesses sur le lit et lui présenter mon sexe dressé depuis longtemps, mais en l’empêchant de le toucher. J’amène sa main sur le haut de ma jambe, là où la peau est plus douce et dénuée de toute pilosité, sans doute à cause du frottement quotidien des sous-vêtements. Ses doigts sont souples sur moi, je la dirige avec de légères variations pression sur son poignet. Je lui fais parcourir le haut de ma jambe, le bas de mon ventre, me rapproche de mon sexe, me procurant de délicieux frissons. On retrouve le temps de se découvrir après une petite absence, alors qu’on aborde beaucoup plus rapidement le vif du sujet quand on vit tous les jours ensemble. Je la repousse doucement vers l’intérieur de ma jambe, à la rencontre de mon pénis.

Tout à coup, elle s’aperçoit que la zone lisse est plus étendue qu’au moment de mon départ. Ses doigts rencontrent la base de mon sexe et elle s’en empare totalement, en faisant rapidement le tour pour vérifier ce qu’elle savait déjà : pour moi, l’épilation avait eu lieu SOUS le maillot ! Elle se colla à moi et fit courir ses doigts si menus sur toute la longueur de mon membre. Je m’allongeais totalement et écartais légèrement les jambes pour laisser libre court à sa découverte. Elle était visiblement enchantée et ne se lassait pas de me toucher, de faire le tour de mes bourses, de les empaumer complètement, laissant sourdre une douce chaleur sur celles-ci, de faire coulisser sa main sur un sexe raide d’excitation doux comme la peau d’une jeune fille. Ses doigts remontèrent tout le long de ma verge brûlante et soyeuse, elle posa son pouce et son index sur mon prépuce, comme me décaloter, puis, au lieu de ça, laissa redescendre sa main sans serrer mon sexe, juste en l’effleurant de sa main et de ses doigts. Des frissons de plaisir parcouraient tout mon corps et je sentais quelques gouttes de liquide séminal perler au bord de mon prépuce.
Je me tournais vers elle pour l’embrasser et la caresser moi aussi, mais elle ne pouvait pas se résoudre à me lâcher. Il allait pourtant falloir, si on ne voulait pas abréger fortuitement nos retrouvailles ! Je posais une main sur l’intérieur de sa cuisse et elle m’offrit immédiatement son sexe : elle ramena son pied droit vers elle, pliant sa jambe à 90 degrés et ouvrant ainsi l’accès à son intimité. Je posais ma main sur le sillon de ses fesses, la paume sur son sexe et j’embrassais ses seins. Cette position m’offrait totalement le sexe ouvert et humide ma femme, ce qui m’excitait terriblement. Je réalisais également que mon majeur reposait sur son petit trou et je le caressais doucement, pendant que ma bouche descendait de ses seins vers son ventre. Elle me semblait extrêmement excitée et détendue, je sentais son anus totalement souple, ce qui indiquait un total relâchement de ses muscles « protecteurs ». J’approchais ma bouche de son entrejambe et je me mis à lécher délicatement ses lèvres fermées, elles aussi épilées de frais ! Même si on ne parle pas beaucoup de nos fantasmes et de nos plaisirs, ce qui est bien dans un couple comme le nôtre, c’est qu’on les connaît quand même !

Je me laissais glisser sur le lit, pour me mettre dans une position plus confortable et soustraire mon sexe à ces caresses démoniaques qui allaient me faire échouer dans mon projet de coït magistral si elles se prolongeaient. Je soulevais encore un peu plus sa jambe et me mis à explorer avec ma langue toute la zone de son sexe et de son anus, finissant par me concentrer sur son anus, sans protestation de sa part. Elle était vraiment ouverte à ces caresses buccales et j’en étais terriblement excité. Ma langue poussait doucement sur son petit trou, pendant que mon pouce parcourait sa fente humide, remontant jusqu’à son clitoris, que je massais doucement. Je fis descendre mon pouce le long de ce sillon glissant et ouvris son sexe d’une légère pression de celui-ci. « ahhhhhh ». Je devais être prudent avec mes attouchements, je sentais qu’elle était comme une grenade dégoupillée. Si je voulais aller au bout de mon idée, je devrais agir avec doigté… mais pas trop !!!

Je retirais donc mon pouce, pour laisser agir mon autre main plus tranquillement. Le sillon de ses fesses était tout humide de ma salive et c’était un régal d’y passer mes doigts d’avant en arrière, ouvrant son sexe de ma paume, puis son petit trou de mes doigts. Quand je sentis qu’elle y serait réceptive, je présentais mon majeur à l’entrée de son anus, et je l’enfonçais doucement, mais résolument. Les deux premières phalanges pénétrèrent sans aucune difficulté, avec au contraire un grand plaisir des deux partenaires. Elle faisait un effort pour ne pas se contracter et me laisser ainsi pousser plus loin mes investigations. La deuxième articulation rencontrait une petite résistance, mais je la vainquis avec douceur. Elle râlait de plaisir et je sentais une veine en elle qui palpitait, signe qu’elle était au bord de l’orgasme. Je restais un moment ainsi, sans bouger, pour ne pas déclencher la grenade. Quand je fus sûr que la pression avait diminué et que je sentis ses muscles se relâcher, je présentais mon index tout contre mon majeur et je le poussais doucement à l’intérieur. Je savais que la largeur de ces deux doigts représentait à peu près la largeur de mon sexe, je la préparais donc doucement à mon projet de ce soir.

Avec douceur et patience, je détendis ses chairs, puis je lui glissais à l’oreille « tu veux bien que je te prenne comme ça ce soir, ma chérie ? ». A mon immense surprise, elle me répondit « oui, mais pas tout seul alors » dans un halètement rapide, surexcitée qu’elle était. Je retirais mes doigts en douceur et je fonçais dans le placard chercher ce qu’il nous fallait : un préservatif, du lubrifiant et le sexe de son amant virtuel.

En revenant sur le lit, le souffle court, je l’entendais qui continuait d’haleter, comme si quelqu’un continuait à s’occuper d’elle en mon absence. Elle devait vraiment être au bord de l’explosion et faisait des efforts pour se contenir. Une noisette de lubrifiant sur le majeur et l’index de la main gauche, je m’introduisis à nouveau en elle, suscitant un « rhhhhaaaaa » de plaisir. De l’autre main, je libérais le préservatif et le plaçais sur moi, ainsi qu’un peu de lubrifiant. Je lui demandais de se retourner et de se placer à genoux, ce qu’elle fit volontiers, après que j’aie retiré ma main. Elle posa les coudes sur le matelas et me présenta sa croupe. Il faisait très sombre et c’est donc en m’aidant de mes doigts que je plaçais mon gland latexisé sur sa rosette détendue. Je me hissais un peu sur les genoux, afin de mieux me présenter dans l’axe, puis je commençais à exercer une pression pour entrer en elle. J’avais peur de lui faire mal, quand je voyais l’effort que je devais réaliser pour la pénétrer. Nous avions tous deux bloqué notre souffle, je sentais mon gland progresser de millimètres en millimètres.

Puis soudain, toute résistance disparut et je fus en elle en un instant. Elle poussa un cri de plaisir et s’empala d’elle-même plus profondément, d’un coup de reins sur ma bite bien raide. Je fis doucement un ou deux aller-retours en elle, puis je m’allongeais sur son dos pour saisir la bite de latex, déjà lubrifiée. Profitant de cette position pour lui parler à l’oreille, je lui demandais « tu aimerais qu’on fasse ça vraiment, avec un autre mec pour s’occuper de toi ? Je le laisserais te toucher, te caresser, t’embrasser, puis je te prendrais par derrière pour bien profiter avec toi de ce moment où il te pénètrerait pour la première fois ». Elle me répondit dans un gémissement « oooooh ouiii, ce serait tellement bon !  Ah, Vas-y vite, dépêche-toi ». Je réussis à placer le gland de son amant virtuel contre les lèvres de son sexe et je le poussais doucement en elle. Elle se mit à onduler du bassin, pour alterner les pénétrations anales et vaginales de ses 2 amants. Pendant que je faisais aller et venir le sextoy en elle, j’imaginais qu’elle s’offrait à un autre. « Ca te plairait d’avoir un amant ?
- ah ouiiiiii
- tu voudrais qu’on te fasse l’amour tous les deux ensemble ?
- ah oui oui OUIIIIII !!!! »

Elle fut secouée de spasmes et de sanglots comme jamais, elle ruait, mordait l’oreiller pour ne pas crier, tressautait et je la sentais palpiter à l’intérieur. N’arrivant pas à jouir moi-même de cette façon, je lui demandais si je pouvais la prendre moi aussi, après son amant. Elle me dit que oui, dans un souffle. Je me retirais prestement, ainsi que le pénis de latex, arrachais mon préservatif et me glissais délicatement en elle, pour ne pas lui faire mal, me doutant qu’elle était devenue très sensible. Quel plaisir de sentir la chaleur de son antre humide directement sur ma bite, de la faire glisser en elle sans la moindre résistance. En 3 mouvements, j’atteignis l’orgasme et je me déversais en elle, sans pouvoir retenir mes cris de jouissance.

Nous nous sommes effondrés l’un sur l’autre, épuiséS mais contentS, conscients tous les deux que le moment approchait de l’épreuve de la réalité.
Il est souvent difficile de savoir si on doit réaliser un fantasme ou non. Est-ce uniquement un fantasme ou un désir réel de vivre une aventure qui devrait être excitante au-delà de ce qu’on connaît dans notre relation quotidienne ? On est en haut du plongeoir, mais on n’ose pas faire le pas supplémentaire vers le vide, vers l’aventure.

Pour nous, le pas décisif a été fait, en quelque sorte, par un autre. Disons qu’on est montés sur le plongeoir, juste pour voir, pour se donner des frissons, qu’on s’est approchés du bord, qu’on s’est penchés, pour s’amuser à se faire peur et avoir des frissons… et qu’on nous a poussés !
lediscret2b, Erik74910, olch et 9 autres a liké

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